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13 | Mon retour au domaine
Trois jours plus tard, j’ai vu arriver les deux boys de la dernière fois. Je me doutais qu’il venait me chercher et j’avais prévu un sac de baguage. Quand j’ai voulu les suivre, ils m’ont de nouveau attrapé alors que je ne m'y attendais pas et ils m’ont de nouveau gazé avec leur foutu chiffon. De nouveau inconscient, ils m’ont embarqué, j’ai senti une piqûre dans mon bras ensuite, je me suis une nouvelle fois réveillé dans ma chambre avec les attaches, les cheveux rasé court et la cage de chasteté. La porte de la chambre évidemment fermé à clef et la porte fenêtre aussi. Karl est arrivé peu de temps après.
Karl : Tu es là ma chérie et déjà prête pour le service. Très bien alors tu commences dans une demi-heure. Mes boys t’on déjà fait un lavement.
Moi : Pourquoi m’avoir encore endormi et m’avoir mis ses attaches. Ou est ma bague et pourquoi m’avoir remis le collier. Il me semblait que si je revenais c’était librement. Tu m’as menti !
Je suis vraiment vénère.
Karl : Tu te calme tout de suite esclave ou je te file à mes boys pour une correction ! Je suis ton maître ne l’oublie pas et tu feras ce que je veux et comme je le veux !
Moi : Oui maître
Karl : Tu ne viendras et ne repartiras du domaine qu’endormi pour ne pas repérer le chemin.
Moi : Ne serait pas plus facile de me mettre une cagoule plutôt, j’ai à chaque fois un mal de crâne au réveil, maître.
Karl : C’est une idée, je vais y réfléchir. Je vais te faire amener une aspirine et par après du champagne. Ton premier client va arriver c’est un arabe donc cage de chasteté pour toi, je te l'enlève, ce soir avant de te faire l’amour. Ensuite tu auras des jumeaux. C’est déjà pas mal pour aujourd’hui. Demain tu commences à 10.00 jusqu’ à 20.00. Ensuite tu seras libre de circuler dans le domaine car tu ne feras que des demi-journées en semaine et journée entière le week-end. Samedi tu auras un gang bang 34 maîtres sur toute la journée. Je te ferais prendre des vitamines en fonction et te laisserais te reposer la veille. Dimanche repos tu en auras besoin et ton magnifique petit cul aussi.
Il m’embrasse à pleine bouche pour me faire sentir son amour, je me suis calmé car les ordres donnés étaient clairs. Je suis sa princesse mais son esclave et mon cul va prendre grave pendant mon séjour ici. J’ai intérêt à m’alimenter cette fois ci correctement. Karl m’a quitté et cinq minutes plus tard arrivait mon aspirine via l’esclave de maison.
L’esclave : Le maître à oublier de vous dire que vous deviez attendre votre premier client cul vers la porte comme la dernière fois dans votre ferme.
Moi : Ok merci
J’ai pris position et j’ai attendu. Le client est arrivé et à caresser ma croupe. Ensuite il s’est présenté devant moi.
L’arabe : Mais c'est de la bonne pute ça, relève toi et fais moi bander, suce !
Je me suis mis à le sucer en le regardant dans les yeux par moment, il m’a mis une légère gifle pour me faire comprendre que je ne devais pas. Il s’est ensuite mis à bien me baiser la gueule. Je commençais à en avoir mal à la mâchoire. Après cette séance ou j’en ai bavé sur sa queue.
L’arabe : Reprend ta position salope.
Je l’ai entendu mettre une capote, et m’enculer d’une traite à sec, j’en ai hurlé tellement il m’a fait mal. Je me suis senti déchiré.
L’arabe : Va y gueule, gémis tu m’excite et j’adore ça. Je vais bien t’exploser ta chatte de salope.
Il m’a détruit le cul, je n’ai pas réussi à me détendre, je n’ai pas arrêté de geindre sous ses coups de rein. Il m’a couché au sol.
L’arabe : Ecarte ton cul avec tes mains sale chienne !
Il a continué par des coups de reins je sentais son corps s'écraser sur moi à chaque mouvement, ses couilles claquer contre mon cul. Plus je soufflais, plus il y mettait de l’ardeur. Il a bien tenu comme ça une demi-heure avant dans un dernier râle profond jouir bien au fond de mon fondement. J’en ai hurlé aussi un bon coup avant de me sentir vaincu. Croyez-vous qu’il se serait arrêté, non. Il est sorti de mon cul à changer de capote pour y retourner direct et reprendre le limage de ma chatte avec autant d’ardeur. Il y a mis plus de temps, je sentais sa sueur couler sur moi. Je n’en peux plus mon cul me brûle. Il a fini par me féconder une deuxième fois. Il a déculé, jeté sa capote et après une bonne fessée.
L’arabe : T’es une bonne chienne à queue d’arabe, je reviendrais ou je demanderais à ton maître de te mettre à ma disposition pendant une semaine ou deux.
Je suis resté couché au sol complètement détruit et vidé de toute énergie. Ce sont les boys qui m’ont ramassé et mis dans le bain à bulles. Ils m’ont massé et m’ont fait boire pratiquement de force une boisson de leur composition. J’ai repris peu à peu mes esprits. Ils m’ont habillé d’un simple jock et m’ont couché sur le ventre dans mon lit. A peine sorti les deux jumeaux sont entrés, en douceur ils m’ont présenté leur queue à sucer. Ils ont été doux ça me change un peu. Le premier est passé derrière moi et m’a pris avec une douceur incroyable. Je suçais le second. Ensuite, ils ont changé plusieurs fois de place. Je ne saurais plus dire quel était le premier, quel était le second. A un moment un des deux s’est mis sur le dos et à demander que je vienne m’empaler dessus. Il m’a fait pencher pour m’embrasser. Il embrasse comme Karl et c’est magique. Je me laisse aller. Ensuite il me fait respirer un peu de poppers, la dernière que j’en renifler s’était quand je me suis prendre par le groupe avant ma tentative de suicide. Je me suis mis à chauffer, j’ai ensuite senti la queue du deuxième qui tentait de rentrée aussi. J’ai voulu résister mais le premier me tenait bien dans ses bras.
Le jumeaux : Laisse toi faire et détends toi, on ne te cassera pas.
Ils m’ont pris à deux mais pas longtemps. Ils ont joui pratiquement directement dans mon cul. J’ai senti leur sperme couler de mon cul et me suis rendu compte qu’ils ne portaient pas de capotes. J’ai voulu me dégager.
Le jumeau : N’ai pas peur, on est clean. Nous sommes les fils de Karl. Tu es le premier que l’on baise sans capote.
Ils m’ont emmené dans la salle de bain et m’ont lavé sous la douche avec tendresse. Ils m’ont enlevé toutes mes attaches qui étaient de toute façon trempées depuis le bain à remous. Ils m’ont enlevé la cage de chasteté aussi ce qui m’a fait un bien fou et comme ils me caressent j’ai vite bandé. J’en avais un derrière sa queue contre mon cul et l’autre devant me tournant le dos. Nous bandions tous les trois. Celui derrière m’a repris le cul en douceur alors que celui devant moi me présentait son cul. Je ne me suis pas fait prier, je l’ai pris en douceur. Il pousse un petit cri mais c’est laisser faire.
Le jumeau : Je baise mon frère une fois par semaine pour qu’il reste serré pour moi et je lui interdis de se faire prendre par quelqu’un d’autre.
Je n’ai pas tenu longtemps à le remplir de mon jus avant d’en recevoir moi aussi une deuxième dose. Il y eut aussi du sperme sur le mur de la douche à l’italienne. Une fois séché. J’ai vu que la porte de ma terrasse était ouverte. Eux sont sorti nu moi j’ai remis une tenue sexy. Sur la terrasse il y avait du champagne en suffisance, des fruits et Karl.
Karl : Ça va chérie, tu as fait connaissance avec mes fils. Ils ont été bien gentils avec toi ?
Moi : Oui ils ont été formidable, par contre je me serais bien passé de l’espèce d’arabe, j’ai mal partout et au dos surtout.
Un des jumeaux m’a servi une coupe de champagne.
Jumeaux 1 : Moi c’est Jean et mon frère c’est Marc. Pour nous dissocier il a un piercing aux tétons et à l’oreille droite.
Karl : L’arabe voudrait t’avoir dans sa villa pendant trois semaines, mais c’est toi qui décides.
Moi : Non, il m’a fait trop mal et je me suis senti comme une merde. La cage de chasteté a fait en sorte que je ne prenne aucun plaisir.
Karl : Quand il reviendra au domaine pour te voir il faudra la portée pas le choix. D’ailleurs d'autres client souhaiteront te voir la porter et même jouer avec.
Moi : Je ferais ce que tu veux, mais je ne souhaite pas servir en dehors du domaine et être mis à disposition pendant un long laps de temps.
Sur le temps que l’on discute, je ne peux m’empêcher de fixer les piercings tétons de Marc.
Moi : Marc tes piercings ça fait mal ?
Marc : Cinq à dix minutes quand on te perce mais après, ça va. L’oreille, j’ai rien senti par contre.
Karl : Tu voudrais en avoir ?
Moi : Je ne sais pas ça ne me tente pas trop. J’ai peur d’avoir mal.
Karl : Ça me plairait assez que tu en porte
Moi : Je ferais ce que tu veux.
Karl : Marc tu prendras rendez-vous avec ton Tatoueur, tu en profiteras pour te faire le tatouage que tu m’as montré je t’y autorise.
Marc : Merci papa, je suis trop content. Je vais lui téléphoner de suite.
Karl : Profite en pour mettre quelque chose sur ton cul prend aussi pour ton frère et rejoins nous à la piscine pour un barbecue. Ma chérie va mettre un maillot et prend un peignoir.
Moi : Oui mon cœur.
Une fois arrivés à la piscine il y a plusieurs jeunes dans un coin, ils portent tous le même collier que moi sur des transats mais il y a un emplacement réservé pour nous. Karl voit mon étonnement.
Karl : Ce sont des jeunes du Cheptel. Une fois fini journée, suivant leurs prestations, mes boys leur autorisent cette sortie sous surveillance. Regarde à droite, tu vois mes boys ne sont jamais loin. C’est comme une récompense. Donne-moi ta main.
Il y a remis ma chevalière. Il y avait une nouvelle bouteille de champagne. Nous avons pris l’apéritif.
Moi : J’ai une question.
Karl : Je t’écoute.
Moi : Tu as des enfants, donc je suppose que tu es marié.
Karl : Ce sont mes enfants mais je les ai adoptés à la naissance. C’est une femme du cheptel qui a accouché d’eux. Elle s’était fait mettre enceinte par un maître par accident. Elle est morte pendant l’accouchement. Je tiens à eux donc soit une mère pour eux. Ils ont une chevalière de maître mais ne la porte pas tout le temps. Ils sont encore jeunes, ils n’ont que 19 ans. Je les aie ici pour les vacances, ensuite ils retournent à Paris pour leurs études. Je leur ai trouvé un petit appartement de 60 mètres carrés.
Moi : Je serais attentive à eux
Karl : Tu parles comme une femme ma chérie. Fait attention devant les autres esclaves.
Moi : Mais je suis ta femme mon cœur.
Je l’ai embrassé devant tout le monde. J’ai pris une fessée et je me suis retrouvé à l’eau manu militari. J’en ai bu une tasse de surprise. C’est Marc qui est venu me rejoindre. Et m’aider à sortir de l’eau.
Marc : Rendez-vous demain dans son salon à 17.30.
Karl : Parfait vous lui mettez une cagoule pour le chemin aller-retour. Qu’il choisisse deux beaux bijoux, moi je lui ferais faire un particulier chez mon bijoutier. Téton droit, oreille droite.
Une fois sorti de la piscine j’ai mis mon peignoir. Nous avons fini l’apéritif sur le temps qu’un esclave nous préparait le barbecue. Nous avons passé une agréable soirée, à discuter de pas mal de choses mais surtout des travaux de ma ferme et des études des enfants de Karl. Fin de soirée je commençais à fatiguer, Les Boys m’ont ramené à ma chambre et m’y ont enfermé pour la nuit. J’ai dormi seul.
Ptlapin
pascal_dinsart@yahoo.fr