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Chapitre 7
Salut,
Comme je l’avais raconté la dernière fois, Julien est parti en vacances estivales avec sa famille. Donc, moi, je suis bien en manque. Et je crois que lui aussi. Après 3 semaines, Julien rentre de vacances avec sa femme le samedi soir. Je n'ai pas de news avant le lundi. Il m’envoie un message pour me dire qu’on se verra mercredi soir, car, avec d'autres potes, on était invités pour un barbecue.
Bien sûr, j’y vais. Je vois Julien et je lui souris. On se tape la bise et avec nos potes, on passe une bonne soirée, sans ambiguïtés. Au moment de partir, je salue et remercie tout le monde. Julien me raccompagne alors à ma voiture et une fois seuls et isolés, il me met une main au paquet et il me dit :
- On se voit vite ?
Je souris, je me penche contre son oreille que je lèche et je lui dis :
- T'es en manque ma salope ! Je te baise quand tu veux !
Je jette un coup d’œil à son entre-jambe et je remarque qu’il bande. Il sourit en regardant mon paquet bien gonflé aussi. Je monte dans ma voiture et je rentre chez moi. Je me mets sur mon lit et je me branle comme un fou.
Le vendredi suivant, je reçois un texto. La chaleur caniculaire étant enfin retombée, Julien me propose « de faire un peu de sport » le lendemain. Je réponds tout simplement « OK », sachant très bien de quel sport il parle.
Julien arrive donc samedi en début d'après-midi, en tenue de sport, T-shirt bleu moulant qui laisse deviner son ventre plat et ses pecs assez développés, un short de course noir, un sourire ultra brillant, et une peau bronzée... en gros, un look hétéro de sportif détendu. Je me mets à bander dès que je le vois. Je m’assois sur mon canapé, il s’approche et il se pose à côté de moi. Je caresse alors sa cuisse, en remontant pour glisser ma main sous son short afin de palper son cul. Il s’écrie :
- Hum, t'es chaud dis donc !
- Ouais, mais toi aussi, ton cul me chauffe la main là, va falloir que j'éteigne ce feu !
Alors, il se redresse, il s’assoit sur moi... et on s’embrasse. Nos t-shirts sautent tandis qu’il frotte son cul sur ma queue bien dure.
Ensuite, ses mains glissent sur ma peau et il se met à me caresser le torse. Pendant ce temps, je passe une main dans son short et je commence à titiller sa rondelle. J’y fais entrer facilement un doigt car il mouille déjà bien. Je le laisse faire : il se met à monter et descendre sur mon doigt tout en gémissant. Un deuxième doigt rejoint le premier, je les écarte bien pour l’ouvrir comme il faut. Il couine à présent. Pris d’une envie bestiale, je le fais basculer sur le côté, je baisse son short et le mien, je me couche sur lui, entre ses cuisses. On s'embrasse sauvagement, il me caresse le dos tandis que je masse ses belles petites fesses. Nos queues se frottent l'une contre l'autre.
Puis, je saisis ma queue pour la diriger vers son trou. Automatiquement, il écarte et relève ses cuisses. Je pose mon gland sur sa rondelle, je pousse doucement et ma queue entre lentement en lui, Certes, il est un peu crispé mais je progresse doucement lui. Je soupire de plaisir quand je sens mon gland au fond de son trou, avec ses couilles posées dans les poils de mon pubis et mes boules collées à son cul. Je lui caresse la tête tout en l’embrassant avec passion. Puis, je commence à faire des allers-retours lents. Et très vite, je me mets à augmenter le rythme. Je le baise rapidement et sauvagement. Mes couilles claquent bruyamment contre son cul.
Je le défonce pendant 10 bonnes minutes. Il gémit bien, il crie même. Il se branle en même temps que je lui pilonne son petit cul. Je fais bien sortir ma queue pour la faire re-rentrer à fond, je le défonce à fond. A un moment, il pousse un cri et il se met à cracher sur son ventre. Lors de son orgasme, je sens les muscles de son anus se contracter, ce que me fait monter le jus. Dans un râle bestial, je jouis une bonne dose dans son anus. Ce sont 6 jets abondants que je lui injecte. Je tasse un peu mon sperme puis je ressors, la queue toute luisante. Je vois mon jus dégouliner lentement le long de sa raie pour atterrir sur le drap. Je recueille son sperme avec mes doigts, je le dépose sur ma queue et je lui mets le tout en bouche. Il me nettoie bien la bite et il avale son foutre.
Je me pose alors à côté de lui et on reprend nos esprits. Puis, je me lève et je lui sers un verre. On se rhabille et on va faire un footing tranquille. Pendant la course, il me dit :
- Ça fait drôle de courir le cul ouvert et rempli !
Bien sûr, il n’en faut pas plus pour m'exciter ! On finit notre parcours, on revient chez moi. Je le pousse dans la douche et je m’introduis en lui. Son trou est encore tout gluant de mes premiers jets de sperme. Je le prends dans mes bras et, collé à son dos, je me mets à le baiser à fond. Je me déchaine dans ses entrailles. Je vois ma queue entrer et sortir de son anus super rapidement. Ma bite se met à blanchir... elle tasse tout simplement ma semence. Rien que de voir ça, une envie irrésistible me prend. Je me mets à lui pilonner le cul comme jamais. Je m’en sers comme d’un sex-toy que j’utilise pour me faire du bien. Je sens les muscles de son corps rouler sous mes doigts tandis que mon torse et mon ventre sont collés contre son dos. Je jouis au bout de 10 ou 15 minutes. Tout en l’embrassant dans le cou, je lui donne un coup ultime de reins et je lui envoie ma semence au fond des entrailles. Je dois juter 3 ou 4 giclées bien puissantes. Julien se branle et avec ma queue encore enfoncée en lui, il atteint l’orgasme. Ses jets vont tapir le carrelage de la douche. Ma queue se ramollit et ressort, suivie par un geyser de sperme qui tombe sur mes pieds et éclaboussent le fond de la douche.
On finit de se laver, on se sèche et après une petite bière, Julien repart vers 17h ... avec un bon mal de cul !
A suivre...
Merci à Thibaut pour ses idées
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