Mon copain et moi décidons de nous rendre dans une petite ferme de produits locaux à une dizaine de kilomètre d’où on vit. On prend la voiture et je suis bien excité, pour plaisanter, je m’amuse à toucher les cuisses de mon copain pendant qu’il conduit. Je pose une main, puis je remonte doucement en le caressant vers l’entre jambe. Il est en short léger, ce qui rend le geste encore plus pratique et je sens encore plus son corps sur ma main. Le petit jeu finit rapidement par devenir sérieux et il manque de déraper… mais on arrive déjà à la ferme. Il me dit « si on était à peine plus loin, je t’aurais bouffé le cul et je t’aurais baisé sur le pare choc » évidemment, il n’en fallait pas plus pour me faire bander encore plus et m’exciter plus que je ne l’étais déjà. On sort de la voiture en tentant tant bien que mal de cacher nos érections.
On arrive dans la boutique de la ferme, on fait nos achats tranquillement. Puis je suis à nouveau pris d’un élan d’excitation et murmure à mon copain « tu sais ce que tu as dit que tu me ferais dans la voiture, tu peux me le faire ici ». Je pose mon panier et je me rends dans les wc de la boutique, situés dans un petit corps de bâtiment en dehors de la boutique, il y a au moins 5 cabines individuelles, et des urinoirs. Mon copain met un peu de temps à arriver. Pendant ce temps je remarque que le bâtiment est vide, il est 18h et on est proche de la fermeture. Je rentre dans une cabine mais la laisse entre ouverte. Je me déshabille complètement et j’attends en me caressant le torse, puis le bas du ventre, avant de saisir ma bite demi molle et tout mon paquet, couilles inclues. Mon copain ne tarde pas à arriver, j’entends quelqu’un entrer dans le bâtiment et je sais qu’il est tout excité. Ça nous arrive de faire quelques plans comme ça en public, je trouve
ça hyper excitant et c’est toujours un peu risqué, ce qui nous excite encore plus… même si on s’assure quand même que les chances de se faire choper soient assez faibles.
Il entre dans la cabine des wc et me trouve de dos, entièrement nu. Je sens son souffle derrière moi. Il se retourne et ferme la porte à clé, avant de se baisser et de commencer à me lécher un peu partout dans le bas du dos. Il finit par glisser vers ma raie et donne des grands coups de langue comme un affamé. Il écarte mes fesses et se met à me caresser et me lécher tout près de mon trou, ce qui ne me laisse pas indifférent et lui non plus. Il prend ma queue avec une de ses mains et il commence à me branler au fur et à mesure que sa langue s’enfonce un peu plus dans mon cul. On essaie de ne pas faire trop de bruit tous les deux, mais difficile de ne pas laisser échapper un soupir ou un gémissement de plaisir. Je me retourne de temps en temps pour frotter ma langue contre la sienne et l’embrasser avec envie et excitation.
La porte du bâtiment s’ouvre et quelqu’un arrive. On entend « messieurs ! La ferme va bientôt fermer ses portes il est temps de sortir »
On se demande alors si on nous a vu, ou si quelqu’un s’adresse à tous les gens présents dans les wc ? Dans le doute mon copain me remet 3/4 coups de langue bien juteux et on décide de se rhabiller. On ouvre la porte de la cabine et on se dirige vers la sortie quand la porte du bâtiment s’ouvre. C’est un des paysans de la ferme.
— vous pouvez continuer ce que fous faisiez dans la ferme si vous voulez… nous dit-il avec un petit sourire en coin
Nous, un peu gênés, mais encore excités, on se regarde d’un air « pourquoi pas » et on commence à discuter avec le fermier. Il est assez grand, environ 1m90, bien bâti. Bien épais et carré, on sent que son travail le muscle bien comme il faut, un peu partout. Il a les cheveux courts et une barbe assez fournie. Il porte des grandes bottes, un short et un tee shirt qui laisse apparaître des gros bras. Il nous dit qu’il aime bien regarder, ça ne nous dérange pas trop et comme on a été coupé, on aimerait bien reprendre au plus vite. Il nous emmène dans un coin un peu plus éloigné sans vis à vis sur la route, en plein milieu des champs vers une étable vide.
— là vous pourrez faire tout ce que vous voulez. Je reviens je vais fermer l’entrée.
Assez excités par ce qui vient de se passer, je me déshabille à nouveau et commence à embrasser mon copain. Tout aussi excité que moi, je le vois devenir dur à nouveau très vite. Je lui caresse la bite et me rapproche de son paquet pour commencer à le sucer. Je baisse son short et son boxer et me met à lui gober les couilles avant de le pomper directement. Il guide ma tête en me saisissant à l’arrière du crâne pour m’enfoncer son chibre dans la bouche. Au loin on voit le fermer revenir vers nous, mais il n’est pas seul. On continue notre affaire en se disant que ça va un peu pimenter notre petit plan. Ils se rapprochent de plus en plus. Le premier fermier nous dit
— j’ai ramené un collègue, ça vous dérange pas j’espère. Il n’y a plus que nous quatre à la ferme !
— pas du tout! Je réponds avec la queue à moitié dans la bouche.
Visiblement le collègue est déjà bien excité de nous voir à l’œuvre, j’aperçois la trace de ce qui semble être sa queue, bien dure aplatie le long de sa poche dans son pantalon. Elle a l’air d’être bien épaisse. Lui, ressemble un peu à son collègue, il est à peine plus petit et moins épais. Il a un peu plus de cheveux et moins de barbe. Ils se placent non loin de nous et nous regardent. Je trouve ça assez excitant, c’est la première fois qu’on m’observe comme ça, en tout cas en ayant été informé qu’on me mattait.
Je continue à sucer langoureusement pour mon public, et aussi pour mon copain. Je gobe sa queue en gorge profonde et je me tourne parfois vers les deux paysans pour les regarder. Ils se touchent tous les deux le paquet. Par moment j’ai envie qu’ils me rejoignent mais je ne sais pas trop. Je suis concentré sur le moment. Mon copain me défonce un peu plus la gorge et se retire de ma bouche. Il se met à m’embrasser et s’installe par terre. Je lui monte dessus et l’embrasse. Je crache un peu sur sa queue, le branle et commence à me frotter contre lui. Pendant que je l’embrasse il me met un ou deux doigts. On continue à s’embrasser avec passion et je me positionne de façon à ce que sa queue touche le bout de mon trou. J’ai envie de le chevaucher sauvagement au milieu des champs. Je commence à faire rentrer son gland délicatement, assez gros en diamètre je prends sur moi et je souffle à plus je m’enfonce sur son gland bien rose et chaud. Le gland est passé, a
vec un peu de difficulté. Il commence à donner de légers coups de reins qui me font hurler. Je sens l’intérieur de mes entrailles s’ouvrir pour laisser passer le chibre juteux de 20 centimètres de mon copain que j’embrasse. Au fur et à mesure de ses coups de reins je pousse des cris de plaisir, j’adore me faire élargir. On voit un des paysans se rapprocher de nous. Il déboutonne son short et le laisse tomber à ses chevilles. Il sort une énorme bite non circoncise, bien droite et tendue. Il sort
— ahhh c’est trop je tiens plus !
Il approche son pilon sur mon visage, j’ouvre grand la bouche et il me l’enfonce d’un seul coup. Une main sur chaque joue il me pilonne la bouche m’élargissant la gorge.
Le deuxième collègue se rapproche aussi et se met à caresser les couilles de mon copain qui me pilonne bien comme il faut. Je suis au paradis. Une grosse bite dans le cul et une énorme dans la bouche. Très vite, le collègue me met un doigt pendant que je me fais pilonner, et c’est vraiment l’extase. Il voit que je kiffe donc il en rajoute un deuxième et un troisième. Pris d’excitation lui aussi, il se déshabille et rejoins son collègue près de ma bouche. Je lâche la queue du premier pour goûter celle du deuxième. C’est encore meilleur, ils tentent les deux de rentrer leur queue dans ma bouche. Le collègue qui me mettait des doigts repasse derrière et se colle contre nous. Il veut rentrer sa queue en plus de celle de mon copain. Pour avoir déjà été pris en double, j’adore ça donc je le laisse faire. Il rentre son gros gland et je sens mon trou s’élargir encore plus. Mon copain ne ralentit par pour autant ses coups de queue. Il met des bons coups de re
ins vifs. Le collègue paysan galère un peu à la rentrer mais fini par me mettre les trois quarts et commence lui aussi à donner des coups de reins qui me font crier. Je me balance d’avant en arrière pour ressentir chacun des coups de queue qu’on m’inflige, sans oublier de sucer abondamment la grosse bite du paysan. Au bout d’une quinzaine de minutes, me voilà bien élargi. Le collègue laisse sa place au premier paysan. L’un remplace l’autre dans mon cul et dans la gorge. Je me retrouve à me faire pilonner encore une bonne vingtaine de minutes. La nuit commence à tomber.
Je me retire et me mets à quatre pattes à même le sol. Mon copain me donne sa queue à sucer et les deux autres se partagent mon cul. Leurs queues épaisses et gonflées me font gémir, ils claquent leurs couilles lisses et rasées contre mon cul et ça m’excite de ouf. Je ressens chaque coup de queue intense avec du plaisir et offre mon cul tendu et mon dos cambré comme une petite pute. Quand le premier collègue se retire, le deuxième le remplace et m’élargit lui aussi à son tour. Mon copain termine de me pilonner la gorge et va lui aussi attendre son tour pour me défoncer. Le premier paysan revient dans ma gorge pour mon plus grand bonheur. Chacun leur tour ils tournent et me font tourner comme la salope que je suis. Une bite dans chaque trou et l’autre dans la main, la claquant contre mon visage. Ça continue comme ça une bonne quarantaine de minutes avant que le premier paysan qui me pilonne me remplisse abondamment le cul de foutre. Le deuxième quitte ma bouche
pour tasser le jus au fond de mon cul. Il est remplacé à la bouche par mon copain qui savoure de me partager comme une petite chienne. Le deuxième paysan vient lui aussi déverser son sperme chaud après un pilonnage intense pour faire monter le jus. Même après avoir giclé il continue à me démonter, pliant une jambe pour ne pas me laisser échapper à 1 centimètre de sa queue qui continue à m’élargir. Il se retire et vient le tour de mon copain. Les deux paysans approchent leur teub de ma bouche. L’un me dit :
— nettoie moi ça pendant que ton mec te fais le cul !
J’obéis et je me mets à sucer leur deux queues bien luisantes et dégoulinantes de foutre et de mouille. Mon copain, prend un sacré plaisir à m’envoyer des kilomètres de bite dans mon cul bien lubrifié par le foutre des deux autres. Il me pilonne sans relâche et sans aucune pitié à même le sol. Il me branle d’une main et me fesse le cul par moments de l’autre. Je sens qu’il n’est plus très loin de me remplir et je ne suis pas loin non plus de gicler. Je commence à jouir et l’un des paysans lâche ma bouche pour mettre sa main sur ma bite et récupérer mon foutre. Il le ramène près de mon copain qui me pilonne et le fait couler le long de sa queue pour qu’il me l’insère avec son chibre. Le paysan me fait lécher le reste de mon sperme sur sa main quand mon copain finit par se vider les couilles me remplissant bien intensément au plus profond de mon cul. Quand il se retire, mon cul est un trou béant coulant de sperme. Mon copain m’y glisse quelques
doigts avant de rejoindre les deux fermiers pour y faire nettoyer sa queue.
On a finalement passé la nuit chez un des deux qui habite pas loin de la ferme, et ils ont recommencé un peu plus tard dans la nuit à me défoncer et élargir tous mes trous, pour mon plus grand bonheur.
GreyGhost
gr3ygh0st333@gmail.com
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