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Chapitre-5
Salut,
Moi, c’est Nico. Pour mes potes, je suis « l’ensemenceur ». Je gagne ma vie depuis plus de 20 ans comme inséminateur équin et bovin : certains de mes clients m’appellent « l’étalon » aussi quand ils me voient arriver pour aller inséminer leurs juments… et pour les ensemencer aussi… car j’adore pénétrer des mecs afin de déposer dans leur cul ou dans leur bouche ma semence. Je suis toujours chaud, j’ai toujours les couilles bien remplies… et j’adore ensemencer les mecs, célibataires ou mariés, hétéro ou homo. Dans le premier chapitre, je vous ai raconté ma première fois avec Jean-Pierre, le mec qui aidait mon père à la ferme. Dans la deuxième, vous avez fait la connaissance de mon oncle Daniel chez qui j’ai fait mon apprentissage. J’ai vécu 3 années d’apprentissage et de bon sexe chez lui. Ensuite, je suis retourné habiter chez mes parents. Un jour, j’ai surpris mon frère baiser Gustave, notre inséminateur de l’époque. Un peu plus tard, j’en ai profité pour le baiser à mon tour.
Quatre ans après les faits racontés dans le chapitre précédent, j’habitais toujours dans la ferme familiale. J’étais devenu le second inséminateur de la région. Je bossais avec Gustave qui, après un accident de voiture, ne pouvait plus travailler autant qu’il était nécessaire. On formait une bonne équipe et je le baisais souvent. Cela faisait un an que je m’étais mis moi-même à élever des étalons et des taureaux afin d’utiliser d’avril à juillet leur semence pour mes clients. C’est à ce moment-là qu’on a commencé à m’appeler « l’ensemenceur ».
Un jour chaud d’été en fin de matinée, mon téléphone a sonné :
- Salut Nico, c’est Guy. Tu pourrais venir, je viens de m’acheter une jument et j’aimerais la faire inséminer.
- Pas de souci, je passerai cette après-midi. Je pourrais vers 17h, ça te va ?
- Parfait, à tout à l’heure.
Je connaissais Guy depuis très longtemps. Mais la dernière fois que j’étais allé lui rendre visite à sa ferme, il n’avait pas arrêté de regarder mon entre-jambe. Si mon père n’avait pas été là, j’aurais tenté quelque chose. Tout excité, j’ai revêtu un pantalon plus moulant que les autres qui mettait bien mon morceau en valeur.
Vers 16h30, je suis arrivé à la ferme de Guy. Il est venu m’accueillir. Il a regardé ma 4L où était inscrit : « Inséminateur professionnel ». Il s’est mis à sourire. Il m’a tendu la main et j’ai vu son regard se poser sur mon entre-jambe. Oui, il avait l’air impressionné. Il s’est alors passé la main sur son paquet et il a remis son morceau en place. J’ai souri et je l’ai regardé d’un regard coquin. Il a fait semblant de ne pas le voir et il m’a emmené voir sa jument. J’ai examiné l’agriculteur de la tête aux pieds pendant qu’on marchait. Guy a dans les 50 ans. Il portait un t-shirt ainsi qu’un bleu de travail. Il était grand, baraqué, il avait une peau hâlée par le soleil. Il avait des sourcils épais et des cheveux frisés et épais, poivre et sel. Il avait de larges épaules, et un gros ventre mou. Il avait de grosses cuisses qui déformaient son pantalon. De derrière, j’avais une belle vue sur son gros cul. Son t-shirt laissait dépasser des bras puissants et extrêmement velus.
J’ai posé mon matos par terre et je me suis baissé pour prendre ce dont j’avais besoin pour inséminer la jument. J’ai cependant senti son regard posé sur mon cul. J’ai enfilé un gros gant aussi long que mon bras et j’ai commencé l’insémination. J’avais du mal à me concentrer car Guy me regardait faire. Je voyais bien qu’il était excité et qu’il matait mon entre-jambe que je mettais bien en avant. Puis, nos regards se sont croisés. Au début, il n’a voulu rien laisser paraitre. Mais très vite, il a soutenu mon regard et du coin des yeux je voyais sa main passer sur son entre-jambe. Il se mordait les lèvres. Il n’en a pas fallu plus pour que je me mette à bander. Mon érection était bien visible au travers de mon pantalon moulant. Guy a alors fait tomber un truc et il s’est penché pour le ramasser. J’ai alors eu une belle vue sur son cul qui était bien large. Son pantalon le mettait bien en valeur.
J’ai fini mon travail et je lui ai demandé de me montrer un lavabo. Il m’a mené dans la stabu et tandis que je me lavais les mains, Guy s’est rapproché de moi. Je l’ai regardé droit dans les yeux ... et Guy a baissé les siens vers mon entre-jambe. Il a alors posé sa grosse main poilue sur mon matos et il s’est mis à le caresser. Il a murmuré :
- T’as l’air de cacher un beau paquet dans ton pantalon.
- Tu veux voir ?
- Oui, mon étalon... mon ensemenceur...
Sa main entière s’est mise à me caresser. Je l’ai alors imité et j’ai massé son paquet. Il avait l’air de cacher un bel anaconda dans son pantalon ! J’ai senti comment sa queue s’est dressée et est devenue de plus en plus épaisse. Il s’est rapproché de moi et j’ai senti son odeur de mec. Son ventre chaud et mou était pressé contre mon corps. Guy a fini par ouvrir ma fermeture éclair. Il a enfoncé sa main dans mon pantalon et il en a tiré ma queue bien dure, bien dressée. Il s’est ensuite mis à genoux et il s’est mis à lécher mes 20 cm. Puis, il m’a sucé. J’avais une vue imprenable sur ses cheveux épais et frisés, sur son cou de taureau et sur ses bras puissants et extrêmement velus. J’ai poussé un gémissement quand il a passé sa langue sur mes couilles : j’adorais ça ! Pendant ce temps, il se branlait. J’avais une belle vue sur sa teub... et j’ai fini par lui dire :
- Lève-toi, je veux aussi te sucer.
Guy s’est levé et il m’a présenté sa queue, les jambes écartées. Sa bite n’était pas très longue (16 cm ?) mais elle était extrêmement épaisse avec un énorme gland. J’admirais aussi ses couilles, grosses, velues. J’ai d’abord joué avec son prépuce avant de lécher son gland, tout en malaxant ses boules de taureau. Puis, j’ai enfoncé son gros gland dans ma bouche. Je me suis mis à sucer son morceau sur toute sa longueur. Sa queue rentrait et sortait à une cadence rapide. Il donnait aussi de petits coups de reins. Je lui faisais de temps en temps de bonnes gorges profondes qui le faisaient râler doucement.
Tout à coup, il a retiré sa queue de ma bouche et il m’a présenté son cul. Je me suis alors mis à le bouffer avec appétit. Sa raie était perdue dans une forêt de poils noirs, épais et denses. Il s’est mis à gémir quand ma langue a commencé à le pénétrer sur toute sa longueur et à tournoyer en lui. J’avais le visage plongé dans ses grosses fesses. Je le pilonnais avec ma langue... et il semblait bien apprécier. Après cinq minutes, elle a quitté mon anus.
Je me suis redressé et j’ai pris dans mes bras. Je lui ai roulé une pelle tout en enfonçant ma queue dans son anus, doucement. Son trou étai assez ouvert et mes 20 cm se sont vite retrouvés au fond de son anus, mes couilles collées contre son périnée. J’ai alors entamé de lents va-et-vient. Une fois que son trou s’est habitué à ma queue, j’ai augmenté la cadence. Guy se branlait en appréciant ma grosse bite ainsi que mes caresses sur son corps. J’adorais mater ma teub qui l’ouvrait en grand. Mes cuisses rebondissaient sur ses fesses. Je sentais mes couilles fouetter bruyamment son cul. Je l’ai baisé de plus en plus vite, il gémissait fort. Ma queue allait et venait dans son anus rapidement. Le cul poilu de Guy était très accueillant. Les poils de sa raie étaient mouillés et collaient à ma teub.
Je l’ai baisé pendant 5 minutes. J’étais tellement excité que je n’ai pas pu retenir très longtemps mon sperme. J’ai fini par donner un gros coup de reins et je lui ai envoyé une grosse dose de jus dans son cul. Ce sont été bien 6 giclées puissantes. J’ai donné encore quelques coups de bite, puis je suis sorti. Ma teub était toute mouillée. Un torrent de sperme est alors sorti du trou de Guy. Je me suis alors penché sous son cul, j’ai sorti ma langue, j’ai récupéré ce divin nectar et je l’ai gardé en bouche. Je me suis redressé et j’ai embrassé Guy en lui fourrant mon sperme sur sa langue. J’ai saisi sa bite bien droite, je l’ai branlée... avant de me mettre à genoux et de sucer sa queue de taureau. Je l’ai sucé avec envie et rapidité. Très vite, Guy a murmuré :
- Putain, je vais jouir !
J’ai senti sa queue pulser et c’est un premier jet épais et abondant qui est tombé sur ma langue. Le deuxième a atterri au fond de ma langue. Le troisième, toujours plus puissant, a atterri au fond de ma gorge. Il a juté ensuite 4 grosses giclées qui m’ont mitraillé le gosier. J’ai avalé sa semence, un peu sucrée. Je me suis ensuite relevé en regardant Guy qui a dit :
- C’était vraiment trop bon, mon bel ensemenceur ! Mon étalon !
Il a alors refermé son pantalon.
- Oui, mon beau taureau... c’était génial.
Depuis, Guy, que j’ai appelé depuis « taureau », et moi, qui ai eu à partir ce moment ce surnom « d’étalon » parmi mes clients bi ou gays, nous nous sommes vus au moins une fois par semaine pour faire un « échange » de nos semences. Guy a été le premier client que j’ai baisé... et pas le dernier !
A suivre...
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Meetmemz
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