C’était durant l’été 1996. mes parents travaillaient, mes amis étaient partis en vacances, et je m’ennuyais terriblement. Un dimanche, Pierre, un ami de mon père, est venu déjeuner à la maison. Il avait la quarantaine, était grand, brun, bien bâti, avec des yeux bleu persan qui captivaient au premier regard. Bien qu’on ne le voyait pas souvent, je l’aimais beaucoup. Il était drôle, toujours prêt à raconter des blagues, et très attentionné envers moi.
Durant le repas, il mentionna qu’il partait le lendemain pour une randonnée de trois jours en montagne. Il voulait se ressourcer et profiter de la nature. Curieux, je lui dis que j’adorerais faire ce genre d’expérience, surtout pour échapper à mes journées monotones. Mes parents trouvèrent l’idée excellente. Pierre me conseilla de préparer un sac léger : une tenue chaude pour la nuit, une gourde et un duvet. Mon sac de cours ne laissait guère de place après avoir ajouté mon duvet, mais j’y glissai tout de même une paire de chaussettes, un caleçon, un pantalon, un pull et ma brosse à dents.
Nous sommes passés chez lui le soir avant le départ. La soirée fut agréable. Pierre m’a posé des questions sur ma vie personnelle, notamment sur les filles. Je lui ai avoué que je n’avais pas de copine à ce moment-là, même si j’en avais eu une. Cela n’avait pas fonctionné, et je lui ai confié que ce n’était pas ma priorité, bien que mes pensées soient souvent tournées vers ça, sûrement à cause des hormones.
C’est là qu’il m’a surpris en partageant un aspect de sa vie personnelle. Il m’a expliqué qu’à mon âge, lui aussi pensait surtout aux femmes, mais qu’au fil du temps, il s’était rendu compte qu’il était aussi attiré par les hommes. C’était d’ailleurs la raison de son divorce, un sujet qu’il gardait très discret. Mes parents n’étaient pas au courant, et il m’a demandé de garder cela pour moi. J’ai acquiescé. Il m’a ensuite demandé si cela me gênait. Je lui ai répondu que non, pas du tout. Voyant mon assurance, il m’a taquiné en demandant si j’en étais sûr. Pris d’un excès de confiance, je lui ai confié que j’avais un magazine bi caché chez moi. Aussitôt, un immense sentiment de honte m’a envahi, mais Pierre est parti dans un éclat de rire, avant de conclure avec un clin d’œil : « Eh bien, on a chacun un secret sur l’autre maintenant. »
Nous nous sommes couchés tôt, car nous devions partir à l’aube. Le lendemain matin, après 1h30 de route, nous avons commencé la randonnée. Le soleil brillait, et il faisait chaud, presque lourd. Après 3h30 de marche, le temps commença à se couvrir. L’orage menaçait, et il nous restait encore 1h30 de marche. En quelques minutes, le ciel s’obscurcit complètement. Une pluie torrentielle s’abattit sur nous, et l’orage éclata. Malgré l’intensité de la pluie, nous avons continué à avancer pendant une quarantaine de minutes, trempés jusqu’aux os. Finalement, Pierre décida de camper sur place, dans une petite clairière non loin du chemin.
Nous avons monté la tente en urgence pour nous abriter. Une fois à l’intérieur, je réalisai que mon sac n’était pas adapté : il avait pris l’eau, et tout ce qu’il contenait était mouillé, y compris mes vêtements et mon sac de couchage. Tremblant de froid, je commençais à grelotter. Pierre, toujours calme, sortit son propre sac de couchage et m’expliqua qu’il fallait absolument se réchauffer. Il me demanda de me déshabiller et de m’installer dans son sac de couchage. Mal à l’aise mais n’ayant pas d’autre choix, j’obéis en me mettant à poil.
À l’intérieur du sac je commençai à reprendre un peu de chaleur, Pierre me proposa un peu de whisky pour me réchauffer plus vite, C’était une bouteille de J&B qu’il avait emportée. Je ne refusai pas. Peu à peu, l’alcool fit effet, l’atmosphère se détendit, et mes tremblements cessèrent. Nous avons parlé de tout et de rien. Pierre me complimenta, disant que je devais avoir beaucoup de succès auprès des filles et des garçons. À cette époque, je mesurais 1m74 pour 58 kg, avec des abdos visibles, des yeux noisette et, comme il le fit remarquer avec humour, un « beau petit cul ».
La fatigue finit par nous gagner. La journée avait été éprouvante, et nous devions nous reposer pour repartir le lendemain. Pierre posa une serviette sur le tapis de sol et ouvrit le sac de couchage pour que nous puissions nous y glisser tous les deux. Il m’expliqua que, pour conserver la chaleur, il était préférable de porter le moins de vêtements possible dans un sac de couchage, surtout si ceux-ci étaient mouillés. N’y connaissant rien, je lui faisais confiance.
Sous le sac de couchage, Pierre était en sous-vêtements, et moi, entièrement nu. L’alcool aidant, je commençais à ressentir une étrange chaleur, mêlée à une certaine confusion. Depuis toujours, j’avais une attirance pour les deux sexes, mais à cette époque, je rejetais cette idée, la trouvant inconcevable. Pourtant, dans ce moment précis, avec la proximité de Pierre et l’atmosphère particulière de la situation, je ne pus m’empêcher de me rapprocher de lui.
Allongé sur le côté, les jambes recroquevillées pour conserver un peu de chaleur, je me suis lentement rapproché de lui. Mon dos a fini par se coller contre sa poitrine chaude et velue, et sans vraiment réfléchir, mes fesses se sont trouvées contre lui et son paquet, À ce moment-là, j’ai commencé à sentir quelque chose se durcir contre celle-ci . Son bras est venu doucement m’envelopper le torse, m’attirant un peu plus près de lui. Je pouvais sentir son souffle chaud dans mon cou, une chaleur rassurante et troublante à la fois. Peu à peu, ses gestes sont devenus plus attentifs, presque taquins, comme s’il cherchait à éveiller une réaction chez moi., il s’amusait à me titiller les tétons
Avec son autre main, il a commencé à me caresser doucement l’entrejambe, ses gestes hésitants mais assurés. Peu à peu, ses mouvements sont devenus plus intenses, et il s’est mis à malaxer les testicules avec une certaine assurance, comme s’il cherchait à lire mes réactions à travers ses gestes puis il pris ma queue déjà bien raide,
Il a commencé par m’embrasser doucement derrière l’oreille, ses lèvres chaudes provoquant un frisson le long de ma nuque. Peu à peu, son souffle se mêlait à ses gestes, et avant même de m’en rendre compte, nous nous sommes embrassés. Au début, c’était doux, presque hésitant, mais rapidement, nos baisers sont devenus plus intenses, plus passionnés.
La température dans la tente semblait monter à mesure que nos gestes se faisaient plus francs. À ce moment-là, il m’a doucement poussé la tête pour que je descende le long de son torse, me guidant avec assurance, mais aussi une certaine virilité.
il me plaqua ma tête entre ses jambes sa queue sur mon visage, je n’entendis qu’un mot « lèche » Je commençais donc à lui lécher ses couilles poilu, je sentais son odeur de transpiration qui m’exciter, j’avais mon nez dans ses poils pubien, il me tenait la tête avec ses mains et me diriger de haut en bas.
Puis un nouvel ordre retentit , suce-moi, il me pris la tête et m’empaillait sur son chibre. Je ne savais plus où j’étais ni ce qu’il se passait, en même temps, il commençait à me parler cru, en me disant qu’il savait que j’étais une petite salope que je n’attendais que ça que j’étais venu avec lui durant cette randonnée, afin de lui servir de vide couille, et c’est a quoi j’ allait servir.
À ce moment-là, il s’est mis à genoux, me guidant doucement. Ses mouvements devinrent plus rythmés, effectuant des allers-retours avec son bassin. Je me sentais submergé, suffoquant légèrement, tandis que des sensations contradictoires s’emparaient de moi. Je bavais, un peu dépassé par l’intensité de l’instant, mais étrangement, une excitation nouvelle montait en moi.
Puis-je senti un doigt me pénétrer suivie d’un deuxième, j’avais mal c’était la première fois il le compris, il sorti sa queue de ma bouche pour y placer ses deux doigts et les entourer de bave, j’eu des hauts le cœur, puis il repris sa place et ses doigts également.
Je commençais à avoir moins mal, il se plaçait derrière moi me tend la bouteille de whisky pour que j’en avale une gorgée et commence doucement à me pénétrer à chaque fois qu’il avançait un peu plus, j’avais l’impression de recevoir une décharge électrique mais il s’efforça d’y aller doucement, après quelques minutes il commença c’est va-et-vient de plus en plus rapide. Il me claquaient les fesses toujours en m’insultant en me traitant de bonne Salope, que j’avais des yeux de pute et que ça se voyait que j’aimais ça, il ne se trompait pas, je prenais mon pied, il se retirera d’un coup sec, me pris la tête et s’introduit dans ma bouche. Pierre déchargera tout ce qu’il avait, il m’ordonne d’avaler tout son sperme, ce que je fi, sa semence avait un goût surprenant mais pas désagréable
Et je ne sais pas pourquoi, je l’ai remercié, il m’a juste dit que c’est ce que méritait les petites putes comme moi.
Finalement, nous n’avons levé le camp que le surlendemain. Ces deux jours passés ensemble dans cette clairière ont été remplis de découvertes, de moments intenses et d’une proximité qui a marqué un tournant pour moi un vide couilles en devenir.
JulienSoumis
juju133@gmx.fr
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