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Chapitre-3
Dans les deux précédents épisodes, je partageais avec vous ma rencontre avec Raph, un beau mâle antillais de 34 ans, 1m85, bien foutu, massif, bien doté par la nature et surtout amateur de mecs comme moi. C’est quoi un mec comme moi me direz-vous ? et bien 1.80m, 95 Kg assez baraqué mais grassouillet, poilu, un bon cul accueillant, autrement dit un Bear. Ça tombe bien au c’est rencontré au bar le « Bear’s » de Toulouse, un vendredi soir. Nous nous sommes chauffés, nous avons baisé dans ma chambre d’hôtel, pour finalement décider de passer le week-end ensemble, nous les deux « provinciaux » en goguette dans la capitale occitane. Pour rappel, mon Raph est en formation à l’école de l’administration pénitentiaire d’Agen, d’où le titre de l’histoire.
Nous sommes samedi soir, bientôt 18h, nous avons passé une partie de l’après-midi à nous envoyer en l’air. Raph m’a encore bien baisé ; passant de la défonce effrénée à la baise langoureuse. Nous avons pris un pied d’enfers. Nous sortons de la cabine fumeur du sauna le KS, et allons barbotter dans le jacuzzi pour planifier le déroulé de notre soirée. On se ferait bien un restau mais il est encore tôt même si notre petit-déj de midi est déjà bien descendu. Tout en discutant Raph se rapproche de moi et vient coller sa cuisse contre la mienne. Il prend ma main et la guide vers son entre jambes, je n’y crois pas ! il bande, ça fait moins d’une demi-heure qu’il vient de jouir et il est de nouveau prêt pour la saillie. Il me regarde avec son sourire prédateur et me lance « je t’avais dit que je n’avais pas baisé depuis un mois ! – et bien je suis ravi d’être passé le premier ! ».
Je jette un coup d’œil à l’extérieur et je vois mon Florent, l’air triste. Me vient alors une idée, je me rapproche de lui et lui glisse discrètement : « tu vois le mec là-bas, c’est mon pote Florent. Il a flashé sur toi tout à l’heure et était assez dégouté de te voir avec moi. Je me disais qu’on pourrait lui proposer un plan à 3 ? » Il me regarde d’un air interrogateur, je me saisis de sa bite au garde à vous et lui dit « je sais qu’il est passif comme moi, très chaud, tu le démonte pendant qu’il me suce, on le branle en même temps, il jouit, il est content ! l’affaire d’un quart d’heure ». Il jette un coup d’œil vers Florent et me dit « banco, çà pourrait être fun – par contre je le connais, il se fait baisser à la chaine, faut mettre une capote, c’est un vrai coin à champignons » je rougis à ma remarque de pétasse. Je fais signe à Florent qu’il approche. Je lui dis que nous sommes ok pour un plan à 3 et que je veux bien lui prêter mon étalon. Je sais ce n’est pas super élégant mais je n’ai pas toujours le sens de la formule. Florent qui n’a pas eu un après-midi très fructueux accepte volontiers. Nous nous dirigeons donc tous les trois vers une cabine, Florent entre le premier, suivi de Raph ; j’ai peine le temps de fermer la porte que Raph c’est déjà fait arracher sa serviette et que cette salope de Florent a déjà sa bite en bouche. Il est penché en avant et suce avec avidité. Je prends une rasade de gel au distributeur, je tartine sa rondelle et commence à la doigter. Je n’y vais pas trop fort car j’ai déjà 3 doigts, si çà continu ma main va y glisser entière. Le cul de Florent est une véritable autoroute !
Florent lâche la teub de Raph qu’il avait en gorge profonde pour reprendre sa respiration ; Raph le fait pivoter sur lui-même ; il lui colle 3 doigts. Je choppe une capote et la déroule sur sa teub. Raph encule Florent d’un trait sans autre forme de procès ! « Putain son cul m’aspiré la bite, un truc de fou ». Je me mets à genou sur la baquette et donne ma bite à sucer à Florent pendant que Raph lui déboite le cul. Ça dure un petit moment, Raph le fait signe qu’il en a marre, il choppe la queue de Florent qu’il se met à branler pendant que je lui colle ma mienne en gorge profonde. Elle a beau ne faire que 15 cm, je lui baise la gueule avec violence, pour toute salope qu’il est, il en a les larmes aux yeux. Il se met à gémir, étouffé par ma queue, il gicle dans la main de Raph. Il essuis sa main pleine de sperme sur le cul de Florent, sort sa queue et quitte la capote. Je retire ma teub de la bouche sa bouche. Florent s’écroule sur le matelas, essoufflé. Raph lui lance : « voilà mon p’tit porcelet, t’as eu ce que tu mérites ». Il ouvre la porte de la cabine et sors la serviette sur l’épaule et la queue en avant. Je vais un petit signe à Florent et emboite le pas à mon étalon d’ébène. Florent est là, étalé sur le matelas en sky, la porte de la cabine ouverte. Dans le couloir un mec assiste à la scène, je lui lance « va y mec il a surement encore envie ! ». Avec le recul je me rends compte que nous nous sommes vraiment comportés comme des mufles avec ce pauvre Florent…
Raph et moi retournons aux douches en rigolant. Une fois rincés, nous retournons au fumoir, je m’assois parallèle au bac, dos au mur, Raph vient se caller entre mes jambes, demi allongé ses épaules contre mon buste. « Dis-donc bébé (première fois qu’il m’appelle comme çà…) ton pote là, c’est vraiment un garage à bite ! j’ai jamais vue un cul aussi ouverts, il doit se faire fister c’est pas possible ! entre la capote et son cul ouvert j’ai vraiment eu l’impression de baiser un saladier de Jelly anglaise ! ton cul à côté c’est du niveau Platinium ! ». Je suis flatté du compliment. « Tu es dur avec Florent ! – aussi dur que son cul est flasque bébé » ! (Deuxième « bébé » en moins de 3 minutes…).
Une fois la clope finie nous repartons faire trempette dans le jacuzzi. Il est 19h45 quand nous sortons du sauna. Nous partons à la recherche d’un restau : Raph a envie de bidoche saignante, moi j’ai plus envie de sushi ou d’asiat. La question du budget va se poser car je n’ai plus que 100 balles pour finir le weekend et mon budget n’est pas extensible (Mon travail d’ouvrier agricole que j’adore est payé au SMIC et je finance mes weekends de débauche toulousains en vendant du bois de chauffage et en faisant des extras au black) . Nous arrivons devant « L’Entrecôte » - institution toulousaine s’il en est une-, on nous annonce une bonne heure d’attente. Nous passons notre tour. En remontant le boulevard de Strasbourg dans une des rues adjacentes je connais un petit Viet’ qui ne paye pas de mine, j’y vais souvent c’est bon et pas cher. Nous nous rabattons sur cette option (encore une fois c’est moi qui ai gagné). La taulière toujours aussi revêche nous trouve une table au fond de son bouiboui « même si vous pas réserver hein ! ». Nous passons le repas à nous faire de pied et à nous dévorer des yeux ! La taulière nous paye sa tournée de saké, au fond des petits verres en porcelaine, on peut voir un mec à poil, elle commence à me connaitre. Une fois d’addition payée elle me glisse à l’oreille « vous trouver yoli garçon, vous passer bonne nuit ! ». Je lui fais un clin d’œil et nous sortons du restau. Il est 22h. Je propose d’aller boire un verre, Raph fait un peu la moue et me dit « Bébé (3°fois !), je préfère qu’on aille récupérer mon sac au parking et qu’on rentre à l’hôtel…on a encore des choses à faire tous les deux ». Il se mets face à moi et m’embrasse, je lui mets la main au paquet, sa braguette est prête à exploser. « Je pense avoir une idée des choses que nous avons à faire…». La patronne du restau avait raison, je vais passer une bonne nuit, que je vous raconterai.
Nourspas12
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