David m’a dépucelé
Cette histoire est vrai, le fruit de mon souvenir ému.
Nous sommes un lundi fin septembre 2002, dans ma petite ville de province, je viens de finaliser mon inscription à la fac en LEA Anglais Espagnol, j’ai eu mon bac de justesse en juin. Ne sachant que faire de ma vie et ayant la frousse de quitter le cocon familial, j’ai décidé de rester dans mon petit confort quotidien.
J’ai eu 18 ans en février, après une puberté tardive, j’ai grandi et me suis développé d’un coup, résultat je suis assez masculin, je garde le bouc et la moustache. Physiquement je fais 1m80, 85kg avec quelques rondeurs. Pas du tout sportif, la pratique sportive m’est interdite à cause de problèmes de santé, jusqu’à la solidification définitive de mes cartilages de croissance.
Je suis l’exemple type de l’ados mal dans sa peau, j’ai peu de potes, je sors peu, ne suis pas bringueur. Je préfère de loin la campagne, aller crapahuter dans les bois et aller à la pêche quand j’ai du temps libre. Mais du temps libre j’en ai peu, mes parents sont chef d’entreprise, et comptent sur moi pour les seconder avec mon petit frère de 13 ans et ma petite sœur de 5 ans. Surtout depuis que j’ai le permis et qu’ils m’ont payé une voiture. Ils ont une boîte dans le bâtiment et savent profiter du boom économique du début des années 2000. La population cherche à écouler ses bas de laines en francs, les « Pascal » (billets de 500 f) sortent de leurs cachettes et les artisans en profitent. On peut aller échanger dans les banques jusqu’à 5000F en euros (762.33€) sans justificatif, mon père m’y envoie plusieurs fois par mois (dans une agence différente à chaque fois, pour brouiller les pistes car le fisc est aux aguets). Financièrement nous sommes assez confortables et mes parents se montrent assez généreux.
Pour en revenir à mon histoire, je sors de la fac et regagne ma bagnole garée sur le parking du foirail un peu plus haut. Sous ce parking il y a des WC publics, assez grands avec une douzaine pissotières et 4 cabines, peu fréquenté en semaine à priori. ces chiottes j’y suis passé par hasard il y a quelques semaines plus tôt et j’ai découvert que c’était un lieu de drague gay. La première fois alors que je pissais, un mec est venu se mette à côté de moi, et m’a reluqué la bite, puis il a étendu sa main et a commencé à me tripoter, je me suis laissé faire, voyant cela il m’a entrainé dans une cabine et m’a sucé. C’est ainsi que j’ai reçu ma première fellation par un homme, moi le puceau de 18ans. J’ai joui rapidement, le mec à tout avalé, j’ai remonté mon futal et suis partit précipitamment sans un mot, le cerveau en ébullition !
Je passe donc devant les chiottes en question, un coup d’œil à mon Nokia 33.10, 14h30, je suis large pour aller cherche ma petite sœur à l’école…je rentre donc dans les chiottes et m’installe à une pissotière. Un mec, pas mal, grand, élancé très viril se place à côté de moi et sort sa queue. Je jette un coup d’œil, une belle bite, demi molle, bien veinée et qui m’a l’air énorme. Il faut dire que je n’ai pas eu l’occasion de voir beaucoup de bites à mon âge, je n’ai jamais connu les vestiaires collectifs ni fait des concours de bites avec mes potes.
Le mec, j’apprendrais plus tard qu’il s’appelle David, me laisse un discret « salut » il étend sa main et se saisi de ma queue, il se penche vers moi et me dit « si tu veux on va chez moi j’habite juste à côté ». Je suis sur une autre planète, je réponds oui de la tête, incapable d’articuler un mot, je remballe ma queue et le suis. Nous faisons 50 m et entrons dans le hall d’un immeuble style années 80, nous montons un étage. Il ouvre la porte de son appart et nous entrons. Comment est son appart ?... Je ne sais plu, j’ai impressions de flotter dans les nuages, je suis à fois stressé, apeuré, je suis chez un parfait inconnu qui m’invite à m’assoir sur son canapé, me sers un café et vient se poser coller à moi.
Il entame la conversation : « t’es mignon tu t’appelles comment ?- Rémi…- moi David-…-tu aimes quoi avec les mecs ?... J’sais pas trop…suis…je me suis juste fais sucer par un mec une fois...- ah ok…t’as quel âge ? - 18 bientôt 19 ». Il se colle un peu plus à moi et essais de me rouler une pelle, je lui offre mes lèvres, je tremble comme une feuille. « Tu trembles !... Tu as peur ? - oué un peu… j’ai pas l’habitude – en fait tu es puceau…si tu as le temps je veux bien t’initier ». Et là David c’est montré grand seigneur et je dois dire que j’ai eu beaucoup de chance de tomber sur un mec aussi cool et à l’écoute pour ma première fois. Il s’est levé, s’est mis à poil et est revenu s’assoir à coté de moi. Il m’a laissé le temps de le toucher et de découvrir sa corp, puis il a guidé ma main vers sa queue magnifique que j’ai commencé à branler maladroitement. C’était la première fois que je touchais une bite autre qu
e la mienne. Elle me remplissait bien la main, longue (j’ai appris après qu’elle faisait 19cm), bien veiné, la peau sombre, avec un beau gland rose foncé. J’ai commencé à réaliser ce qu’il se passait et je me suis dit que j’allais profiter à fond de mec en or que le hasard avait mis sur ma route. Il était plus grand que moi (1.87m), assez braqué sans être dessiné, et le corps recouvert de poil noirs épais, la peau légèrement mate, une belle gueule à la mâchoire carrée, barbus d’une semaine, une barbe et des cheveux noirs et les yeux verts. Un concentré de virilité. Je décidais d’élever mon T-shirt et de me pencher vers lui pour l’embrasser tout en gardant sa queue en main. Il répondit à mon baiser puis appuyant sur ma nuque il me guida vers sa teub pour que je la prenne en bouche. Je démarrais ainsi ma première fellation sous le conseil de David qui guidait dans ma maladresse.
Après quelle minute de suce appliquée il me fit me relever et m’aida à finir de me mettre à poil. Il me fit mettre en position allongé sur son canapé, le vient se coucher sur moi en m’embrassant. Après un petit moment de « frotti-frotta » il fit glisser sa langue le long de mon corps en pamoison totale, pour arriver à ma bite dressée comme jamais. Il mit 2-3 coups de langue sur mon gland avant de me prendre complètement en bouche. Il fit quelques va et vient avant de lâcher ma queue pour mes couilles qu’il goba une après l’autre. Puis il me vit relever les jambes glissa un coussin sous mon bassin et commença à m’embrasser les fesses, qu’il écarta pour avoir accès à ma rosette. Il commença à bouffer le cul avec passion, moi je tortillais de plaisir. Après un moment il cessa et revint me rouler une pelle avant de me dire dans un soupir « si tu veux je peux te faire découvrir les plaisirs de la sodomie, je suis certain que tu vas adorer- oui … mais
vas-y doucement et mets une capote - t’inquiète je vais te faire ça comme il faut, tu va-t’en souvenir toute ta vie ! ».
Il me conduisit jusqu’à sa chambre et me fis mettre à quatre pattes sur le lit, il se saisit d’un paquet de capotes et d’un tube de gel. Il recommença à me bouffer le cul et introduisit un doigt qu’il fit coulisser. J’étais déjà aux anges, puis il inséra un deuxième doigt tout en me caressant le dos et en me soufflant des paroles un peu cochonnes, mais rassurante : « tu va voir je vais mettre ma bite doucement et je fais te faire gueuler de plaisir… »
Il retira ses doigts et me dit qu’il faudrait que je fasse un lavement car mon cul n’était pas net. Je me retournais avec un regard interrogateur et plein d’appréhension. Il me rassura, me disant que c’était normal et que ce serait plus confortable pour moi…et pour lui. Il me proposa d’aller dans la salle de bain pour me montrer comment faire. « T’inquiètes, on aura tous le temps de se chauffer de nouveau après, et je tiendrai mes promesses…ta première fois sera inoubliable ». Je le suivis donc dans la salle de bain, il me montra comment utiliser l’embout qui était vissé sur un flexible de dérivation dans sa douche. Après 3 injections d’eau tiède, mon orifice était bien propre, il me tendit une serviette, me laissa me sécher avant de me prendre par la main pour me guider ver la chambre. Il me fit allonger sur le dos et vient se placer en 69, je compris de suite quelle était ma mission ; le sucer pour le refaire bander à bloc. Pendant ce temps là
il reprit son traitement délicat sur mon trou palpitant. Puis il me fit mettre à nouveau à quatre pattes, étalant une bonne rasade de gel sur mon trou, dans le quel il introduisit un doigt, puis deux et en fin un troisième. Puis il me dit « je pense que c’est bon, tu es bien ouvert… toujours ok ? – ouiii !!!... ». Il déroula une capote sur son épieux, le badigeonna de gel et se positionna derrière moi, son gland sur ma rosette, légèrement appuyé. Il se pencha sur moi et vint me glisser à l’oreille : « maintenant je vais te la mettre, tu souffle un bon coup en poussant comme si tu étais aux toilettes. Je vais te la mettre d’un trait et je m’arrêterai une fois au fond pour que tu puisses t’habituer ». Il commença sa poussée, en me guidant dans ma respiration. Il m’enfila sa bite merveilleuse d’un trait. Une vague de chaleur, et une sensation entre la douleur et le plaisir m’envahirent, je n’avais jamais ressenti pareille chose. Il vint coller
son torse contre mon dos, je tremblais de tout mon corp, transpercé par son membre. Il me glissa à l’oreille : « - ça y est, tu l’a pris en entier, tu peux être fiers de toi petit mec ! ça va ? -oui ça va... ! - alors maintenant les choses sérieuses vont commencer ».
Il commença alors par de légers va et vient de plus en plus ample, moi je soupirais de bonheur, la douleur avait passé et chacun de ses coups de bite me tirait un feulement de plaisir. Il accéléra peu à peu la cadence et mes soupirs devinèrent des cris. Puis d’un coup il se retira. Il me fit coucher sur le dos glissa un cousin sous mon cul, releva me jambe et m’embrocha d’un trait. Il se mis alors à me baiser avec vigueur mes chevilles sur ses épaules. Je me laissais complétement aller à la merci de ses coups de reins puissant en gueulant de plaisir. Il se mis à me défoncer avec force, et a branler ma bite avec vigueur. D’un coup je sentit comme un arc électrique en moi, je me mis à éjaculer sur mon ventre en gueulant comme jamais et e, contractant on anus sur sa queue. Lui donna un coup de rein, en gueulant un « putain je jouis », les yeux révulsés. Puis il poussant une série de cris rauques avant de s’écouler sur le côté, retirant ainsi sa bite pri
sonnière d’une capote pleine de sperme. Il vint s’allonger sur le dos contre moi, mon corps transpirant était encore saisi de spasmes de plaisir. Je planais. Je venais de me faire enculer par un mec pour la première fois, j’avais adoré. Je sus à ce moment là que je serais passif et me mon cul serait source d’un plaisir infini.
David et moi une fois nos esprits retrouvés, avons ensemble une douche, puis une fois rhabillé il m’offrit un coca et vint s’assoir à côté de moi : « alors tu as aimé – oui c’était énorme, je ne pensais pas que ce serai aussi bon- en tous cas tu à l’air d’aimer le cul, t’es pas le premier petit mec que j’ai dépucelé, mais tu es de loin le plus chaud ». Nous avons discuté encore quelques instants, il m’apprit qu’il avait 33 ans, qu’il venait de revenir dans notre ville après plusieurs années à Toulouse. Nous avons échangé nos numéros et nous nous sommes revus quelques fois afin de parfaire on éducation sexuelle.
Aujourd’hui David n’est plus là, il s’est tué l’été dernier dans un accident de moto, je viens de l’apprendre. la vie nous avait éloigné, cela fais 5 ans que je n’avais pas eu de ses nouvelle, cependant, j’ai décidé de vous raconter cette histoire vraie de mon dépucelage par cet homme qui a eu à cœur de m’initier et de me faire découvrir le plaisir entre mec. Ma façon à moi de lui rendre hommage.
Nourspas12
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