Chapitre-1
Je n'ai rien de prévu en ce 31 décembre et étant célibataire je me retrouve seul pour cette fin d'année.
Aussi pour ne pas rester enfermé seul chez moi, je décide de me rendre à la capitale pour les festivités et peut-être faire une rencontre d'un soir.
Je prends donc la route en début d'après-midi pour ne pas avoir trop de bouchons.
Je me dirige sur l'autoroute quand je suis pris d'une forte envie d'uriner.
Je regarde la signalisation et m'aperçois qu'une aire de repos est proche.
Je continue quelques kilomètres et bifurque sur cette aire de repos.
Je stationne ma voiture et vais directement vers les toilettes.
Pas de voitures sur le parking, seuls quelques camions de routiers garés un peu plus loin.
J'entre dans les toilettes et m'avance vers les urinoirs.
Je m'installe et sors ma queue pour me soulager la vessie lorsqu'un homme apparaît et vient se positionner à côté de moi.
Il devait se tenir dans une cabine car personne n'est entré après moi.
L'homme choisit l'urinoir le plus proche de moi sur ma gauche. Il n'a pas à sortir son matos car sa bite est déjà à l'air libre.
Il fait mine de vouloir uriner mais en réalité il se branle tout en matant ma queue du coin de l'œil.
Je m'aperçois de son stratagème pendant que mes jets d'urine vont s'écraser sur la faïence de l'urinoir.
Puis il se tourne vers moi me faisant voir son mandrin bien tendu et avance sa main droite pour prendre ma queue.
Il joue avec elle, lui faisant faire des soubresauts et éclabousser l'urinoir un peu partout.
Quand les jets se terminent, il la secoue et la branle un peu.
Puis il me regarde droit dans les yeux et me dit avec un fort accent des pays de l'est :
" Toi vouloir venir avec Andrej dans camion ? "
Je lui souris tout en regardant son bâton bien droit.
" Allez, toi suivre moi jusque camion !! "
Je vais alors pour ranger mon matériel et il me dit :
" Pas besoin de ranger matériel, matériel va servir tout de suite dans camion ! "
J'obéis à son ordre et nous nous dirigeons vers la sortie des toilettes, lui non plus n'a pas rangé son braquemars.
Pour être certain que je vais l'accompagner, il me tient fermement la bite serrée dans sa main.
Nous traversons le parking et arrivons à son camion et je m'aperçois qu'il est immatriculé de la Pologne.
Je ne m'étais pas trompé sur son accent.
Il débloque l'ouverture des portières et me fait grimper côté chauffeur.
Il profite alors de cet instant pour me peloter les fesses et s'exclame :
" Oh joli petit cul pour Andrej !!! "
Nous sommes enfin tous les deux dans la cabine et comme il fait encore jour, il s'empresse de tirer les rideaux de la cabine pour ne pas être dérangés.
Bouleetbite
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