Il est 6h moins le quart. Cela fait trois quarts d’heure que je tourne dans mon lit. C’est souvent que je me réveille vers cinq heures et que je ne peux plus dormir. Ce matin d’autant plus que j’ai une furieuse envie de baiser.
J’entends le camion des poubelles qui tourne au coin de la rue et je voie le reflet de ses gyrophares. Du coup je réalise que je n’ai pas sorti la poubelle.
Je me lève d’un bond et je me précipite pour la sortir avant que le camion ne soit passé devant ma porte. La précipitation, l’envie de baiser, mon côté exhibitionniste font que je ne passe pas de pantalon. Je sors le bac en t-shirt et rien d’autre, ma bite et mes couilles dépassant sous le tissu.
Le camion est juste à hauteur du portail quand je sors : le chauffeur ne me verra pas. Un des ripeurs et occupé sur le trottoir d’en face, le second décroche une poubelle du camion juste comme j’arrive avec mon bac.
Il me regarde, regarder mon entrejambe puis de nouveau me regarde avec un sourire un coin, donne un léger coup de menton vers le bas de mon t-shirt, prend mon bac et me fait un rapide clin d’œil en disant « merci. Sympa ! » en laissant planer une certaine ambiguïté sur ce qui est sympa.
Je l’avais déjà remarqué ce jeune, soit quand ils étaient en retard ou quand je partais en avance. Sans doute autours de 25 ans, il est plutôt grand, fin mais on devine quand même bien qu’il est bien bâti, mais ce qui frappe surtout ce sont ses cheveux : roux flamboyant. Il les porte coupé mi court, ondulés et de cette couleur fascinante qui du coup s’accorde à merveille a sa peau parsemée de taches de rousseur. Je n’avais pas encore pas vu la couleur de ses yeux ni vraiment son visage : je le vois ce matin. Des yeux verts et un visage absolument superbe.
Il me rend la poubelle et je m’apprête à partir au plus vite : sa beauté, son physique, mon envie de baiser font que je sens ma teub grandir. Ce serait inconvenant. Mais d’un coup il me dit : « désolé de vous embêter mais est-ce que je pourrais utiliser vos toilettes une minute. J’ai vraiment envie de pisser », tout en regardant avec insistance mon zob que j’ai de plus en plus de mal à contrôler. Et comment qu’il peut !
Alors que j’ouvre le portail devant moi pour me faire un peu discret vis-à-vis des autres protagonistes et que je l’invite à rentrer, il se produit un enchainement tout à fait improbable et inespéré. Mon jeune ripeur lance : « Max, je vais pisser j’arrive », en même temps le chauffeur descend et dit « La benne est pleine il faut aller vider. Montez devant » et le Max d’ajouter en regardant son collègue « va te faire sauter, on revient dans trois quarts d’heure » et, sur ce, grimpe dans le camion sans un regard pour personne.
Je ne relève pas la grossièreté du commentaire mais au moins cela lève certaines incertitudes sur ce qu’il va se passer.
Mon ripeur entre en disant « merci. Moi c’est Pierre ».
Je le guide jusqu’à la salle de bain où se trouve les toilettes. Pierre commence à enlever ses gants mais je l’arrête en lui disant que je vais l’aider. Je défais sa ceinture, ouvre son pantalon et sa braguette et descend son pantalon et son slip sur ses genoux. Puis je saisi son pénis, de belle taille bien qu’encore au repos et je le tiens pour qu’il puisse uriner dans la cuvette. Il est un peu surpris mais finalement se laisser aller et réussi à pisser. Pendant qu’il fait, je caresse ses fesses rebondis, couverte d’un fin duvet blond tout doux. Mon index se glisse entre les deux lobes et peu à peu cherche son petit trou pour le caresser plus précisément.
Pierre a fini d’uriner et son chibre se gonfle et durci. Ou il n’arrive plus à pisser parce qu’il bande déjà un peu trop. Peu importe. Je nous maintiens dans la même posture. Je mouille mon index de salive et pousse un peu plus avant dans son œillet. Il émet des petits gémissements qui m’encouragent.
Je le pousse peu en avant et l’oblige à mettre ses deux mains dans le dos. Je m’agenouille et écarte ses deux fesses pour libérer sa jolie petite chatte sur laquelle je pose déjà ma langue. Je parcours sa rondelle et commence à appuyer plus précisément sur son trou. Ma langue rentre un peu et je tourne pour bien sentir les contours de sa rondelle.
Comme je ne sens pas sa rondelle résister beaucoup, je pousse ma langue le plus possible au fond de son anus. Il geint de satisfaction. A ma surprise, je sens au fond de son cul le goût marqué de sperme. Visiblement je ne suis pas le premier ce matin et j’aime cette idée !
Je plonge un premier doigt dans son conduit et je tourne autours avec ma langue. Je le remue un peu au fond de sa chatte et déjà je pousse un deuxième dans son trou. Il n’y a pas beaucoup plus de résistance alors je me dis que ma bite pourra rentrer sans problème.
Je me redresse et appuie mon bassin sur son cul. Je passe une main sur la gorge et l’attire vers moi. Je lui glisse à l’oreille :
- C’était qui ce matin ?
- Mon mec et son pote quand ils rentraient de boite… Juste avant que je parte travailler.
J’adore. Je vais être sa troisième charge du matin.
Je recule mon bassin, enduit mon chibre de salive et pose mon gland sur sa rondelle. D’instinct il se cambre et relève son cul. Je pousse lentement et le gland passe la première porte sans grande résistance. Je ne m’arrête pas et je regarde ma tige disparaitre jusqu’à ce que mon pubis soit bloqué par son cul et que mes couilles soient contre son périnée.
Il gémit de plaisir -visiblement- et fait tressauter son cul sur ma bite. Il s’apprête à se branler mais je saisis sa main que je ramène dans son dos. De ma main gauche je tiens ses deux poignets dans son dos et de la droite je me saisis de des deux boules que je tiens fermement.
Je commence à reculer mon bassin pour sortir mon chibre de son trou mais juste avant de sortir complètement je repars dans l’autre sens en allant bien au fond.
Je le lime lentement, mais sur toute la longueur de mon braquemard, pendant un moment tout en lui tenant les couilles fermement serrées dans ma main.
Et pour changer de rythme, je me plante bien profond dans son cul, lâche ses couilles et commence à le masturber. Il tourne sa tête et cherche ma bouche. Tout en le branlant je lui roule une pelle profonde. Je sens son membre se raidir encore : il ne doit pas être loin de jouir alors je m’arrête !
J’attrape ses hanches à deux mains et me retire brusquement de son cul avec un petit « plop ».
Je me recule, saisi mon membre pour le guider et sans crier gare je l’embroche d’un coup d’un seul. Je ressors avec la même vigueur et me replante au plus profond de sa chatte en faisant claquer mes couilles sur les siennes. Et comme ça jusqu’à le faire gueuler de plaisir.
Alors je ressors une dernière fois, présente mon gland sur sa rondelle et avance lentement en savourant la sensation de mon chibre serré par les parois douces de son trou.
Je le lime tranquillement en recommençant à le branler. Et une nouvelle fois, quand je le sens proche de la jouissance je m’arrête… et lui interdit de se toucher.
Mais moi aussi je m’approche du point de non-retour. Et je sais que n’avons pas toute la journée. Alors je le baise avec force de plus en plus vite. De toute la longueur de ma bite. En faisant bien claquer mes couilles sur ses fesses. Il n’est plus que cris de plaisir.
De ma main droite sur sa gorge je tire sa tête en arrière. Il me balance « défonce-moi. Baise-moi comme si tu voulais me casser en deux ».
Je le prends au mot et le baise de toute mes forces. Ma queue le ravage. Je le plante à grands coups et je sens ma bite durcir encore. Je ne tiens plus : je me plante au fond et me vide entièrement. Je balance une troisième bonne grosse charge de foutre au fond de son conduit. Je sens ma queue pulser six, sept fois peut-être huit fois. Je le remplis de mon jus.
Alors je me retire. Je m’agenouille et pose ma bouche sur son œillet grand ouvert et aspire un peu de sperme que je garde en bouche.
Je le retourne contre le mur : je vois vraiment son chibre qui est effectivement plutôt grand et large, bien droit et veineux, magnifique. Il faudra que je me le rentre dans le fion un jour.
Je le saisi de la main droite, le décalotte entièrement et le gobe d’un coup, étalent mon foutre sur sa tige. Je suce son gland sur lequel je fais tourner ma langue. Et je fais des va et viens enfonçant son braquemard entièrement dans ma bouche et ma gorge jusqu’à ce que mon nez farfouille dans ses poils pubiens qui sentent bon la sueur, la pisse et le savon.
Cette pipe ne durera pas bien longtemps. Après l’avoir tant baisé et branlé plusieurs fois sans aller jusqu’au bout il est chaud ! après quelques minutes je sens son sexe durcir et finir de se gonfler, puis se mettre presque à trembler. Dans un cri il explose dans ma bouche et me balance plusieurs grosses giclées d’un sperme épais et doux au gout. Je me délecte de son nectar que j’avale avec plaisir.
Je me relève enfin et vient lui rouler une dernière pelle au goût de son foutre. Il me dit qu’il n’avait pas eu le temps de jouir quand il s’était fait baiser par son mec et son pote. Je comprends alors le pourquoi d’une telle quantité.
Mais nous n’aurons pas le temps de plus : il se rhabille et sort juste comme le camion des poubelles tourne au coin de la rue. J’ai juste le temps de lui glisser : « à refaire » ce à quoi il répond par un clin d’œil que je prends pour un oui. Il sait où j’habite maintenant…
Hagdahuk
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