Bonjour à tous, je m’appelle Thibault, j’ai 21 ans, et je vis encore avec mon colloc, Léo. Nous habitons ensemble depuis nos 18 ans, et nous sommes étudiants dans la même ville. Léo a le même âge que moi, 21 ans, musclé, aux cheveux blonds et aux yeux bleus. Il entretient régulièrement son torse et ses jambes en pratiquant de la musculation dans l’appartement, et la course à pied sur les quais de la ville. De mon côté, j’essaye également de m’entretenir, et je pense pouvoir dire que je suis mince mais bien dessiné.
Dans notre collocation, nous avons qu’une seule chambre, avec deux lits simples. Rapidement, c’est présenté quelques difficultés concernant l’intimité. En effet, aucun de nous ne pouvait ramener une meuf après nos soirées légèrement arrosées. N’étant pas pudique, lui ou moi, nous avions rapidement découvert le corps de l’un et de l’autre, lorsque nous nous douchions chacun son tour dans la salle de bain.
C’est donc un soir, bien arrosé, en boîte de nuit, que nous avons rencontré une fille de notre âge, Celia. Elle nous avait charmé tous les deux, et après un petit regard de connivence, nous lui avons proposé de rentrer avec nous à l’appartement. Nous discutions tranquillement dans le salon, quand la tension monta, et que Célia se dirigea vers Léo, et lui roula une pelle. Quelques secondes plus tard, elle se retourna, se dirigea vers moi et m’embrassa à mon tour. C’est ainsi qu’elle alterna entre Léo et moi. Au bout de quelques minutes, je pu voir Léo glisser sa main le long de sa poitrine, vers son entrejambe. Sa main passe sous sa culotte, pendant que celle-ci continuait de m’embrasser. Elle se mit à gémir, lorsque les doigts de Léo, la pénétrèrent. Cela dû l’exciter, puisque quelques instants plus tard, elle abandonna ma bouche, se leva avant de s’accroupir entre les jambes de Léo. Elle ouvrit son jean, retira son caleçon et révéla ses 19 cm
en érection. Sans attendre davantage, elle les inséra dans sa bouche et se mit à le sucer. C’était la première fois que je voyais la queue de mon colloque en érection. Celle-ci était bien droite, non circoncise, totalement imberbe, sous lequel reposait deux petits testicules roses et lisses.
Ce fut ensuite mon tour, et Célia, se plaçant entre mes jambes, révéla mes 18 cm, qu’elle prit également en bouche. Tout en me suçant, elle caressa mes couilles. Ainsi, je pouvais voir ma queue, légèrement courbée vers le bas, entrée et sortir entre ses lèvres.
Pendant les minutes qui suivirent, Celia alterna entre ma queue et celle de Léo. Puis l’aidant tous les deux, Celia se retrouva nue face à nous. Ne pouvant la laisser seule, nous nous sommes également déshabillés. Du haut de son mètre 80, Léo, apparaissait comme un hétéro fier de sa masculinité. Nous nous sommes retrouvés tous les deux debout, pendant que Celia était à genoux, nous suçant chacun notre tour. Elle tenta même de gober nos deux queues en même temps, ce qui fut trop compliqué. Mais cette vision, et ce contact, m’électrisa.
Célia, qui se releva la première, et qui s’installa à quatre pattes sur le canapé. Les intentions étaient claires. Elle voulait se faire prendre en levrette. Léo me regarda, puis s’approcha le premier. Il inséra en elle ses 19 cm. Célia avait l’air de prendre son pied.
Après quelques minutes, Léo me libéra la place, et je fis de même. Tout en admirant, ma queue, entrée et sortir de sa chatte, je pouvais voir Léo, se branler en nous regardant.
Puis, sentant l’orgasme monter, je me stoppa et laissa la place à Léo. lorsqu’il s’approche de nouveau, je fus surpris de voir Celia stopper la venue de sa queue, qu’elle prit en main, et qu’elle dirigea vers son anus. Léo sembla surpris, mais se laissa faire. Et c’est ainsi que Celia se fit pénétrer le cul.
Après quelques minutes, Célia demanda à Léo de venir placer ses pieds à côté de ses genoux. Elle voulait visiblement que je vienne à mon tour lui prendre la chatte et voulait ainsi me libérer la place. Celia était donc à quatre pattes sur le canapé, pendant que la queue de Léo faisait ses aller-retour dans ses fesses. Léo, quant à lui était au-dessus de Celia. Les jambes écartées me libérant ainsi le chemin d’accès à sa chatte. Ma queue y glissa sans difficulté, puisque Celia mouillait énormément.
Léo étant positionné au-dessus de Célia, mon bassin venait systématiquement en contact avec son cul lorsque je faisais des allée et retour dans la chatte de Célia. Ce qui me donna presque l’impression de baiser mon colocataire, et meilleur ami. A plusieurs reprises, ma queue sortie de son logement et vint taper les couilles de Léo, voir même sa raie. Systématiquement, je redirigea ma queue vers la chatte de Celia pour reprendre mon affaire. Toutefois, après m’être de nouveau introduit en elle, je sentis la pression sur ma queue s’accroître, et l’orgasme approcher. De son côté, j’entendais Léo, gémir davantage, j’en déduis que lui aussi approchait de la jouissance. Après quelques minutes, je baissa les yeux pour observer ma queue et fut choqué de la situation. En effet, je découvrais que mon sexe n’était pas dans la chatte de Celia, mais bien dans le cul de Léo. Je compris alors mon erreur. En voulant me réinsérer dans sa chatte, ma queue avait p
ris la direction de l’anus de mon coloc. Toutefois, celui-ci ne m’avait rien fait remarquer. Totalement perdu, je retira ma queue, découvrant alors son trou bien ouvert.
Je me dirigea alors vers le visage de Celia, tout en me branlant. Il ne me fallu que quelques secondes pour jouir sur le visage
De son côté, elle hurla de plaisir, tout en stimulant son clitoris, se faisant pénétrer les fesses par Léo.
Mon colloque, se mit à gémir, et j’en compris qu’il éjacula à son tour.
Nous étions tous les trois épuisés et souriant. Toutefois, je restais perturbé sur ce qui venait de se passer entre Léo et moi. Aucun de nous deux n’en parla. Nous avons proposé à Celia de prendre une douche, puis nous pouvant dormir chez nous, elle retourna chez ses parents.
Une fois seuls, aucun de nous n’évoqua cette pénétration anal involontaire. Nous avons également pris nos douches successivement avant d’aller nous coucher. Malheureusement, cela me travaillait énormément et je n’arrivais pas à trouver le sommeil.
– Léo, tu dors ? Lui demandais-je.
– Non, pourquoi ? Me réponda-t-il.
– J’arrive pas à dormir, j’ai un truc qui me tracasse
– Ah …. C’est quoi ?
– Tu sais, tout à l’heure … entre nous … c’était pas volontaire
– …
– Je ne sais pas trop … ça me gêne. J’ai peur d’avoir brisé quelque chose entre nous.
– Soit pas bête ! Me dit-il simplement.
– Je suis pas bête. Mais, tu m’en veux pas ?
– De quoi ? Ajouta-t-il
– Tu le sais, très bien
– Oui, mais je veux t’entendre le dire
– Mais c’est trop bizarre … ok … Je suis désolé de t’avoir pris les fesses. Je voulais pas. Je m’en suis aperçu qu’après. Sur le moment, je n’ai pas senti de résistance. Je suis désolé.
– T’inquiète, c’est pas si grave. Me dit il simplement.
– Bah un peu quand même. Je ne t’ai pas fait mal ? M’inquiétais-je
– En vrai ?
– Oui
– Non pas du tout, j’ai juste été surpris. Mais avec ma position, je pense que mon trou a dû se détendre. M’avoua-t-il
Après quelques secondes de blanc, je repris:
– Mais pourquoi tu ne m’as rien dit ?
–Je ne sais pas, c’était la première fois que je prenais une queue dans le cul … j’y avais jamais pensé avant, mais je crois que j’ai bien aimé
– C’est pour ça que tu n’avais rien dit ?
– En vrai, oui, je crois que je prenais mon pied.
– Ah ouais ?
– Oui, je n’avais jamais ressenti ça avant. M’expliqua-t-il
– Je ne sais pas trop quoi te dire.
– Mais toi tu as aimé ? Me demanda-t-il ?
– En fait, j’ai pas remarqué tout de suite que je te baisais. Mais je me suis fait la remarque, que c’était beaucoup plus serré et hyper agréable … en vrai, j’étais sur le point de jouir en toi.
– Ah ouais, carrément ?
– Oui, ton cul était trop bon … je pensais pas te dire ça un jour.
– Putain, rien que de parler de ça, ça me fait bander.
– Moi aussi
Léo se redressa et alluma la lumière. On pouvait clairement voir que je bandai au vu du chapiteau que ma couette formait.
–Thibault ? Tu m’autorises à essayer un truc ?
–Oui, si tu veux.
Léo se redressa, se rapprocha de mon lit, puis délicatement baissa ma couette, révélant mon caleçon déformé. L’attrapant délicatement, il le fit descendre sur mes genoux. Il sembla admirer ma queue quelques instants, puis approcha sa bouche petit à petit. Il ne fallu pas longtemps pour qu’il se mette à me sucer au départ. Il se concentra uniquement sur le gland, puis progressa jusqu’à la base.
Il me suça ainsi pendant cinq minutes, avant de se relever et de me demander :
– J’ai envie de réessayer !
– Quoi donc ? Lui demandais-je
– Que tu mettes ta queue en moi
Il s’installa en travers de son lit, attrapa ses cuisses, et ainsi me révéla son trou encore ouvert. Sans réfléchir, je pris place entre ses jambes et y inséra ma queue. C’est ainsi que je me mis à le baiser de nouveau, mais cette fois-ci, totalement volontairement. J’ai vu sur son visage des grimaces de douleurs, mais il n’arrêta pas et me demanda de continuer. Puis son visage se détendit, et il se mit à gémir de plus en plus. Je pouvais voir ma queue entrer et sortir de son cul serré. Je l’attrapais par les hanches, afin de m’aider à introduire mes 18 cm en lui. Il ne fallu qu’une dizaine de minutes, pour que Léo éjacule sur son torse, sans même se toucher. La sensation de son sphincter serré sur ma queue, ne fit que décupler mes sensations, et je ne pu me retenir de jouir en lui.
Me retirant délicatement, je ne pu que constater que son trou était béant et dégoulinant de sperme.
– Mec, je t’ai explosé le cul. Lui dis-je
Passant ses doigts dans sa raie, il pu constater les dégâts.
– La vache, j’ai le cul plus ouvert qu’une chatte. Lança-t-il en rigolant.
C’est ainsi, que les Léo et moi avons commencé à coucher régulièrement ensemble. Au début il ne fut que passif, puis petit à petit, nous partagions les rôles. Cette expérience nous fit découvrir notre bisexualité.
JulesP
Julespg8@gmail.com
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