Salut à tous,
Je m’appelle Esteban. J’ai 43 ans. Je suis célibataire depuis maintenant 2 ans. J’étais avant en couple pendant presque 10 ans avec ma femme. Mais je suis bisexuel et depuis mon divorce, mon entourage sait que je couche aussi bien avec des meufs qu’avec des mecs. Et je profite de mon célibat. Je rencontre pas mal de mecs pour des plans d’un soir sur des tchats. Quant aux meufs, je les rencontre plutôt dans des bars dans lesquels je sors les jeudis ou les samedis soir avec des potes.
Je fais 1,80m, je suis blond, avec une barbe de trois jours, mon corps est imberbe. J’ai des poils sous les aisselles et sur le pubis, qui est assez velu. Mes couilles sont aussi poilues tout comme mes jambes. Je suis musclé sec, avec des biceps et des pecs bien dessinés. Au repos, ma teub est plutôt petite mais elle est très épaisse et mon gland est proéminent. J’ai de grosses couilles pendantes, lourdes, velues. Quand je bande, j’ai 18 ou 19 cm entre les jambes.
J’ai de gros besoins sexuels. Je me branle au moins 2 fois par jour : le matin avant de partir au boulot et le soir en rentrant. En plus de cela, l’idéal pour moi serait d’avoir au minimum 6 plans par semaine... mais même si je suis bien foutu et que je plais à pas mal de mecs et de meufs, je suis en manque en ce moment, les mecs n’étant pas très sérieux sur le site. Donc branlette. Très souvent. Vraiment très souvent ! De plus en plus régulièrement, j’adore me servir de mon gros gode de 21 cm pour me faire plaisir.
Et aujourd’hui, comme très souvent, je suis en train de chercher des vidéos de grosses bites sur un site porno très connu... quand mon regard s’arrête sur une vidéo dans la liste de recherche. Je crois halluciner, je me frotte les yeux. Je clique sur la vidéo, c’est un « vieux » porno des années 2000. Le mec que je vois sur l’image me semble très familier. Je clique alors sur la vidéo qui se met en marche. J’avance un peu. Et je regarde le mec qui est en train de défoncer un passif. L’actif semble avoir une queue de cheval. Je mate son corps : il a un super corps musclé sec, quelques poils sur son torse et sur le pubis. Il a de grosses couilles rasées.
Il est en train de sauter un petit rebeu. Finalement, la caméra fait un gros plan sur sa queue qui est vraiment énorme, qui est très épaisse et qui agrandit bien le trou du passif. Puis, la caméra fait un plan général avant de zoomer sur le visage du passif… et enfin de l’actif qui est en train de se faire plaisir dans le petit cul. On lit l’excitation sur son visage. Soudain, je fais pause. Je suis assez chamboulé. Le mec me rappelle vraiment quelqu’un. Je sais que ça ne peut pas être possible. Finalement, je me précipite dans le tiroir d’un placard, je fouille et j’en tire un album photo. Je retourne à l’ordinateur. Je mets l’album sur mes jambes et je tourne les pages rapidement. C’était l’album photo que j’avais fait dans mon adolescence et durant mes années de fac, à l’époque où les appareils photos étaient encore à la mode. Je tourne les pages rapidement … et finalement je tombe sur la photo que je cherchais. Je la sors délicatement et je la compare au visage de l’actif. Et je m’en rends alors vraiment compte qu’ils se ressemblent vraiment comme deux gouttes d’eau. L’acteur porno ressemble à Benjamin, un de mes bons potes de fac ! Je ne peux en croire mes yeux !
« Est-ce que Benjamin a tourné dans des pornos gays ? », me demandé-je. Je vois le nom de l’acteur : Max LaGrossePine. Je me rends sur la barre de recherche du site porno et je tape ce nom. Une dizaine de vidéos apparaissent. Je clique sur la première vidéo, je la regarde. Je suis vraiment tout excité, je bande à fond à m’en faire péter le rouleau. Puis finalement, mon regard est attiré par le ventre du mec. Il a un grain de beauté sur le bas du ventre, à droite. Je reprends l’album photo et je cherche des photos de Benjamin en petite tenue. Je me rappelle vaguement en avoir fait une quand on était parti en vacances ensemble en Espagne. Et finalement, j’en trouve une de nous deux, avec son bras autour de mon cou, à la plage. On était en maillot de bain. Je remarque alors que son maillot de bain renferme un beau paquet. J’avais oublié ce détail. Puis, je regarde son ventre et en effet, je découvre le même grain de beauté à la même place que sur la vidéo. Je suis abasourdi. Je fais une recherche sur Google et une vingtaine de vidéos apparaissent. J’en vois une intitulée « Max LaGrossePine baise un black ». Je la mets en route et je regarde. Un petit renoi est dans une discothèque. Il est en train de danser et je vois Benjamin qui arrive et qui se déhanche derrière le renoi. Il frotte son morceau sur le cul du renoi qui touche son matos et il est tout de suite intrigué. Il se mord les lèvres et il se frotte avec son petit cul contre la bite de mon pote. Puis, ils disparaissent dans les toilettes. Là, ils sont bien sûr seuls. Le black ouvre le pantalon de « Max LaGrossePine », il en dégage sa grosse queue ! La caméra fait un gros plan dessus. Elle est vraiment énorme. Le renoi la suce, puis mon pote finit par l’empaler dessus et par le baiser sans capote jusqu’à ce qu’il lui jouisse dans le cul. Je jute au même moment que lui 6 grosses giclées qui jaillissent dans toute la pièce et qui atterrissent sur le bureau, sur l’ordinateur et sur le sol.
Je nettoie toutes ces cochonneries, puis, je m’assois devant l’ordinateur. Je suis vraiment sous le choc. Est-ce que j’hallucine ? Je fais d’autres recherches sur Google. Apparemment, cet acteur porno a été actif de 2000 à 2004 ... On était ensemble à la fac de 1999 à 2001 ! 2004 ? 2 ans avant qu’il se mette avec sa femme et 3 ans avant la naissance de sa première fille. Ça pourrait correspondre. Je fais alors de plus amples recherches et je tombe sur d’assez nombreuses vidéos. Je dois alors me rendre à l’évidence que Benjamin, quand il avait 20 ans, était acteur porno gay, actif, avec une bite de cheval. Franchement, je ne sais pas combien elle fait, mais je dirais bien 25 cm, donc c’est clair qu’un double décimètre n’arriverait pas à mesurer cette massue. Durant les jours suivants, je ne cherche pas à faire de rencontre, je passe mon temps à mater des pornos de mon pote et à me branler dessus.
Etrangement, le fait qu’un de mes meilleurs potes ait fait du porno m’excite, je repense de plus en plus souvent à ses vidéos. Je finis par connaitre les goûts de mon ami : il semble aimer l'anal, se faire bouffer le cul et être dominant. A force d'y penser, je ne peux plus résister et je finis par appeler Benjamin sous un prétexte. Genre on s’est perdu de vue, je pensais à lui et j’ai envie de renouer notre amitié.
Deux semaines après ma découverte, je rencontre mon pote dans un bar. On se met à parler du bon vieux temps. Je trouve qu’il est bien conservé. Il a aussi la quarantaine, il est toujours marié avec sa femme. Il est sportif, encore bien foutu, c’est un bel homme. On reparle du passé. Avant de se quitter, je l’invite à manger chez moi. On convient d’un rendez-vous la semaine prochaine.
Il arrive le jour J à 19h chez moi avec une bonne bouteille de rouge. On mange, on boit pas mal. Le repas est convivial. C’est comme si on ne s’était jamais perdu de vue ! Après le café, je décide enfin de le confronter. Je lui montre la vidéo que j’ai trouvée et je lui demande :
- C’est toi ?
Après un long silence, mon pote répond, entre gêne et une certaine fierté :
- Oui ... J’ai expérimenté le monde du porno sur les conseils d'un de mes amis d'enfance à une époque où j’avais besoin de fric… Et vu que j’avais de gros besoins sexuels et j’ai donc joint l’utile à l’agréable !
- Putain ! Je m’en doutais ! Ta femme est au courant ?
- De mes gros besoins sexuels ? Oui. On a baisé sans arrêt quand on était jeune. Maintenant, c’est devenu plus rare...
Je me mets à rire :
- Non, ce n’est pas de cela dont je parlais... Je pensais plutôt aux pornos ?
- Je sais pas… Je crois pas …
Un silence s’installe. Puis, je reprends :
- Tu en as fait combien ?
- 50 je pense.
- Ouah ! Impressionnant !
- Et alors ? Tu as trouvé comment mes pornos ?
- Trop excitants… surtout ta grosse queue. Elle est vraiment énorme… hors normes !
Benjamin éclate de rire.
- Oui, elle fait son effet !
- Elle mesure combien ?
- 24 cm.
Je demeure stupéfait… et tout excité en même temps. Je reprends :
- J’ai quand même couché avec pas mal de mecs… mais j’ai jamais vu d'aussi grosses bites pour de vrai, ailleurs que dans les pornos.
- Ah bon ? Tu couches avec des mecs, toi ? Tu étais pas marié avec une meuf ?
- Si, mais j’ai toujours eu des envies pour les mecs. J’ai essayé à l’époque de la fac. Puis, je me suis mis en couple avec mon ex. Mais depuis mon divorce, je profite de ma liberté retrouvée pour rattraper le temps perdu et pour vivre à fond ma bisexualité !
- Ok, cool ! Et donc, t’as jamais vu d’aussi grosses bites que la mienne ? Moi, j’en ai déjà vu des plus grosses. T’as pas dû mater tous mes films, dit-il en riant.
- Non, mais j’aimerais vraiment voir ça en vrai. Je déconne pas. Regarde, je vais te montrer mon gode… le plus gros que j’ai.
Je vais chercher le godé dans un tiroir. Il fait 21 cm et il est très épais.
- Ta queue est vraiment plus grosse que ça ?
- Oui, je pense bien.
- Putain ! En tout cas, tes partenaires dans les films pornos avaient l’air de bien l’apprécier.
- Oui… mais dis-moi… c’est ton gode ?
- Oui, pourquoi ?
- Non, comme ça…
- Dis !
- Tu arrives à te l’enfoncer entièrement ?
- Avec un peu de préparation … oui.
Je remarque que l’entrejambe de mon pote se met à frémir. Je continue :
- Et je l’adore, c’est mon préféré. Je m’en sers beaucoup... surtout depuis que j’ai découvert tes vidéos. Tu sais... c’est un de mes fantasmes… me faire prendre par une grosse queue bien énorme…
La bosse de mon pote continue de prendre du volume, c’est indéniable. Je reprends :
- Et ta bite... elle est plus grosse que mon gode ?
- Oui, je pense.
- Je m’en doutais. En matant les pornos, je me suis dit qu’elle devait faire dans les 25 cm. Ça doit être incroyable de voir un truc comme ça en vrai …
- J’ai l’impression que tu aimerais la voir…
- Oui… C’est mal ?
- Non pas du tout…
Enfin, on arrive là où je voulais en venir.
- Vas-y... montre.
- Quoi ?
- Oui, juste pour les comparer.
Bizarrement, Benjamin ne se fait pas prier … Je me dis que j’ai bien dû le chauffer ! Il ouvre alors son pantalon et il en sort son matos. Putain ! Même s’il n’a qu’une demi-molle, sa bite est impressionnante. Si je m’écoutais, je me précipiterais dessus. Puis, mon pote me demande :
- Bon… toi, tu m’as vu en train de baiser des mecs… mais t’as pas de vidéos de toi en train de te faire prendre ?
Je souris et je vais prendre mon ordi portable. Je cherche dans mes dossiers et je trouve une vidéo. Je la lui montre… il se met à bander bien dur. « Comme ça, tu vas pouvoir les comparer », dit-il pour se justifier.
Benjamin saisit le gode et il le met contre sa teub. Enfin, je peux comparer les 2 morceaux. Et en effet, sa teub est plus longue et un peu plus épaisse que mon gode. J’hallucine. Sa bite de cheval est encore plus impressionnante que dans le porno. Elle est longue, marron, épaisse, veinée, avec un gros gland. Ses boules sont pendantes, ovales et grosses.
- Tu veux toucher ? demande Benjamin.
Je fais oui de la tête. Sans plus attendre, j’avance ma main vers la bite de mon pote, je la saisis et je fais coulisser ma main dessus, de haut en bas. Ma main n’arrive pas à se refermer sur son morceau. Je lui dis :
- Attends.
Je prends une autre vidéo et je la lui montre. C’est un film de moi en train de me travailler avec mon gros gode. Il siffle.
- Pas mal ! Le gros gode a l’air de t’exploser le cul. On a l’impression que tu te prends un gros tronc d’arbre dans les fesses !
- Oui, mais c’est qu’un gode ! J’ai jamais eu l’occasion de me prendre d’aussi grosses bites dans le cul. C’est pour ça que j’ai ce gode… à défaut d’autres choses, je me fais plaisir.
- Mais maintenant tu as trouvé une queue bien encore bien plus grosse que ton gode, non ?, dit Benjamin, malicieusement.
- Oui c'est vrai !
- T’as envie de l’essayer ?
Je regarde mon pote dans les yeux, le regard plein d’envie. Je fais oui de la tête. Il se déshabille et je l’imite. Il est toujours un bel homme ! Son corps est toujours musclé sec, il a encore quelques poils sur son torse et sur le pubis. Il a de grosses couilles à peine poilues.
Benjamin se place alors plus près de moi, la queue bien en avant. Je la saisis et je la fais coulisser. Mon pote ferme les yeux et il soupire. Comme encouragé, je me mets à le branler lentement. Ma bite est dure comme du bois, je bande à fond. Je ne peux pas résister très longtemps, je me mets à genoux entre ses jambes et je commence à lécher son morceau de haut en bas. Je regarde Benjamin dans les yeux où un feu s’allume. Il me dit alors :
- Suce ma queue !
Je retrouve le ton impérieux utilisé par mon pote dans ses vieux films pornos. Bien sûr, je ne peux qu’obéir. Ma langue passe le long de son gros morceau et elle arrive à son gland que je me mets directement à téter. Puis, mes lèvres se mettent à descendre le long de son chibre. Benjamin tressaille. Sa queue m’ouvre bien la mâchoire en grand. Je prends son engin en main, qui n’arrive pas à en faire le tour. Je le branle tout en suçant la moitié de son morceau. Il pousse des gémissements. Je le suce ainsi pendant quelques minutes. Il me caresse la tête. J’enfonce la teub encore un peu plus... Les deux tiers y rentrent... mais le réflexe vomitif me la fait ressortir. Je reprends après une petite pause. Je fais petit à petit descendre son gland dans ma bouche jusqu’à ce qu’il touche ma gorge. Je finis par avoir la totalité de sa bite dans mon gosier et je me retrouve avec le nez dans ses poils pubiens...Je sens alors une bonne odeur de mâle qui m’enivre. Ses grosses couilles cognent contre mon menton. Je la suce avec envie.
Puis, me rappelant des scènes de ses pornos, je dis à Benjamin :
- Retourne-toi !
- Je suis qu’actif, Esté !
- Je sais bien !
Il obéit et je me retrouve avec ses fesses musclées devant les yeux. Je les écarte et j’ai une belle vue sur sa raie recouverte de poils courts. J’approche mon visage et je me mets à humer l’odeur de sueur qui s’en dégage ! J’adore l’odeur de forte de mâle de mon pote.
- Hummm... ça sent fort le mec ! Ça me change des anulingus avec les femmes !
- Désolé...
- Ah non, mais je crois que j'adore ça, en fait !
- Ok ! Renifle bien mon trou comme une chienne si t’aimes tant ça !
J’obéis, docilement. Je sniffe à fond cette bonne odeur. Mon excitation augmente... C’est comme si je sniffais du poppers ! Je vois la queue bien tendue de Benjamin... et je la saisis pour la branler de mes deux mains. Je me mets à cambrer mon cul, ce qui n’échappe pas à mon amant. Il m’enfonce alors ma tête dans sa raie et j’approche ma langue de son trou. Je me mets à laper sa rosette avant d’enfoncer ma langue dans son anus. Il se met à gémir quand je commence à la faire tournoyer dans ses entrailles. Benjamin crie de plaisir, fort. J’écarte ses fesses et je bouffe son cul à fond pendant de longues minutes. Je m’en délecte.
Quand mon pote se redresse, il me trouve à quatre pattes, le cul bien cambré, en mode chienne. D’un geste rapide, il saisit ma tête et il plaque sa teub contre ma joue. Puis, il l’enfonce dans ma bouche et je reprends ma suce. Au bout de quelques minutes, il commence à donner des coups de rein et son gland va chercher le fond de ma gorge. Il se redresse, il prend ma tête entre ses mains et il me regarde droit dans les yeux.
- C’est bien ce que tu voulais, non ?
Je fais « oui » de la tête. Il sourit. Il se met à baiser doucement la gueule. Ses coups de bite deviennent très vite de plus en plus forts, il l’enfonce de plus en plus profond, ma bouche est ouverte au maximum pour laisser passer ce monstre, j’en ai mal à la mâchoire. Sa queue va taper le fond de ma gorge. Elle entre de plus en plus loin à chaque mouvement dans mon gosier. Heureusement que je suis assez endurant de ce côté-là. Ma bouche doit s’ouvrir au maximum pour encaisser ce morceau. De la salive coule le long de mon menton et tombe sur le sol. Benjamin pose alors ses mains sur ma tête et il se met à se défouler en moi, à se servir de ma bouche comme d’un sex-toy... Je kiffe trop ! J’en rêvais depuis des semaines ! Ce traitement me donne une trique d’enfer... J’en ai mal à la bite.
Benjamin finit par me dire :
- Mets-toi à quatre pattes !
J’obéis, je me mets par terre, en levrette, le cul cambré. Je sors un tube de gel et je le lui tends. Il se met à me badigeonner le cul, puis il me doigte.
- T’as le trou sacrément dilaté ! Je t’ai à peine doigté ! Tu te godes si souvent !?
Un peu honteux, je lui avoue :
- Te renifler le trou comme une chienne m’a mis dans un état un peu second. Je me suis vraiment senti comme une chienne à ce moment-là, ça m’a fait comme l’effet du poppers !
- Trop bon !
Je vois sa queue tendue et quand il ressort ses doigts de mon anus, je plaque son gland contre mon trou... et je l’enfonce en moi. Je me sens bien rempli et ça, juste par le gland ! Mon pote s’exclame :
- T’es une petite salope ! Sans capote, c’est ça ?
- Oui, soufflé-je.
Il enfonce alors sa queue en moi. Elle descend lentement dans mes entrailles. Mon cul se fait écarteler comme jamais. Centimètre après centimètre, je sens mon cul s'ouvrir sous la poussée de son énorme queue. Mais il réussit assez vite à plonger sa queue entièrement en moi ... je me gode souvent avec les 21 cm en plastique, heureusement ! Je ne ressens aucune douleur. J’adore son gros calibre. Il ressort et il enfonce de nouveau son engin en moi. Puis il ressort et il re-rentre. Il répète ce manège plusieurs fois. Il pousse un soupir profond quand il a sa bite entièrement en moi. Je sens ses poils de pubis contre mes fesses. Je pousse des cris de plaisir quand il commence à donner des coups de reins. Sa grosse bite entre et sort de mon trou qui se fait bien dilater.
Il se met à m'imposer son désir, tellement fort à chaque coup que sa grosse paire de couilles rebondit et retentit sur mes petites fesses tendues. Il appuie sur ma prostate. Je me cramponne à un coussin du canapé et je me mets à hurler mon plaisir, me foutant des voisins qui pourraient m’entendre.
Très vite, tout son corps se démène au-dessus de moi. Ill me pilonne littéralement, puissamment, retirant presque sa queue à chaque fois, et laissant retomber son bassin pour mieux me démonter. On ne m’a jamais baisé comme ça. Il n’a rien perdu de ses dons de star du porno ! Sa teub percute ma prostate à chaque fois qu'il me pénètre... Il entoure ensuite ses bras autour de mon corps et il entame de petits va-et-vient ... Son gland triture l’intérieur de mon trou, tout en massant ma prostate. Je sens mon jus monter. Mais il s’arrête et il s’assoit sur le canapé.
Je vais immédiatement m’empaler sur son morceau. Il me dit de mettre une jambe par terre et l’autre sur le canapé. J’obéis. Il pose une main sous mes fesses et il me fait alors monter et descendre sur sa queue tout en donnant des coups de reins. Je sens encore mieux sans bite en moi ! Il me fait monter et descendre plutôt lentement.
Ensuite, il me fait mettre sur le dos sur le canapé. Il se renfonce en moi d’un trait. Il se met lentement à faire des allers-retours en moi, sortant la moitié de sa queue et la renfonçant jusqu’à la garde. Je sens mon cul ouvert et rempli par son engin. Après quelques minutes, il me saisit mes chevilles et il se met vraiment à me défoncer. Ses grosses couilles me fouettent le cul. Parfois, il ralentit, il sort sa teub hors de mon trou et il tapote son gland contre ma rosette avant de renfoncer son monstre violement en moi pour mieux me défoncer. Sa queue fait des flops en moi et ses couilles me frappent bruyamment les cuisses. Je subis ses assauts avec envie. Je gueule fort mon plaisir. J’ai une belle vue sur son énorme teub qui entre et sort, qui ouvre en grand mon trou, comme si j’avais un tronc d’arbre qui me pénétrait. Ma prostate se fait masser de plus en plus rapidement. A chaque fois qu’il en ressort sa bite tendue, on voit ma chatte ouverte comme un énorme O !
- Je vais te mettre enceinte !
- Oui, Benjamin ! Ensemence ta pouliche !
Il redouble la violence de ses coups de reins. Sa respiration commence à s’accélérer, sa teub commence à vraiment bien durcir. Soudain, ma prostate est si mise à mal que je gicle de gros jets sur mon corps sans me branler ! Une dizaine de giclées jaillissent alors sur mon corps, preuve de cette formidable baise ! Mon pote a besoin d’une minute avant de s’enfoncer au fond de mes entrailles. A ce moment-là, je sens comme une explosion en moi... Un gros jet puissant gicle dans mon cul. Puis un deuxième et un troisième. Sa queue se contracte à chaque fois dans mon anus pour expulser son sperme. Une douzaine de jets viennent me remplir. C’est une véritable fontaine ! Je me prends une énorme quantité de jus qui me mitraille les fesses. Un sperme liquide, chaud. Je ressens la violence des jets au fond de moi. Il ressort de mon cul et il me donne sa teub à bouffer. Je récupère le sperme qui y est, tandis que mon cul dégouline de sa semence.
Je me redresse et Benjamin me tend un torchon. Je m’essuie en rigolant. On va se doucher. Je mate sa queue au repos. Elle pend lourdement entre ses jambes. Elle reste massive, plutôt droite, veinée. La moitié de son gland est enfermé dans son prépuce. Même au repos, elle reste bien grosse, pas aussi longue que son avant-bras mais presque.
Puis, on se prend une bière et il repart. Je vais sur mon lit et j’enfonce 3 doigts dans mon cul toujours béant, toujours rempli de sperme. J’en récupère et je me branle tout en repensant à ce moment de pur bonheur que je viens de vivre. Benjamin et moi avons baisé ensemble ! Ça été un pur moment viril de sexe, entre nous, sans sentiment, avec comme but ultime un orgasme commun de malade ! Je suis bien décidé à répéter cette opération souvent...
Merci à Pierre-Esteban pour ses idées.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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