Chapitre-1
Je m’appelle Antoine. A l’époque j’avais une vingtaine d’années et nous avons décidé avec plusieurs potes d’aller en Algérie visiter le pays. Comme on était cinq, on a pris la camionnette du père de Jérôme. On l’a aménagée sommairement : deux matelas pour 4 et le dernier dormirait sur la banquette arrière. On a aussi emmené une cuisinière de camping et évidemment nos affaires personnelles. Bref la camionnette était bien pleine et nous voilà partis vers 20h de Nancy direction l’Espagne. Premier objectif : Alicante pour prendre le ferry pour Mellila, l’enclave espagnole au Maroc. Comme on veut arriver au plus vite, on se relaie au volant. Deux équipes de deux et le cinquième qui bénéficie d’une nuit complète. Et évidemment on tourne.
Nous prenons le premier quart avec Jérôme pendant que José, Karim et Julien vont dormir. Autoroute tout du long, c’est un peu chiant et il n’y a que la conversation qui nous tient éveillés. Rapidement on parle de cul pendant que les autres dorment. Jérôme me raconte ses derniers plans culs, je fais de même. Sauf que moi je suis gay, et mes histoires ont l’air de bien exciter Jérôme qui me montre son gros barreau qui tend son short.
A deux heures du matin on réveille Karim et José qui prennent le relais. Avec Jérôme on se glisse sous la couverture qu’ils viennent de quitter et qui est encore chaude de leur corps. Après la conversation avec Jérôme, ça m’excite assez de prendre la place de José qui m’a toujours bien fait de l’effet. Nous nous retrouvons Jérôme et moi torses nus et en slip sous la couverture. Il me dit que mes histoires l’ont bien chauffé et qu’il voudrait se branler vite fait afin de fair descendre la pression. Je lui dit que cela ne me dérange pas et que je vais peut être faire pareil. Nous voilà tous les deux slip baissé et teub à la main pendant que Julien continue sa nuit (enfin c’est ce que je pensais) et que les autres discutent devant.
On a rapidement la queue bien raide, nos cuisses se touchent. A un moment Jérôme prend ma main et la pose sur sa bite. Je ne me fais pas prier pour la branler. Il mouille pas mal et je change de main pour ne pas trop fatiguer ce qui fait que, comme je continuais à me branler, je me branle maintenant avec la mouille de Jerome. A un moment, Jerome se penche à mon oreille et me dit « suce moi s’il te plaît j’ai très envie ». J’hésite quelques microsecondes avant de me pencher sur lui et donner quelques coups de langue sur son gland pour bouffer sa mouille, puis lécher tout le tour du gland, puis commencer à avaler sa bite. Elle n’a rien d’exceptionnel mais est très dure. Je le suce comme ça en lui malaxant les couilles et d’un coup, sans prévenir, il me balance 3 ou 4 jets de sperme dans la bouche. Je ne sais pas trop quoi faire alors j’avale tout. Il me branle et je viens très rapidement dans sa main. Il me l’a fait nettoyer avec ma bouche. On se recouche et il me dit en se collant à moi : « Tu es une bonne petite cochonne, on ve bien s’amuser pendant ces vacances ».
Chapitre-2
Après ce premier quart avec Jérôme, ce petit moment bien excitant avant de dormir, nous dormons quelques heures pendant que Karim et José continuent leur quart. Je me réveille a un moment car je sens une main me caresser la cuisse. Mais ce n’est pas Jérôme qui dors à poins fermés. Cela ne peut donc être que Julien. Je fais semblant de dormir tandis qu’il poursuit ses caresses. Mon corps n’y reste pas insensible et je me mets à bander comme un âne. Je n’arrive pas à voir Julien Qui est en fait en contrebas de notre matelas. Il sort ma queue du slip et commence à me masturber doucement.
Ce moment est interrompu car Karim et José s’arrêtent sur une aire d’autoroute. Tout le monde va dormir. On organise les dortoirs et je me retrouve comme par hasard sur le même matelas que Julien. Quand tout le monde est bien installé, le silence prend possession de la camionnette, les respirations s’apaisent. Je sens le souffle chaud de Julien sur ma nuque. Je me rappelle de ses caresses de tout à l’heure, je retrouve ma trique alors que j’ai l’impression que son corps se rapproche de moi. Une main se pose sur mon flanc et Julien se colle à moi, sa bite que je sens dure se colle à mes fesses. Mon cœur bat à tout rompre. Il se frotte contre moi. J’ai très envie de baiser, je sens ses pecs poilus contre mon dos. Alors doucement je me retourne sans bruit, colle ma queue contre la sienne et enfonce ma langue dans sa bouche. Il me rend mon baiser avidement. Je descend le long de son corps pour avaler sa bite frémissante que je suce et tête. Il vient très vite
en se mordantle poing pour ne pas faire de bruit. Une fois encore j’avale tout.
Décidément je sens qu’il va se passer beaucoup de chose pendant ces vacances.
Antoine69
antoined69@yahoo.fr
Autres histoires de l'auteur :
Signaler aussi tout texte incitant à la haine, au racisme, à la violence, à l'absence de consentement et à la cruauté. Zoophilie, pédophilie, scatophile c'est non et
Cyrillo.biz ne revendique aucun droit sur les textes publiés.
Les textes publiés ont tous été envoyés directement à cyrillo.biz
Les auteurs sont libres de retirer leurs textes sur simple demande à cyrillo@cyrillo.biz