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Chapitre-5
Dans cette série je vous raconte une de mes expéditions de débauche toulousaine en début d’année 2014. Lors d’un de ces WE, j’ai rencontré Raph, au bar le Bear’s. Raph est un bel antillais de 34ans, 1m87, massif et très viril. Il est lui aussi en weekend à Toulouse, il est étudiant à l’école de l’administration pénitentiaire d’Agen, d’où le nom de cette série. Cela peut paraitre anodin mais cette information m’avait fortement perturbé. Heureusement qu’on avait commencé à « sympathiser » ( en gros il m’avait fièrement exhibé son service 3 pièces au pissotières du bar, et cela avait réveillé la salope qui est en moi), sinon je pense que je n’aurais pas donné suite. Lors de cette soirée, nous nous sommes bien chauffés et avons fini à mon hôtel. Après une nuit torride qui a validé notre compatibilité sexuelle, nous avons décidé de passer le weekend ensemble avec un but commun ; baiser comme des oufs. Nous nous sommes accordés, a
près discussion sur nos pratiques, de ne pas utiliser de capotes.
Nous sommes samedi, à l’hôtel, il est minuit passé, et nous venons de baiser comme des morts de faim, une fois de plus. Tombant de fatigues nous nous endormons sans prendre de douche. Nos corps couverts de sueur, sa queue et mon cul poisseux de sperme.
Vers 6h du matin (c’est mon heure), je me réveille. Dans la chambre ça sent le mâle ; mélange de transpi, d’odeur de foutre et de phéromones de male en rut. Raph dors sur le dos, juste couvert d’un drap. Je me glisse hors du lit, file à la salle de bain afin de me soulager et de remettre mon intimité en condition acceptable pour recevoir mon amant. Ça peut vous paraitre bizarre mais même si je kiffe les odeurs, l’uro, bref ce que beaucoup considérément comme carde. Je fais un blocage total sur l’hygiène de mon cul. La moindre trace ou odeur de merde me coupe toute envie de quoi que ce soit.
Je suis en train de finir de me sécher quand je vois arriver mon Raph en tenue d’Adam, sa belle tige demi mole. Il me grogne un « salut bébé », je le vois se diriger vers la chiotte. « Salut beau mâle, vient donc par-là marquer ton territoire ». Ma remarque semble le réveiller d’un coup, il me regarde avec un air lubrique et s’approche de la baignoire ou je me suis mis à genoux. Il commence à me pisser dessus ; un bon gros pipi du matin comme j’aime. Vraiment cette sensation de soumission totale et voir ce jet doré sortir de sa pine me rendent fou ! Raph qui n’était pas coutumier de cette pratique semble y prendre gout. Une fois cette douche terminée, je me rince vite fait, et laisse mon étalon seul afin qu’il soulage un autre besoin fondamental…
Je rejoins la chambre et ouvre un peu la fenêtre pour renouveler l’air ; ça sent très fort le fennec quand même ! Je me glisse sous les couvertures car çà caille, je choppe le tube de gel : il a pris cher, comme mon cul. Mon mâle sort de la salle de bain, « t’as ouvert la fenêtre bébé, t’es ouf ! çà caille !- oui mon cher, ma çà puait un peu quand même fort le vestiaire de foot ». Il ferme la fenêtre et me rejoint sous la couette. Il vient se mettre sur moi, me serre dans ses bras et me roule une pelle à laquelle je réponds sans retenue, nos langues se mélangent allègrement, on se bouffe la gueule avec passion. Il lâche ma bouche et vient déposer sa tête sur mon torse « bébé je crois que je suis en train de tomber amoureux »… je me garde de répondre, mais je m’en doutais un peut…on verra çà dans quelques heures. Je le serre fort dans mes bras. Il revient m’embrasser, je profite de ça pour l’inciter à se mettre sur le dos, on change d
e position, je me laisse glisser sous la couette glisse çà queue demi-mole dans ma bouche. Avant de parler d’amour, revenons à ce pourquoi nous avons décidé de passer le weekend ensemble : le sexe, le sexe passionné !
Je sens sa queue se déployer dans ma bouche, je choppe ses couilles dans ma main, je les malaxe un peu… Raph pousse de profonds soupirs. Il se saisie de ma tête et se mets à me baiser la gueule…son côté « amoureux transit » semble céder la place au male en rut ! J’ai vraiment du mal à encaisser la grosse teub dans ma bouche, je bave beaucoup et réprime plusieurs haut le cœur. Il relâche la pression sur ma tête. Je vois sa belle bite luisante de bave, n’y tenant plus, je mets à califourchon sur lui. Je place au-dessus de sa queue, qu’il guide vers mon entrée, je me laisse aller ; sa queue enduite de ma salive glisse au plus profond de mes entrailles en m’arrachant un râle de plaisir. Il commence à me donner des petits coups de bassin comme s’il voulait aller encore plus profond. Je kiffe vraiment me sentir rempli de la sorte. Nous restons comme çà un long moment. Je sens sa pine plusser dans mon cul tandis que moi je joue avec la contraction de mes sphincters. Je sens que mon étalon apprécie. Ce n’est pas pour me vanter, mais c’est un talent que j’ai…j’ai appris avec l’expérience à contracter mes muscles anaux pour « traire » la bite de mon partenaire et ça fait toujours son petit effet. Raph me regarde avec son regard de fauve en rut me fait pencher en avant et me roule une des pelles virile et baveuses dont il a le secret. « Tu me chauffe bébé, je vais te défoncer ! » je lui réponds « paroles paroles paroles ! ».
Il me fait basculer sur le côté, me fait mettre à 4 pattes et m’embroche sans autre forme de procès. Il commence direct à me baiser avec force, des grands coups de reins neveux et saccadés. Il sort sa bite, la replonge en me claquant le cul. Je l’encourage à y aller à fond, il se déchaine comme jamais. Je sens ses couilles claquer, c’est une vraie furie ! Il semble vouloir aller encore plus profond à chacun de ses assauts, il me fait gueuler comme un damné. D’un coup il se calle au fond, me met plusieurs coups de reins en beuglant « tient bébé, voilà ma semence, je t’engrosse comme une femelle en chaleur ! ». Puis il s’écoule sur mon dos, essoufflé. Je n’ai pas éjaculé, ma queue est molle, mon cul en feu, je ne sais plus sur quelle planète je suis. Je sens sa queue encore tressautante dans mon conduit ! putain quel pied ! Je me laisse glisse doucement en avant pour finir sur le ventre. Raph suis le mouvement en vient s’affaler, allongé sur mon dos, toujours en moi, son souffle chaud sur ma nuque. « Bébé, c’est dingue, personne ne m’a jamais fait jouir comme çà ! tu es le meilleur coup de ma vie »
Il se laisse glisser sur le côté, sur le dos. Je me relève, le regarde, luisant de sueur, sa queue d’ébène demi molle couverte de son nectar. Il est vraiment canon ! me viens me blottir contre lui , ma tête contre son buste fort. Nous nous rendormons
Il est presque onze heures quand je me réveille, il faut qu’on rende la chambre pour midi ! je réveille mon bel amant, nous filons à la douche ensemble. Mon Raph à encore envie de pisser, il me donne donc ma 3° douche dorée du weekend ! on va pas gaspiller. Nous nous douchons ensuite ensemble, avant de boucler nos affaires et de rendre la chambre qui a accueilli nos ébats passionnés. Nous avons maintenant un objectif ! Bouffer, le viet’ de la veille au soir et descendu bien bas ! on crève de faim.
Nous nous mettons d’accord pour une pizzeria place Wilson. Le serveur nous demande si nous voulons manger en terrasse, comme il fait beau et qu’elle est chauffée. J’insiste pour être installé dedans « dans un coin tranquille » (j’ai à parler à mon bel étalon amoureux). Nous nous installons, on nous apporte les cartes, Raph de commencer « alors bébé tu veux quoi » ? Je fais mine de ne pas relever, on passe la commande. Le temps que notre commande arrive, je décide de me lancer : « bon Raph faut qu’on parle- je t'écoute bébé- déjà ca m’ennuie que tu m’appelle bébé sans cesse- ???- nous avons passé un super WE, j’ai vraiment adoré, mais perso je ne suis pas sûr que nous soyons sur la même longueur d’onde ». Raph me regarde surpris, j’espère qu’il ne va pas se mette à chialer… « écoute je pense que tu es en train de tomber amoureux, sache que moi non. Je me suis donné à toi tout ce WE et nous avons pris un pied de dingue, mais pou
r moi ça va s’arrêter là ! Je ne veux pas me mettre en couple, je ne veux pas tomber amoureux, je suis un mec libre et pour le moment je compte bien le rester ». Raph encaisse le coup, la déception se lit sur son visage. Nous discutons encore une peu, pour finalement tomber d’accord sur le fait que ce WE sera une petite parenthèse enchantée mais que nous ne donnerons pas suite. « Je n’ai qu’une condition : après le resto avant de se quitter on va au sauna et on baise une dernière fois pour se dire adieu » j’accède à la demande de Raph. Nos assiettes arrivent, nous mangeons de bon appétit et blaguons comme deux vieux potes( je me dis qu'au final çà se finit pas si mal). Nous quittons le restaurant vers 14h, et gagnons le sauna « le colonial » place Belfort. En chemin je signale à Raph qu’il va devoir m’inviter car je n’ai plus un copeck. Nous rentrons au sauna, et filons à la douche avant d’aller barbotter dans le jacuzzi. On se chauffe un petit
moment puis Raph me glisse à l’oreille « j’ai envie de te baiser à la sauvage contre le mur dans la dark-room ! », on file donc au sous-sol direction le labyrinthe. Au passage je choppe un sachet de gel au distributeur. Un fois dans le noir, Raph me plaque contre le mur me retourne. J’ai juste le temps de mettre du gel sur ma rondelle que son gland force déjà l’entré. Il m’enfile d’un trait et me plaque la tête contre le mur « c’est comme çà que je baise les truies de ton espèce » et il commence à ma défoncer avec rage et violence…mon amoureux me ferait il payer mon refus ? Il me baise ainsi avec fureur un petit moment, plaque son pubis contre le mien jouis dans un cri, sort sa queue et se casse. Le temps que je rassemble mes esprits et que je retrouve ma serviette, il a déjà gravi les escaliers. Je le retrouve au vestiaire, il fin d’enfiler son calcif. « qu’est-ce que tu fous ? je me barre je suis pressé je dois récupérer un covoit’… »
il me répond sans me regarder « du coup tu te casse comme çà ? – ben oui…c’est ce que tu veux non ?! » je me rends compte que mon mâle est blaisé dans son égo ou simplement malheureux. Sa réaction me pique un peu au vif et je me dis que j'ai eu raison de ne pas me laisser embarquer plus loin. Bref! je décide de ne pas me démonter : il est a peine 16h, le sauna ferme à 2h du matin, je vais profiter ! je lui réponds ; "oui en quelques sorte ! fais attention sur la route !" je tourne le talons et pars me passer à la douche avant de retourner au Jacuzzi. La soirée de fait que commencer ! (c'est une histoire vraie, seul les prénoms ont été modifié)
Fin
Nourspas12
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