Bonjour à tous, et merci pour vos commentaires sur mes autres histoires!
Ma femme et moi avons toujours aimé aller jusqu’au bout de nos fantasmes, sans être bridés par ce que l’autre pouvait penser.
A cette fin, nous avons un petit bijou fantaisie, monté en collier qui représente une VERGE EN OR.
Nous avons conféré à cette VERGE D’OR des vertus magiques:
Celui des deux qui le porte peut tout exiger de la part de l’autre… Et l’autre est obligé d’obéir (comme toujours, dans ce genre de circonstance, nous avons un petit mot clé qui permet de sortir du jeu, mais nous ne l’avons jamais utilisé, et je ne crois pas que nous l’utiliserons un jour).
Ainsi, sexuellement, tout est possible pour nous! Nous avons essayé tout ce qui existe en termes de plugs, godes, menottes, martinets, déguisements en infirmier.ères ou en soubrettes ;-)
Un soir, je suis rentré du travail.
J’ai trouvé ma femme en tenue particulièrement légère, qui m’attendait dans l’entrée. Elle ne portait qu’une petite culotte en dentelles, très ajourée, et ce fameux PHALLUS D’OR.
Elle me dit, très autoritairement:
- Chéri, j’ai une surprise pour toi. Va dans le salon.
Je bande d’office, tout d’abord car ma femme est très belle, et la voire quasiment nue est particulièrement excitant… Mais surtout parce qu’au ton de sa voix, j’ai bien compris que je m’apprêtais à vivre une expérience totalement nouvelle…
J’arrive dans le salon et vois un homme qui pourrait être une caricature de Tom of Finland: Extrêmement musclé, cheveux très courts, T-shirt blanc moulant ses abdominaux, slip en cuir noir, ouvert sur les côtés.
Je ne pensais pas être un jour attiré par un homme, mais je dois reconnaitre que tout chez lui était extrêmement sensuel, érotique. Il puait le sexe!
Je commençais à comprendre où voulait en venir ma femme, et pris peur: elle s’attendait à ce que je couche avec cet homme… Je n’avais eu que peu de relations homosexuelles jusqu’à présent: une fois ado, avec un cousin, nous nous étions branlés dans le jardin. Et une fois, au lycée, à la piscine, mes copains m’avaient surpris en train de bander dans les douches collectives, alors que j’étais perdu dans mes pensées, en train de regarder le cul d’un mec. Ils s’étaient moqués de moi!!!
Ma femme s’est adressée à moi, tout en portant la VERGE D’OR à ses lèvres:
- Je te présente Boris. Tu lui appartiendras pour la soirée, et il prendra possession de toi.
Puis ma femme est allée s’assoir sur un des fauteuils du salon pour profiter du spectacle qui s’annonçait. Ecartant les jambes, glissant une main dans sa culotte, elle a commencé à se caresser la chatte…
Au moins c’était clair. Je voulais refuser, je ne voulais pas être à un tel point en position humiliante devant ma femme… mais elle avait la VERGE D’OR en bouche, et je voulais assouvir ses fantasmes.
Je restais donc dans le jeu… Et l’idée me vint que j’y trouverais peut-être du plaisir. C’est en tous les cas ce que me disait ma queue, qui était toujours bandée à fond dans mon slip.
- Déshabille-toi, m’ordonna Boris
Intimidé, je l’ai regardé, et ai commencé à ôter mes vêtements. Je me suis rapidement retrouvé nu devant cet homme qui me toisait et devant ma femme qui nous regardait. Par instincts, j’ai mis mes mains devant ma queue bandée.
- Enlève tes mains
- B… bien
- Je ne t’ai pas permis de me parler
- B… bien Maître, fis-je penaud et soumis, en écartant les bras et en laissant apparaître mes 18 cm à Boris.
Boris s’est rapproché de moi, et m’a saisi par les couilles. Il les a malaxées un peu, ce qui m’a toujours excité énormément.
- Quand je te tiens comme ça, tu m’appartiens complètement. Tu es là pour ta femme. Tu es là pour moi. Ne résiste pas. Laisse-toi aller.
Avec sa main libre, il a attrapé une cage de chasteté:
- Encore un point avant que l’on ne commence. Ta femme souhaite que tu aies encore les couilles pleines quand j’en aurais fini avec toi, pour que tu puisses la baiser comme elle le mérite. On ne va donc pas pouvoir jouer avec ta queue et il faut que je te mette cette cage. Ta femme souhaite que tu connaisses les même plaisirs que ceux qu’elle ressent quand tu la prends…
- La seule chose, c’est que pour pouvoir te mettre cette cage, il va falloir que tu cesses de bander...
Boris a alors serré ses doigts qui me tenaient les couilles, me les écrasant.
J’ai crié de stupeur et de douleur, et me suis laissé tomber par terre. L’effet fut quasi immédiat, et rapidement, Boris a pu m’enfiler la cage, la verrouiller et remettre la clé à ma femme.
- Tenez, Madame, vous pourrez lui rendre sa liberté quand cela vous plaira.
- Quant à toi, je te laisse récupérer. Je n’aime pas faire mal, mais il fallait en passer par là.
Les larmes aux yeux, je récupérais un peu mon souffle. Boris m’a pris dans ses bras musclés, et m’a consolé, avec une posture rassurante. J’ai alors eu envie de m’abandonner à lui.
Quelques instants plus tard, Boris a pris un plug dont le côté extérieur représentait la queue d’un chien.
- Mets-toi à 4 pattes, je vais t’enfoncer ça
J’obéis, bien sûr.
Boris se plaça derrière moi. Il se mit à me masser la rondelle.
J’aimais bien. C’était agréable.
Il commença à enfoncer un doigt.
- C’est bien. ça s’enfonce tout seul… Ce n’est pas la première fois que tu t’enfonce un truc dans le cul… Ca se voit!
Il enlève alors son doigt et me met le plug.
- Bien. Maintenant, tu peux aller bouffer la chatte de ta femme. Elle mérite que tu t’occupes un peu d’elle. Vas-y à quatre pattes, comme le bon soumis que tu es.
Ma femme a alors enlevé sa culotte, et je suis allé lui lécher son sexe…
Boris s’est alors positionné derrière moi. Il s’est mis à jouer avec mon plug anal. A le faire entrer… ressortir,… J’y ai éprouvé beaucoup de plaisir. C’étaient des sensations nouvelles pour moi, même si ma femme m’avait déjà plusieurs fois enfoncé des godes…
Au bout d’un moment, Boris a enlevé ce premier plug pour m’enfoncer un autre gode, de dimensions plus généreuses. A nouveau, il a joué avec. J’avais le cul déchiré ,mais qu’est-ce que c’était agréable!!! Je pourrais devenir un vrai soumis, avec un instructeur comme Boris!
J’ai alors entendu Boris enlever les quelques vêtements qu’il portait.
- Tu t’es assez occupé de ta femme. Viens t’occuper de moi.
Je me retournais, et marchais à quatre pattes jusqu’à lui.
Sa verge était énorme. De loin supérieure à la mienne. et quelle épaisseur! Je me suis dit que s’il me la mettait, j’allais réellement déguster.
- Allez, bouffe-moi la queue!
Je n’avais jamais sucé un autre homme. J’ouvris la bouche à m’en déchausser la mâchoire. Je fis entrer son gland, et je m’enfonçais sur sa bite… Petit à petit. J’aspirais. Rapidement, son gland atteignit le fond de ma bouche, et je démarrais mes va et vient.
- Tu t’en sors plutôt bien pour un débutant. Je suis fier de toi. Suce. Ne perd pas le rythme. Vas-y enfonce plus profondément…
Il me prit la tête, et me força, en gorge profonde. Je manquais de m’étouffer, mais finalement, je me suis dit que j’assurais.
Je pris beaucoup de plaisir à satisfaire Boris… A satisfaire le voyeurisme de ma femme.
Boris gémissait de plaisir, et je gémissait tout autant. Nos râles se mêlaient.
- Allez, va sur le canapé, je vais te posséder, maintenant.
- Madame, si vous voulez bien vous rapprocher, afin de profiter du spectacle de votre mari perdant sa virginité…
Boris enfila un préservatif, me retira le gode qui préparait mon cul à l’assaut à venir.
Il se positionna sur ma rondelle, et s’enfonça sans difficulté. Du moins au début…
J’ai crié. Plusieurs fois. Heureusement Boris y est allé progressivement. Sans me forcer trop violemment.
Les centimètres se sont succédés, très lentement, et à un moment, j’ai senti son pubis contre mes couilles. J’ai su qu’il était arrivé au bout. Je me souviendrai de ce moment toute ma vie: Une première queue dans le cul, ça ne s’oublie pas!
Il m’a pilonné avec passion et j’ai rapidement perdu toute notion du temps.
Le regard de Boris était pénétrant.
Les assauts de Boris étaient jouissifs.
Les râles de Boris étaient une musique enivrante.
La sueur de Boris était une drogue.
La queue de Boris était mon plaisir.
Et moi, je n’étais plus qu’un cul . Un cul qui était au service de Boris.
La jouissance de mon possesseur était proche. je le sentais.
Des cris plus aigus. Un rythme plus soutenu. Une respiration coupée. Des gestes saccadés…
Et le sperme jaillit. La semence emplit le préservatif.
Puis, le calme.
Chacun a gardé le silence.
Boris s’est retiré, a enlevé la capote, l’a rapproché de ma bouche, l’a vidée en moi.
- Ta femme connait le goût du sperme. Il te faut connaitre cette saveur, maintenant.
Boris s’est alors rhabillé.
- Madame, je vous rends votre mari. Il sait maintenant les plaisirs que procurent la bite. Il saura vous satisfaire davantage.
Il est reparti.
Ma femme m’a enlevé ma cage de chasteté, et je l’ai alors baisée comme jamais auparavant… Mais c’est une autre histoire
La prochaine fois que j’aurai la VERGE D’OR, je ferai certainement revenir Boris…
Kiwis
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