L’électricien du boulot

Chapitre-1

* inspiré d’une histoire vraie *

En ce moment au boulot, c’est la période creuse et mon patron en a profité pour faire pleins de travaux. Difficile de se concentrer entre les bruits de chantier et les allers retours dans tous les sens… Je ne suis pas au top de ma concentration et je suis surtout vachement excité ces derniers jours. Compliqué de rester concentré.

En début de semaine j’entends quelqu’un faire le tour des bureaux et se présenter, c’est l’électricien qui passe installer des stores électriques dans tous les bureaux. Pour ça il a besoin de soulever le faux plafond, depuis le haut de son escabeau. Ça a l’air d’être un sacré dragueur, il fait des sourires à mes collègues femmes, aux hommes pas vraiment. Quand vient mon tour, je le vois grimper sur son escabeau dans mon bureau et je ne peux m’empêcher de le regarder.

Il est grand, environ 1m90, plutôt jeune genre 29 ans, brun foncé cheveux courts, avec un début de barbe et typé un peu méditerranéen. J’essaie de le mater discrètement, de mon point de vue assis sur ma chaise j’arrive à voir le bas de son ventre et son torse quand il lève les bras pour tirer les câbles en hauteur… Il a l’air bien bâti, pas trop musclé mais bien dessiné. Je ne peux m’empêcher de le regarder et de m’imaginer la tête dans son torse, et la bouche dans son boxer… Quand mon regard bloque en bas de son ventre ou j’aperçois le chemin que font des poils sur le bas de son ventre qui semblent rejoindre directement la naissance de son entre jambe.
Quand tout à coup il s’adresse à moi :
- Vous savez où est le tableau électrique ?
Moi, complètement perdu en train de fantasmer sur l’homme :
- euh, quoi? Le compteur ? Dans les toilettes je crois
- Merci je vais jeter un œil, me dit-il accompagné d’un clin d’œil. Il part et revient en me demandant où est la lumière
Je me lève pour lui indiquer et il me demande de rester pour l’aider. On commence à discuter et je lui dis que je m’ennuie, il me répond qu’il apprécie avoir de la compagnie pendant qu’il travaille, donc on continue à discuter.

Vient le moment où il a besoin de moi pour le tableau, il me demande de m’approcher pour maintenir à un endroit. Il me dit qu’il a besoin de maintenir en même temps à un autre endroit, il se place derrière moi quasiment collé et je sens ses cuisses musclées collées aux miennes.

Je le sens se rapprocher doucement et je sens son souffle dans mon cou. Il me dit doucement qu’il a vu quand je le regardais sur l’échelle et que ça l’excite. Je sens la bosse de son paquet dans son pantalon se durcir et son corps encore plus proche du mien ; il me dit d’aller fermer la porte des wc. Je suis partagé entre la gêne et l’excitation et je m’exécute sans rien dire. Je ferme la porte et je le vois commencer à se caresser le paquet qui commence à prendre du volume à travers son bleu de travail. Il met sa main dans son boxer à travers son pantalon et il s’approche de moi tout en m’embrassant. Il me dit :

- ça t’excite hein ? Je savais que t’aimais ça. Maintenant mets toi à genou.

Je m’exécute et il déboutonne son pantalon, baisse son boxer et laisse apparaître sous un pubis bien taillé, une énorme bite dure d’environ 19cm, bien large et légèrement courbée à gauche, son gland est bien gros, rond et rose. Sa belle bite est soutenue par deux magnifiques couilles bien pleines et velues. Je n’ai qu’une envie, c’est de me la prendre dans tous les trous…

Il commence par me passer sa bite sur le visage, ce que j’apprécie, et je mets à la renifler et la lécher dans la longueur, son odeur de mâle viril m’excite et je commence à me toucher la queue à travers mon pantalon. J’attrape sa queue avec mes deux mains et commence à lui lécher son gland bien rose et je le sens commencer à se raidir. Je place mes deux mains sur le long de son torse sous son tee shirt pendant que je commence à m’enfoncer sur sa grosse bite avec ma bouche. Je vais de plus en plus loin et ça semble lui faire de plus en plus de bien, il souffle, gémit doucement et je sens son corps frissonner.
Il me lance :
- ah ouais tu suces vraiment comme une bonne salope, je vais devoir revenir tous les jours te gaver avec ma queue !
Je ne peux que répondre par des « mmmhmh » la bouche pleine de sa queue.

Il appuie sur ma tête avec ses deux mains et je me retrouve avec la quasi totalité de sa queue dans la gorge, il pousse des gémissements pendant que je déboutonne mon pantalon. Je commence à me caresser et à me branler quand il entame des vas et viens avec sa bite, il accélère de plus en plus et pousse des soufflements de plus en plus rapidement avant de me dire qu’il va cracher, je continue à me branler et je le sens gémir avec puissance et marquer un arrêt, il est en train de se vider les couilles bien au fond de ma gorge pendant que sa bite tape ma luette au plus profondément de ma gorge. Il pousse encore des petits cris de soulagement pendant que je continue de lui astiquer la queue, je sens 3 ou 4 jets bien épais tapisser le fond de ma gorge avant de tout avaler.
Je me mets à jouir moi aussi, toujours à genoux giclant une partie de mon foutre sur ses chaussures de sécurité.

Il me relève, m’embrasse langoureusement avant de me dire :
- je pensais pas que je pouvais voir de si grosses salopes en venant ici. Tu suces vraiment comme une grosse pute, j’adore. Je reviens demain pour te défoncer le cul t’es à moi maintenant.
Il remonte son boxer et son pantalon tout en remettant son gros sexe qui commence à peine à débander en place, me laissant à moitié nu dans les wc et quittant la pièce.

Je reprends mes esprits et réalise ce qui vient de se passer, je me rhabille et retourne à mon bureau tout content de la demie heure qui vient de se produire avec du foutre plein la gorge. Rien que d’y repenser, je bande sous mon bureau tout le reste de ma journée.

Le lendemain matin, avant de retourner au travail impatient et tout excité de me faire démonter par la grosse teub qui m’a arrosé de foutre la veille, je décide de pimenter les choses et de me mettre un plug pour être bien large pour mon électricien et son giga morceau.