Les 12 culs de minuits
Tout a commencé par une envie folle d'aller passer un séjour en forêt. C'était le mois d'octobre, un automne frais mais clément. J'avais loué un petit chalet douillet en plein coeur de la forêt. Là-bas, une rivière coulait tout près et, le gîte se trouvait perdu en flanc d'une montagne. Il était accessible uniquement à pieds. En d'autres mots, j'étais retiré du monde, coupé du service d'hydroélectricité et de toutes commodités de la vie moderne. Cela me plaisait beaucoup.
Je venais de quitter un emploi et j'avais besoin de refaire le point sur ma vie. Dans ce petit repaire tranquille, j'espérais mettre de l'ordre dans mes idées. Une autre chose, je n'avais pas eu de copain depuis quelques années et ma libido me torturait tout le temps. C'était aussi pour fuir un peu les backrooms et les saunas que j'opérais cette retraite. La dépendance à ces lieux devenait de plus en plus forte. Mais, quand on a la jeune trentaine et qu'on est aussi mignon que moi, il est difficile de rester chaste et pur.
La première nuit m'apporta de grandes surprises.
D'abord, je m'étais endormi très tard car, dès que j'eus posé la tête sur l'oreiller,des fantasmes et des pensées sexuelles ne cessèrent de me tourmenter. Mais je tenais à résister et à ne pas me masturber, histoire de faire taire un peu mes vieux démons. J'ai fini par m'endormir.
Le temps avait filé, il devait être passé minuit quand je me suis réveillé brusquement. D'instinct, j'ai attrapé ma queue qui était raide comme une barre de fer et, les images les plus folles se sont remises à torturer mon esprit. Je brûlais d'une envie irrépressible de baiser des mecs.
Dans la chambre, il y faisait noir comme chez le loup. Je me suis levé et, à tâton j'ai avancé dans l'obscurité. Je rêvais d'une bite juteuse qui me tomberais sous la main. Pour parer au manque, j'astiquais vigoureusement la mienne en nourrissant les images dans mon esprit. Puis, c'est là qu'il se passa quelque chose d'extraordinaire :
La noirceur s'est quelque peu dissipée, laissant place à une lueur à peine suffisante pour me permettre de distinguer, à la hauteur de mon visage, une forme devant moi. J'ai avancé d'un pas et... un cul de mec était là, comme suspendu dans le vide, l'anus à la portée de ma bouche, les jambes relevées mais invisibles. Je n'ai eu qu'à caler mon visage sur ce cul pour bouffer la rondelle goûteuse qu'on m'offrait sur un plateau d'argent. J'étais si excité, si affamé que je l'ai dévorée et déflorée à la limite du possible. Alors, j'ai senti quelque chose au creux de ma main : une bouteille de poppers, que je reconnus immédiatement dans le noir. J'en ai sniffé un bon coup et puis, j'ai vu d'autres culs s'aligner les uns à côté des autres. Il y en avait tout autour de moi, formant un cercle. Tous à la hauteur de mon visage, jambes relevées, suspendus dans le vide. L'obscurité ne me permettait pas de distinguer les détails. J'y voyais tout juste une forme mais, en pivotant sur moi-même, je pouvais compter une douzaine de culs. Alors, grisé par l'effet des poppers et mon énorme appétit, je me suis mis à bouffer tous ces culs les uns après les autres. Dieu du ciel que c'était bon! Ils étaient tous rasés, charnus à souhait, brûlants, juteux, goûteux, les anus souples, parfois béants ou ne demandant qu'à être dévastés par ma langue fouineuse. De grosses bites et de belles couilles s'offraient également à moi. Je suçais tout ce qui me tombait sous la main, léchant, mordillant. J'allais d'un cul à l'autre en m'étourdissant dans un incroyable 180 degrés de gastronomie aux effluves de poppers Jungle juice.
C'est là qu'une autre chose est apparue dans ma main : un dildo. Sans le voir, je savais qu'il s'agissais de la réplique exacte de la queue de Jeff Striker, puisque j'en possédais une moi-même.
Le bout du dildo était lubrifié. Je l'ai fait entrer dans le premier trou qui s'est présenté. Il s'est frayé un chemin d'une traite sans rencontrer aucune résistance. Bien logé dans le trou chaud, j'ai laissé le jouet en place et j'en ai profité pour aspirer des poppers. Quand j'ai senti les effets enveloppants prendre le contrôle de tout mon corps, j'ai ressorti la bite synthétique et je l'ai sucée et léchée sur toute sa longueur. Hum! Quel délice! J'ai répété le même geste sur chacun des 12 culs en ne manquant pas de sucer leurs bites et leurs couilles gonflées.
Ma propre queue était folle. Elle menaçait à tout moment d'exploser. Je ne devais surtout pas la toucher en aucun cas. Mon trip était trop intense, trop bon et trop fou pour que j'y mette un terme aussi bêtement. La nuit était jeune, mon appétit ne cessait de s'accroître et les poppers me rendaient plus cochon que je ne l'avais jamais été jusque là.
J'ai jeté le dildo par-terre et je me suis remis à bouffer les culs. Cette fois, les anus étaient dilatés au possible, juteux, gouteux, très élastiques et invitants. J'y rentrais la langue sans aucune difficulté et parfois même il me semblait que j'y enfouissais les lèvres aussi.
En opérant un profond french-kisse, j'embrassais les anus comme on embrasse la bouche d'un homme. Je me soulais littéralement dans ce plaisir charnel indescriptible. Je croyais rêver mais, je savais que tout cela était réel car je ne dormais pas.
Je crois bien que j'ai presque vidé la bouteille de poppers à me délecter de ce repas des dieux. Repas qui dura au moins 5 heures de temps car, c'est la lueur du jour qui vint y mettre un terme en même temps que ma queue qui explosa sans même que j'eus à la toucher. Tout de suite après, dans la clarté qui s'installait, les culs ont disparus comme ils étaient venus. Le dildo était encore à mes pieds. Je le prit dans mes mains et l'emportai avec moi dans le lit où je me rendormis.
glouton
penseur.3@hotmail.com