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Chapitre-4
Dans cette série je vous raconte un de mes weekend de célibataire à Toulouse. Je vis dans un petit patelin de l’Aveyron, je suis ouvrier agricole, pas super bien payé. Je finance mes escapades de débauche toulousaine par des petits extras au black ; vente de bois, de champignons ou de narcisses au printemps (cette fleur est très prisée des parfumeurs, des courtiers parcourent la campagne au printemps et les achètent un bon prix, il faut juste être courageux). Je suis de style Bear, 1.80m, 95 kg, des formes et des rondeurs. Je suis assez poilu, monté 15cm, mais peu importe je suis passif et très branché cul. Je vais passer un weekend à Toulouse, toute les 4 à 6 semaines. En local j’ai 2 ou 3 plans cul réguliers, plus un peu de mec de passage grâce à une célèbre appli qui commence à bien se diffuser (nous sommes début 2014). Je suis assez à l’aise avec ma sexualité, j’évolue dans un monde viril et macho, mais je dois dire que je ne souffre d’aucune discrimination. A la cambrousse, dans le milieu agricole, on te juge avant tous sur ton travail et ton courage à la tâche. J’ai la réputation d’un mec bosseur, sur qui on peut compter, réglo et habile de ses mains. J’ai un employeur chez qui je bosse depuis 4 ans, je m’occupe quasiment seul de son troupeau de brebis laitières, et je ne manque pas de sollicitations pour aller faire « des journées en plus ». J’occupe une maison de famille au confort assez spartiate, mais çà me va. Une cuisine, un poêle, un lit et une salle de bain avec eau chaude…pour moi c’est suffisant ! Je partage ma vie avec mon chien qui me suis partout, sauf pour mes escapades « à la ville » ou je le confie à ma mère. J’aime bien ma vie, à la campagne avec des potes pour boire des canons, et mes escapades où je peux me lâcher.
Je commence à avoir des habitudes toulousaines, je vais toujours au même hôtel, le taulier est sympa, il me fait un bon prix pour deux nuits que je lui paye « en images ». Je vais désormais uniquement au bar le Bear’s, car là-bas je sais que je vais trouver des mecs qui aiment les ours. Je n’ai pas à subir les râteaux que je peux essuyer dans des clubs gays plus classiques où le surpoids et les poils ne sont pas toujours bien acceptés.
C’est donc un vendredi soir, au Bears que j’ai rencontré Raph, un beau male antillais en pleine force de l’âge, grand, Barraqué, actifs, chaud et bien monté : combo gagnant ! après une nuit et une matinée de baise endiablée nous avons décidé de passer notre weekend ensemble vu notre compatibilité sexuelle et nos appétits respectifs. Son seul défaut : il se destine à une carrière dans l’administration pénitentiaire, moi qui suis d’un naturel libre et frondeur, la nouvelle m’a eu peu remué. Heureusement c’est pas le métier qu’on suce !
Raph est parti en début d’après-midi chez le pote qui devait l’héberger pour récupérer ses affaires et sa voiture. Il m’a ensuite rejoint au sauna le KS ou après une partie de baise des plus plaisante, nous nous sommes partagés Florent, un mec Bear habitué du KS qui avait flashé sur mon bel étalon, nous avons aussi profité des installations du sauna pour nous détendre.
Il est 22h, nous sortons du restau, Raph a envie de rentrer à l’hôtel…il est encore chaud comme la braise, et j’avoue que moi le projet me motive. Nous récupérons ses affaires à sa bagnole et filons à l’hôtel. Le temps qu’il défasse son sac je file à la salle de bain pour vérifier le caractère visitable de mon intimité. Je sors de la salle de bain, mon homme est sur le lit en boxer. Le sous vêtement est vraiment au bord de l’explosion, il a glissé sa queue en érection dans la jambe de son boxer, le long de sa cuisse. Je me fous à poil direct et lui bouffe la bite à travers le tissu. Puis j’agrippe l’élastique de son calcif, le tire vers le bas, sa teub tendue comme un arc vient se plaquer contre son ventre. « Vas y bébé, viens faire mumuse avec ton joujou préféré ». Pas besoins de me le dire deux fois, je le suce avec gourmandise. Je lèche son membre de haut en bas, passe la pointe de ma langue tout autour de la collerette de son gland que je viens téter comme un biberon. Puis j’avale sa queue le plus profonds possible, je fais de mon mieux mais je ne suis pas doué pour les gorges profondes, je réprime un haut le cœur et lache sa bite. Il se fout de moi « alors on renonce » , je lui répond que je suis plus doué avec mon cul qu’avec ma bouche.
« Et bien alors à quatre patte », je m’exécute. Il choppe du gel, ma graisse rapidement le fion et m’effile direct sa teub d’un seul coup long et appuyé. Putain ! mais j’adore ça ! me sentir en broché comme çà avec fermeté. Il m’écarte les fesses et s’enfonce le plus loin possible. Ses belles couilles noires bien pendantes viennent toucher les miennes. Il reste ainsi immobile un long moment. «putain mec que c’est bon te de sentir comme çà, ta queue est parfaite, je kiffe la sentir en moi- ah ton cul ! il est si chaud si accueillant, on dirait qu’il est fait juste pour mon chibre ! » . Je me laisse glisser allonger sur le ventre, le cul un peu cambré. Il suit le mouvement et s’allonge sur moi, sa pine toujours bien plantée. Il reste bien au fond et me mets une série de petits coups de reins. Il me prend comme çà, avec douceur et volupté. Il prend son temps. Je sens son souffle chaud dans mon cou, il me glisse des mots doux et crus à l’oreille, des trucs qui fond du bien à l’ego. Au bout d’un moment il se retire, je me couche sur le dos, met le traversins sous mon cul et lui dit : « prends moi comme çà , je veux te voire pendant que tu me besogne », il relève alors le jambes, les écarte et viens prendre procession de mon antre. On baise comme un certain temps, puis il me dit « bébé, t’es prêt pour le final ?!-oui-alors c’est partiiii !». Il accélère ses coups de reins tout en me branlant avec vigueurs. Nous jouissons ensemble, lui en moi et moi sur mon ventre. Il sort sa bite, et se jette sur mon cul avec sa boucle. Il lèche son sperme qui c’est de mon trou, puis viens récupérer mon sperme sur mon bide avant de venir me rouler une pelle au jus. Il vient ensuite se coucher sur le dos à mes côtés. Il regarde son tel et s’exclame : « bébé ; il est minuit et demi ! on a baisé pendant plus de 2h ! j’ai pas vu le temps passer ! tu es en train de ne rendre dingue de toi », je le regarde et lui souris. Il me dit qu’un petit som lui ferrait du bien, il se couche sur le coté je me colle contre son dos en sueur . Je m’endors en sentant son foutre couler dans la raie, c’est assez grisant.
Nourspas12
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