Mon Cantal doux

Comme je l’ai déjà dit sur mes précédentes histoires, tout est vrai ! J’ai la cinquantaine, j’habite Rouen, je voyage avec mon travail un peu partout en France, je suis passif depuis un face à face avec un arbre en dévalant en VTT le Ventoux alors que d’autres essayent de le grimper, je rencontre des garçons extraordinaires, parfois je tombe limite amoureux, des fois ils sont devenus des amis.

Là cette fois, je devais enchainer une série de rendez-vous sur Cahors, Aurillac… et je me demandais bien où le soir je pourrais poser mon sac à dos et trouver un compagnon pour un soir. Quelques jours auparavant, je me localise sur mon appli dans les villes concernées et regardent qui y habitent avant de chercher mon hôtel. Bon parfois, il m’arrive des trucs drôles où le mec que je rencontre la veille au soir dans mon lit se retrouve avec moi au rendez-vous de travail le lendemain… et pique un rouge en me voyant arriver.

Là cette fois, mon attention est attirée par un profil atypique, un peu hors de ma route, mais après tout, pourquoi pas faire un détour, acheter au passage du cantal et du saint nectaire (oui je suis aussi de ma gueule).

On discute, on échange nos envies, nos valeurs : il est actif, câlin, bosseur, 37 ans.

Rendez-vous pris, je réserve mon hôtel et je découvrirais ce beau gosse dans 3 jours ! Arrive le jour J, on se donne rendez-vous à son travail, à la fermeture de sa boutique. Je passe bien entendu avant à mon hôtel, me prend une douche, me parfume… enfin me prépare.

J’arrive quelques minutes avant la fermeture de sa boutique, un dernier client part. Il est seul. Ses salariés sont partis. Je lui fait la bise et découvre sa voix, car sur le site ou WhatsApp, nous étions restés sans voix. Un petit accent chantant… mais il parle, il parle, il parle… vivement que je l’embrasse à pleine bouche pour ne plus l’entendre… Non je déconne. Il est charmant. Je lui propose de l’aider à ranger son magasin afin qu’il puisse le fermer. On s’exécute, et une fois la porte fermée, la lumière éteinte, dans la réserve, je le prends dans mes bras et nous nous roulons une pelle de première.

On décide de rentrer à son domicile. Il prend sa voiture, je le suis avec la mienne. On rentre dans sa maison, on s’embrasse, me propose un verre et me dit qu’il file prendre une douche. Il revient en peignoir, les cheveux encore mouillés. Je le prends à nouveau dans mes bras et l’embrasse. Son peignoir s’entrouvre. Il est doux ce mec, il sent bon, j’ai qu’une envie, de lui sauter dessus.

Moi j’avais retiré mon pull, mes chaussures, mais j’étais encore trop habillé. Il a compris mon envie de lui. Il m’a pris la main et m’a fait remonter à l’étage dans sa chambre. Je me suis déshabillé, je lui ai enlevé son peignoir et face à face, je l’ai embrassé, mais sans plus attendre, j’ai quitté sa bouche, embrassé son cou, ses oreilles, ses épaules, son torse… je sentais son sexe se durcir contre ma cuisse. Je me suis assis sur le lit et l’ai pris en bouche. Je l’ai tété dans un premier temps, puis sucé comme une friandise. Puis je l’ai fait basculé sur le lit, lui ai enlevé ses lunettes… il en avait plus besoin. Nous nous sommes allongés et avons pivoté, lui prenant mon sexe dans sa bouche, mes boules, mon petit trou avec sa langue. Moi tel un miroir, tout ce qu’il me faisait, je lui faisais… C’était bon, c’était chaud, c’était doux.

L’excitation montant de plus en plus de mon côté, je ne souhaitais pas jouir tout de suite, alors je l’ai légèrement repoussé. Je suis capable de jouir rien qu’en suçant un mec et en plus s’il me le fait, je suis capable d’exploser.

Il s’est mis à genoux et m’a donné son sexe dans la bouche, m’imposant quelques gorges profondes, mais sans forcer. Il m’a mis ensuite sur le dos, m’a écarté les jambes et les a montées sur ses épaules.

J’étais tellement excité, écarté, mouillé que j’étais prêt à l’accueillir. Il n’a pas hésité et en un seul coup de rein, je sentais ses boules sur les fesses. 18 cm le garçon… c’était bon.

Et là, il a commencé des allers retours bien profonds, essayant de pousser toujours plus loin. J’avais chaud, j’avais envie qu’il me défonce et de l’embrasser à pleine langue. Ce que nous avons fait en faisant quelques petites pauses.

Puis il s’est arrêté, mis sur le dos et m’a dit. A toi ! Sans hésiter, je me suis empalé sur sa bite dressée, et j’ai joué de mon bassin, de haut en bas, légèrement en ondulant. Il fermait les yeux et se mordait les lèvres pour tenir.

Il était trop beau ce garçon. Alors je me suis penché sur lui et l’ai à nouveau embrassé. Il en a profité pour me remettre sur le dos… et là, le gaillard s’est déchainé.

Il a enchainé les coups forts et profonds et tout doux juste à l’entrée. Il a trouvé rapidement mon point sensible et m’a bien aiguisé. Je ne savais plus si je devais lui dire d’arrêter ou d’accélérer. C’était fort et mon corps était devenu incontrôlable.

Lui aussi, il a encore accéléré, trouvant des angles impossibles, sur le côté, sur le devant. J’étais totalement ouvert ( ou offert) à lui. A un moment, il m’a fixé droit dans les yeux et a gémis fortement larguant ses flots dans mon corps et s’est affalé sur moi. Je l’ai pris dans mes bras et l’ai embrassé sur le front. Il était en sueur mon Loulou.

On a repris nos esprits, nous sommes rhabillés et sommes descendus finir notre verre. On a discuté et je suis reparti à mon hôtel.

On a continué à échanger sur WhatsApp longtemps dans la nuit. On aurait dû dormir ensemble. Mais on, il y a trois heures, on ne se connaissait pas.

On s’est revu une nouvelle fois où je l’avais invité dans un bon restau de sa ville avant de retourner chez lui pour faire l’amour. Oui car nous on ne baise pas, on fait l’amour. Malheureusement, il habite loin de moi.

On s’est revu il y a trois mois, et là pour passer plus de temps ensemble, je les retrouver à sa boutique, nous sommes rentrés chez lui. Petit repas à la maison, nuit d’amour et dodo ensemble.

Il y a qu’un truc qu’il a refusé. Je voulais le réveiller avec des petits bisous un peu partout, voir jouer avec son sexe dans ma bouche pour le sortir de ses rêves. Cela il me l’a interdit juste avant de s’endormir… Mais bon ce n’est que partie remise.