Premier épisode
Chapitre-2
Dans le premier épisode, je vous racontais comment j’ai rencontré Raph , au bar le Bear’s de Toulouse, comment nous avons sympathisé malgré le fait qu’il soit en formation pour devenir agent pénitentiaire, et que cela soit venu heurter les convictions du gauchiste libertarien que j’étais à l’époque. Je vous racontais aussi comment nous nous somme chauffés tout le début de soirée pour finir dans ma chambre d’hôtel à baiser comme des morts de faim. Nous sommes là essoufflés sur le lit après avoir jouis tous les deux, nous reprenons nos esprits avant d’aller à la douche.
« Putain si on m’avait dit que j’allais rencontrer un mec aussi chaud pour ma première visite au Bear’s » me lance t’il. « Et moi si on m’avait dit que en bousculant un mec au bar, l’histoire se terminerait avec sa bite dans mon cul ! ». Nous éclatons de rire, je le prends par la main et nous filons à la douche.
Nous voilà donc dans la baignoire étroite de l’hôtel avec le rideau qui se colle contre nous, sous la douche à nous savonner l’un l’autre. Je profite pour caresser son torse puissant recouvert de poils frisés , je me colle contre lui pour le rouler une pelle. De ses deux mains il se saisit de mes fesses et me lance : « putain mec ! mais quel cul ! tu me fais kiffer ! ». Je suis toujours collé à lui et je sens sa bite reprendre un peu de vigueur. Il se recule et va pour sortir de la douche en me disant qu’il doit pisser. N’écoutant que la salope qui est en moi, je le retiens par le bras, me mets à genoux, je le fixe avec mon regard lubrique et lui lance « va y mec ! marque ton territoire ! ». Il me regarde d’un air surpris, et me voyant offert à genoux bouche ouverte, langue tirée, son regard devient carnassier et il commence à me pisser sur la gueule. Un jet puissant jailli de sa pine demi mole, il m’arrose le visage, me pisse dans la bouche, sur les che
veux ; bref il m’offre une douche dorée 5 étoiles. Quand il a fini, je me relève, il me claque le cul en me gratifiant d’un « cochon va, tu vas me rendre dingue ». Je me rince, me sèche et part le rejoindre sur le lit. Il est installé en mode pacha, la queue en demi mole qui pend sur les couilles, les jambes écartées ! Putain quel mâle !
« Si tu as encore faim je t’offre un deuxième service ». Je souris en lui disant que l’appétit vient en mangeant, je me jette sur sa bite, la prend en bouche ; je la sens se dresser dans ma bouche, j’ai toujours adoré cette sensation. Je le suce un peu, puis il me fait mettre tête bèche pour avoir accès à mon cul bien ouvert, qu’il se met à bouffer avec avidité. Il me bouffe la rosette avec ses lèvres, tandis que sa langue me pénètre assez profondément. Ce mec est aussi doué avec sa langue qu’avec sa bite !
Il me fait en suite mettre debout, appuyé contre le mur, il soulève ma jambe droite, et me pénètre délicatement avec sa teub enduite de gel. Une fois bien au fond, il commence ses va et vient, accélérant petit à petit pour arriver à me déboiter avec rudesse. Je suis aux anges, il me secoue comme un prunier, je gueule, je gémis, je geins… bref je kiffe la façon doit il se déchaine. Après un bon moment de baise effréné, nous commençons à fatiguer. Il se retire et nous nous écroulons sur le lit, je mets sur mon côté gauche, et il vient se placer contre moi en cuillère. Il me pénètre et commence à me baiser avec beaucoup de délicatesse. Moi je m’efforce de contracter mes sphincters à chaque fois qu’il est au fond de moi pour le faire kiffer davantage. Il jouit une deuxième fois et reste en moi. Nous sommes complètement crevés et nous sous endormons enlacés en cuillère, son gland encore en moi.
Il est 6h30 du matin quand je me réveille avec une envie de pisser, Raph dors du sommeil du juste contre moi, sa bite au repos contre mon cul poisseux de sperme froid. Je me laisse glisser hors du lit, vais soulager ma vessie et retourne au lit. Il s’est retourné sur son côté droit, je blottis contre ses fesses et son dos musclés. Je me rendors aussi tôt. Vers 9h, c’est une autre envie qui me réveille… je file aux toilettes, soulage mon colon, et en profite pour remettre un petit coup de propre à mon anus, histoire de ne pas lui « mazouter le pingouin » si jamais il avait envie d’une petite visite matinale. Je m’enduis le trou de gel et pars rejoindre mon étalon. Il dort sur le dos, juste recouvert d’un drap, qui laisse deviner sa belle tige demi mole. Je me glisse sous le drap, il vient se coller à moi, je me mets sur la coté, commence à frotter mon cul contre son épieu qui regagne de la vigueur. J’écarte un peu mes fesses et il glisse en moi comme « p
apa dans maman ». Mon amant semble s’être réveillé, il donne des coups de reins amples et semble savourer avec sa bite chaque centimètre de mon tuyaux ardent. Ce réveil en douceur dure un bon moment avant qu’il m’invite à venir le chevaucher. Il se remet sur le dos en mode pacha, la queue fièrement dressée contre son ventre. Je me positionne au-dessus de son bijou d’amour et je m’empale le plus naturellement du monde. Je me laisse aller de tout mon poids sur sa queue, les fesses bien écartées afin de sentir les poils pubiens me chatouiller l’entrée. J’adore cette sensation, ça me rend fou. Puis il me fait basculer vers lui, je me mets à genoux toujours empalé sur son chibre de rêve et là il commence à me donner des coups de bassin de plus en plus fort. Ça dure un bon moment jusqu’ à ce que ma queue explose sans que je me touche. Je lui crépis le torse de foutre, deux jets vont même s’écraser sur son visage. Il accélère la cadence se calle b
ien au fond et à nouveau je sens son chibre se contracter, il gueule : « tiens voilà mon salop, une autre dose ! ».
Je me penche vers lui, l’embrasse dans le cou en lui disant « bonjours bel étalon » il me répond « bonjour belle jument en chaleur ». Je me retire de sa bite et viens me coucher à côté de lui. « Dis donc tu sais t’y prendre pour réveiller un homme toi ! – oui mais ça marche mieux avec un homme qui sait s’y prendre ». Nous restons un petit moment à nous taquiner et à nous faires des câlins. Puis nous filons à la douche, à tour de rôle histoire de ne pas déraper une fois de plus. Il est bientôt 11h, je lui prête un boxer, un T-shirt et un pull car il n’a que ses affaires d’hier qui sentent le tabac froid, nous quittons l’hôtel direction le Capitole pour le p’tit déj au café « les colonnes ». C’est mon rituel à chacun des weekends toulousains je prends mon p’tit déj en terrasse face au Capitole, j’adore cette place, j’adore cette vile … oh Toulouse ! Nous commandons un solide petit déjeuner : œufs au plat, charcute’, croissants
et chocolatines, café ; on crève de faim !
Une fois le petit-déj engloutis, je l’emmène faire un petit tour dans mes lieux favoris, notamment l’église Saint-Sernin à laquelle je rends une petite visite lors de mes séjours toulousains. Je trouve cet endroit magique, il dégage une énergie folle. Bien que je me considère comme athée, je vais toujours allumer un cierge à l’autel de Ste Germaine, à la quelle ma mémé vouait une dévotion sans faille, c’est aussi un de me rituel immuable.
Nous déambulons main dans la main dans le vieux Toulouse, en discutant de tout de rien, quand Raph me lance : « écoute Rémi, j’ai envie de passer le reste du Weekend avec toi…voire un peu plus » je lui réponds du tac au tac : « et bien avec joie, finissons le weekend en semble, et verra après ». Il est presque 14h quand je le raccompagne au métro pour qu’il aille récupérer ses affaires et sa caisse chez son pote. Je lui donne rendez-vous au sauna le KS, qui programme un samedi par mois une aprèm et soirée Bears. Je lui dis qu’il n’aura qu’à m’y rejoindre quand il aura garé sa caisse au souterrain de Jean Jaurès. Je me garde bien de lui donner mon tel pour tester sa « motivation ». J’aime bien faire un peu courir les mecs…
Je repasse faire un saut à l’hôtel puis me dirige vers le sauna. J’y arrive vers 15h, et je paye mon entrée, me dépoile, passe à la douche et pars explorer les lieux. Peu de monde encore, je vais prendre un café au bar, je croise Florent, un Bear trentenaire comme moi, aussi salope que moi, nous discutons un moment, en gloussant comme des pintades. Le bar a deux entrées, une qui donne sur le vestiaire dans le prolongement du bar et une en face qui donne vers le sauna et les douches. Je suis assis dos au vestiaire quand je vois Florent jeter un regard gourmand vers la porte. Face à mon regard interrogateur il me dit sur un air de confidence « Y a un putain de bogoss black qui est en train de se déshabiller », je me retourne et je reconnais mon Raph ! un coup d’œil à la pendule ; 15h40, putain ! il a fait vite ! « Ah ! celui-là ! il est là pour moi ma caille ! ». Je plante Florent sur place et file rejoindre mon bel étalon des Antilles. Il est en train fermer so
n casier, « bonsoir joli garçon, vous habitez toujours chez vos parents. » il se retourne, et me répond « non je loge à l’hôtel avec une grosse coquine accro à ma bite ! ». Il s’avance me roule une pelle, et me claque le cul à travers la serviette. Je me retourne et lance un clin d’œil à Florent qui est moralement en PLS. J’accompagne Raph à la douche puis nous gagnons le jacuzzi. Une fois à l’eau nous passons un moment à nous tripoter et à nous chauffer. Il me glisse à l’oreille qu’il a envie de mon cul, je lui dis que ses désirs son des ordres, nous sortons du Jacuzzi, nous avons tous les deux la gaule… Je le prends par la main et le conduit vers ma cabine préférée ; celle avec un sling et des miroirs partout. Il entre, pousse un cri de surprise face à tous ses miroirs et ce sling qui trône au milieu. « Alors toi t’as pas fini de me surprendre- j’ai toujours adoré la balançoire darling ». Je referme la porte, un tour de clef nos servi
ettes tombent à nos pieds, on se roule une pelle de ouf puis il me fait retourner sur moi-même, il s’accroupi et commence à me bouffer le cul avec toujours autant de passion et de dextérité. Je me tortille de plaisir. Ensuite je m’installe sur le sling, les fesses bien au bord, les jambes bien callées sur les suspensions. Il me regarde avec ses yeux de prédateur, choppe du gel au distributeur, me tartine la rondelle, introduit un puis 2 doigts qu’il fait pivoter à l’intérieur de mon trou palpitant, il fini en se badigeonnant la queue et en me pénétrant une seule et longue poussée. Une fois bien calé au fond je lui demande de rester un peu immobile car vraiment j’adore cette sensation. Il commence des petits allers-retours accélérant progressivement la rythme, il me baisse avec force en utilisant le balancier du sling. Raph mon baiseur en or massif et créatif commence alors une cadence plus saccadé faite de 2 ou 3 petits coups avec sa pine plantée à moiti
é, puis un grand coup puissant jusqu’à la garde. Je me lâche complètement et gueule de plaisir, je me dis que Florent (qui nous a suivi de loin) doit m’entendre et être vert de jalousie. Raph fait baisser progressivement la cadence avant de me dire, qu’il veut qu’on aille dans une autre cabine avec un matelas afin de continuer de façon plus tendre. Nous quittons donc la cabine sling pour traverser le couloir et aller dans une cabine classique. Il me demande de me coucher sur le côté et vient me prendre en cuillère. Je sens son souffle dans mon coup, il me dit que je suis beau, que mon cul est vraiment trop bon, qu’il et trop bien dedans…Nous continuons comme çà un long moment, puis se saisit de ma bite et me branle avec vigueur. Je ne tarde pas à éjaculer dans le creux de sa main. J’ai à peine fini de gicler, qu’il ressort sa bite, étale mon sperme dessus et me pénètre à nouveau. Encore animé par les spasmes de mon orgasme, je serre mon anneau auto
ur de sa queue, qui ne tarde pas éjaculer. C’est la deuxième fois en moins de 24 h que je me retrouve remplis par mon sperme mélangé au sien…On ne m’avait jamais fait çà avant !
Nous nous remettons de nos ébats sous une bonne douche et allons fumer une clope. A travers la porte vitrée de la cabine fumeur, je vois mon Florent qui a vraiment l’air dépité. Pour ne fois que c’est moi qui me tape le bogoss du sauna, je ne boude pas mon plaisir… suite à l’épisode 3
(PS : mon partenaire et moi avons évalué les risques d’un rapport non protégé au regard de nos pratique, en nous basant sur une confiance réciproque. Notre décision de baiser sans capote est celle de deux adultes consentants et responsables 😉)
Nourspas12
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