Premier épisode
Chapitre-2
Ce matin nous approchons du but, le camp occupé par cette tribu que mon oncle souhaite visiter pour ses travaux en cours. Une tribu isolée du monde et qui n’a pas encore eu de contact avéré avec notre civilisation. Selon notre guide, nous ne sommes qu’à deux heures de marche. Lui a décidé de retourner au point de départ. Il est convenu qu’il reviendra nous chercher d’ici une semaine. C’est ce qui est prévu du moins. Désormais seuls, mon oncle et moi décidons de tailler la route vers le campement. Un peu la boule au ventre, il est vrai. Qu’allons-nous rencontrer, quel sera l’accueil des indigènes ? Pour ne pas les impressionner nous avons adopter une tenue moins occidentale. Mon oncle est torse nu en short. Moi j’ai misé sur un pagne court, laissant voir mes fesses nues, un peu comme la tenue des sumos au Japon. « Tu as un look vraiment sexy mon petit Damien » me dit mon oncle. Sa bosse dans le short le prouve aisément. Il est vrai que mon corps blanc et dénué de poils donne envie. J’ai bien compris que mon oncle ne sera pas contre le fait de m’offrir en guise de cadeau à ses hôtes.
La progression dans la jungle est pénible mais l’impatience d’atteindre notre but me fait oublier les brûlures du soleil sur mon corps quasi nu. Et puis, les voilà. Une clairière s’ouvre devant nous. Avec un village installé en plein milieu. Sans bouger, sans rien dire nous observons les individus en activité dans la clairière. Quasiment que des hommes, peu de femmes, pas d’enfants. Petit détail, ils sont tous nus, épilés comme moi. Et dans mes jumelles je ne manque pas de voir que la plupart des hommes sont plutôt bien montés, avec des sexes épais. Tout à mon plaisir d’observer ces hommes nus je n’entends pas mon oncle me dire que nous allons progresser. Pour ne pas choquer la tribu, il s’est mis nu lui aussi. Et c’est toujours un régal de le mater à poil avec ses belles grosses fesses et son pénis court mais épais. A Rome fait comme les romains dit-on. Je décide de l’imiter et de retirer mon pagne. Quel plaisir de se retrouver nu en pleine forêt humide. Mon oncle me fait signe de me rapprocher et de le devancer. Notre avancée n’est pas passée inaperçue. La tribu s’est rassemblée dans des cris lancés dans une langue que je ne connais pas. Très vite ils viennent vers nous pour nous entourer dans des grands cris et des gestes amples. Jamais ils n’avaient vu deux Blancs nus comme eux. Plus que mon oncle c’est moi qui attire le plus vaste public, ceci dit sans me vanter. Mais les faits sont là. On m’entoure, des mains veulent me toucher partout. Et sans douceur. La foule se resserre sur moi, on me serre la verge et les bourses, des mains caressent mes fesses, les ouvrent. Une folie, qui me fait tomber. Ma chute offre à ces hommes l’accès à ma croupe. Et l’instant d’après, me voici maintenu au sol, des hommes en chaleur couchés sur moi, avides de découvrir mon corps blanc. Une main me masturbe sans douceur, une queue se présente entre mes fesses pour prendre possession de mon petit trou. On m’encule sous les cris, les rires. Une ambiance incroyable entoure notre première rencontre. De son côté mon oncle subit lui aussi un contact plutôt pénétrant. Un jeune indigène le sodomise en levrette sous les rires de témoins. Il se laisse faire, comme une obligation pour se laisser accepter. D’habitude c’est lui qui pénètre mais là, il accepte de jouer le soumis. Il serait peut-être dangereux de résister aux assauts sexuels de ces hommes avides de nos corps blancs.
Quant à moi, je ne peux que me réjouir de mon succès. Les queues se suivent dans mon petit trou. Le foutre coule presque sans discontinuer. La douleur n’est plus perceptible tant mon orifice semble anesthésié par la multiplicité des sexes entrés. Puis, un cri puissant met fin à l’orgie. Lancé par un homme seul, sans doute le chef de village. Soudain, chacun se retire, s’éloigne, laissant mon oncle et moi nus au sol, couvert de foutre. L’homme qui s’approche est complètement nu, en érection, de taille moyenne, à la barbe grise. L’air autoritaire comme je les aime. Miracle, il s’adresse à nous en anglais. Pour nous souhaiter la bienvenue et s’excuser de l’accueil plutôt sauvage. S’il savait le plaisir que j’ai eu à me faire prendre en série. Le sexe est ma passion, comme tu le sais cher lecteur.
Le chef de village nous invite à le suivre au cœur du village et nous incite à partager avec lui une boisson. Il demande à mon oncle pourquoi nous sommes venus tout en me jetant des regards insistants réguliers. Je suis plutôt gêné de ce foutre qui s’écoule de mon petit trou. Un détail qui n’a pas échappé au chef. « Soyez les bienvenus chez nous mes amis, vous avez fait un long trajet pour nous rencontrer. La nuit tombe, je vais vous montrer vos cases pour vous reposer. Demain nous ferons connaissance. » D’un geste le chef appelle un indigène pour nous guider jusqu’à nos cases. La mienne se trouve proche de celle du chef. Un honneur probablement. Il a sans doute une idée derrière la tête. Tandis que mon oncle s’éloigne, je rejoins ma case pour me reposer. A l’intérieur une femme m’attend avec un broc d’eau. Par signes elle me signifie qu’elle veut me rincer du foutre qui me recouvre. Je la laisse faire. Avec une éponge naturelle elle me nettoie partout, y compris entre mes fesses. Je sens ses doigts effleurer mon anus quelque peu enflammé par les enculages. J’ignorais qu’elle ne le faisait pas pour moi mais pour le chef. Ma première nuit sera passée dans ses bras, offert à ses désirs pervers.
Colinot
tonlibertin@netcourrier.com
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