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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Ma nouvelle vie

Chapitre 3

Je mets plusieurs longues minutes à me remettre de cet orgasme complètement fou. Je ne me suis pas rendu compte que je me suis assis dans la salle de bain, dos au mur qui fait face au miroir désormais souillé de longues traînées de sperme qui glissent lentement jusqu’au sol. Je continue à admirer le résultat de ces 4 mois d’intense travail en espérant simplement qu’il ne s’agit pas d’un rêve un peu trop réaliste, dont le souvenir va laisser un goût sacrément aigre au fond de la gorge au lever.

Je finis quand même par me glisser dans la douche et passer une bonne demi-heure à me savonner de partout, les doigts avides de caresser la moindre parcelle de muscle nouvellement découverte. Lorsque je sors enfin, le téléphone de la chambre clignote pour m’indiquer un message en absence : Josh m’attend en bas pour prendre un dernier déjeuner ensemble.

Je passe un short et un débardeur propres, que Josh m’avait glissés la veille dans la valise et qui sont à ma taille, et descends au rez-de-chaussée de l’hôtel.

_ Alors Yohann, bien reposé ? Me demande-t-il avec son accent du Midwest qui m’a bercé ces 4 derniers mois ? Tu as pu observer les résultats ?

_ Les dernières semaines ont été si dures que je ne m’étais pas rendu compte que j’avais pris tant que ça ! C’est fou !

_ Oui, c’est le fonctionnement du programme, tu passes par une phase de prise de masse intense pour finir par une sèche qui achève de te dessiner. Tu es content ?

_ Comment je ne pourrais pas l’être, dis-je en éclatant de rire.

À ce moment-là, une bouffée de bonheur m’emplit de joie et je passe l’heure qui suit à plaisanter avec Josh comme je ne l’ai jamais fait avant.

Il m’abandonne en début d’après-midi en m’indiquant qu’un taxi me prendra le lendemain matin pour m’amener à l’aéroport et me fait ses adieux, non sans me transmettre une liste — longue comme le bras — de recommandations, d’exercices, de préconisations alimentaires et autres routines destinées à maintenir ma musculature à ce niveau-là.

_ Ah, et l’autre Français avec qui tu es arrivé est dans la chambre voisine de la tienne, il prend le même avion que toi, vous partagerez le taxi.

Je lui fais une grande accolade virile avant qu’il ne s’éclipse et me dirige vers l’ascenseur en me demandant si le programme a fonctionné aussi bien pour Léo (à qui je n’ai pas pensé une seule fois au cours de ces 4 mois, alors que j’aurais pu demander à Josh comment se passait l’entraînement pour lui).

Je frappe à sa porte et attends quelques instants avant qu’il n’ouvre. On se dévisage en silence avant d’éclater d’un rire complice.

_ Putain, tu es énorme mec, me dit-il en me faisant entrer.

_ Je pourrais te dire la même chose !

Je ne peux m’empêcher de le mater de haut en bas. Le garçon frêle qui m’avait parlé dans l’avion de ses frustrations d’adolescence dans les vestiaires de la salle de sport, quand il était le seul à ne pas se désaper devant les autres, laisser deviner dans son T-shirt moulant des pecs désormais parfaitement dessinés. Il paraît si sûr de lui.

_ Tu en as chié comme moi ?

J’acquiesce en riant, comme si la souffrance passée ne pouvait plus être évoquée que sur le ton de la plaisanterie, puisque l’objectif avait été parfaitement rempli.

On passe une grande partie de l’après-midi à évoquer nos expériences respectives de ces 4 mois et on se fait monter un plateau-repas pour pouvoir profiter du coucher de soleil depuis la terrasse panoramique qui domine la ville.

_ On se fait un jacu ?

Nos deux chambres sont en effet chacune équipées d’un jacuzzi dans un des angles de la terrasse et j’avoue que d’assister à un petit coucher de soleil, un verre de champagne à la main (on a décidé de se payer une belle bouteille pour fêter notre nouvelle vie qui démarre) et les fesses posées dans un bain à remous, me tente bien.

_ Allez ! En revanche je sais plus si j’ai pris un maillot de bain dans ma valise.

Je fais mine de me diriger vers ma chambre mais Léo m’arrête.

_ T’inquiète, j’en ai pas non plus, personne ne peut nous voir !

Et il se dessape intégralement avant de se glisser dans le jacuzzi. J’admire sa musculature de dos, bien épaisse et rebondie, qui surmonte harmonieusement ses fesses rondes, mais j’essaie de chasser l’image de ma tête afin de ne pas bander.

Je le rejoins rapidement.

_ Putain, c’est la première fois que je n’ai pas honte de me foutre à poil devant quelqu’un.

_ Ahah, moi pareil, répond Léo en trinquant avec moi et en descendant son verre d’une traite.

Il le repose et commence à fermer les yeux pour profiter de l’instant. Moi je ne peux m’empêcher de l’observer plus en détail. Son torse est à demi immergé, et je peux parfaitement observer la ligne de ses épaules, et la jonction de ses biceps détendus à cet instant, mais néanmoins massifs et surmontés de veines affleurantes. Heureusement qu’il fait désormais de plus en plus noir, malgré les lampes extérieures, et que l’eau masque mon érection naissante !

_ C’est quoi la première chose que tu vas faire en rentrant ? me demande-t-il soudain.

_ C’est marrant, je ne me suis pas posé la question. Et toi ?

_ Bah, c’est un peu prétentieux, mais je pense que je vais aller à la salle de gym où j’avais l’habitude d’aller, et voir comment les mecs ultras musclés qui s’entraînaient avec moi me regardent maintenant.

On éclate de rire tous les deux.

_ Je m’y vois déjà, je me mettrai en débardeur bien moulant, et je me ferai une grosse séance, genre dos et biceps, et à la fin si un des mecs vient me voir pour me féliciter de mes progrès, je lui ferai tâter pour bien lui faire comprendre qui est le patron.

Il se met à gonfler son bras droit en mimant la scène. Son biceps est littéralement énorme, encore plus que celui que j’ai maté dans mon reflet quelques heures plus tôt. Je ne peux m’empêcher de lâcher un petit sifflement admiratif.

_ Putain, pas mal du tout.

_ Ahah merci, j’avoue qu’on a bien bossé les bras ces derniers temps. Après le coach m’a dit que j’avais une bonne base.

Je ne peux plus quitter des yeux son bras qu’il gonfle et dégonfle sans interruption. Ma teube est au garde-à-vous.

_ Fais voir le tien ?

Je m’exécute immédiatement, en essayant de le contracter au max.

_ Pas aussi gros que le tien malheureusement, mais je me plains pas, dis-je en riant, pour masquer ma gêne naissante.

_ Je suis pas si sûr.

Et, sans que je m’y sois préparé, il se laisse glisser vers moi et commence à me poser sa main sur mon biceps en essayant d’en faire le tour.

_ Il est dur comme du béton en tous cas, je peux à peine le tenir de haut en bas avec mes doigts, à mon avis t’es au-dessus des 40 cm. Tiens touche le mien.

Je suis en apesanteur. Sous l’eau, ma teube est elle-aussi dure comme du béton, et la proximité de ce corps dans la douceur de cette nuit américaine, après quelques verres de champagne, me met dans un état d’excitation extrême.

Doucement, je me redresse en veillant à ne pas trop me soulever hors de l’eau, et me rapproche de Léo. Ma main se pose délicatement sur son bras qui se tend, à la fois dur et soyeux, sous mes doigts, et je me délecte de ce toucher d’un érotisme ultime. Je profite de cet instant et continue à le malaxer, feignant l’observation strictement scientifique, mais m’enivrant du plaisir que cette boule puissante insuffle dans mes entrailles.

_ Alors ?

_ Bah, mec, t’as des bras de ouf.

Je me rends compte que j’ai bredouillé et retire ma main aussitôt dans un petit mouvement de recul qui me fait légèrement perdre l’équilibre. Léo me rattrape par le bras en se penchant au-dessus de moi et son autre bras heurte par inadvertance ma teube dressée. Le contact n’a duré qu’une fraction de seconde et j’espère un instant qu’il n’a rien remarqué. Mais le silence gêné qui suit, et l’immobilité de nos deux corps, comme suspendus l’un au-dessus de l’autre suffit à me convaincre du contraire.

_ Euh désolé, dit-il finalement.

_ Aucun souci mec.

Nouveau silence.

_ Dis, c’est moi qui te mets dans cet état ?

Je rougis.

_ Désolé, j’aurais dû te le dire avant de se faire un jacu, je voulais pas te mettre mal à l’aise désolé.

Et je me lève d’un coup, me retournant suffisamment rapidement pour qu’il ne distingue ma queue dressée que brièvement et attrape une des deux serviettes sur la table voisine. Je l’entends qui sort derrière moi.

_ Non attends, je ne voulais pas dire ça, ça ne me pose pas de problème.

Je me retourne, la serviette enroulée tant bien que mal autour de ma taille, pour me retrouver devant un Léo lui aussi au paroxysme de sa virilité.

_ Tu es gay toi aussi ?

Il sourit.

_ Plutôt bi, je pense.

Il ne cache pas sa teube et s’approche de moi lentement. Je serre la serviette de plus en plus fort, désemparé par la situation à laquelle je n’ai pas été préparé. Je ne bouge pas.

Il s’arrête à moins de 10 cm de moi. Je sens sa teube qui heurte la mienne derrière la tissu et son souffle saccadé contre ma joue. Il pose sa main sur la mienne et desserre mes doigts, l’un après l’autre. La serviette tombe. Je ne respire plus.

Sans mouvement brusque, il me passe son bras droit sous mon aisselle gauche, et son bras gauche sur mon épaule droite, et me sert contre lui dans une étreinte de plus en plus intense. Nos deux corps sont désormais collés tandis que je l’imite et que je m’abandonne à ce câlin puissant.

_ On va réellement le faire ?

Je lui ai murmuré ça dans l’oreille d’un ton que j’aurais voulu moins anxieux.

_ Si tu en as envie.

_ Tu peux pas savoir comme j’en ai envie. Mais c’est ma première fois.

Il relâche son étreinte et me regarde dans les yeux.

_ Moi aussi.

Et il m’embrasse, d’abord délicatement puis avec une fougue que nous deux teubs désormais collées l’une à l’autre jugent plus adéquate. Nos langues s’entrechoquent et s’enroulent en un ballet virevoltant, tandis que je descends langoureusement mes mains le long de ses épaules, puis de son torse. La sensation de sa musculature puissante sous ma caresse avide m’électrise jusqu’au bout de mes orteils, et ma queue fourmille d’un plaisir dont j’ignorais l’existence.

Je sens ses mains qui m’explorent de leur côté, s’arrêtant longuement sur mes fesses, puis sur ma teube que l’une d’entre elles ne lâche plus, sans pour autant oser l’assaillir trop violemment de peur de hâter une conclusion que nous voulons tous deux retarder autant que possible.

_ Ta teube est magnifique, me susurre-t-il dans l’oreille.

Je rougis légèrement. J’avoue que, si j’ai passé mon adolescence à souffrir de mon corps, ma queue est la seule partie de mon anatomie dont je remercie la providence de m’avoir pourvu : légèrement plus de 21 cm, bien droite et ultra dure lorsque je bande, je ressens une certaine fierté de la présenter ce soir au premier mec de ma vie qui la découvre.

Comme pour le remercier en silence de son compliment, je commence à embrasser son cou, puis ses pecs en m’attardant quelques minutes à mordiller ses tétons, ce qui le fait lâcher quelques petits râles bien excitants. Je finis par me mettre à genou et à frotter mon visage contre son pieu qui se dresse non moins fièrement que le mien.

Sa queue est magnifique également, quoique un peu plus petite, sans doute 19 cm, et légèrement moins épaisse, mais toute dure sous ma langue qui commence à la parcourir. Je sens ses veines se contracter au contact de mes papilles et je le vois fermer de nouveau les yeux, comme pour se concentrer sur l’instant présent.

Il s’abandonne à un soupir lorsque j’enfourne sa teube pour la première fois, et que je la fais frotter contre le fond de ma gorge, puis je m’attelle à le sucer de la manière la plus passionnée qui soit, puisant tout autant dans mes souvenirs des innombrables vidéos pornos dont j’ai peuplé mes nuits d’ado, que dans l’improvisation du moment.

_ Oh putain que c’est bon, ne t’arrête pas Yohann.

Ma langue virevolte. Je délaisse un instant son gland, pour m’affairer sur ses boules, tout en lui frictionnant le manche de la main droite, puis je reviens plus goulu que jamais. Mes mains en profitent pour caresser ses cuisses, massives, dont la contraction révèle sa situation de crispation absolue. Chaque membre de son corps est concentré sur la volupté qui monte.

_ Yo, je vais pas tenir longtemps, mais c’est pas grave, putain qu’est-ce que j’ai envie de jouir !

Il a quasiment crié, les yeux toujours fermés et la tête légèrement renversée en arrière. Il vient poser ses deux mains sur ma tête, je pense qu’il va prendre le contrôle des mouvements de va-et-vient que ma bouche inflige à sa queue, mais il se contente de me caresser les cheveux, puis les épaules et le haut de mon dos, de plus en plus frénétiquement.

_ Ça vient, ça vient, vas-y, plus vite.

Je me déchaîne. Ma propre teube est au calvaire, et je n’ai qu’une envie, c’est m’en emparer pour en libérer toute l’excitation qui s’accumule, mais je reste concentré sur Léo, que j’astique avec une frénésie décuplée par les gémissements désormais rauques et de plus en plus forts qu’il exhale. Ma langue tournoie autour de son gland, et mes lèvres ne relâchent plus la pression sur sa hampe.

_ Oui, oui, ça vient, OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !

Il hurle littéralement au moment où je sens entre mes lèvres sa queue qui se contracte et m’expulse cinq jets puissants qui s’écrasent au fond de ma gorge. En prévision de l’orgasme, j’avais remonté mes mains derrière ses fesses, et je le plaque contre moi pour ne pas risquer de laisser sa teube en explosion sortir de ma bouche. Je veux que sa première pipe soit parfaite et mets un point d’honneur à tout avaler.

Il tremble de partout, les yeux toujours fermés, et un sourire qui s’installe sur ses lèvres, la respiration toujours un peu saccadée.

_ Oh putain de putain, Yohann, c’était un pied de malade, me dit-il finalement après quelques secondes de silence complice.

Il me relève et m’embrasse tout aussi passionnément que la première fois.

_ C’est donc ça un orgasme ! Mais je veux jouir comme ça tout le temps, c’était hallucinant.

On se met à rire tous les deux, devant sa réaction de petit puceau qui découvre le plaisir de la chair, mais le bonheur qui se lit sur les traits de son visage transformé, me donne envie de connaître ça à mon tour.

Tout en continuant à m’embrasser, il me pousse en arrière et me fait m’allonger sur un transat qui se trouve sur la terrasse. Je mets mes mains derrière ma tête alors qu’il me lèche à son tour les tétons, une de ses mains se saisissant de ma queue.

Je retiens un instant ma respiration. Ça y est, je vais avoir ma première pipe. Mais je ne m’attarde pas sur cette idée qui me traverse l’esprit, et me délecte juste de la sensation qui commence à s’insinuer en moi à mesure que sa main monte et descend le long de mon pieu dressé. Je mouille énormément si bien que le mouvement de ses doigts est d’une fluidité extrême.

Sa bouche remonte jusqu’à la mienne, et il m’embrasse de nouveau, son torse caressant le mien. Puis il redescends sa langue le long de mes bras que j’ai conservés croisés derrière ma nuque, et lèche langoureusement mes biceps que j’essaie de contracter au max.

Enfin, après une exploration que j’aurais sans doute aimé un peu moins pressée de mes pecs et de mes abdos, sa langue s’attaque à l’objectif ultime de son périple.

Je ne peux m’empêcher de laisser filtrer un petit cri à la fois de plaisir et de surprise lorsqu’il gobe intégralement ma teube et que je sens sa langue laper mon gland pour la première fois. Mon bassin est traversé d’un frisson nerveux qui se transforme en fourmillement de plaisir à mesure que ses mouvements se font plus rapides.

J’ai l’impression de sentir ses lèvres aspirer le plaisir du fond de ma queue, et je me demande comment je vais résister aussi longtemps que lui. J’ai déjà envie de jouir. Je tente de tenir bon. Je canalise ma respiration afin de m’aider, mais les soupirs que je lâche ne font qu’attiser son ardeur, et par conséquent de réduire à néant mes efforts.

_ Léo, pas si vite, c’est trop bon, je vais jouir trop vite.

Il sourit en interrompant ses mouvements et en me regardant d’un air malicieux.

_ Ça te plaît ? Me demande-t-il, faussement candide.

_Tu peux pas savoir à quel point.

A ce moment-là il se penche au-dessus de ma teube et commence à la frotter contre ses pecs. L’ondulation de son torse, que j’observe, allongé, depuis le dessous, est magnifique, et la sensation de sa peau soyeuse contre mon membre ne réduit en rien mon excitation.

Je m’aperçois d’ailleurs que sa teube est de nouveau dure et qu’il commence à jouer avec de son autre main. Rapidement, il se redresse et commence à branler nos deux teubs ensemble, l’une contre l’autre, le plaisir qui me fait trembler du bout de mes doigts de pieds jusqu’au plus infime neurone de mon cerveau est indescriptible.

_ Putain Léo, j’en peux plus, fais moi jouir.

Et comme s’il n’attendait que cet ordre de ma part, il reprend ma queue en bouche dans un rythme endiablé, aidé par ses mains qui accompagnent désormais ses lèvres, parfaitement synchronisées. Mon cœur s’emballe et je sens que déjà mes mains sont crispées sur la toile du transat qui menace de se déchirer. Mon bassin se soulève légèrement, tandis que mes abdos sont contractés comme jamais. Le plaisir monte, pas progressivement comme dans mes branles habituelles, mais comme une déferlante balayant tout sur son passage.

J’essaie de penser à autre chose, de retarder le moment de l’explosion. Ses lèvres ne me laissent aucun répit, elles absorbent toute mon énergie vitale, je suis en lévitation, je ne veux pas que ce moment s’arrête et en même temps j’attends l’orgasme avec une impatience de gamin devant le cadeau de noël dont il a tant rêvé.

Ma teube est à l’agonie, je la sens se remplir de sève.

_ Oui, oui, OUI.

Je ne parviens même plus à formuler la moindre phrase. Ni même le moindre mot. Seul le plaisir absolu qui m’envahit à ce moment-là a du sens, et je m’y abandonne sans limite, je me noie dedans, je m’enivre de son intensité inédite.

_ Aaahh, AAAHHHHHH.

Je pousse un cri bestial lorsque mon jus gicle finalement, secoué de part en part d’une décharge électrique qui semble durer une éternité. Je ne sais même pas si Léo a continué à me sucer à l’instant où j’ai joui, ni s’il a avalé ma semence, ni même si j’ai rué sur mon transat mu par la force de la secousse de plaisir qui m’a envahi ; je sais juste que ce moment est resté suspendu hors du temps et que je me suis fondu dans cette intemporalité extatique. J’avais attendu ça depuis si longtemps, et même dans mes espoirs les plus fous, je n’avais pas pensé ressentir autant de plaisir.

A suivre…


Merci pour vos messages d’encouragements, je vais essayer de continuer ce journal intime (avec quelques mois de décalage), même si ce n’est pas l’exercice le plus facile dans lequel je me suis lancé. N’hésitez à m’envoyer des commentaires, je suis preneur de vos remarques pour m’améliorer.

Yohann

yohann.gln75@gmail.com

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