Ma voiture était tombée en panne un jour d’été bien ensoleillé alors que je voulais aller sur la côte pour prendre le soleil et me baigner à la plage. Plus de batterie un jour de week-end.
Je décidais donc de faire de l’auto-stop à la sortie de la ville au bord de la route nationale. Mon sac à dos bien chargé.
La circulation est intense. Beaucoup de véhicules mais aucun ne s’arrête. Certaines personnes activent leurs klaxons et d’autres font signe mais personne pour moi.
Le temps me semble long mais je ne désespère pas.
Soudain, un camping-car s’approche, ralentit, me fait des appels de phare et stoppe.
Le conducteur me fait signe de m’approcher.
Je vais donc au-devant du véhicule, lunettes de soleil sur les yeux, la casquette mise à l’envers (visière sur la nuque) pour éviter un coup de soleil.
Je reconnais le conducteur mais lui ne me reconnais pas sur le coup. Il est vrai que j’ai changé de physique depuis nos dernières entrevues tandis que lui est encore le même malgré les années en plus.
Il me demande où je vais.
- « Je vais à la plage de …. !!! »
- « Moi aussi, montez donc !!! »
- « Cette plage est ma préférée, j’y allais quand j’étais adolescent avec mes parents !!! »
- « Moi également, sable fin, pas trop de monde, parfait pour la tranquillité !!! »
Je fais le tour et le conducteur me débloque la portière passager pour que je puisse monter.
Je m’assieds et pose mon sac à dos par terre entre mes jambes de ce fait un peu écartées.
Je retire la casquette, mais laisse mes lunettes de soleil.
- « Bonjour Eric. Comment vas-tu ? »
- « On se connait ? Votre visage ne me dit rien !!! »
J’ôte alors mes lunettes de soleil et le regarde droit dans les yeux.
- « Maintenant tu me reconnais ? »
- « C’est toi Claude ? »
- « Oui c’est bien moi, maintenant tu comprends pourquoi j’aime toujours cette plage. Trop de souvenirs en commun !!! »
Le camping-car redémarre et pendant notre avancée vers la côte nous parlons de tout et de rien. La route est encombrée des deux sens, nous roulons plus lentement que prévu.
A un moment, je prétexte un besoin à assouvir et lui demande s’il pourra s’arrêter.
Eric trouve un emplacement isolé hors de la nationale et je descends pour me soulager. Lui fait de même, cela ne fera qu’un arrêt.
Je me sens mieux la vessie vide. Lui aussi. Mais au lieu de ranger son matériel alors que moi c’est déjà fait, il se tourne face à moi, et commence à jouer avec son instrument.
- « Tu te souviens, on aimait bien se la montrer et se tripoter quand nous étions des ados !!! »
- « C’était le bon vieux temps, on a eu de sacrés moments !!! »
Nous nous dirigeons vers le camping-car, moi la queue rangée, lui toujours la bite à l’air.
Arrivés au véhicule, au lieu de débloquer les portières, il ouvre la porte d’accès à l’intérieur du véhicule, porte latérale. La porte ouverte, il me fait passer devant et me pousse à l’intérieur au point de perdre mon équilibre.
Il entre dans le camping-car, ferme aussitôt la porte, m’attrape direct pour me galocher.
Je ne le repousse pas et nos lèvres se trouvent, nos bouches s’entrouvrent et nos langues se lient et se déchaînent.
Contre moi, je sens sa bite en érection, bien dure et tendue, toujours à l’air libre. Sa main quant à elle, défait le zip de mon bermuda et s’en va fouiller dans mon slip de bain et sort ma queue qui commence à être serrée dans le sous-vêtement.
Je lui prends alors la queue en main en commence une branle, ce qui a le don de faire dresser et bien raidir sa bite. Sa main, sur mon chibre, joue avec mon gland et le décalotte. Nous nous branlons mutuellement.
Puis il me lâche la teub, fait tomber mon bermuda sur mes pieds ainsi que mon slip de bain. Me voilà debout le cul dans le camping-car.
Lui s’en va dans le devant du véhicule et tire les stores des portières et du pare-brise avant.
Nous voilà en franche intimité. Il quitte son short de plage et apparait le cul nu aussi, puisque le short de plage a un sous-vêtement intégré.
Il revient à l’arrière du camping-car, il enlève son tee-shirt et je fais de même avec mon polo.
Tous les deux à poil, il me prend par la main et me dirige vers le lit bien fait qui attend des visiteurs.
Nous nous galochons, nos salives coulent le long de nos mentons.
La branle recommence de plus belle.
- « Je n’avais plus souvenir de l’état physique de ta queue. Mais qu’elle est belle et bien vivante !!! »
- « J’avais encore des souvenirs de la tienne, elle était déjà bien grosse et elle crachait vite !!! »
- « Je suis devenu plus endurant, ne t’inquiète pas tu as tout le loisir de me branler avant que je te donne mon gluant !!! »
Je m’abaisse alors, me mets à genoux, suce et lèche son gland. Il pose sa main derrière ma tête et me fait prendre sa bite en bouche. Je ne résiste pas bien au contraire et j’enfourne sa queue de plus en plus dans ma bouche.
J’arrive désormais à lui faire des gorges profondes sans attraper de hauts le cœur.
Je m’active bien et lui me donne des petits coups de rein. La bave coule de ma bouche sur sa pine, passant par ses couilles avant de tomber sur le plancher du camping-car.
- « Tu es bonne suceuse, mais grave !!! On aurait dû le faire déjà ados !!! »
- « Que de temps perdu !!! Mais je crois que l’on va rattraper ce temps perdu !!! »
- « Continue ta langue et ta bouche sont trop bonnes !!! Tu vas réussir à me faire juter !!! »
- « C’est bien ce que je veux !!! Ton foutre dans ma bouche !!! »
Je reprends mon biberon en bouche en continue ma pipe.
- « Ohhh attention, la purée monte !!! Je vais bientôt décharger !!! »
Je me colle en gorge profonde et voilà qu’il me lance des giclées de son jus crémeux qui s’en vont se loger dans ma gorge. J’avale tant que je peux. J’en conserve un peu en bouche et je me relève pour lui donner en bouche ce que je n’ai pas avalé. Il ronronne et se pourlèche.
Pui c’est le qui se baisse lentement en m’embrassant le torse, jouant avec mes tétons qui ne tardent pas à durcir.
Il tire dessus et les mordille. Puis il reprend son embrassade descend encore jusqu’à mon nombril, qu’il mouille de sa langue. Cela me fait frissonner. En me tenant les fesses, il s’accroupit et s’agenouille et prend direct ma bite en bouche. Il la gobe direct.
- « Humm tu sembles avoir très faim !!! Cela fait longtemps que tu es à jeun ? »
- « Non mais ta bite est tellement en grande érection que je ne tiens plus !!! Je me sens devenir salope !!! »
Il se remet en mode « suce » et l’avale, puis il la relâche, joue sur mon gland, ouvre mon méat du bout de sa langue, aspire.
- « Tu es vraiment une salope bien douée !!! Je ne me suis jamais aussi bien fait pomper même par une femme !!! C’est meilleur avec un homme !!! »
Je sens sa bouche bien chaude qui continue de coulisser sur mon chibre. IL ne le lâche que pour reprendre son souffle et replonge dessus.
- « Mais quelle pipe ! Je suis certain que tu fais cela mieux que des putes !!! »
- « Normal, tu sais bien que j’ai toujours été gay et en 50 ans j’en ai fumé des cigares de minets et de plus âgés !!! c’est ce qui s’appelle l’expérience !!! «
Nous nous mettons à rire puis :
- « Attention c’est à mon tour d’envoyer la sauce !!! »
Il retire sa bouche de ma bite, mais reste agenouillé pour se faire arroser sur le visage. Une, deux, trois, quatre giclées viennent tapisser sa figure et coule sur tout son visage. Je lui lèche le visage pour le nettoyer tout en gardant ma jute dans la bouche et lui donne ensuite en bouche. Mon sperme mélangé avec ma salive se retrouve plus liquide et plus facile à digérer.
Il se relève et me bascule sur le lit qui nous attend à bras ouverts. Il s’allonge à mes côtés et me tend les bras.
Je me love contre sa poitrine et nous embrassons. Nos bouches ont ce goût particulier sucré-salé du foutre.
Nous nous reposons tant soit peu, tout en nous roulant des pelles.
Nos esprits sont calmés mais l’envie de sexe n’est pas disparue.
Je reprends sa bite en main et je la sens tressauter entre mes doigts et elle ne tarde pas à reprendre vigueur petit à petit. J’insiste de lui titiller son gland et de la mouille apparait. Je passe mon pouce sur son méat et j’étire cette mouille qui se détache de son gland. Je suce mon pouce.
- « Ta mouille est trop bonne !!! je me délecte de ce nectar!!! »
Ton en le sevrant de sa mouille, il repose sa main sur ma tige qui se redresse également.
- « Tu n’es pas en reste, je vois que ta bite me fait comprendre qu’elle en veut encore !!! »
- « Je crois savoir ce dont elle a envie !!!! »
IL se lève et se met à quatre pattes. Je lui attrape les hanches et j’avance ma bouche près de sa raie. Il sent mon souffle chaud contre ses fesses. Puis j’écarte ses fesses et passe un doigt sur sa rondelle. Je sens son sphincter se contracter. Puis je pose ma bouche contre son trou et lui salive un max. Ma langue fait son office pour lui ouvrir légèrement le trou et pouvoir s’y enfoncer. Je lubrifie copieusement son trou du cul qui se détend.
- « Oh comme c’est trop trop bon !!! Je vais devenir ta chienne !!! » me dit-il en gémissant.
- « Ton cul est trop appétissant pour résister à le déguster !!! »
Je me redresse légèrement et lui présente ma bite contre son trou. Il dandine des fesses pour émoustiller ma bite.
Je me place bien et serre mon gland contre sa rondelle. Celle-ci s’ouvre et accepte son visiteur. Celui-ci s’introduit doucement centimètre par centimètre. Puis une fois le gland passé, je pousse un peu plus pour faire rentrer la suite de ma tige. Il pousse de son côté pour venir au-devant de ma queue et la voilà entièrement en lui.
- « Vas-y prends moi bien j’ai trop envie de me faire baiser !!! »
- « Je suis en toi, ton cul est le bonheur !!! »
Tout en disant cela, je commence à faire des va et vient dans son anus. Je le tiens fermement ses hanches pour pouvoir mieux le limer. Ma cadence s’accélère au fur à mesure des coups de rein prodigués.
- « Oui défonce moi !!! Ne retiens pas tes coups de rein !!! Démonte-moi le cul !!! »
J’accélère encore, mes couilles viennent buter contre les siennes. Cela m’excite au plus haut point.
- « Ma salope, ma petite pute !!! Que c’est bon de te fourrer !!! »
- « A qui le dis-tu ? Trop bonne, bien grosse, et bien raide !!! Elle m’éclate comme j’aime !!! »
- « Je suis un nuage !!! Je suis au paradis !!! T’enculer comme cela me rend fou !!! »
- « Oh oui, encule moi à fond !!! Encule-moi encore !!! Encore je te veux !!! Donne-moi tout !!! »
Je continue à le pilonner sans avoir envie d’arrêter. Je ne sens pas encore mes couilles prêtes à se vider.
Cela dure encore une dizaines de minutes à baiser comme deux bêtes. Et soudain :
- « Ahhhh ça vient !!! Je vais gicler !!! Je vais tout te donner mon foutre épais !!! »
- « Ne te retire pas !!! Vide-toi dans mon cul !!! Ne te retiens plus !!! »
Je me contracte et lance six ou sept jets dans le fond de son cul. Il couine et il soupire.
- « Trop top !!! Quelle rasade tu m’as mis !!! J’en ai le cul bien rempli !!! »
Je me retire doucement. Ma queue est couverte de mon jus et une coulée sort de ton fion.
- « Avec tout ce que j’ai pris !!! C’est certain tu m’as fécondé !!! »
Il me regarde alors droit dans les yeux et me lance un tendre sourire. Il avance son visage et m’embrasse.
- « Tu es un amour !!! Comme j’ai kiffé de me faire prendre par toi !!! C’était un régal !!! »
Il se met alors sur le dos allongé sur le lit. Il prend sa queue en main et débute une masturbation effrénée.
Cela dure une bonne minute voire deux et il finit par cracher à son tour son sperme sur son bas ventre.
Il gémit, il soupire, il a du mal à reprendre son souffle. Je dépose un baiser sur ses lèvres tout en étalant son foutre sur les poils de son pubis. Puis nous posons nos têtes sur les oreillers le temps de récupérer.
Ensuite nous récupérons nos vêtements sur le sol et nous rhabillons. J’enfile mon bermuda sans remettre mon slip de bain. Il s’en aperçoit et souris :
- « Tu ne mets pas ton slip de bain ? »
- « Non au cas où on ferait la rencontre d’un autostoppeur !!! »
Nous éclatons de rire et nous installons sur les sièges et il démarre le camping-car, nous avons encore des kilomètres à faire pour arriver à la plage.
Nous roulons tranquillement, tout en nous adressant des regards amoureux et des petits sourires.
Plus que quelques kilomètres et nous atteignons la côte. Il se gare près des dunes, arrête le moteur et nous descendons du véhicule. Nous prenons nos sacs respectifs pour aller prendre le bronzage et puis nous baigner.
Il passe devant moi et je lui tapote les fesses. Il sent mon foutre couler de son cul. Il ne s’est pas vidé le trou.
Nous trouvons un petit coin bien sympa pas très loin de la plage mais dans les dunes évidemment.
Nous posons nos serviettes côte à côte et nous allongeons pour nous désaper. Je me rends compte que je n’ai pas remis mon slip de bain dans le sac, il est resté par terre dans le camping-car. Qu’importe je resterai à poil et si quelqu’un arrive, je poserai une serviette sur mon bas ventre pour cacher une érection possible.
Nous allons ensuite nous baigner. Nous courons sur le sable. Je suis couvert d’une serviette pour arriver à l’eau. Celle-ci s’entrouvre au rythme de mes foulées ; Une fois ou deux elle a failli tomber et laisser apparaître mon anatomie. Cela nous fait bien rire.
Nous arrivons sur le sable mouillé par les précédentes vagues de la marée descendante et je lâche ma serviette qui tombe sur le sol et je me propulse à l’eau pour que personne n’aperçoive mon côté pile ou mon côté face bref ma nudité.
Il me rejoint dans l’eau dans laquelle je me suis accroupi pour avoir de l’eau jusqu’au torse.
- « Alors tu es parti à la pêche tu a mis ton appât à l’eau !!! » et éclate de rire.
- « C’est pour mieux appâter un mâle en recherche de plaisir !!! »
- « Ce n’est pas la peine de chercher bien loin, je crois que je vais mordre à l’hameçon !!! »
Et il m’attrape la bite et joue avec elle dans l’eau salée. Ma queue ne se laisse pas faire et elle réagit en se gonflant.
- « Mais c’est qu’elle est méchante la bébête !!! Elle se dresse en bonne anguille !!! »
- « Attention à l’attraper à main nue, tu vas devoir la dompter des deux mains !!! »
Nous repartons dans un fou rire pendant que j’ai glissé ma main dans ton short de bain.
- « Ici il y a de quoi faire une bonne pêche, il y en a une autre que je viens d’attraper !!! »
Je la sors de ton short et nous commençons à nous branler la queue dans la main de l’autre. Heureusement personne près de nous, ce qui nous laisse libre cours à notre dépravation. L’eau n’étant pas très translucide, cela facilite la prise en main. Nos mains s’activent sur nos bites et celles-ci se développent au maximum.
- « Humm, je suis curieux de voir la taille de l’anguille que je tiens !!! » et il plonge la tête sous l’eau et m’attrape le gland avec la bouche. Il tête un peu puis ressurgit à la surface.
- « C’est vraiment une anguille de mer, elle a un goût salé !!! »
Nous convenons de sortir de l’eau, la bite remise dans son short de bain mais elle présente une bosse en forme de chapiteau. Il ramasse ma serviette sur le sable mouillé et me la tend. Je l’enroule autour de mon bassin tout en étant dans l’eau. La serviette se colle à ma peau. Elle laisse entrevoir une érection tangible du côté pile et dessine la raie de mes fesses côté face.
Nous retrouvons nous places sur nos autres serviettes dans les dunes. Le soleil tape encore nous allons sécher rapidement. Le soleil qui frappe nos bas ventres ne laisse pas nos sexes revenir en position normale.
- « Je crois qu’il va falloir regagner le camping-car, le soleil est trop chaud au point de chauffer ma queue !!! » me dit-il.
- « C’est vrai que j’ai la bite en forme de colonne !!! »
Je remets mon bermuda alors que son short de bain est dorénavant sec. Nous rangeons le reste de nos affaires.
Nous prenons la direction du camping-car et remontons côté porte latérale.
A peine entrés dans le véhicule, je lui attrape le short de bain et le fait descendre à hauteur de genoux.
- « Quelle merveille !!! Heureusement que la température n’est pas retombée !!! »
- « Quelle idée d’appeler une queue : de la température !!! » et il me fait glisser le bermuda sur les chevilles.
Nous revoilà donc les culs et les bites à l’air. Nous nous allongeons sur le lit en position 69 en entamons une fellation salée. Nous nous pelotons les fesses.
Soudain je lui dis :
- « Je crois que mon anguille a envie d’être fumée !!! »
Il se retourne et embouche ma bite.
- « Voilà je vais te fumer le cigare !!! Tu vas lâcher une drôle de fumée !!! »
Il s’active sur mon dard, j’ai le gland dur, turgescent et violet. J’ai la veine de ma queue qui ressort bien, gonflée par le sang.
Après une dizaine de minutes
,
- « Je viens !!! Je viens !!! Tiens !!! Prends ça ma petite salope !!! »
- « Vide- toi bien les burnes, je ne veux pas en perdre une goutte !!! »
J’éjacule à nouveau de longs jets bien épais dans sa gorge. Il avale tout.
- « Avec du sirop comme ça, je ne risque pas d’avoir une angine sinon une blanche !!! » et il rit.
Excité par mon éjaculation, il me prend la main et la pose sur son sexe.
- « Oui branle-moi !!! Branle ta petite pute !!! Fais-moi exploser le biberon !!! »
Je commence à taquiner le gland de mon pouce, puis j’enserre dans ma main sa queue devenue un véritable sucre d’orge.
- « Un sucre d’orge ça se suce, ça se lèche !!! » lui dis-je et je le pompe comme il se doit.
- « N’arrête pas je vais bientôt mettre te donner la crème chantilly qui va avec !!! »
Je poursuis ma fellation et la branlette de son dard. Il finit par m’envoyer la sauce dans la bouche et je tends la langue pour choper au vol les dernières giclées moins puissantes.
- « Waouh !!! C’est de la pipe de chef !!! Trop trop bon !!! »
Nous nous embrassons, le goût du sperme a remplacé le goût de l’eau salée.
Nous nous affalons sur les oreillers après ce moment très jouissif. Besoin de souffler (si l’on peut dire, il est vrai que sa bite ressemblait à un bon cierge !!)
Est-ce l’effet du soleil sur nous, nous finissons par tomber dans un léger sommeil. Heureusement le camping-car est sur un emplacement réservé à de tels véhicules.
Après une demi-heure nous sortons de notre léthargie, réveillés par des cris de gamins dehors qui semblent se courir après.
- « Alors ça fait du bien une petite sieste ma chérie !!! »
- « Tout à fait mais ce que je préfère ce sont les siestes crapuleuses, celles oû l’on se fait du bien aussi mais différemment !!! »
- « Tu es insatiable !!! Tu as toujours faim !!! »
- « Bien entendu, du moment qu’il s’agit de sexe et de baise je suis toujours affamé !!! »
Nous repartons dans un fou rire qui laisse présager une bonne suite de la journée.
Nous nous caressons les corps, nous nous embrassons.
- « Mets-toi sur le dos, je vais passer une huile après bronzage sur ta peau !!! »
Je sors le flacon de mon sac et en fait couler sur son dos. Puis je l’étale en massant légèrement ses épaules, son dos, ses reins. Je reverse quelques gouttes dises dans le creux du dos pour disperser l’huile de massage sur ses fesses. J’en remets sur chacune de ses jambes et je fais glisser mes mains des orteils aux aines.
- « Ohhhh j’adore !!! Tu as des mains de fée !!! Je sens mes muscles se détendre !!! »
- « Retourne-toi, mets-toi sur le dos je vais faire la même chose sur le côté pile !!! »
Il accède à ma demande en fermant les yeux pour profiter au maximum de ce bien être.
Je renouvelle donc l’opération sur tes pectoraux, sur ton torse où je m’attarde sur tes tétons. Je les masse, les étire, les titille, les pince. Il gémit et ronronne tel un chat. Je glisse sur tes abdominaux plus fermes que les miens. Je fais couler à nouveau du produit du plaisir sur son bas ventre. Puis je descends sur ses cuisses et ses jambes épilées. Sans poil sur les jambes et le corps il a la peau soyeuse. J’arrive aux pieds que je masse, puis je prends le gros orteil que j’embouche.
- « Ahhhhhh !!! J’aime !!! Tu vas me refaire bander mon cochon !!! »
Je remonte doucement et j’arrive en haut de ses cuisses. Je contourne son sexe et ses boules pour officier sur les muscles jambiers. Puis je prends sa tige ramollie dans la main, la soulève pour passer un doigt enduit près de sa rondelle. Ma main termine en caressant ses boules puis je masse sa bite. Celle-ci se réveille lentement.
- « Quel massage !!! Tu n’as pas oublié une partie de mon corps !!! Comme je suis détendu !!! »
- « Détendu oui mais pas partout !!! Ta pine est loin d’être détendue bien au contraire » et je joue avec celle-ci.
Mes mains bien huilées n’ont pas de mal à coulisser sur son membre, décalottant le gland qui brille. Le précum commence à couler sur ta tige. Je sèche son gland de mes lèvres.
L’heure tourne le clocher de la ville sonne les 20 heures. L’après-midi est passé plus vite même si nous nous sommes beaucoup attardés dans le camping-car, plus que sur la plage.
- « Tu veux que l’on mange une saucisse frites avant de reprendre la route ??? »
- « Je veux bien une portion de frites !! Concernant la saucisse je mangerai la tienne !!! Elle est plus grosse et plus goûteuse !!! »
- « Tu aimes ce qui est bon !!! Cela se voit !!! »
- « Je suis gourmand mais gourmet également !!! Et ta queue est divinement bonne !!! »
Nous nous habillons et nous rendons à la baraque à frites toute proche et revenons avec chacun notre paquet de frites. Nous nous mettons à la table du camping-car et nous dévorons nos frites. Il est vrai que le sexe et la baise donnent faim. Les paquets vides (de frites bien entendu !!), nous nous embrassons encore une fois avant de rejoindre les sièges avant du véhicule pour reprendre la nationale axe retour.
Il démarre le moteur et enclenche la vitesse. Sa main glisse du pommeau de levier de vitesse sur mon genou. Je le regarde et lui souris. Il passe la deuxième puis la troisième et repose sa main sur un peu plus haut que mon genou. Nous voilà donc sur la nationale. Toutes les vitesses ont été passées et nous roulons à vitesse de croisière. Sa main est désormais sur ma cuisse mais pas inactive.
Elle caresse ma peau et s’aventure doucement sous mon bermuda. Je me laisse faire. Lui regarde toujours la route pour ne pas faire de sortie de route. Sa main, quant à elle, est loin de faire une sortie de route. Elle a facilement trouvé le chemin pour atteindre ma bite bien sage. Il la caresse et comme de coutume dès que l’on caresse ma queue celle-ci se tend. Je fais glisser le zip de mon bermuda et l’ouvre entièrement. Autant faciliter la tâche. Comme je n’ai toujours pas remis mon slip de bain il a le loisir de me faire une légère et douce branlette.
Je tends mon bras vers son entrejambe et tire sur son short de bain pour libérer pour le faire descendre un peu. IL soulève légèrement les jambes et voilà que le vêtement de laisse manipuler. Je dégage son dard et le laisse à l’air libre. Je le prends de temps à autre dans la main pour le faire réagir.
Nous roulons plus facilement, la circulation est plus fluide. Nous arrivons à hauteur de l’endroit où nous nous étions arrêtés pour assouvir un besoin naturel.
- « Tu n’as pas envie de soulager ta vessie ? »
- « Ah oui, surtout que l’endroit est bien sympathique !!! »
Il se gare exactement à la même place qu’au trajet aller. Nous descendons du véhicule, toujours les bites en l’air et à l’air. Nous nous remettons au même endroit pour uriner mais de trois quart face pour bien voir les jets d’urine. Nous secouons nos engins pour faire tomber les dernières gouttes et regagnons le camping-car, toujours dans la même tenue. Les bites bien droites.
Nous remontons par la porte latérale et hop nous nous embrassons et reprenons notre jeu de branle. Toujours autant excités, nous libérons des giclées de foutre sur le plancher du camping-car tous les deux en même temps.
- « Avec toi, les bonnes choses n’ont pas de fin !!! »
- « C’est vrai mais je crois que tu apprécies aussi !!! »
Nous repassons devant et il reprend les commandes du véhicule. Nous bites débandent et laissent un léger filet de sperme couler sur son short et sur mon bermuda. Les derniers kilomètres se font dans le calme.
Nous arrivons à ma résidence et j’ouvre le portail automatique pour qu’il puisse entrer avec son véhicule. Nous nous sommes remis en tenue correcte. Je lui propose de venir boire un verre. Il ne refuse pas maintenant qu’il n’y a plus de route à faire.
Nous descendons et entrons dans mon appartement. J’ai repris mon sac à dos et je pose mon sac à terre contre le canapé. Je vais dans la cuisine et reviens avec deux bières et un ouvre bouteilles.
- « Tu veux que je la décapsules !!! »
- « Non ça va aller, mais je ne suis pas contre me faire sauter la capsule !!! » et il se met à rire.
Nous nous désaltérons et les premières canettes de bière sont vite épongées. Je retourne au frigo en reprendre deux. Je reviens et à ma surprise il est la bite au repos mais à l’air.
- « Tu ne veux pas goûter à cette canette-là !!! Je crois qu’elle n’a pas le même goût !!!»
- « Ne t’inquiète pas tu n’es pas encore parti !!! La soirée ne fait que commencer !!! »
J’allume la télé et choisis ma chaîne préférée, celle qui ne diffuse que des films pornos gays.
Le fillm commence et c’est parti pour le visionnage de deux heures de baise, de sexe, deux fellations, d’anulingus et de pénétrations.
Nous tenons notre canette chacun d’une main et de l’autre nous tenons la bite de l’autre. Il repose sa canette et me prend le menton pour me mettre face à lui et me roule une galoche digne de celles du film. Je réponds à son invitation, j’ouvre la bouche et mes lèvres reçoivent les siennes. Nos langues se caressent, se mélangent. C’est de la gamelle bien fougueuse.
Je lui ôte son tee-shirt, il me défait de mon polo. Je lui enlève son short de bain, il me retire mon bermuda. Nous revoilà nus comme Adam et Eve. Je le couche sur le canapé et lui susurre :
- « Ce soir tu es mon Eve, je serai ton Adam !!! Je vais te faire couiner et jouir sans avoir besoin de pomme !!!! »
- « Ohhhh quel programme !!!! Je crois que tu vas me faire bien plaisir !!! »
Je le redresse, je le prend par la main et le guide vers ma chambre. Le film continue à se dérouler et de la chambre on entend les gloussements et les petits cris des minets qui se font enculer dans un gangbang.
Nous basculons sur le lit et nous reprenons notre séance de galoches. Animés par le même désir que les acteurs dans le film.
Je sors un flacon de ma table de chevet. Je mets du produit dans ma main et je prends sa bite de la même main. J’enduis son chibre croyant qu’il s’agit encore d’huile de massage. Mais non, c’est une huile aphrodisiaque qui stimule les endroits où l’on en met. Sa queue et son trou son bien humectés.
Au bout de quelques minutes, il sent la chaleur s’installer en lui. Des bouffées de chaleur intenses.
- « Qu’est-ce que tu as fait, je suis en chaleur, en rut !!!! Regarde à me caresser la bite comment je bande !!! »
- « C’est simplement une huile aphrodisiaque !!! Tu ressens aussitôt l’envie de baiser !!! »
- « Ohhhh je suis chaude comme une garce, j’ai le cul en feu !!! Prends moi maintenant je ne tiens plus !!!! Baise-moi comme une vraie salope !!! »
De le voir dans un tel état, cela m’a rendu le glaive bien dur et bien droite, je vais me planter dans son cul.
Je présente ma bite à son trou, il écarte lui-même ses fesses. Il est tellement en chaleur qu’il se fait prendre sans aucune douleur. Au contraire, il fait tout son possible pour que je rentre complètement en lui et le plus vite possible. Si je pouvais entrer mes couilles, il les accepterait volontiers.
- « Viens et prends-moi !!! Je suis une bonne chienne, ta salope, ta petite pute !!! Enfile-moi à fond et ramone-moi le cul !!! Défonce- moi !!! Lime-moi comme il faut !!! Je veux jouir du cul !!! »
Je m’exécute, je lui fourre le boyau et lui laboure les fesses. Il couine comme une truie, il pousse des petits cris, il gigote de tout son corps comme pris de convulsions. Le produit agit bien sur sa personne. Je lui propose du poppers mais il n’en veut pas.
- « Je ne veux pas de poppers !!! Je veux te sentir en moi !!! Vivre de ta bite !!! »
Il a la bouche grande ouverte, il a du mal à reprendre sa respiration, il hoquette de plaisir.
Je sens que mon conduit séminal va bientôt exploser tant il me donne du plaisir par ses cris et ses mouvements.
- « Je vais jouir !!! Je sens la sève arriver !!! Je vais me déverser en toi !!! »
- « Oui ne te retire pas !!! Remplis-moi le cul !!! Je veux tout ton jus !!! »
Il serre les fesses pour me comprimer le sexe, ce qui a pour effet de me faire éjaculer illico.
Je déverse en lui des flots de sperme bien chauds et bien épais.
Je tiens sa bite en main et sans avoir le temps de le branler, il jouit sur lui-même.
Je le laisse se calmer. Il est épuisé, il a donné toutes ses forces dans notre ébat sexuel.
- « Ben mon salaud, tu m’as bien pris !!! Je n’ai plus de forces !!! Ton produit est excellent, je n’ai jamais pris un pied pareil !!! J’ai déjà bien joui certaines fois mais là tu m’as détruit le cul !!! »
Je l’embrasse tendrement et il s’endort presque aussitôt. De son cul s’écoule mon foutre. Les draps seront bons à changer. Je vais éteindre la télé et me couche. Je m’endors aussi vite que lui.
Le lendemain, nous nous réveillons tardivement. Nous sommes exténués, les yeux remplis d’étoiles mais surtout terriblement cernés. Nous prenons un café bien serré pour faire surface. Puis nous allons dans la salle de bains pour prendre une bonne douche. L’eau coule à flots sur nos corps, nous nous lavons mutuellement. Je passe ma main sur ta queue, la décalotte pour enlever toute trace de jouissance. Je passe ensuite sur son trou, des traces blanchâtres ont séché à la sortie. Je le nettoie méticuleusement. Il me nettoie la bite, quelques filets blancs sur ma hampe.
Nous sommes sages mais nos sexes pas. Ils se dressent fièrement comme si rien ne s’était passé. Il nous est impossible de rester passifs à ces érections. Nous commençons une branle pendant que nous embrassons sous la pluie du pommeau de douche. Au bout d’une bonne dizaine de minutes, nous éclatons et le sol se tâche de blanc. L’eau qui coule nettoie le carrelage de la douche italienne. Les draps iront dans le lave-linge.
Nous nous séchons, allons boire un nouveau café serré et nous habillons.
- « Le week-end prochain tu fais quoi ? »
- « Rien de spécial prévu pour l’instant !! »
- « Eh bien maintenant si !! Le week-end prochain je pense aller visiter la Normandie et rien n’est plus agréable qu’une compagnie !!! Nous partirons le vendredi en fin d’après-midi et rentrerons le lundi dans la journée !!! »
- « Ok, ça me convient !!! je crois que je vais prendre goût à ton camping-car mais pas que …. »
Nous nous embrassons et je lui ouvre le portail automatique.
Le camping-car s’éloigne. Un quart d’heure se passe et je reçois un message de lui car nous nous sommes échangés nos numéros de téléphone :
- « Bébé, ne cherche pas, ton slip de bain est resté dans le camping-car !!! De toute façon il ne te semble pas fortement utile !!! »
A son message il joint des smileys et des cœurs.
Je lui réponds à son message :
-« Tu peux mettre mon slip de bain de côté, ne le lave pas !!! Tu pourras kiffer l’odeur de ma bite et de mon urine !!! »
Un second message apparait :
- « Je l’ai déjà sniffé, il porte ton odeur de mâle !! Je l’ai rangé sous mon oreiller !!! Bonne journée à toi, je vais le sniffer encore ce soir et me branler avec …. Humm !!! »
Un surprenant fantasme !!!
Bouleetbite
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