Le maton

Chapitre-1

Cela se passe en 2014, début année, en février peut-être je ne sais plus exactement. A cette époque j’étais célibataire et je passais pas mal de weekend à Toulouse. Ce vendredi soir là j’avais réservé une chambre dans un hôtel 2étoiles du quartier st Aubain, pas loin du Sauna le KS et du bar le Bear’s , mes lieux de perditions du moment lors de me escapades de célibataire. Je décents dans cet hôtel modeste de 12 chambres depuis un moment, j’ai sympathisé avec le gérant, il me fait un bon prix pour 2 nuits que je lui paye en liquide. Les chambres sont simples et propres, un plumard, une douche et une chiotte…je n’ai pas besoin de plus. Je peux y ramener mes conquêtes sans que çà pose problème à personne, le taulier me donne une chambre en fond de couloir avec comme pièce voisine le local ménage et en face le stock de linge, comme çà les voisins de sont pas dérangés !

Je suis partit à 19h en sortant du boulot, cette aprèm pendant ma coupure j’ai confié mon chien à ma mère, chargé mon sac, Toulouse me voilà. J’arrive vers 21h45, je passe à l’hôtel récupérer ma clef auprès du taulier qui m’as attendu, je lui glisse son enveloppe avec le montant en liquide, je refile 20 balles de plus pour le dérangement. Je prends procession de ma chambre, une douche, un jean une chemise à carreaux Levis et cap au Bear’s. En chemin je me fais vite fais le budget du weekend, il me reste 180€ en liquide de mon dernier extra…ça va être chaud pour passer le WE, mais çà va le faire.

J’arrive au Bear’s, un peu de monde, mais sans plus, il est 22h30 la soirée de fait que commencer. Je me dirige vers le bar, je claque la bise au barman que je connais un peu. Je prends une bière et vais me caller au fond du bar contre la cabine fumeur. De là je peux observer tranquille. Au Bear’s il y a plusieurs types de clients : la clientèle cible ; les mecs forts, poilu, barbus style ours et ceux qui les aimes. Il y a aussi quelques nanas qui viennent ici pour être dans un lieu safe, entourées de PD qui dansent avec elles sans se frotter comme des porcs, il y a aussi quelques hétéros fluides qui viennent s’encanailler et tout une faune d’amateurs de musique et de danse attirés par la gratuité de l’entrée et la qualité des DJ. Bref des quoi passer une soirée sympa dans un cadre sympa et sécure.

Moi je suis de style ours, 180, 95kg du bide, un peu de gras dans les nichons, de gros tétons et un torse très poilu. Je suis barbu, barbe longue châtain clair les cheveux mi-long, avec mon look jeans chemise à carreaux je suis le Bear typique de 30ans qui a un certain succès auprès des amateurs. J’ai oublié de vous dire sous mon apparence virile, je suis passif tendance très gourmande, d’ailleurs je porte un jock-strap, j’ai fait un lavement et glissé une goute de lubrifiant sur ma rondelle souple si jamais un gars avait l’idée d’y aventurer un doigt au cours d’un rapprochement.

J’ai vidée ma première bière, une envie de pisser me prend, je me dirige vers les chiottes, situé de l’autre coté du bar, au passage je dépose mon verre vide et sans le vouloir je bouscule un mec assis sur un tabouret : « je suis vraiment désolé…je t’ai pas fait mal ? » le mec se retourne, un beau mec métis style antillais, belle gueule, beau sourire, il se lève…il est plus grand que mois, assez massif, habillé simple « jeans T-shirt blanc », beau sourire il me dit : « non çà va t’inquiète !...euh moi c’est Raph (il me tend la main)- salut moi c’est Rémi, enchanté »… il poursuit : « tu bois un verre ?-oui avec plaisir, mais d’abord fait que j’aille au toilette, j’ai une envie de pisser qui me fend le crane » il se marre et me dit « je t’accompagne ».

Nous voilà donc parti vers les toilettes, on s’installe à la pissotière unique (c’est en gros une gouttière de 3m sans séparation), on déballe notre matos et on commence à pisser. Je n’ai pas une très grosse bite (15 en érection mais large) et au repos elle parait vraiment petite (il parait qu’on appelle ça un pénis de sang en opposition à un pénis de chair). Je pisse comme un damné sans pouvoir m’arrêter. Je profite de la promiscuité pour jeter un coup d’œil a ma droite sur le matos de Raph. Il a largement dégrafé son pantalon, sortit tout son paquet entier, deux belles couilles noires très pendantes et un beau morceau très noir, non circoncis. A priori il a fini de pisser et semble juste prendre plaisir à exhiber son paquet et à lui faire prendre l’air ; en mode mec qui est fier de ce qu’il a entre les jambes, et çà je kiffe. « et ben c’était une grosse envie dis donc ! – je t’ai dis une envie terrible, et toi c’était une petite,

à moins que ta bête ai juste eu envie de prendre l’air et de se laisser admirer » je lui fait un clin d’œil et remonte ma braguette. Il fait de même en rigolant et nous rejoignons le bar. Il m’offre le verre promis et nous discutons. Il m’apprend qu’il est à l’école de l’admiration pénitentiaire d’Agen. Je manque m’étouffer avec ma gorgée de bière ; putain un maton ! moi le gaucho limite anarko je suis, je suis entrain de flirter avec un maton ! merde ! heureusement que j’ai eu un avant-gout de ce qu’il a dans le pantalon et que je me vois déjà l’accueillir au chaud dans mon antre, sinon je l’aurais peut-être planté là ! des fois le coté salope l’emporte sur les convictions ! Une fois l’information digéré, nous continuons à flirter, nous allons danser, puis allons fumer une clope…bref le courant passe.

Nous étions en train de boire un verre au bar quand le Dj baisse la lumière en envoie du son un peu plus caliente. Il me prend par la main et m’entraine sur la piste, nous nous metton à danser très proche et il se rapproche encore, passe ses bras autour de mon coup et commence à m’embrasser, puis nous nous roulons une pelle magistrale, je sens son paquet qui a pris du volume contre ma cuisse. Il passe sa main dans la chemise et fais sauter les pressions, il se penche à mon oreille et me dit qu’il y a beaucoup de mecs torse-nus et que tu peux bien faire pareil. On se rapproche encore, il fait glisser sa main gauche le long de mon dos, puis dans le creux de mes reins pour arriver vers mes fesses, il me glisse à l’oreille alors qu’il trouve très coquin que j’ai mis un jockstrap. Je réponds que s’il descend un peu plus bas il verra combien je suis coquin, tout en lui mettant la main au paquet, ou je sens sa queue au mieux de sa forme collée le long de sa cuisse droite. La bête à l’air de vouloir prendre l’air à nouveau. Je l’entraine un peu à l’écart cachés derrière la foule de des danseurs et il hasarde sa main un peu plus bas et son majeur vient titiller la rosette chaude et légèrement dilaté par l’excitation : « en fait t’es vraiment très chaud toi, tu aimes la bite ! » je lui réponds « C’est là mon moindre défaut mon cher, si tu veux je peux te monter oh combien je l’aime »…

L’ambiance est hyper hot, mais il faut qu’on arrive à caller notre projet pour la deuxième partie de soirée, nous allons donc fumer une clope pour être au calme. Il me dit être emmerdé car il crèche chez un pote qui est en soirée de son côté, qu’on ne peut dons pas aller « chez lui »… et la je sors ma carte maitresse, en lui disant que j’ai une chambre d’hôtel pour le weekend, que le patron est très compréhensif et qu’il n’a qu’à envoyer un texto à son pote pour lui ne rentre pas ce soir. Il hésite un peu, je m’assoie alors sur se genoux et lui malaxe ta teub à travers le jeans an lui disant les yeux dans les yeux que j’ai envie de lui ! il craque et me dis ok, nous allons donc récupérer notre vestiaire, nous sortons, il est minuit et demi, il envoie tu texto a son pote qui lui répond « régale toi bien ».

Nous avons quelques minutes de marche pour rejoindre l’hôtel, dans la rue nous déconons comme deux potes en goguette. Je lui sans bravache « je ne sais pas si mes capotes seront assez grandes pour ce que je devine de ta bite »… il me répond qu’il n’a jamais été gêné par les capotes…et qu’il vient de faire un test il y a 15 jours et qu’il n’a pas baisé depuis un mois… moi aussi j’ai viens juste de faire un test et je suis ok. Nous convenons tous les deux que nous sommes prêts à prendre le risque de nous passer de latex ce soir. Nous sommes de grands garçons conscients de ce qu’ils font !

Nous arrivons à l’hôtel, à peine la porte de la chambre refermée, nous nous jetons l’un sur l’autre, en moins de deux nous voilà poil, ( je garde mon jock qui semblait tant lui plaire…on est cochonne ou on ne l’est pas ). Je le pousse à plat dos sur le plume et me jette sur lui on se roule une pelle de ouf et je prend le contrôle. Je fais glisser ma langue dans son cou, son torse, je mordille son téton droit et me laisse glisser le long de ses abdos jusqu’ l’objet tant convoité : sa magnifique teub ! Elle est raide comme un piquet, plaquée contre son ventre, noire, luisante veineuse, d’un gros calibre en longueur comme largeur, un gland violet foncé partiellement recouvert par son prépose, elle surplombe deux belles couilles bien pendantes, la peau de son scrotum est noire, le tout est parsemé de poil noirs frisées coupés assez court. Je suis comme un fou. Je le prends en bouche et le décalotte avec les lèvres et le suce avec frénésie. Puis je me mets à califourchon face à lui , de la main gauche j’attrape le tube de gel, tout en lui roulant une pelle, je m’en enduit la rondelle, j’en tartine un peu sur sa bite et je la positionne contre mon trou. Je pousse un bon coup et je m’empale d’un trait sur son membre viril. Je suis si excité que çà passe crème. Je le regarde droit dans les yeux, sa bite bien callée au fond, les fesses écartées au point que je sens ses poils pubiens qui titillent l’entrée de mon antre. Il me regarde l’air surpris et admiratif : « alors toi ! c’est la première fois qu’on la prend comme çà sans broncher » je soupire d’aise et entame un peu de va et viens endiablé. D’un coup il me choppe par les épaules m’arrête net : « à moi maintenant, à quatre pattes ! ».

Je lève, et le mets dans la position qu’il demande, il se met debout, me choppe par les hanches et me fait me positionner au bord du lit. Il me claque le cul, m’appuie sur les reins pour que je me cabre un max et m’enfonce sa queue d’un coup sec, il ressort met du gel et me la refile aussi sec ! Il se met à me défoncer a grand coup de reins comme un dingue : « ah tu la voulais ma grosse bite, et bien la voilà, j’ai pas baisé depuis un mois, tu m’a chauffé toute la soirée…je vais te démonter comme tu le mérite !!! » je lui répond « même pas cap’ ! ». Il se déchaine dans mon cul pendant de longues minutes. Je gueule comme un taré, je prends un pied d’enfer, j’adore qu’on me baise comme çà, mais les occasions sont si rares..

Puis il stoppe net sa défonce me fais mettre sur le dos, mets le traversin sous mes fesses, lève me jambes et me pénètre de façon langoureuse, sa queue glisse naturellement dans mon conduit en feu. Il se cale bien au fond se penche sur moi, le roule une pelle et me souffle : « maintenant que je me suis bien défoulé je vais te faire l’amour et te faire un gosse ». Il entame alors de longs aller-retour, allant jusqu’à sortir sa bite, et replongeant bien au fond ; il me fait vraiment grimper au rideaux ! pendant nos ébats je ne suis débarrassé de mon jock-strap, je suis donc la allongé sur le dos entrain de me faire labourer la cul par un baiseur exceptionnel, la queue bandée à bloc ; n’y tenant plus je commence à me branler. Mon jeu de main combiné à ses coups de butoir me fait littéralement exploser, je jouis comme un fous, crépissant mon ventre se sperme. Mon orgasme provoque naturellement des contractions de mon anus, que j’amplifie volontairement ; il cale sa bite bien au fond, je la sens tressauter, il gémit, pousse des feulements comme un fauve, Raph est en train de jouir et de me remplir !

Il ressort aussitôt sa queue, je pense que c’est fini ; mais non, il récupère mon sperme avec ses doigts en tartine son membre, qu’il introduit à nouveau dans mon cul ! il me lime 2-3 fois avant de ressortir pour de bon. Là je me jette sur sa queue qui commence à débander pour la décrasser…je la suce goulument. Visiblement surpris, il me regarde d’un air vicelard, me chope par le menton et me roule un patin, récupérant ainsi son sperme, mélangé au mien ! il vient ensuite s’allonger à mes côtés. Nous reprenons nos esprits et filons à la douche…nous avons passé une nuit de baise intense, la suite au prochain épisode !