Chapitre 1
Comment je suis passé d’hétéro à pute pour un cercle fermé.
Cette histoire est une histoire vraie. Mon psy m’a conseillé de vous la raconter comme exutoire.
Je m’appelle Jean-Marc, j’ai maintenant 34 ans et je viens tout juste d’être libéré de l’enfer où je me trouvais. A l’époque de cette histoire je venais d’en avoir 24. Je suis un jeune mec brun aux yeux vert 1m78 pour 70 kg. Légèrement musclé et doté normalement par la nature. Je vivais en couple depuis 4 ans dans une ferme que j’avais hérité de mes grands-parents. J’avais réaménagé l’aile centrale pour avoir une chambre de 50m carré. Ma compagne Nathalie depuis quelques mois ne voulait plus que l’on dort ensemble. J’avais donc monté un deuxième lit dans notre chambre. Par la suite, notre relation s'est détériorée. Après conversation avant séparation nous avons décidé d’être un couple libre. Cela ne posait pas trop de problème, je m’étais fait une raison.
Un jour au soir elle à ramener Éric ( grand brun yeux vert musclé) un copain d’école à moi mais aussi apparemment son amant. Ils ont fait l’amour dans notre chambre alors que je dormais, évidemment cela m’a réveillé et perturbé. Éric à remarquer que je les matais mais n’a rien dit. Nathalie est ensuite partie prendre une longue douche. J’essayais de me rendormir mais j’ai senti la présence d’Éric dans mon lit. Au creux de mon oreille,
Éric : Ta Nathalie est vraiment un super coup mais je suis certain que tu dois l’être aussi, demain c’est toi que je baise.
Moi : Ça ne va pas non, je ne suis pas gay !
Éric a alors commencé à me caresser et curieusement je me suis laissé faire. J’ai même commencé à bander. Éric c’est alors mis contre mon dos et j’ai senti son sexe contre mon cul, j’en ai eu un frisson et j’ai joui sans me touché mais parce que j’avais la main d’Éric sur mon sexe.
Éric : Tu vois que tu aimes, tu as joui en un instant. Demain je te fais ta fête et tu vas jouir comme jamais tu n’as jamais joui. Va prendre une douche sur le temps que je me débarrasse de ton jus, je vais à voir à me débarrasser de ta femme pour le reste de la nuit.
Je me suis exécuté sans rien dire tellement il m’a dit cela d’une façon autoritaire et comme moi je suis assez timide et craintif de nature, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’en suis déstabilisé et troublé. A mon retour Nathalie était partie, il ne restait qu’Éric et moi.
Moi : Où est Nathalie ?
Eric : Je l’ai envoyé chez un pote pour qu’elle se fasse sauté le reste de la nuit. Comme ça je vais déjà faire une partie de ton éducation. Viens ici et suce-moi.
Moi : Mais je n’ai jamais fait ça !
Eric : je vais t’apprendre à devenir une bonne suceuse et surtout un bon trou de cul accueillant.
Moi : Je ne sais pas si je vais aimer mais va y en douceur s’il te plait. Je n’ai jamais fait ça et ça me fait peur.
Eric : Tu vas aimer et je ferais ensuite de toi ma salope et ma pute de concours.
Je suis monté sur le lit et j’ai commencé à le sucer. Il m’a expliqué comment je devais me mettre, comment ouvrir ma bouche et le reste comme la gorge profonde. Je n’ai rien eu comme ressenti ni je crois aimer le sucer. J’ai fait ce qu’il me demande. Ensuite il m’a fait changer de place tout en continuant de le sucer et j’ai eu mon cul à la hauteur de sa tête. Il a commencé à me léché l’anus avec sa langue et j’ai laissé passer un gémissement tellement c'était bon. J’ai commencé à bander.
Eric : Tu aimes mon cochon ?
Moi : Oui ce n’est pas déplaisant du tout.
Eric : Je vais te faire jouir ce soir et pas que de ta bite. De toute façon par après tu n’auras plus à t’en servir car tu ne devras penser qu’à donner du plaisir à tes maîtres.
Sur le moment je n’ai pas compris mais je l’ai laissé continuer. Il à commencer à me pénétrer avec un doigt et ensuite deux. J’ai continué à gémir. Quand il a senti que j’étais bien ouvert pour lui, il m’a fait coucher sur le ventre et écarté les jambes. J’ai bien compris qu’il voulait me dépuceler.
Moi : Va-y doucement s’il te plait.
Eric : Oui ne te tracasse pas et pense à prendre du plaisir mais surtout à m’en donner.
Il à commencer sa pénétration en douceur, j’ai tout de même poussé un petit cri à l’intromission mais il a été tellement doux que je n’ai pratiquement pas eu mal.
Eric : Voilà je suis à fond maintenant,je vais te faire jouir du cul et tu vas prendre ton pied. Après, tu réclameras que je te baise régulièrement. J’adore dépuceler les mecs vous êtes tellement serré au début que j'ai vraiment l’impression d’être dans une chatte. Mais ici j’y vais en douceur attends toi après à être pris à sec et surtout en force.
Je n’ai pas répondu, tellement je gémissais sous ses coups de queue. Il jouait littéralement avec mon cul et s’était divin. Je pleurais de bonheur. Ensuite il m’a fait mettre à 4 pattes et il y est allé plus fort me claquant les fesses par moment. A un moment, je ne sais pas ce qui m’a pris mais j’ai eu un frisson, j’ai hurlé et joui sans me toucher. J’ai senti du liquide couler entre mes jambes et Eric qui me jouissait bien au fond de mon cul. J’étais épuisé et me suis écroulé dans le lit. Il m’a fallu un moment avant de reprendre mes esprits, comprendre que je venais de me faire dépuceler du cul et que j’avais aimé cela. Au bout de vingt minutes, Eric a repris la parole.
Eric : Alors tu as aimé ?
Moi : Oui mais je n’aurais jamais cru pouvoir faire cela. J’ai un sentiment de honte mais de bonheur.
Et là j’ai un énorme frisson, je craque et me fou à pleurer comme un gamin. Je me suis senti sale. Eric à compris et m’a pris dans ses bras pour me consoler. Il m’a fait un baiser langoureux avant de m’attirer dans la douche et de me laver. Je me suis laissé faire sans rien dire, les yeux hagards, comme absent mentalement. Il m’a séché et m’a remis dans le lit qu’il avait changé. Il m’a pris dans ses bras.
Eric : Dort Jean-Marc, j’y ai peut-être été trop vite avec toi. Je continuerais à t’apprendre demain. Détends toi et dors.
J’ai fini par dormir comme un bébé. Quand je me suis réveillé Nathalie était dans son lit et moi seul. J’ai donc cru à un mauvais rêve. Je me suis levé et suis descendu prendre un café. J’en avais bien besoin. Surprise ,Eric était dans la cuisine avec du café et des croissants.
Eric : Bien dormi bébé ?
J’ai été surpris par le mot bébé.
Moi : Oui mais j’ai le cerveau en marmelade et je ne sais plus quoi pensé. Ce que nous avons fait pour moi cette nuit est contre nature mais j’ai pris un pied phénoménal, je ne me l’explique pas.
Eric : Alors écoute à partir d’aujourd’hui tu es à moi. Tu n’as pas à te poser ce genre de question c’est à moi d’y penser. Dorénavant tu es là pour me servir sexuellement et avec moi tu vas en prendre des coups de bites.
Moi : Oui je veux bien mais il faut que je me fasse à cette idée.
Il s’est levé et m’a foutu une gifle magistrale, il m’a tellement fait mal que je me suis mis à pleurer.
Eric : C’est moi qui décide et tu n’as pas à te faire à cette idée.
Il m’a foutu une deuxième gifle.
Eric : Alors répond tu es à moi ou je continue.
Moi : Je suis à toi.
J’ai pris mes mains et me les suis mises sur le visage en continuant à pleurer de plus belle. Il m’a pris dans ses bras, enlevé les mains du visage et m’a posé la tête sur son épaule.
Eric : Voilà c’est fini calme toi, soit à moi et il ne t’arrivera rien que je ne veuille.
J’ai fini par me calmer et j’ai déjeuné. Ensuite j’ai travaillé un peu dans ma ferme avec mes ouvriers. Eric a repris sa voiture avec Nathalie à son bord et est parti. Vers 14.00 je suis rentré chez moi prétextant à mes ouvriers que je ne sentais pas bien et chargeant le responsable de terminer la journée. Je me sentais vidé de toute énergie. J’ai dormi une bonne partie de l’après-midi dans mon divan. Le soir j’ai vu Nathalie prendre toutes ces affaires et partir sans aucune explication avec Eric. A son retour je finissais de faire à manger.
Moi : Eric, je peux te poser quelques questions ?
Eric : Oui bébé
Moi : Nathalie ne reviendra pas je suppose ?
Eric : Oui maintenant, il n’y a plus que moi dans ta vie pour le moment. Elle fait partie maintenant du cheptel féminin de notre cercle.
Moi : C’est quoi votre cercle ?
Eric : Tu comprendras plus tard.
Moi : Est-ce que je pourrais toujours baiser une femme ou être actif ?
Eric : On verra à l’avenir mais pour le moment tu ne seras que passif et à mon service exclusif. Après on verra.
Moi : Que veux-tu dire ?
Eric : Laisse toi faire, la tu poses trop de questions. On mange et ensuite je continue ton éducation.
Nous avons mangé ensuite, il a voulu que je prenne une douche avec lui. Il a commencé par me procurer un lavement et c’est là que j’ai vu qu’il avait apporté une modification à ma douche à l’italienne. J’ai appris ce que c’était un lavement et ordre de m’en procurer un le matin et le soir tous les jours pour être toujours prêt à le recevoir dans mon fondement.
Eric : Tu passeras chez une esthéticienne demain pour une épilation totale. Un bon soumis est imberbe.
J’ai dû le laver ensuite et le sucer sous la douche. Je me suis retrouvé dans le lit et il m’a fait l’amour toute le nuit avec une sensualité comme je n’en n’ai jamais connu et même donné à ma partenaire. Nous avons fini par dormir et juste je lui ai dit.
Moi : Je crois que je t’aime
Eric : Tu ne dois pas croire que tu m’aime bébé, tu dois m’aimer. Dors tu diras moins de connerie
Je me suis blotti dans ces bras et je me suis remis à pleurer. J’ai pris une fessée.
Eric : C’est d’un homme que je veux, pas d’une chialeuse.
Moi : Désolé c’est plus fort que moi, je ne sais pas pourquoi.
Eric : C’est normal tu cherches à lutter mentalement à ta soumission. Laisse-toi aller, ne cherche pas à lutter. Dort moi aussi je t’aime si ça peut te réconforter.
Ptlapin
pascal_dinsart@yahoo.fr
