Ta timidité est désormais au placard

A la fin de notre première rencontre, histoire « timide puis redoutable » nous avions convenu de nous revoir. Au bout de quelques jours, je lui ai proposé de revenir dans sa ville, Troyes le 21 août dernier, même hôtel, même heure.
Je lui ai demandé s’il avait des envies particulières, il m’a répondu que non.
On s’est donc retrouvé dans l’hôtel comme prévu. Cette fois, il est rentré plus franchement dans la chambre, me serrant la main vite fait. Il a vu que j’avais préparé une chaise devant la salle de bain. En moins de trois minutes, il était déjà sans vêtement. Je retrouvais ce corps svelte, bronzé… Son sexe pendait au repos, mais on devinait déjà le début d’une légère tension.
Il me décocha un sourire ravageur et fila dans la salle de bain prendre sa douche. Cette fois, j’avais décidé de rester à poils, les fesses à l’air, ayant pris ma douche comme il faut avant qu’il arrive. J’avais préparé sur la table de nuit des capotes, du gel et du poppers neuf. La première fois, je n’avais rien pris, mais je me disais qu’avec je pourrais peut-être plus facilement lui permettre de m’embrocher totalement sans aucune douleur.
Car le jeune homme, en pleine érection développe je pense un bon 21/22 cm.
Je l’ai laissé se savonner tranquillement sous la douche, mais ne tenant plus, je l’ai rejoint. Nouveau sourire enjôleur. Mais quel beau gosse. Il est bien plus grand que moi, mais me tend ses lèvres dès que je le rejoins. Nous échangeons quelques baisers, sa langue s’enroulant rapidement autour de la mienne. Je prenais du gel douche et lui savonnais ses fesses, glissant rapidement mes mains et mes doigts le long de son ^petit sillon avec lequel j’avais bien envie de déguster comme la dernière fois.
Monsieur l’actif avait découvert cela la dernière fois et il avait littéralement fondu sous mes coups de langue.
Je le savonne bien, on se rince et on sort rapidement de la douche pour se sécher et se retrouver côté chambre. J’étais assis sur le matelas, lui face à moi. Son sexe commençait à prendre de plus en plus de volume. Je le saisis par ses fesses et l’approchais de moi. Je léchais son sexe avec appétit. Je sentais aussitôt sa respiration s’accélérer. Je commençais à le prendre en bouche totalement, son gland commençait à taper au fond de mon palais.
Je l’attirais sur le matelas à côté de moi, je le chevauchais et aussitôt mes lèvres se sont posées sur les siennes. Roulage de pelles bien gourmandes, ce mec embrasse super bien. Je sentais entre mes fesses son pieu durcir de plus en plus. Il commençait à onduler doucement du bassin. Trop tôt mon Loulou pour la sodo, je dois encore te déguster.
J’attrapais le poppers et commençais à en prendre plusieurs fois. Je dirigeais ma bouche vers son sexe hyper tendu et je commençais à le sucer et le prendre en fond de gorge. La température de la pièce augmentait de plus en plus. J’avais chaud, très chaud. Son gland arrivait à glisser dans ma gorge. Il soufflait lui aussi de son côté, mettant sa main sur ma tête pour accompagner le mouvement. Mais en douceur. Cet athlète est un ange. Je ressortais sa teub de ma gorge et décidais à lui lécher les boules et ma langue glissa rapidement sur sa rondelle. Je la lapais avec délice. J’étais au-dessus de lui. C’était bon, trop bon. Soudain je sentis entre mes fesses son souffle chaud, une langue timide, car la dernière fois, il m’avait dit ne l’avoir jamais fait. Et tout doucement, petits coups de langue après petits coups de langue, lui aussi a pris possession de mon petit œillet. Je me détendais totalement. Nos petits jeux de langue ont continué encore quelques minutes.
Je revenais sur son sexe pour le reprendre en bouche et vérifier sa tension, lui continuant à me détendre avec sa langue. Je me relevais et repris du poppers. Lui attrapait la première capote de l’après-midi, car il y en a eu trois, l’enfilait, me positionnait sur le bord du lit, croupe offerte.
Je sentais son gland à l’orée de mon cul . Petit coup de bassin, et son gland est rentré. Et là comme la dernière fois, il fait de petits vas et viens. Rentre à chaque fois un peu plus. J’avais chaud. Je sentais cette puissance rentrer en moi de plus en plus profond et soudain ses boules taper mes fesses. Il était entré tout entier. Nous sommes partis pour cette première séance de sodo bien menée. J’haletais, je soufflais. Mais putain que c’était bon !
J’étais en nage. Première pose. Il se retirait, enlevait sa capote. Nous prenions chacun un verre d’eau et j’en profitais pour me passer le drap de bain sur le corps.
Le beau gosse s’est allongé sur le lit. Je me suis rapproché de lui. Quelques bisous et je me suis mis à genoux sur le matelas en lui demandant qu’il fasse de même, lui regardant la tête de lui. Il me regarde d’un air intrigué. Je lui ai dit « laisse toi faire ».
C’était maintenant à lui me m’offrir sa croupe. T’inquiète mec, je suis passif, mais je vais te faire découvrir quelque chose. Je me suis positionné derrière lui, une main sur chacune de ses fesses et j’ai plongé en apnée langue tendue sur son œillet.
Je lui ai léché, aspiré, bouffé son petit trou. Il soufflait comme un fou, haletait. Je me régalais. Chaque coup de langue lui arrachait un gémissement. Il était excité comme un fou. D’une main, j’attrapais son pieu pour entretenir sa tension.
Là c’est lui qui avait chaud. Ce petit manège dura de longues minutes. Son goût musqué m’excitait de plus en plus. Je continuais à le branler de la main droite, me doigtant de la main gauche. Du grand délire…
Ayant besoin de souffler un peu, je m’arrêtais de lui bouffer son petit cul. Il se remettait sur le dos, me tendait le poppers, enfilait la deuxième capote de l’après-midi et m’invitait à le chevaucher, ce que je faisais en sniffant un peu.
Je m’empalais sans problème sur son pieu. Et là encore à moi de donner le rythme. Je faisais des mouvements de bassin en ondulant puis je décidais de me relever, mes genoux repliés attrapant chacune de ses épaules me permettant ainsi de donner du rythme à cette pénétration. Putain que c’était bon. Je sentais les gouttes de sueur couler dans mon dos. Sportif c’était. Je ne sais pas quelle température il faisait dans la pièce, mais nos corps glissaient l’un sur l’autre.
Ce petit manège durait encore une bonne dizaine de minutes. Puis je me mettais sur le côté et lui venait derrière fois et me pénétrait sans problème. Petite séance encore bien menée… Et pause !
Verre d’eau, capote à la poubelle et on décide de reprendre notre souffle. Quelques bisous échangés, quelques mains baladeuses, moi sur son pieu, lui entre mes fesses.
Il me demande si je veux une dernière petite séance. Je lui ai dit ok mais que je souhaitais goûter son jus. Il me sourit, remit une troisième capote… car j’avoue avoir eu envie de se prendre cette dernière barebak… Mais il est raisonnable le jeune homme.
Il enfile la capote, me positionne sur le bord du lit, croupe offerte, lui les deux pieds sur le sol et nous repartons pour une dernière séance de pilonnage. J’étais totalement ouvert, offert à lui. Il tapait bien au fond, ses 21/22 cm ne me donnaient que du plaisir.
La pression montait de plus en plus. Il se retirait, enlevait la capote et je me retrouvais allongé sur le lit. Et comme Monsieur adore, on refaisait un final très proche de la première fois. Il m’offrait une nouvelle fois son petit cul à lécher, lui me chevauchant. Pendant ce bouffage de cul, chacun prenait en main sa bite et se branlait. Je fus le premier à jouir sur mon ventre. Quand il m’entendit haleter et gémir, il a redoublé de vitesse avec son poignet et quelques secondes après il m’a dit « je viens ».
Il se relevait légèrement. J’avais son gland face à mon visage, à quelques centimètres de ma bouche et là ce fut un véritable feu d’artifice. J’en avais dans la bouche, sur les lèvres, sur le front, dans les cheveux, sur le torse mélangé au mien… J’avalais ce que j’avais pu choper… et on s’écroulait en nage tous les deux sur le lit.
Bon après, on n’a pas trainé. Il devait repartir. J’ai juste eu le temps de lui dire que j’avais écrit sur Cyrillo notre première rencontre (et maintenant la seconde). Je lui donnais sur notre conversation Gaymec le lien. Il a juste eu le temps de me dire « Ah oui, c’est cool ».
On a prévu de se revoir en septembre…