Salut,
Moi, c’est Johan. J’ai 35 ans, je bosse en ce moment sur le chantier d’un lotissement en construction. Quand j’arrive, je passe devant des collègues qui sont en train de mettre le crépi sur les murs d’une rangée de maison. Je les salue et je continue le long de la « rue » qui n’est encore en fait qu’un chemin de terre. Dans la rangée suivante, je vois des jardiniers qui sont en train de planter des arbres devant une maison. Moi, je rentre dans une des bâtisses et je dis un grand bonjour à mon collègue Mickaël qui est déjà à l’œuvre. Je le rejoins et on se met à faire les peintures de l’intérieur de la maison.
A midi, mes collègues et moi faisons une pause et on sort nos sandwichs... ainsi que des canettes de bière. On trinque, on mange, puis on fume. On est dans une des pièces vides d’une des maisons. Très vite, l’air est rempli de l’odeur de la bière, de nos cigarettes et de notre sueur.
Puis, on se remet au travail. Le soleil tape vraiment fort et la température monte à l’intérieur. L’isolation ni les fenêtres ne sont posées, ce qui rend l’intérieur très vite très chaud. Mickael et moi décidons de nous mettre torse nu. Mickaël est grand. Il a des cheveux épais et une barbe fournie, bien taillée. Il fait presque 1,90m. il a de larges épaules, des bras musclés. Il a de gros pectoraux bien bombés, ainsi qu’un ventre plat. Son corps, très velu, est entièrement recouvert de poils noirs, longs et frisés. Son dos est aussi recouvert de poils. Quant à moi, je fais 1,78m. je suis blond aux yeux bleus, avec une barbe de 3 jours. J’ai un corps normal. Mon torse ainsi que mon ventre sont recouverts de poils blonds et fins.
Puis, Mickaël se penche et j’ai une belle vue sur son « décolleté » : sa raie poilue sort de son pantalon. Je souris et je me remets au travail. Au bout de quelques minutes, M. Dugénie, le contremaître, entre et il nous apostrophe :
- Ça va, les gars ?
- Oui, répondons-nous.
- Il fait super chaud dehors. On atteint presque les 40 au soleil. J’ai dit aux autres mecs de rentrer.
Je jette un coup d’œil à Mickaël et je souris légèrement. M. Dugénie parle, comme d’habitude, d’une façon... très féminine. Il tortille du cul dès qu’il rentre. Chacune de ses phrases tire dans les aigus. Je remarque aussi qu’il ne peut s’empêcher de regarder nos torses nus et velus. Ça n’échappe pas à Mickaël non plus qui me lance un clin d’œil. Je finis par répondre :
- On a mélangé les peintures et on veut finir. On en a pour 1 heure, je pense. Pas vrai, Micka ?
- Oui.
- Sûr ?, demande M. Dugénie, un poil déçu.
Je remarque alors que son regard est bloqué sur l’entre-jambe de mon collègue. Je regarde aussi. Mickaël porte un pantalon de jogging qui moule une queue bien visible qui pend dans son pantalon. Visiblement il ne porte pas de slip car le tissu est déformé par un truc énorme, laissant deviner une belle paire de couilles et un chibre épais... Sa queue semble pendre, ce qui trahit la grosseur de son chibre, même au repos. Sa bite a l’air, même au repos, bien large, longue avec un gros gland.
Mickaël le sort de sa contemplation en disant :
- Mais vous pouvez y aller ! On finit ici et on ferme la porte à clé. Vous pouvez compter sur nous !
- D’accord, finit par répondre le contremaître.
Il se retourne et il sort. Mickaël et moi l’observons en train de s’éloigner... son petit cul bien moulé par son jean moulant. Une fois qu’il est parti, on se remet au travail. On reprend notre conversation :
- Vous faites quoi ce week-end ?
- Laurie veut aller faire des courses au centre commercial. Et vous ?
- Je crois qu’on va aller au cinéma. Mais je suis sûr que Dalia va me souler pour choisir un film. J’ai pas envie d’un truc à l’eau de rose !
- C’est ça d’être marié !
- Oui... depuis 15 ans !
- M’en parle pas !
- Arrête, vous êtes ensemble depuis même pas 5 ans !
- 6, s’il-te-plaît !
- Oh pardon, monsieur !
On se met à rire.
- Et la grossesse de Laurie se passe bien, demandé-je
- Oui très bien.
On continue de parler. Au bout d’une heure, on a fini notre travail. On range nos outils et on sort dehors. Mickaël dit :
- J’ai trop envie de pisser là !
- Moi aussi. Mais fais gaffe que Dugénie soit pas là !
- Ouais ! T’as vu comme il a maté mon paquet !?
- Oui, c’était assez évident !
On se rapproche d’un arbre et on sort notre queue. La sienne est comme je le pensais quand j’ai maté son paquet tout à l’heure : épaisse, molle, pendante, bien lourde.
Mon jet de pisse est droit. Mickaël s’amuse alors à tourner sa queue vers la droite et son jet se met à traverser le mien. Ça me fait rire et on fait genre un combat de sabre-laser avec notre urine. Notre pisse s’arrête après quelques secondes et Mickaël me regarde alors droit dans les yeux en se mordant les lèvres. Je vois alors que sa queue se met à prendre du volume. Même en demi-molle, c’est un sacré morceau ! Il est large et veiné. Soudain, il passe sa main dans mon pantalon et il caresse mes fesses.
- Je crois qu’on est seul sur le chantier... Ça te dit ?
- On revient dans la maison ?
- Non, on va dans une autre. Là, où l’isolation est déjà posée.
On se dirige alors vers la maison en question. Mickaël a renfermé sa queue dans son pantalon mais elle est maintenant dressée. Le tissu de son pantalon moule sa teub à merveille. Elle semble longue et dure. Elle tend le tissu qui forme presque une tente sous sa massue.
Je me remets à penser à notre première fois ensemble :
Mickaël et moi sommes collègues depuis longtemps. Je l’ai toujours bien aimé mais sans arrière-pensée. Cependant, un jour, après avoir fini de bosser, je suis parti. Quand je me suis rendu compte que j’avais oublié mon portable, je suis revenu dans l’immeuble qu’on était en train de peindre. Quand je me suis glissé dans la pièce, j’ai entendu des gémissements. Je me suis approché discrètement et j’ai trouvé Mickaël en train de se branler. Il était en tenue de travail, il avait juste sa queue sortie hors de son bleu de travail. Déjà là, sa bite m’avait impressionné. Mickaël semblait parler à quelqu’un. J’ai alors fini par voir qu’il avait son portable braqué sur lui... et qu’il était en train de se branler avec une autre personne qui était aussi visible. J’ai mis quelques secondes avant de réaliser que c’était la queue d’un mec qu’on voyait. Mickaël, mon collègue hétéro, était en train de se masturber en direct devant et avec un autre mec ! Je n’arrivais pas à le croire.
Mais au bout de quelques minutes, le mec en vidéo a prononcé un « putain » sonore et il a quitté. Mickaël, surpris, s’est précipité sur le portable. Il a alors lu un message et il s’est retourné brusquement. Il m’a découvert. Il semblait vraiment très bouleversé... puis, il s’est vite ressaisi en rigolant. Il a alors montré mon entre-jambe... et j’ai alors remarqué que je bandais ! Il s’est approché de moi, la queue toujours hors de son pantalon. Il s’est collé contre moi et il a saisi ma queue. Il l’a branlée à travers mon pantalon. Son visage était à quelques centimètres du mien.
- Tu peux la prendre en main si tu veux, a-t-il seulement dit.
Je ne savais pas comment réagir... Puis, j’ai saisi son énorme morceau. C’est la première que je voyais une bite aussi énorme ! Excité, j’ai commencé à l’activer. Mickaël a immédiatement gémi de plaisir.
- Vas-y, branle-moi !
Je me suis exécuté et je l’ai branlé sur toute la longueur de sa teub. Elle était énorme et j’étais impressionné de sentir ce gros truc dans ma main, palpitant, immense. Je n’arrivais même pas à refermer ma main dessus. Je n’ai jamais eu d’expérience avec des mecs auparavant. Pourtant, j’avais vu du des pornos gays qui m’avaient fait un peu d’effet. Cependant, je n’avais jamais eu de pensées pour d’autres mecs, pas même pour mon collègue et ami Mickaël. C’est pour cela qu’à ce moment, mes pensées m’ont surpris : si je m’étais écouté, je me serais penché dessus et j’aurais avalé son gland. Mais j’ai continué de le masturber, parfois même à l’aide de mes deux mains.
Je l’ai branlé pendant presque 5 minutes. J’ai su qu’il allait jouir quand il a poussé un gémissement fort. Sa queue s’est durcie et elle a été prise de soubresauts. Mickaël a alors éjaculé 9 jets qui ont explosé comme un volcan. Ils sont allés très loin dans la pièce. Il a alors pris ma queue, il l’a branlée à travers le tissu de mon pantalon et j’ai éjaculé dans mon caleçon une bonne quantité de sperme. L’orgasme a été incroyable !
Voici comment l’histoire entre mon collègue et moi a débuté. Depuis, je fantasme très souvent sur sa bite, même quand je baise avec ma femme. Mickaël me sort de mes pensées quand il m’aide à gravir les escaliers.
Arrivés dans la maison, on trouve des cubes d’isolation. Mickaël en fait un lit et il pose une bâche dessus. Il s’approche ensuite de moi et il caresse mon paquet. Je fais pareil avec sa teub. On se regarde droit dans les yeux. On est tout excités. Je saisis sa bite à travers le tissu et je la branle. Je sens entre mes doigts sa queue dure comme de la pierre, qui pulse. Je me penche sur lui et j’ai mon visage à quelques centimètres du sien. Il se jette alors sur mes lèvres et il me roule une grosse pelle. Mes mains passent derrière sa nuque et appuient dessus pour que ses baisers se fassent plus torrides. On s’embrasse de façon très torride. Nous sommes deux mâles qui donnent libre court à leurs pulsions. On s’embrasse sauvagement, à grands coups de langues. Puis, Mickaël se lève. Il me colle contre lui, ses mains sur mes fesses. Je sens sa queue tendue contre mon ventre. Je passe mes bras autour de ses hanches. On ne se sépare plus. On est unis dans notre passion.
A bout de quelques minutes, Mickaël m’appuie sur la tête et je me retrouve à genoux devant son entre-jambe. Il ouvre son pantalon et il en sort sa grosse teub tendue. On se fout à poils et je me mets à genoux. Le pubis de Mickaël est très velu, tout comme ses couilles qui sont grosses et pendantes. Il a un cul très poilu. Sa queue, un peu recourbée vers le haut, est veinée, épaisse et longue (elle fait bien 20 cm). Quant à mon pubis, il est aussi velu. J’ai des couilles marron et une queue de 17 cm, épaisse avec un gros gland rouge.
Je gobe directement son gland et je me mets à le sucer tout en le regardant droit dans les yeux. Il fait descendre son pantalon sur ses chevilles et moi j’enfonce la moitié de sa bite dans ma bouche. A l’aide de sa main, Mickaël me fait comprendre qu’il aimerait plus. Petit à petit, j’arrive à prendre toute sa bite en bouche. Mon nez se retrouve dans ses poils de pubis odorants. Je me mets à faire de grands allers-retours sur son morceau. Parfois, il se penche sur moi et il me roule une grosse pelle passionnée avant de me laisser reprendre ma suce. Je lui fais des gorges profondes et mon menton se retrouve coincé contre ses grosses couilles que parfois je gobe et que je lèche avant de reprendre la suce.
Finalement, il se rassoit sur les cubes d’isolation et je déguste sa queue pendant qu’il me caresse la tête. Cela fait deux ans que je m’occupe régulièrement de sa bite... et j’ai appris à bien la supporter sur toute sa longueur. Je me mets à la sucer tout en la branlant. Parfois, il m’encourage à la prendre plus en profondeur en m’appuyant sur la tête. Je me mets à me branler. Puis, je me redresse et c’est Mickaël qui se met à me sucer. Je roucoule de plaisir. Je le biffle, puis j’agrippe ses cheveux et je commence à le faire aller et venir sur mes 17 cm. Il encaisse bien mon morceau. Je le relâche, il me fait des gorges profondes et il continue sa suce. Je donne quelques coups de hanches.
Au bout de quelques minutes, je le renverse sur les cubes et je le fais allonger de ses 1,90m dessus. Je pose mon cul sur son visage. J’adore les face-sitting. J’adore comme Mickaël me lèche le trou. Il se met à titiller mon trou, à enfoncer sa langue en moi et à me baiser avec. Je me branle en même temps. Puis, je finis par me redresser et c’est Mickaël qui lève les jambes. Je les écarte et j’enfonce ma langue dans son anus velu. Je le broute bien comme il faut, il gémit fort. Je hume aussi le parfum de son cul. J’adore. Je lui masse les fesses tout en essayant d’aller le plus loin possible en lui.
Finalement, je me redresse et j’enfonce lentement ma queue en lui, sans capote. Puis, j’entame une baise plutôt rapide, sur toute la longueur de ma teub. J’agrippe ses hanches tandis que Mickaël gémit fort.
Au bout de quelques minutes, je quitte son cul, je me retourne et il se précipite sur mes fesses qu’il bouffe, son visage enfoui entre mes deux miches. Il s’y donne à cœur joie. Il se redresse, il me doigte un peu tout en se branlant et il enfonce doucement sa grosse teub en moi. Elle rentre toute seule. Je la sens bien écarteler mes entrailles. Il se met à me baiser doucement avec une cadence régulière.
Ensuite, il quitte mon cul, il se retourne et j’empale ma bite en lui. J’agrippe ses épaules et je commence à bien le défoncer, rapidement, en donnant de grands coups de reins. Mickaël crie fort. Mes couilles rebondissent contre son cul. Quand je ressors, il me fait mettre sur le dos et il entame une bonne baise tout en m’embrassant sauvagement. Son gland tape fort contre le fond de mon cul, ses boules se balancent et fouettent mes fesses. Je le fais ensuite mettre contre un mur et je le défonce. Son corps tremble sous mes assauts. Je donne de longs et puissants coups de queue. Parfois, je sors complètement et d’un gros coup de reins, je lui enfonce ma bite directement au fond de ses entrailles, comme un épieu. Ça fait bien crier Mickaël de plaisir. Quand je ressors, c’est lui qui me plaque contre le mur et il m’enfonce son énorme morceau en moi. Il me pilonne tel un marteau-piqueur. Puis, il me fait mettre en levrette, il prend mes hanches dans ses mains et il reprend un pilonnage en règle. Mon corps tremble de tous ses muscles. Ma queue se balance d’avant en arrière de façon incontrôlée.
On se baise ainsi mutuellement pendant bien une heure. C’est moi qui le premier ne peut plus résister. Je m’enfonce en Mickaël dans un cri guttural et je lui lance 11 gros jets puissants et abondants dans le fond de ses entrailles. Je tombe sur son dos, je l’embrasse tout en savourant mon orgasme. Quand je ressors de son cul, son trou laisse échapper un gros torrent de foutre.
Mickaël me fait mettre sur le ventre, sur les cubes. Il se met à faire des abdos dans mon cul. Son gland m’éclate bien le fond de l’anus. Puis, il me prend dans ses bras, il me fait bien serrer les jambes et il entame de rapides mouvements de hanche pendant qu’il me serre contre lui et qu’il m’embrasse dans le cou. Mon sperme continue de dégouliner de son cul pour atterrir sur mes fesses, sur mes boules ou sur mes jambes. Il lui faut peu de temps avant de jouir à son tour. Il donne un coup de rein puissant qui envoie son premier jet au fond de mes entrailles. Le deuxième coup de rein envoie un deuxième jet tout aussi puissant. Il me donne 9 coups de queue suivis d’une bonne giclée dans mes entrailles. Quand il a fini de se vider en moi, il me roule des pelles tout en tassant son jus... qui, mis sous pression, sort par vagues liquides le long de sa bite ainsi que de ses couilles et qui dégouline sur mon cul. Quand il ressort, c’est un tsunami qui s’échappe de mes entrailles.
On se pose sur le cubes pour reprendre notre souffle tout en se caressant. On se rhabille, on se roule une grosse pelle et on finit par sortir de la maison.
Je souris, une fois en voiture. Mickaël et moi baisons ensemble régulièrement. C’est notre secret. On est deux collègues, plus trop hétéros, qui adorons nous donner du bon temps ensemble pour à la fin se vider dans le cul l’un de l’autre. Une baise bien masculine, pleine de testostérone et de désir.
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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