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Premier épisode | Épisode précedent

Journal d’un Cul jouissif

Note de l'auteur

Tout d'abord, merci pour vos messages suite à la lecture du chapitre 23. Constater que mes récits vous plaisent et vous font de l'effet me motive à continuer à me remémorer avec vous encore plus de souvenirs sur mon cul.

Dans ce chapitre, je vais vous raconter une folle aventure à laquelle j'ai, progressivement, repenser quand il m'est arrivé, l'année dernière, ce que je vous est décrit à la fin du chapitre 14.

Pour ceux qui ne l'auraient pas encore lu, je vais brièvement vous en partager les grandes lignes.

L'année dernière, donc, alors que j'allais au sport, un mec m'a arrêté en pleine rue. Il s'agissait d'un ancien plan que j'avais reçu chez moi, plus de quinze ans auparavant, pour me défoncer le cul. Malgré les années passées, il m'avait reconnu et avait émis l'envie de renouveler l'expérience. Étant en couple depuis, j'ai pris peur malgré mon envie maladive de me faire enfin baiser le cul et j'ai fui sans même lui demander son numéro, au cas où. Aujourd'hui encore, je m'en mords les doigts.

Maintenant, ce résumé fait, je vais tenter de développer ce qui va suivre afin de vous aider au mieux à visualiser ce qui j'ai vécu, bien que cela ait été bref.

Bonne lecture.

24 | Sodo imprévue et rapide sur un parking

J'avais entre 24 et 25 ans. Ce jour-là, j'avais eu beaucoup de mal à me réveiller pour aller au travail.

Ce n'était pas étonnant car j'avais passé une grande partie de la nuit à tchater en espérant me trouver un bon actif pour me casser le cul.

Malheureusement, je n'avais trouvé aucun mec disponible ou prêt à se déplacer en pleine nuit. Sur les coups de 3 heures du matin, je m'étais résigné à aller me coucher sans avoir pu nourrir mon cul qui criait famine.

Je me suis naturellement réveillé avec une légère impression de marcher au radar sans compter que la frustration avec laquelle je m'étais couché, m'avait suivi toute la matinée au travail.

L'heure du midi approchait et j'ai contacté par SMS mon pote DJ pour l'inviter à me rejoindre chez moi pour, non pas manger une morceau, mais me défoncer le cul sous poppers. Souvenez-vous, à l'époque, je vivais non loin de mon travail et rentrais tous les midis chez moi. Peu avant midi, il m'a répondu qu'il ne pouvait pas car il n'était pas sur Lille. Un déplacement professionnel si je me souviens bien. C'était bien ma veine.

Dépité, je me suis préparé à quitter le travail pour aller déjeuner en aspirant la fin de journée dans l'espoir de pouvoir enfin m'en prendre plein le cul. J'étais tout de même affamé depuis la veille au soir.

En sortant de mon entreprise, j'ai décidé d'aller au restaurant qui se trouvait deux rues plus loin. Je n'avais pas envie de rentrer chez moi avec ce besoin envahissant de me faire sauter en sachant pertinemment que je n'avais pas le temps de chercher un mec pour m'aider à calmer cette obsession. En même pas 20 minutes, j'avais terminé mon repas.

Je suis donc retourné au bureau plus tôt afin d'avancer sur mon travail quand, à mi-chemin, je croise un mec d'une quarantaine d'années, style BCBG, plutôt grand et mince, qui me semblait vaguement familier. Il m'a souri.

"Eh... Salut. Je suis content de tomber sur toi. Tu rentres chez toi là ?" M'a-t-il dit comme si nous nous connaissions très bien.

"Euh... Pas encore, je retourne travailler, là. Et toi ?" Ai-je répondu quelque peu gêné de ne pas tout à fait me rappeler de lui. Faut avouer qu'avec mon travail, je suis amené à fréquenter énormément de personnes. Et qu'avec mes envies de me faire sauter à longueur de journée, aussi.

"Ah, ah, ah ! T'es trop mignon. Tu me remets pas. Pas vrai ?" A-t-il réagi face à ma réaction.

"Sincèrement, je suis désolé. Je sais que nous nous sommes déjà vus, mais je ne serai pas dire dans quel circonstance. Tu peux me rafraîchir la mémoire ?" Lui ai-je demandé en espérant ne pas le vexer.

"Avec plaisir. T'inquiète pas, je ne vais pas t'en tenir rigueur. Faut dire que vu les circonstances de notre rencontre, je comprends que tu aies du mal à te souvenir de mon visage. En fait, je suis venu chez toi il y a quelques semaines pour te bouffer le cul et te défoncer. Alors, c'est surtout ton cul qui m'a rencontré." M'a-t-il dit en se penchant vers mon oreille.

"Ah mais ouais. Désolé. Quand je suis dans mon trip, il n'y en a que pour mon cul." Lui ai-je avoué tout aussi discrètement.

"Ça, je le sais que trop bien pour l'avoir goûter. Et c'est quand tu veux pour recommencer." M'a-t-il dit en humectant ses lèvres avec la langue.

"Ok. Maintenant ?" Ai-je répondu sans même réfléchir. Voyant là, l'opportunité de me faire enfin défoncer le cul.

"Je n'ai pas trop le temps, je n'ai qu'un gros quart d'heure, grand max'. Peut-être ce soir si ça te va ?." M'a-t-il proposé en s'approchant un peu plus près de moi.

"Écoute. Depuis hier soir, j'ai le cul en feu. Faut que je me fasse baiser, là, tout de suite. Obligé, je dois m'en prendre une." Ai-je exigé la voix tremblante d'excitation.

"Ça ! Ça a le mérite d'être clair. J'adore ce genre de petit caprice. J'en bande rien que d'y songer. Tu connais un coin tranquille pour ça ?" M'a-t-il demandé en se mettant discrètement la main au paquet.

"Oui. Suis-moi." Lui ai-je répondu en pensant à un petit parking que j'espérais tranquille à cette heure-là.

"Ok, ok. Mais j'te baise vite fait. J'n'ai pas le temps pour autre chose. Droit au but quoi." A-t-il précisé en me suivant.

Arrivés sur le parking, quelques petites minutes plus tard, j'ai été soulagé de n'y voir personne. J'ai très rapidement repéré une camionnette blanche de chantier garé dans un coin et ai fait signe à mon amant de me suivre.

"Euh. Attends, tu veux que je te baises ici ?" M'a-t-il demandé étonné, alors que j'avais déjà levé mon manteau après avoir libéré mon cul de son fourreau.

"Oui. Défonces moi. Fais toi plaisir. J'ai le cul chaud bouillant. Il n'y a personne et nous sommes cachés. Personne ne peut nous voir." Lui ai-je dit en m'appuyant contre le mur pour lui offrir mon boule en me cambrant.

"C'est vrai que c'est excitant. Je bande comme un âne. T'es sûr que tu veux que je te baises là, comme ça ?" M'a-t-il demandé en me caressant les fesses et la rondelle.

"Mais ouais, je te dis. Défonces moi le cul. Je n'en peux plus." Lui ai-je supplié en me cambrant encore plus.

Il a donc posé sa sacoche au sol et a sorti sa queue qu'il a claqué sur mon cul. Il bandait bien "comme un âne". J'ai alors porté a mon nez mon poppers que j'avais sorti de ma poche. Sa bite était dure et bien lourde. Il a craché sur mon trou et sa queue. Il la frottait sur ma rondelle avant d'y forcer le passage. Progressivement, il s'enfonçait en moi, essayant de ne pas me faire mal. Moi, j'étais dans un état second. Heureux de, enfin, me faire sodomiser. Sa queue entièrement en moi et il a commencé ses va-et-vient qu'il voulait doux au début mais qu'il a rendu, très rapidement, violent. Sans doute par peur d'arriver en retard à son rendez-vous ou qu'on nous surprenne. Cinq minutes plus tard, il a jouit en moi.

Nous nous sommes rhabillés et sommes sortis du coin d'où nous étions, encore excités par cette baise rapide.

Nous nous sommes ainsi séparés en se promettant de se revoir très vite après avoir échangé nos numéros de téléphone.

En plein travail, je reçois un SMS vers 16h.

"Salut. T'es dispo après 18h ? Je sors de réunion et je n'arrête pas de penser à cette défonce éclair. J'en bande encore." M'a-t-il écrit mon baiseur du midi.

"Je suis dispo oui. Tu veux passer chez moi ?" Lui ai-je demandé avec l'envie de me faire à nouveau baisé.

"Oh que oui. Et là, je prendrai tout mon temps pour m'occuper de ton cul." M'a-t-il répondu avec enthousiasme.

Je lui ai rappelé le digicode de mon immeuble et il m'a précisé qu'il m'enverrait un SMS avant de venir pour qui je puisse l'attendre comme lors de notre premier plan cul. C'est-à-dire comme la plus grande partie de mes plans culs de l'époque : A quatre pattes sur le lit, le cul bien tendu dans un jockstrap et prêt à me faire décalquer le cul.

A peine ma journée de travail terminée, aux alentours de 17h, je me suis dépêcher de rentrer chez moi pour prendre une douche et me préparer à l'accueillir, une nouvelle fois, en moi. J'avais encore de son foutre qu'il m'a si généreusement offert ce midi.

N'ayant que pour seul vêtements un jockstrap jaune, j'attendais, impatient de m'en prendre plein le cul.

Je ne pouvais m'empêcher de regarder les minutes s'égrainer sur l'immense horloge de mon salon.

18h, 18h05, 18h10, 18h15, 18h20, 18h25...

Je commençais à ne plus y croire et la frustration remplaçait, peu à peu, l'excitation qui m'habiter.

À 18h40, je reçois un SMS.

"Désolé p'tit cul. J'ai été retardé au travail. Je suis chez toi dans 15 minutes. Toujours dispo ?" M'a-t-il envoyé dans la hâte.

"Oui. Je t'attends. T'as intérêt de m'exploser le trou pour t'excuser." Ai-je répondu après que ma libido ait remonté comme une flèche.

Comme toujours, j'ai entrouvert la porte d'entrée de mon appartement avant de m'installer à quatre pattes sur mon lit, poppers à la main.

En moins de 15 minutes, il est arrivé.

"Hum... Quel cul... J'en ai rêvé tout l'après-midi." A-t-il dit en me caressant les fesses.

Je l'entendais commencer à se déshabiller. Il respirait fort.

"Je n'en peux plus. Je le veux." A-t-il déclaré en s'accroupissant devant mon cul pour y appliquer ses mains sur chacune de mes fesses.

Il les a rapidement écarté et y a plongé ses lèvres qui m'ont embrassé la rondelle. Sa langue est ensuite sortie de sa bouche pour me titiller l'entrée de l'objet de son désir. Moi, j'appréciais ce moment, le nez déjà dans le poppers. Il jouait avec la pointe de sa langue à forcer tendrement mon sphincter que je sentais s'abandonner à lui. De gros coups de langue ont très vite remplacé sa danse linguale romantique. Il me bouffait le cul et, comme il me l'avait promis, prenait son temps.

Après avoir déguster ma rondelle, il s'est redressé pour y présenter sa queue qu'il a enfoncé centimètre par centimètre. Arrivé au fond, il a commencé de petits va-et-vient.

"Franchement. T'as un p'tit cul superbe. On s'y sent comme chez soi. J'ai adoré te le remplir ce midi mais j'en voulais plus. Tu m'as rendu à croc à ton cul." M'a-t-il dit, logé au fond de mon cul, presque immobile avant d'intensifier ses coups de bites.

Je l'ai senti jouir en moi très rapidement après ça. Il se vidait en moi. Je m'attendais à ce qu'il décule mais il continuait à me baiser.

Il m'a forcé à m'allonger tout en restant en moi. Il me cassait le cul hardemment.

"Écarte tes fesses." M'a-t-il ordonner en continuant sa défonce.

Je me suis exécuté, allongé sur le ventre, le cul en buse.

Il me pilonnait le cul et s'amusait à sortir sa bite pour pour la rentrer avec plus de violence. Il m'explosait le trou comme je lui avais demandé.

Dans un dernier coup de bite, il s'est écroulé sur moi en me mordant tendrement dans le cou avant de jouir une seconde fois en moi.

J'étais lessivé et heureux que mon cul ait encore un fan. Car, comme je l'ai déjà dit. J'aimais (et j'aimerais) n'être qu'un cul.

Merci d'avoir lu mon récit-souvenir en espérant que celui-ci vous ait plu aussi.

A très bientôt pour de nouvelles aventures anales.

Le Cul jouissif

dialogaylille@outlook.fr

Suite de l’histoire

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