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Chapitre-6
Salut,
Moi, c’est Nico. Pour mes potes, je suis « l’ensemenceur ». Je gagne ma vie depuis plus de 20 ans comme inséminateur équin et bovin : certains de mes clients m’appellent « l’étalon » aussi quand ils me voient arriver pour aller inséminer leurs juments… et pour les ensemencer aussi… car j’adore pénétrer des mecs afin de déposer dans leur cul ou dans leur bouche ma semence. Je suis toujours chaud, j’ai toujours les couilles bien remplies… et j’adore ensemencer les mecs, célibataires ou mariés, hétéro ou homo. Dans le premier chapitre, je vous ai raconté ma première fois avec Jean-Pierre, le mec qui aidait mon père à la ferme. Dans la deuxième, vous avez fait la connaissance de mon oncle Daniel chez qui j’ai fait mon apprentissage. J’ai vécu 3 années d’apprentissage et de bon sexe chez lui. Ensuite, je suis retourné habiter chez mes parents. Un jour, j’ai surpris mon frère baiser Gustave, notre inséminateur de l’époque. Un peu plus tard, j’en ai profité pour le baiser à mon tour. Quatre ans plus tard, j’habitais toujours dans la ferme familiale. J’étais devenu le second inséminateur de la région. Je bossais avec Gustave que je baisais souvent. Je m’étais mis moi-même à élever des étalons et des taureaux afin d’utiliser d’avril à juillet leur semence pour mes clients. C’est à ce moment-là qu’on a commencé à m’appeler « l’ensemenceur ».
Un jour, je suis allé chez un de mes clients, Fernand. J’étais en avance sur le rendez-vous fixé car mon client précédent, Jacques, m’avait planté. Comme à son habitude, il devait être en train de bosser dans les champs et il m’avait oublié. Je suis arrivé bien trois quarts en avance sur le timing, espérant que je pourrais rentrer plus tôt chez moi.
Je me suis garé dans sa cour et je suis allé frapper à sa porte. Pas de réponse. Je suis alors entré. Il ne s’offusquait pas de cela, il faisait d’ailleurs pareil chez nous. J’étais dans la cuisine. Elle était vraiment vieille, avec des décorations datant d’un autre siècle. Il y avait aussi des photos de la famille de Jacques, de ses parents ainsi que de sa femme, décédée. Partout trônaient aussi des trophées de concours d’équitation. Personne dans la cuisine, j’ai alors décidé d’aller attendre dehors quand j’ai soudain entendu :
- C’est bon ! Tu suces trop bon !
J’ai alors tendu l’oreille. Ce n’était pas la voix de Jacques… Je me suis alors approché de la porte d’une chambre, à peine entrouverte. J’ai de nouveau entendu :
- Lèche-moi les couilles !
J’ai un peu poussé la porte et j’ai alors vu Jacques qui était à genoux… en train de s’affairer sur les boules d’un mec… que j’ai reconnu être Liam, son employé qui l’aidait à tenir la ferme. Mes yeux se sont dirigés vers Jacques, ce beau mâle ! Jacques était beau gosse, il avait 58 ans mais il en faisait dix de moins. Il était grand et baraqué, en forme. Il était connu dans la région pour sa passion pour les chevaux et pour la chasse. D’où les trophées d’équitation dans la cuisine.
Liam s’est levé, il a placé Jacques à quatre pattes et il a commencé à lui enfoncer une grosse queue épaisse de bien 20 cm dans le trou.
- T’aimes bien te faire prendre, pas vrai, mon cochon ?
- Oh oui !
Dans le miroir, j’ai alors vu le regard amusé de Liam… qui me fixait ! J’ai alors compris qu’il m’avait pris en flag. Mais ça ne semblait pas le déranger car il a commencé à baiser son amant qui s’est mis à gémir fort. J’avais une belle vue sur sa teub qui entrait et sortait de ce cul poilu. Ses couilles se balançaient d’avant en arrière et elles frappaient les propres boules de Jacques qui étaient massives.
J’ai sorti ma bite et je me suis mis à me branler devant ce spectacle que m’offrait Liam. Il a alors demandé à Jacques :
- Alors, ça te plait ?
- Oui, j’adore ! Vas-y, défonce-moi !
Liam m’a regardé en souriant et il a accéléré le rythme. Le petit mec savait se servir de son gros morceau !
- Ah oui ? T’en as bien besoin, c’est ça ?
- Putain, oui ! Allez, pète-moi le cul !
Liam s’est alors mis à pilonner le trou de Jacques tel un marteau-piqueur. Ses 20 cm entraient et sortaient à une vitesse incroyable. Puis, il a sorti sa grosse teub, il me l’a montrée en se mettant de profil, puis il l’a renfoncée fièrement dans le trou bien ouvert. Le petit mec me faisait une démonstration comment il s’y prenait avec sa « jument » ! Je n’ai pas pu me retenir et en silence, j’ai joui mon jus qui est parti en salves puissantes, atteignant la porte et le sol. Un jet est aussi tombé sur ma jambe. Liam a vu tout ça et ça a dû lui plaire car il a donné quelques coups de reins avant de dire :
- Putain, je vais t’ensemencer, ma salope !
- Vas-y, donne-moi bien tout au fond de moi !
Dans un cri animal, Liam s’est bloqué dans le trou et j’ai vu son périnée au travail. J’ai alors su le nombre de jets que Jacques a reçu : j’en ai bien compté 8. Liam a donné encore quelques coups de reins avant de ressortir. Le trou de Jacques s’est immédiatement mis à dégouliner de sa semence. Liam a dit :
- Je sors, Nico va pas tarder à arriver !
- Oh, on a encore le temps.
- Ok, a dit Liam en se rhabillant et en me montrant le cul ensemencé, comme une invitation à me faire plaisir à mon tour.
J’ai regardé ma teub… encore droite comme un « i », tout excitée par ce spectacle… et toujours prête à baiser un bon cul ! Ce n’est pas pour rien qu’on m’appelle « l’ensemenceur », finalement !
Je suis alors passé derrière Jacques qui était posé sur le lit, le cul dégoulinant. J’ai pris ses grosses couilles de taureau en main et je me suis mis à lécher le sperme qui était dessus. Ma langue est remontée vers son périnée velu, puis vers son cul broussailleux. Je me suis délecté du sperme déposé par Liam et j’ai plongé ma langue dans son trou. Sans savoir qui c’était, le petit coquin s‘est mis à gémir. Je lui ai bouffé le cul, tout en déboutonnant mon pantalon et en sortant ma bite bandée que je me suis mise à branler. Je me suis redressé et j’ai enfoncé ma teub en disant :
- Tu as l’air d’aimer de faire prendre par derrière, Jacques !
- Nico, c’est toi ?
- Oui ! Tu vas comprendre pourquoi on m’appelle « l’ensemenceur », par ici !
- Quoi ? C’est parce que…
- Ferme-la maintenant !
J’ai poussé ma queue dans son trou qui s’est mis à encore plus dégouliner de sperme. J’ai saisi sa queue que je me suis mise à branler. Il avait un bon morceau : sa queue était bien lourde, marron clair, avec un long prépuce. Quel tableau magnifique ! Mes 20 cm se sont enfoncés dans son anus rempli de poils. Ils étaient mouillés à cause de la dernière sailli. J’ai commencé de lents allers-retours et ses couilles ont commencé à se balancer d’avant en arrière, telles des cloches. Je trouvais son cul blanc qui faisait contraste avec son corps bronzé d’agriculteur magnifique. Ça m’a donné comme un coup de fouet et je me suis mis à le baiser rapidement avec ma grosse queue d’étalon. Je l’ai défoncé à fond !
Fernand encaissait bien ! Le jus de son prédécesseur volait un peu partout sous mes coups de reins. Je le fessais de temps en temps sur les fesses, je le pilonnais sauvagement. Jacques poussait de forts gémissements. Son trou était vraiment trop bon ! Pas très serré mais chaud... Mes mains parcouraient son corps puissant et j’admirais ma queue pilonner ses grosses fesses contre lesquelles mes cuisses cognaient, ce qui les faisaient bien vibrer et onduler. Je l’ai limé rapidement sur toute la longueur de mon morceau, faisant claquer mes couilles contre son cul. J’étais pas mal endurant vu que j’avais déjà joui une fois.
- Je vais jouir, l’ai-je prévenu.
- Vas-y, donne-moi tout directement dans mon trou, bel étalon !
- Je vais tout te donner, ma petite jument !
J’ai alors donné un coup de reins puissants et j’ai lâché ma purée chaude dans son anus. Je lui ai juté une dizaine de giclées au fond de ses entrailles. Mon orgasme a été très puissant. Quand je suis ressorti, j’ai admiré mon jus dégouliner de son cul. Jacques s’est mis sur le dos en me regardant tandis que j’essayais de reprendre mon souffle.
- Mes couilles sont encore pleines, Nico…
Je n’ai pas hésité et je l’ai sucé avec envie. Il avait une bite de 14 cm mais hyper épaisse. Son gland était aussi énorme. Je caressais ses grosses boules en même temps. Il n’a pas mis longtemps avant de me gicler un sperme blanc et épais dans ma bouche. Certaines de ses giclées ont été si puissantes qu’elles sont allées directement se loger dans ma gorge. J’ai tout avalé avec envie avant de retirer son gros morceau que j’ai léché.
Jacques s’est relevé et il m’a embrassé goulument. On est ensuite allé sans rien dire dehors, afin de régler nos affaires. Liam m’a regardé sortir en souriant. Au moment de quitter la ferme, Jacques m’a dit :
- Il faudra que tu repasses plus souvent, Nico !
- Demain, je passe en fin d’après-midi, j’ai une insémination chez Marie !
- Parfait, à demain alors, mon « ensemenseur »
Il m’a embrassé et j’ai ensuite disparu dans la voiture.
A suivre...
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Meetmemz
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