Salut,
Moi c’est Nico, 38 ans, blond, les yeux bleus, monté 17 cm, un peu enrobé et un peu poilu.
Je suis propriétaire d’une petite librairie à Limoges. J’ai vraiment beaucoup de chances, depuis que j’ai repris le flambeau et que j’ai fait des travaux, les clients affluents. Je m’estime vraiment chanceux... car à l’heure d’Internet et des commandes en ligne, ce n’était pas gagné.
Depuis déjà deux ans, mon chiffre d’affaires augmente. J’ai des clients réguliers. Mais je fais des heures de malade. J’arrive tous les jours vers 7h et je ne quitte pas la boutique avant 20h le soir... du lundi au samedi. Mais ce métier me passionne et je vis pour mes livres. Bien sûr, ma vie privée en pâtit. Je n’ai pas de copain et je tire de temps en temps des coups à droite, à gauche. Mais rien de bien sérieux.
Bien sûr, il y a des clients que je trouve superbement beaux. Mais je reste professionnel et donc je ne laisse rien paraitre. Certains me font de l’œil mais je fais semblant de ne pas comprendre et j’ignore leur manège.
Cependant, un jour, un client, que je n’avais jamais vu jusque-là, entre et s’adresse à Christelle, une de mes employés. Il lui pose une question et elle le guide vers le rayon qu’il cherche. Elle le conseille et il l’écoute avec attention. Moi, je l’observe de loin. Cet homme est magnifique.
Il a dans les 50 ans, il a des cheveux très courts coiffés en pic à la militaire et une barbe bien entretenue, le tout de couleur poivre et sel. Il est assez grand, avec une carrure normale. Sa chemisette laisse apparaitre des bras poilus.
Elle trouve le livre qu’il cherche, il lui sourit et ils se dirigent vers les caisses. Quand il est parti, je lui demande ce qu’il cherchait :
- Il cherchait un livre d’ésotérique.
Toute la journée, je pense à ce bel inconnu. Et à mon plus grand bonheur, il revient deux jours plus tard. Quand il entre, je vais vers lui et je lui demande :
- Je peux me vous aider ?
Il me regarde et un grand sourire apparait sur son visage.
- Oui, je cherche un ouvrage sur la géopolitique. Que pouvez-vous me conseiller ?
Je vais avec lui vers le rayon et je lui montre trois ouvrages et je lui explique pourquoi ils sont intéressants. Il décide d’en prendre un et il me remercie en disant :
- C’est formidable ici. Vous êtes tellement bien au courant des livres que vous vendez. C’est un bonheur de venir ici.
Et le bel homme revient presque tous les jours d’après. Il me pose des questions et il boit mes paroles quand je lui fournis les explications.
Un jour de canicule, il entre dans la librairie non pas dans un jean mais dans un petit short court et moulant. Quand il s’approche de moi, mes yeux sont attirés par son gros paquet. Je remarque aussi ses jambes poilues. Je suis tout envoûté par ce bel étalon. Il me pose des questions sur les philosophes des Lumières et je lui propose un ouvrage de référence. Quand je lui tends le livre, nos doigts s’effleurent et je me sens comme électrisé. Nos regards se croisent et durant quelques secondes, nous ne bougeons plus. Puis, je retire ma main et il me remercie en se dirigeant vers la caisse, avec un sourire gêné.
Durant toute la journée, je me demande ce que tout cela signifiait.
- Je peux vous poser une question ?
- Oui, bien sûr.
- Vous êtes gay ?
Et là, au lieu de répondre comme à chaque fois « Pourquoi cette question ? », je murmure :
- Oui.
- Moi aussi.
On se regarde, sans dire un mot. Je me sens mon cœur battre à fond. Mais il rompt la magie de l’instant quand il reprend :
- Je dois y aller. A demain peut-être.
Il se dirige alors vers la sortie. Je reste là, troublé. Mais au bout de quelques secondes, je remarque qu’il a oublié son téléphone, qui est resté sur un rayon. Je le prends avec moi. Deux heures plus tard, lors de ma pause déjeuner, le portable sonne. Je réponds et j’entends :
- Allô ? Qui est-ce ?
- Je suis M. R. ..., de la librairie P. et P.
- Ah ! J’ai oublié mon portable chez vous ?
- Oui. Je suis en train de manger au T. Si vous connaissez et que vous êtes dans le coin, venez me rejoindre. Sinon, je serai de retour à la librairie dans une heure.
- J’arrive, à tout de suite.
Dix minutes plus tard, il arrive. Je lui tends son téléphone. Il me dit alors :
- Je peux vous payer un café pour vous remercier ?
- Ce n’est pas la peine.
- J’insiste.
- Entendu.
Il s’assoit en face de moi et mes yeux plongent dans ses grands yeux bruns. Je remarque alors qu’il arbore un sourire magique. Il me remercie et il me parle de l’importance de ce portable, que je lui sauve la vie, etc. Je hoche de la tête... mais je suis hypnotisé par son sourire qui me rend dingue. Nous buvons un café et il me paie même mon repas. Je suis gêné mais je le remercie. Nous sortons. Une fois dehors, il se retourne brusquement vers moi. Son visage est alors à 20 cm du mien. Nos yeux sont plongés dans ceux de l’autre. Je crois alors lire une trace de désir dans ses yeux. Et sans crier garde, il approche son visage du mien et... il m’embrasse tendrement. Il se recule et moi je reste complètement ébahi. Et comme piqué par une mouche, il se retourne et part en courant. Je ne sais pas comment réagir. Je retourne à ma librairie, complètement bouleversé.
Le lendemain, le client se présente devant moi. Il me montre un livre et il me demande ce que j’en pense. Je le prends en main... et nos mains se frôlent de nouveau. Le client me semble vraiment très près de moi. Son autre main frôle alors ma cuisse. Je me dis : « C’est un client ! Putain, qu’est-ce que je fais !? Il me caresse la cuisse maintenant ! ». Je sens alors soudain ma queue se réveiller. J’ai un petit pantalon en chinon aujourd’hui et je crois que mon début d’érection se fait assez visible. Et tout d’un coup, la main du client glisse vers mon entre-jambe et il commence à tâter ma bosse. Je ne me recule pas. Je le laisse faire. Le client sourit et il me demande :
- Vous terminez à quelle heure ?
- A 20h.
- Je vous attends devant la librairie à 20h.
Et il s’en va, me laissant dans cet état-là.
A 20h, quand je ferme la librairie, mon beau Casanova m’attend comme promis devant la librairie. Il me dit de le suivre et on va dans un petit restaurant du quartier. Il m’invite à manger. On parle de nos vies respectives. Il s’appelle Christian, il a 55 ans, il est responsable marketing dans une agence immobilière.
Une fois le repas terminé, il règle l’addition puis il me demande si je veux prendre un dernier verre chez lui. Je sais bien sûr ce que ça veut dire... et j’accepte. Je le trouve super gentil, très charmant... et sexy. Il me fait envie. J’ai toujours eu un faible pour les hommes plus mûrs que moi. Il habite à quelques rues du resto. Il me fait entrer dans un grand appart, très lumineux, à la décoration très chargée. Il me sert un verre de vin rouge et on trinque. Il s’approche alors de moi et il me dit :
- J’ai envie de toi, Nico.
- Moi aussi, Christian. Mais j’aimerais bien me rafraichir si tu le permets.
- Viens, nous allons dans la salle de bains.
Nous nous déshabillons lentement et je l’observe avec attention, tout comme lui.
Je remarque immédiatement que Christian a un tatouage ayant une forme tribale sur le torse. Je trouve que ce beau mec de 55 ans est bien conservé, il a de petits seins avec un torse rempli de petits poils gris. Il a un ventre plat et une ligne de poils qui descend du nombril à son pubis. Ses bras et ses jambes sont assez poilus. Son pubis a des poils plutôt noirs et courts, tout comme ses couilles. Au repos, sa bite pend mollement et son prépuce enveloppe un gland dont on distingue les contours.
On se dirige vers la douche. J’y entre, il me suit et il ferme la porte. Il prend le pommeau de douche et il me mouille. Puis, il prend un gel douche et il me savonne le dos. Il passe pas mal de temps sur mon cul. Ensuite, il me fait me retourner. Il s’occupe de mon corps, de mes aisselles... et enfin de ma queue... à qui il ne faut pas longtemps pour bander. Il me la lave précautionneusement. Quand il a fini, je me charge de lui. J’effleure son torse, je passe mes doigts dans ses poils. Je masse presque ses pectoraux. Sa queue se met à gonfler et à être bien tendu. Il a un beau morceau entre les jambes : une bite de 18 cm, épaisse, un peu plus foncée que sa peau, avec des couilles marron qui pendent bien.
Finalement, on se rince et une fois sortis, il se colle contre moi tout en me regardant dans les yeux. Son sourire a disparu... et il m’embrasse à pleine bouche. Il me roule une grosse pelle. Il m’attire ensuite vers sa chambre, me maintenant contre lui, m’embrassant sauvagement. Il me pousse sur le lit et il prend ma queue en bouche. Il me suce avec passion tout en branlant ma bite. Je soupire de soulagement. Puis, sa langue passe le long de mon ventre et de mon torse pour se retrouver dans me cou. Il me caresse tout en me léchant dans le cou, mon point faible. Je me mets à gémir fort. Puis, il remonte et m’embrasse. Je sens son gros morceau collé contre mon ventre.
Je descends vers sa bite après avoir joué avec ses aisselles et ses tétons. Je la prends en bouche et je la suce délicatement. Elle est trop bonne, elle est bien dure. Elle me remplit bien la bouche. Je fais des allers-retours dessus et j’arrive à faire des gorges profondes qui le font gémir. Christian me caresse la tête et il donne parfois de légers coups de reins. Moi, j’accélère ma suce. Je le regarde avec envie et lui se mord les lèvres. Quand je me redresse, il me roule une pelle. Quasiment en même temps, chacun saisit la bite de l’autre que nous branlons. Puis je reprends ma suce. Je la déguste comme une sucette.
Puis, Christian me met ses mains autour de la tête et il m’impose une lente baise de ma bouche. Ensuite, il se penche sur ma queue et nous faisons un beau 69. Finalement, il se recouche sur le lit, moi je monte vers lui et je l’embrasse. Sa main masse mes fesses et sa bite tendue me titille la rosette. Lentement, ses mains me font descendre vers sa queue et son gland se retrouve dans mon anus. J’ai envie de protester... J’ai envie qu’il mette une capote... mais la sensation de son gland dans mon cul... sans protection est tout simplement trop bonne. Voyant que je ne dis rien, il continue de me faire descendre sur sa teub qui m’écarte bien les chairs. Elle m’ouvre bien. Elle pénètre dans mon intimité, elle y progresse et mon cul arrive sur ses couilles dont les poils me chatouillent.
Christian pose ses mains sur mes cuisses et il se met à me baiser. Il fait des allers-retours dans mon cul. Le matelas rebondit bien ce qui lui permet de me baiser profondément. Je l’embrasse avec fougue et passion. Ses coups de reins s’accélèrent, il me baise rapidement. Puis, il me relève, le cul au bord du lit et il s’enfonce en moi, debout. Il me baise lentement tout en me branlant. Puis il accélère, ses coups de queue faisant vibrer le lit. Il sort et rentre bien dans mon anus. Ensuite, il vient se placer devant ma bouche qu’il se met à baiser doucement. Puis, il me fait mettre sur le ventre et il replonge sa queue dans mes entrailles.
Il me lime de façon régulière et profonde. Son gland masse ma prostate et je sens mon jus monter. Après 10 minutes, je sens ma queue durcir et se mettre à tressailler. En effet, je sens la jouissance arriver... et une minute plus tard, ma queue tendue contre mon ventre lâche cinq gros jets de sperme qui fusent sur les draps et contre mon torse. Je gueule de plaisir. Les contractions de mon anus doivent avoir raison de l’endurance de mon étalon. Christian accélère le rythme et très vite, il donne un coup sec dans mon cul qui se met à se remplir. Je sens 8 jets puissants et crémeux frapper le fond de mon cul.
Christian donne encore quelques coups de bite, tassant son sperme qui se met à couler lentement de mon anus. Puis, il se pose à côté de moi et nous nous embrassons tendrement. Nous restons dans les bras l’un de l’autre et nous nous endormons ainsi. Le lendemain, quand je me réveille, je l’observe en train de dormir. Je ressens alors un sentiment que je n’avais pas ressenti depuis longtemps. Je crois que je développe déjà des sentiments pour ce beau quinquagénaire.
A suivre...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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