Chapitre-1 | Découverte dans le noir
Me voilà arrivé dans une nouvelle ville, Reims… quelques jours auparavant, comme à mon habitude, je me connecte sur mon site favori, me localise, histoire de regarder quels sont les beaux gosses qui y sévissent. J’ai un peu plus de 50 ans, totalement passif depuis une mauvaise chute en vélo, mais loin d’être inactif au lit. Tout est vrai, inutile d’inventer, la vue est belle !
Quelques touches intéressantes, qui me feront mes premiers plans dans cette ville, par forcément tous d’un niveau sensationnel et exceptionnel, l’avantage de venir souvent pour mon boulot est de pouvoir créer mon réseau de mecs bien chauds et de passer des soirées et des nuits torrides.
Et là, je décroche un rendez-vous chez un garçon pas trop loin de mon hôtel à plus de 22h00. De mémoire, ce jour là j’avais déjà eu un premier plan à mon hôtel vers 18h00, mais j’avais encore faim de sexe. Je me prépare, douche, j’enfile un jock, un tee-shirt, un survêtement et un sweat et je pars chez ce mec.
A première vue, ce gaillard est un pur actif, une carrure d’un pilier de rugby et des commentaires sur son profil très éloquents « endurant... On ne manque pas de s’en prendre... ». Je vais bien déguster et arriver à combler ma faim ! J’arrive devant chez lui, il me propose de rentrer par le portail ouvert, son jardin et de rentrer dans sa maison qui sera dans le noir total… mi excité et mi apeuré, je suis ses consignes et après avoir refermer les portes, je distingue une masse allongée sur un canapé. Je commence à me déshabiller gardant que mon jock et je m’avance vers lui. Pas de bisou, pas de parole, il dirige mon visage en me prenant par le cou directement vers sa bite bien tendue…
Il a de la force le bougre… je ne résiste pas et commence à gober sa teub, la lécher, jouer avec son gland et la prendre en fond de gorge le nez placé dans sa toison laissant évaporer une odeur de musc. Il a l’air d’apprécier le bougre ! Je n’arrive pas trop à distinguer son visage, une barbe très certainement. Mes mains tentent de parcourir son corps. Il est costaud, beaucoup plus que mes standards habituels. Devenant un peu trop curieux, il me pivote et je me retrouve le cul en l’air, le nez dans les coussins. Je sens un peu de gel appliqué sur ma rondelle, il introduit brièvement un doigt, puis deux et je sens rapidement son gland buter… pas trop longtemps, puisqu’en un seul coup de rein, il m’enfile jusqu’à la garde m’arrachant un gémissement de satisfaction. Dans les secondes et longues minutes qui suivront, ce sera un pilonnage en règle, alternant les coups bien au fond, les j’hésite à rentrer… et j’en reprends un sérieux coup, avec ses boules qui claquent sur mon cul. Il prend un peu de poppers, m’en propose… j’en aspire un peu, mais je ne pense pas que je ne puisse plus m’ouvrir à lui… J’ai chaud, très chaud, alors que jusqu’alors, on n’avait rien dit, je lui cris « baise moi ». A partir de ce moment, le guerrier se déchaine, me pilonne en règle... j’ai toujours le nez coincé dans les coussins du canapé, à la limite de l’asphyxie, mais pour rien au monde j’arrêterai ces coups de boutoirs qui me défoncent littéralement le cul. Mais comme toute bonne chose a une fin, l’ultime charge est assénée, le guerrier grogne et tremble et lâche sa semence au plus profond de mes entrailles et s’écroule sur mon dos... un rugbyman, enfin au moins la carrure. Charles (un pseudo pour ici) était sous prep, sinon je ne me serais pas offert ainsi.
Il se relève, je reprends mes esprits, me relève à mon tour, récupère mes habits, lui aussi se rhabille dans un coin de la pièce. Il allume (enfin !) un peu de lumière et je découvre ce gaillard. Un visage adorable, une barbe bien taillée, des cheveux hyper courts masquant un début de calvitie… 35/37 ans environ… un beau bébé d’1.85 arborant ses plus de 100 kg… et c’est très certainement pour cela qu’il préférait officier dans le noir. Je lui ai dit qu’il me plaisait et que même si cela avait été très bon, j’aurai aimé baiser avec lui dans la lumière. Après avoir discuté quelques minutes ensemble, j’au réussi à lui arracher quelques brefs bisous avant de repartir à mon hôtel.
Les jours suivants et semaines suivantes, nous avons poursuivi sur ce réseau, nos discussions, notre découverte. Je lui confiais que je n’avais jamais mis les pieds dans un sauna gay… il m’a proposé de m’accompagner la prochaine fois que je viendrais… Il m’a aussi conseillé de passer sous prep, chose que j’ai faite rapidement, même si cela ne contrôle pas tout. Le courant passait bien entre nous, trop bien pour moi…
Chapitre-2 | Premier sauna
Cela faisait plusieurs semaines que nous échangions sur WhatsApp avec Charles, premier plan auquel je confiais mon 06… mais bon, je lui avais confié déjà beaucoup de chose de moi.
On se retrouve ce jour-là devant le sauna de Reims, échange de bisous et nous rentrons. J’étais très intimidé, bon cela ne durera pas trop longtemps. J’avais au préalable à mon hôtel pris ma douche intime, car je ne savais pas trop où j’allais mettre les pieds… enfin surtout mon cul.
On se déshabille, enfile notre serviette, passons sous les douches et faisons le tour du propriétaire. Peu de temps après, il m’entraine avec lui au fond du hammam, me fait comprendre que je dois le sucer, et je me retrouve à genou en quelques minutes avec 4 bites bien tendues face à moi. Quel régal, je commence à les sucer toutes, passant d’une à l’autre, alternant les fonds de gorge… Cela démarrait sur les chapeaux de roue. Au bout d’une bonne dizaine de minutes, un des quatre mecs, un rebeu d’une vingtaine d’années que j’avais bien sucé… je kiffe les teubs circoncises, me glisse un doigt, puis deux dans le cul après avoir pris soin d’y mettre du gel, je distingue qu’il enfile une capote, me retourne et m’enfile jusqu’à la garde. Charles avait disparu. Je me retrouve livré à moi-même, me faisant littéralement défoncé par cette jeune pousse. En quelques minutes, il cracha sa semence au fond de la capote et me libéra… Je reprenais mes esprits et partais à la recherche de Charles dans le sauna.
J’arrivais dans une salle, un mec allongé sur un matelas se branlait. Je m’approchais de lui et prenais le relai avec ma main et rapidement avec ma bouche. Le mec avait une superbe teub mais était passif. Tout en le suçant, j’apercevais Charles à la porte de cette salle, je lui ai fait signe de venir et je lui ai laissé ma place pour qu’il s’occupe de son cul. Je sentais un petit gène dans son regard que je le matte entrain de démonter ce mec. Je les laisserai tous les deux et repartais en « balade ». Je retournais sucer quelques teubs dans le hammam. Je retrouvais mon jeune rebeu qui bandait à nouveau bien dur. Je lui ai proposé de faire un plan à trois avec lui et Charles dans une cabine. Il a aussitôt dit oui. On ressortit du hammam à la recherche de Charles que l’on retrouva rapidement, car le candidat que je lui avais proposé n’étais pas endurant ! Nous nous sommes isolés tous les trois dans une cabine avec un grand matelas et des miroirs sur les murs et au plafond (dans mon souvenir, après je sais plus trop pour le plafond). L’exercice était simple, deux mâles face à moi, deux que je suçais en alternance, un le jeune rebeu me prenait avec capote, et « mon mec », Charles, lui s’était sans. Une teub dans le cul, l’autre dans la gorge, j’étais fou... Ils alternaient les positions, aucun des deux à suggérer une double… j’étais tellement chaud et ouvert que je pense que j’aurai accepté.
Au bout d’une bonne vingtaine de minutes facile, le jeune rebeu était ressorti de mon cul, à Charles de prendre le relai et de me faire gémir. J’enlevais la capote du jeune et lui proposais de me baiser la bouche… Il ne s’est pas fait prier. J’étais pris d’assaut par tous les trous. Charles endurant me démontait littéralement et retenait sa jouissance, lui le gamin aura moins résisté… Il sort sa teub de ma gorge et m’inonde royalement le torse… Fin des hostilités. Charles se retire sans jouir et nous sortons tous les trois direction les douches. Je raccompagnerais le jeune rebeu dans le vestiaire pour échanger nos 06. Inutile, on aura échangé quelques messages les jours suivants, mais nous ne nous sommes jamais revus. J’ai eu l’impression de ressentir de la part de Charles, une petite jalousie de cet échange. L’heure passant, je retrouvais Charles dans un coin du sauna, seul. Je m’assis à côté de lui, nous échangeons quelques bisous et rapidement, il me fit comprendre qu’il en voulait plus. Je me dis aussitôt à ses genoux. Nous étions dans la partie éclairée du sauna. Des mecs se branlaient en nous regardant. Je décidais de me consacrer qu’à lui. Au bout de quelques minutes il me releva, me positionna les mains sur le mur la croupe offerte, se plaça derrière moi et me défonça littéralement encouragé par les mecs présents. Au bout d’une dizaine de minutes d’un pilonnage en règle, il me cracha sa semence dans mes entrailles. Les autres jutaient autour de nous entre leurs doigts. Après avoir repris notre souffle et notre douche, on retourna aux vestiaires, lui vidé, moi le cul défoncé.
Une fois à l’extérieur, on s’est fait la bise et chacun est réparti dans sa voiture. On s’est revu côte à côte au feu, moins tournant à gauche, lui à droite… Mais putain que j’étais con et mal élevé ce soir-là. J’aurai du au minimum offrir un verre à mon guide et mon protecteur d’un soir, car il aura éloigné quelques prédateurs… Mais bon, notre aventure n’est pas finie.
Chapitre-3 | La vie continue
Si la prochaine partie de notre vie fut agréable dès le moment où je revenais sur Reims, petit restau, nuit ensemble dans mon hôtel où je ne manquais de m’en prendre toute la nuit. J’étais aussi partisan de mon petit Yop le matin en le sortant de son sommeil. Je pensais H24 à lui, quand je n’étais pas sur Reims, nous échangions sur WhatsApp. Je passais à une autre étape, triste quand je le quittais, heureux quand je le voyais. J’étais très certainement un des premiers à l’embrasser sur la bouche en plein centre-ville. J’étais heureux… amoureux peut être... Nous nous revoyons régulièrement. Un jour nous avions décidé de nous retrouver sur Paris, passer la soirée et la nuit ensemble. Ce fut ma soirée de punition ! Lui son téléphone n’arrêtait pas de vibrer avec des contacts pour des plans… moi je n’avais que des yeux que pour lui. Nos dernières nuits étaient beaucoup moins chaudes qu’avant. Il est vrai que nos discussions et contact devenaient plus transparentes. On parlait de la vie quotidienne, d’investissement immobilier, de travail. Notre relation devenait très différente.
Après avoir diner et pris un cocktail en terrasse devant l’opéra, lui a souhaité répondre à ses sollicitations sexuelles ! moi je suis reparti à pied, en pleurs, errant dans les rues de Paris jusqu’à notre hôtel. Je me suis couché, obligé de l’attendre, c’est moi qui avais la clé… Un mélange de tristesse, de dégoût… j’étais anéanti…
Aujourd’hui, je continue à revoir régulièrement ce beau gaillard qui a décidé aussi de reprendre en mains son physique, s’inscrivant en salle de sport… Ce beau gosse est fragile, et j’aimerais pouvoir le soutenir. Aujourd’hui, c’est un ami. J’avais pourtant fait des rêves où je me retrouvais à la mairie où l’on se mariait. Mais c’était un rêve.
Quand je retourne sur Reims on partage un repas, la nuit, mais sans sexe, comme déjà un vieux couple…On s’embrasse sur la bouche et on se souhaite bonne nuit.
Charles est aujourd’hui le garçon qui compte le plus pour moi. Il a vite compris que ma vie d’hétéro, père de famille avait été choisie par défaut, par manque de courage à une certaine époque, même si je voulais aussi avoir des enfants... et aujourd’hui, je ne le regrette pas… mais je préfèrerais me réfugier dans les bras de cet homme quand j’en ai besoin. Ce dernier chapitre aura été moins chaud que les autres, et vous aura peut-être moins plu… mais c’est cela aussi la vie parfois.
Coolsexe
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