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Chapitre 8
Salut,
Il y a eu quelques changements dans la vie de Julien. Lui et sa femme ont acheté une maison avec pas mal de travaux à faire. Ces derniers temps, il a été moins dispo pour me filer son cul. Cependant, vu que je l'ai rendu accro à ma queue, quand le manque se fait trop sentir, il donne signe de vie. Ce qui me fait le plus marrer, c'est quand c'est sa femme qui lui propose de me contacter pour « qu'il se change les idées ». Quand je la vois, elle me dit souvent : « Ça lui fait du bien de faire du sport avec toi ou des sorties. » Tu m'étonnes !!!
Peu de temps après l'achat de la maison, Julien m’a demandé de passer pour l'aider à poser du placo et faire un peu de peinture. Il veut que les chambres soient finies avant l'emménagement. Son beau-frère nous aide. Pour la chambre des enfants, ça a été assez facile. On a juste mis un coup de peinture ainsi que du parquet flottant et ça l'a fait. Pour la chambre des parents, ça a été un peu plus de boulot : il a fallu créer un dressing, donc mettre des parois, jointer, poncer et peindre.
Un samedi matin, assez tôt, on bosse avec son beauf. Ce-dernier repart en fin de matinée car il part fêter l’anniversaire d’un de ses enfants. Julien le raccompagne et il le remercie. Puis, il revient dans la chambre et, direct, il me met la main au paquet, ses lèvres sur les miennes. En un éclair, je bande bien dur. Ma langue entre dans sa bouche et mes deux mains se posent sur son cul qu'il cambre sur le champ. Le petit coquin a l’air d’être en manque !
Sans perdre de temps, il m’ouvre le jean, il sort ma bite ainsi que mes couilles. Je me dis qu’il est devenu vraiment accro à ma queue ! Il me branle un peu avant de me dire :
- J'ai trop envie, là
- Je vois ça, t'es bien chienne, là ! Je vais te casser le cul !
Il se met alors à genoux et il me pompe la queue comme un affamé. Je me penche en avant pour lui ouvrir le cul avec deux doigts. Ça commence à devenir chaud... quand soudain, on entend des voix. Je range mon matos, Julien se relève, on se sépare mais on a encore une gaule de malade !
C’est là que sa femme et ses enfants entrent dans la pièce. Julien les regarde, surpris :
- Ah, vous êtes là ? On ne vous a pas entendu.
Sa femme répond :
- On va en ville et on a voulu faire un petit détour pour comment les travaux avancent.
- Ouah, ça avance, ça va être trop cool !, dis-je en jetant un regard sur Julien... qui est rouge pivoine.
Moi, je fais dos à sa femme, faisant mine de poncer, le temps de calmer un peu mes ardeurs et de laisser redescendre mon érection. Sa femme reprend :
- Regardez, on vous a préparé un bon pique-nique.
On mange alors tous ensemble, puis ils repartent une heure plus tard. Julien les raccompagne à la porte. Quand il revient dans la pièce, il se met à sourire : mon pantalon laisse deviner une grosse bosse. En effet, je bande de nouveau comme un âne. Je m’approche alors de lui et je ferme la porte derrière nous. J’ai à peine le temps de tourner la clé dans la serrure que j’enlace Julien et que je baisse son survêt. Je lui remets deux doigts dans son trou. Puis, je le fais retourner, je le plaque violemment contre la porte et je rentre ma bite directement en lui, jusqu'aux couilles.
Je le laisse s’habituer à ma teub. Mais il mouille déjà bien et je commence quelques allers-retours assez lents, faisant seulement sortir la base de ma queue de son trou, avant d'y replonger lentement, pendant que mes couilles atterrissent doucement contre ses fesses. Puis, je me mets à accélérer le rythme. Julien se met à gémir. Je comprends vite que ma grosse queue lui procure un plaisir immense. La cadence de mes coups de reins est soutenue. Je me penche aussi sur lui et je l’embrasse dans le cou pendant que ses mains caressent ma tête et qu’il gémit de plaisir. Mes coups de queue sont puissants et je lis sur son visage qu’il adore. Son corps est secoué par mes cuisses qui claquent contre son cul qu’il bouge bien aussi.
Mes coups deviennent toujours plus puissants, toujours plus profonds, tandis que mes mains serrent fortement ses hanches. Je le pilonne longuement et brutalement. Mes couilles frappent son cul bruyamment. Parfois, je sors entièrement ma teub de son anus, ne laissant que son gland à l'intérieur de lui, avant de donner un grand coup sec sur toute la longueur de ma queue. Ça le fait crier de bonheur. Parfois, Julien se cambre ou écarte ses fesses.
Au bout de 10 minutes, je sens que mon jus monte. Je m’enfonce alors bien au fond de lui et j’y largue ma semence en poussant un râle libérateur. Je jouis longuement, ma grosse bite plantée au fond de son cul, mes couilles contre ses fesses. Je tasse un peu ma semence, puis je ressors de son anus. Un flot de sperme s’en échappe et atterrit sur le sol. Julien se redresse et je vois alors du contre la porte : il a craché dessus sans se toucher. Il m’embrasse et il me dit :
- Hum, c'était trop bon !
- Tu as bien repeint la porte !, lui fais-je remarquer.
Il rigole et il reprend :
- Je vais nettoyer...
- Non ! Lèche !
- Quoi ?
- Oui, lèche !
Sans se faire prier, il sort sa langue qui ramasse son jus. Une fois fini, Julien se retourne vers moi et il me montre le résultat : sa bouche est pleine de jus. Je lui souris et il avale tout.
On se rhabille et on reprend le boulot jusqu'à la fin de l'après-midi. Etant aussi invité par des potes ce soir, je pars vers 17h. Au moment de le quitter, Julien me dit :
- Attends !
Il se met alors à genoux, il sort ma queue de mon jean et il se met à me tailler une pipe en me massant les couilles et en me regardant dans les yeux. Ça m’excite tellement que je ne suis pas très long à venir. Je lui remplis la bouche. Il se relève, il me montre sa bouche pleine et il avale tout !
Je quitte la maison, content. Julien devient au fil du temps une grosse salope...
A suivre...
Je tiens à préciser que cette histoire est réelle !
Merci à Thibaut pour ses révélations.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
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