Le chantage qui m’a révélé

Chapitre-2

Ma nuit fut plutôt agitée et mon sommeil très léger.
Une fois préparé je me dirigeais vers mon lieu de travail avec de l’appréhension mêlée d’excitation.
Arrivé sur place, je me dirigeais vers le bureau du patron. Il vient à ma rencontre et m’invite à rentrer dans son bureau et à m’assoir sur la chaise.
-alors tu t’es remis de ta journée d’hier?
-oui monsieur
-parfait. Pour commencer ta journée tu vas rapidement me vider les couilles. Omar va arriver dans peu de temps. C’est le chef de chantier que tu vas suivre aujourdui. On va donc faire ça vite, je vais t’enculer direct. Baisse ton pantalon et met toi à quatre pattes sur le sol. J’en ai profité pour me branler sur ta vidéo en t’attend. Je suis cho comme la braise.
Sans même y réfléchir, je m’exécutais. Une fois en position, il vient se caler derrière moi le pantalon baissé et la queue en erection.
-je vais être gentleman et te mettre du lubrifiant pour préserver ta petite chatte. Elle vaut de l’or!
Une fois le gel froid bien appliqué il posa son gland sur ma rondelle et débuta son introduction dans mon corps. La douleur était forte mais le gel limitait les dégâts. Je le sentais glisser au fur et à mesure mais cela me parut à nouveau une éternité. Une fois au fond, je constatais une nouvelle fois que je bandais.
Il débuta un mouvement de va et viens qui me fit retrouver cette délicieuse sensation. Puis il se mit à me parler.
-bon j’ai oublié de te dire que j’ai reçu 43 mails de mecs prêt à te baiser. Il y a tout type de mec. Des vieux, y en a même un qui a 74 ans, mais aussi des jeunes. Certains sont vraiment vicieux. J’ai des tas de demandes toutes plus perverses les unes que les autres. De l’exhib, du sado maso, de l’uro. J’en ai un qui veut te regarder te faire baiser par son fils. Celui là est bien barrée et je l’ai gardé prioritairement.
Pendant qu’il me disait toutes ces horreurs, il continuait de coulisser en moi. Quelle étrange sensation de ressentir du plaisir tout en étant humilié et utilisé. Mais c’était le cas. J’appréciais ce moment. Je repensais à ce vieux qui voulait me regarder me faire baiser par son fils lorsque tout à coup quelqu’un toca a la porte.
-ah ça doit être Omar! Il est tôt. Oui entre c’est ouvert.
La porte s’ouvrît et j’ai eu le réflexe de me dégager de sa queue mais le patron me maintena avec sa queue en moi qu’il réintroduisit intégralement en moi.
-oh pardon patron je ne savais pas que vous étiez occupé.
-ne t’inquiète pas et entre. J’ai bientôt fini. Je te présente Valentin, notre nouvel employé dont je t’ai parlé.
Omar s’approcha de moi et me tendit la main.
Je lui serra la main par politesse mais j’étais rouge de honte. Je serrais la main à un homme que je rencontrais pour la première fois alors qu’une grosse queue était en train de me pénétrer.
-je t’en pris Omar, assis toi je suis sur le point de cracher.
Omar s’installa et regarda la scène. Je n’osais pas le regarder tellement la honte me dominait et je baissais la tête au sol.
-regarde Omar dans les yeux Valentin! Je veux qu’Omar puisse constater comme tu es un employé obéissant.
Le patron augmenta la cadence et rapidement gicla en moi.
-allez Valentin viens me nettoyer la queue!
Je m’exécutais et m’appliqua a bien nettoyer tout le sperme.
-c’est bon remet tes freingues mais dis moi merci pour t’avoir baise et rempli de mon jus.
-merci patron de m’avoir baise et rempli de votre jus.
-Patron vous aviez raison c’est une jolie femelle obéissante que vous avez recruté. Est ce que j’aurais le droit d’y goutter moi aussi?
-pas maintenant Omar vous allez être en retard sur le chantier. Mais je te fais confiance, tu es le chef du chantier et ce qui se passe sur le chantier t’appartient. Je veux juste qu’on ne me l’abîme pas. Elle vaut de l’or. Emmène le avec toi pour lui donner une tenue de travail. Tu lui donnera aussi le nécessaire pour les débutants.
-d’accord patron, aller Valentin suis moi.
Je décidais de suivre Omar. Il était âgé d’une quarantaine d’années. Il était d’origine égyptienne et mesurait 1m80 pour environ 85 kilos. Il paraissait très poilu puisque des poils ressortaient de son t-shirt. Je le suivis jusqu’à un local vestiaire. Il me tendit ma tenue et me dit qu’il fallait que je mette le plug qu’il était en train de me rendre.
-c’est quoi ça?
-un plug. Le patron exige que les nouvelles recrues se le cale dans le cul pendant la journée de travail.
-mais pourquoi?
-pour que ton cul soit prêt à l’emploi quand il le décide.
-tous les nouveaux passent par la? Du coup toi aussi tu as déjà vécu ça?
-ahaha mais non abruti. Il le demande uniquement aux pd comme toi!
-mais je suis pas pd Omar. J’ai une copine!
-t’es pas pd toi? Rappelle moi ce que je viens de voir tout à l’heure dans le bureau du patron. Tu avais bien une bite qui te bourrinait le trou de balle non? Est ce que tu crois vraiment qu’un vrai mec se laisserait baiser comme tu l’as fait? Qui d entre nous a du jus d’un vrai homme dans son cul en ce moment? Quel hétéro dit merci à un mec pour l’avoir enculé et dosé.
Alors c’est qui ?!! Répond!
-c’est moi…
-voila tu es une pedale donc maintenant cale toi ce plug dans ton cul avant que le sperme du patron ne coule sur ta tenue de travail.
Omar était lui aussi très autoritaire et je m’exécutais. J’ai eu du mal à l’introduire vu le diamètre du plug mais une fois rentré il ne pouvait plus en ressortir.
Une fois complètement habillé et prêt pour le travail, Omar voulut me montrer son autorité.
-tu as entendu le patron, je suis le chef. Tu dois m’obéir. Si je te dis de faire quelque chose tu le fais. C’est clair?
-oui
-oui CHEF!
-oui chef
-on va tester directement. Ouvre la bouche en grand.
Je m’exécutais et je recevais un énorme crachat dans la bouche.
-avale! C’est bien t’es une bonne chienne soumise. Viens avec moi et monte dans la camionnette.
La sensation lors du trajet avec le plug en moi fut étonnante. Plutôt incofortable. Une fois assis la sensation était préférable.
-alors comme ça tu te dis hetero?
-j’ai une copine oui
-et tu te fais souvent baiser?
-non c’est la première fois avec le patron.
-ta copine est au courant?
-non!
-je suis sur que tu as aimé te faire baiser
-j’ai pas le choix, je dois rembourser des dettes.
-ahahaha l’excuse des dettes. Tu en avais envie. J’ai vu que tu bandais quand le patron te baisais comme une pute. Et tu l’as laissé faire, tu l’as laissé fourrer sa queue en toi comme une meuf. En plus t’es vraiment une grosse salope parce que tu l’a laissé te baiser sans capote et se vider dans ton cul. Et comme tu as aimé ça tu lui a nettoyé la queue et tu lui a dis merci. Et tu veux me faire croire que salope comme tu es, tu serais hetero!
La précédente pute que le patron avait, il n’a accepté que de le sucer et il était pd. Et toi tu fais la totale sans soucis et disant merci et tu serais hetero. La prochaine fois que tu me mens je te fou une torgnole c’est clair?
-oui chef
-donc tu es bien une grosse pedale?
-oui chef
-tu as aimé qu’il te baise?
-oui chef
-tu as aimé son jus?
-oui chef
-quand on sera sur le chantier tu vas me vider les couilles a moi aussi?
-oui chef
-c’est bien tu as tout compris
-alors tu vas déjà me sucer pendant que je conduis.
Il m’offrît un chemin vers son entrejambe. Je l’ai déboutonné et ouvert la braguette. Je sentais son membre rigide. J’ai passé ma main sous l’élastique de son slip pour saisir sa queue puis j’ai baissé le tout.
Sa queue n’était pas aussi longue que celle du patron mais elle est beaucoup plus épaisse. Il était circoncis. J’ai rapidement avancé ma bouche a sa queue et j’ai commencé à le sucer. J’y ai mis tout mon savoir faire pour le satisfaire malgré la difficulté à gober l’intégralité vu l’épaisseur de sa queue. Puis sans me prévenir il cracha tout son jus dans ma bouche et me hurlant :
-avale sale pute!
J’étais surpris qu’il jouisse aussi vite et je fut content du travail que j’avais fait.
-ça me confirme que tu es bien une sale pedale. Tu m’a fait craché plus vite que ma femme. Ça sera comme ça tous les matins. Tu vas me sucer sur le trajet. Et si dans la journée les couilles sont à nouveau remplis je ferais appel à toi. Alors tu l’as kiffe ma grosse queue?
-oui chef.
-et mon jus, il est meilleur que celui du patron?
-il est aussi bon chef.
-tu es un malin toi. Tu es loyal à ton maitre. Je te rappelle que sur le chantier cnest moi ton maitre. Est ce que c’est clair
-oui chef
Nous voilà arrivés sur le chantier. Omar me demande de le suivre pour le présenter à l’équipe. Je découvre une dizaine de mec. Des gars issus de l’immigration.
-bonjour les gars, je vous présente la nouvelle recrue du patron. Il s appelle Valentin. Il n’a aucune expérience dans le métier donc il a dut se montrer très généreux avec le patron pour qu’il l’embauche.
Des rires gras se font entendre, d’autres ralent.
-il va rester principalement avec moi aujourdui ou sinon avec Ahmed ou Paulo . Je vous demanderais de l’aider à apprendre le métier. Merci on y va les gars.
Ahmed s’approcha de nous et me serra la main et s’adressa à Omar.
-si j’ai bien compris il est surtout là pour vider les couilles du patron c’est ça?
-oui Ahmed, pas un vrai renfort alors qu’on a besoin de mec expérimenté. Mais il ne vide pas que les couilles du patron. Il m’a sucé sur le trajet. Le seul impératif c’est de ne pas l’abîmer.
-ne pas l’abîmer? Avec ma queue je suis obligé de l’abîmer!
-il a encaissé celle du patron sans broncher. Si tu y va mollo ça peut le faire. En plus il se laisse prendre sans capote. Une vraie pute.
Je n’en reviens pas. Ces deux hommes parlent de moi comme si je n’étais pas là. Ils parlent de me baiser comme si c’était normal.
-ah c’est intéressant ça. Je déteste les capotes.
La matinée se passe calmement, je suis Omar partout et il m’explique ce qu’il fait. L’heure de midi arrive. On se réunit dans un resto routier. Je me retrouve à tablé à côté d’Omar et de Paulo. Paulo est le plus ancien de l’équipe. Il est portugais et il a 55 ans. Il est plutot rond avec un ventre très prononcé. Il s’adresse à Omar pour demander des précisions sur moi.
-alors le petit nouveau il est uniquement pour le patron ou on peut en profiter?
-non on peut le faire tourner mais la consigne c’est qu’on ne l’abîme pas.
-sérieux? On peut le baiser?
-oui mon Paulo. Je sais que tu t’es pas vidé les couilles depuis un moment. Tu pourras en profiter. Et pour info il se laisse baiser sans capote.
-oh putain je le baiser tout de suite. Je peux l’amener au chiotte?
-oui mon Paulo va y.
-tu as entendu Valentin, tu vas avec Paulo pour lui vider les couilles. T’inquiète pas, il a une petite bite.
Je n’en reviens pas. On me donne l’ordre d’accompagner un vielle homme degueulasse pour qu’il me baise. Et je n’ai même pas eu mot mon a dire. Je suis vraiment devenu un pute.
Je le suis et arrive dans les toilettes Paulo se defroque sans attendre me présentant un sexe de petite taille. Je me met à genou et comme à lui pratiquer une fellation. Il me stoppe en me disant qu’il va jouir bientôt et qu’il veut aussi m’enculer. Je baisse mon pantalon et mon boxer et il remarque le plug.
-oh oui c’est vrai. Le plug du patron. Il me le retire et y introduit sa queue à la place. Je ne sens pratiquement rien mais je constate que Paulo s’active comme jamais. Il évacua un cri viril pour me signifier qu’il avait fini son office. Il se retira et le remis le plug en place. Puis il s’avance vers moi et me pris le visage en ses mains et me roula une pelle baveuse. Je n’ai jamais embrasse d’homme de ma vie et me voila avec la langue d’un vieux degueulasse au contact de la mienne alors qu’il vient de se vider les couilles en moi. Nous avons ensuite rejoint les autres.
-ah mon Paulo! Alors c’était comment?
-oh putain c’était trop bon. Ça me manquait!
-et alors tu as craché ou ton jus?
-direct dans son cul!
Des rires gras se font entendre. J’étais rouge comme une tomate.
-et toi Valentin tu as aimé? Je parie que tu n’as rien senti de la bite de Paulo, c’est ça?
-heu oui chef
-t’inquiète pas, dans notre groupe, beaucoup ne te baiseront jamais mais ceux qui le font ont de quoi de faire couiner petite salope.
-Omar, je pourrais m’entretenir avec Valentin tout à l’heure?
-ah ben justement Valentin, avec Ahmed tu vas déguster! Oui Ahmed tu pourras le baiser… heu pardon…. T’entretenir avec Valentin.
Une fois le repas terminé, direction le chantier. Ahmed vient près de moi et me demande de le suivre dans l’algeco. Nous voilà tous les 2 dans ce petit espace.
-bon Valentin on va pas passer par 4 chemins. J’ai envie de me vider les couilles. Alors à toi de jouer.
Ahmed est un malien qui mesure 1m93 et très musclé aussi. Un gabarit impressionnant,
Je me dirige vers lui pour déboutonner son pantalon et baisser son boxer. Et je découvre un sexe d’une taille irréelle. Le plus choquant était que sa queue était au repos.
-oui je sais elle est énorme et peut faire peur. Mais grâce au jus de Paulo ça va coulisser tout seul.
Je me mis à genou et tenta de rentrer sa queue en bouche. Plus elle grossissait et moins elle s’enfonçait dans ma bouche.
-prend ton temps tu vas réussir.
Sur ces encouragements je me mis à m’appliquer avec l’ardeur de la championne du monde des suceuses de bite. Je réussissais et j’obtiens les félicitations d’Ahmed.
-bravo Valentin maintenant on va changer de trou.
L’inquiétude montait. Il retira le plus et y fourra 2 doigts. Il récupérait le sperme de Paul et du patron et badigeonnea sa queue avec. Il approcha son gland et il y appliqua une pression lente et progressive. Il me parlait gentillement et m’encourageait. Sa queue progressait très lentement mais elle avançait. Je me sentais être coupé en deux sur place.
-va y Valentin poussé te toute tes forces comme si tu allais chier.
Ce que je dis et je senti une progression immédiate. J’avais extrêmement mal mais il n’y allait pas comme une brute. La douleur était supportable. Une fois arrivé au fond Ahmed me félicita chaleureusement. Il resta calé au fond de moi pour me laisser le temps de m’habituer à son calibre et reposer ma rondelle. Je remarquais que ma queue était à son maximum. C’est officiel j’aime me prendre des queues et pas n’importe lesquelles, les grosses queues. Il entama un mouvement de va et viens. Je ne pus m’empécher de laisser échapper un gémissement de plaisir intense. Par la meme occasion 4 jets de sperme s’échappèrent de ma queue pour s’écraser son mon pantalon de travail. Merde me disais-je. Après tout ils savent tous ce qu’il se passe ici.
La cadence s’accéléra et je me sentais chienne. J aimais l’idée d’être découpé en 2 par une bite. Lorsqu’il ejacula il poussa un cri strident que tous les gars du chantier ont pu entendre. Il se retira et pris la peine de remettre le plug à sa place.
-je voudrais pas que tout le jus s’échappe!
-merci Ahmed.
-merci à toi. Peu de de fille accepte que je les baise. Et les mecs c’est pas trop mon truc mais c’est les seuls à vouloir essayer. Mais souvent ils abandonnent. Toi tu as réussi. Tu es un champion. J’ai vraiment aimé te baiser.
-moi aussi j’ai beaucoup aimé ta queue. Est ce que tu me permets de te nettoyer ta queue. Je veux goûter à ton jus.
Je n’en revenais pas de ma proposition. Ahmed accepta et je pus déguster les dernières gouttes de jus qui s’échappait de son gland.
-hummm et ton sperme est délicieux. Je suis déjà accro à ta queue.
Mais que m’arrive t’il?!! Accro à une queue? Mon instinct semble plus prêt que moi à accepter ma situation de vide couille de la boîte.
L’après midi se passa sans difficulté. Je ressentais tout de même des douleurs abdominales et à ma rondelle. Mais j’étais fier du travail effectué. J’avais vidé des couilles et je n’ai reçu que des compliments. Me voilà dans la camionnette d’ Omar pour retourner au siège de la boîte. Il me questionne sur ma journée et sur mes prouesses avec Ahmed. Cette discussion m’ayant émoustillée je lui demande si je peux le sucer.
-ah oui t’es vraiment une grosse salope toi. Ben écoute va y. Viens récupérer mon nectar.
Arrive sur le parking de la boîte, Omar n’avait pas encore juté. Je m’activais pour lui donner toute satisfaction et ce fut le cas. Il crachat de gros jets en plein dans le fond de ma gorge qui manquèrent de m’étouffer.
Omar m’a raccompagné dans le bureau du patron et lui a rendu compte de ma journée en détails.
-donc si je résume bien, tu as suce Omar 2 fois, tu t’es fait remplir par Paulo mais aussi par Ahmed. Tu as bien travaillé! Bravo Valentin.
-merci patron!
-maintenant tu vas retirer le plug et évacuer tout le jus dans ce pot. Demain matin tu le boiras à ton arrivée.
Une quantité impressionnante de sperme s’écoula dans le pot.
-tu es décidément un tire jus en or. Avant de partir tu vas une nouvelle fois me vider les couilles. Mais je suis fatigué donc tu vas faire tout le travail. Tu vas me sucer et quand je serais en forme tu vas t’asseoir sur ma queue et tout faire tout seul pour me vider.