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Chapitre-3
Victor tenait Aladin par la main en entrant dans la salle de bains et ils s'arrêtent devant la grande glace, se sourient dans le miroir, observant leurs corps, leurs queues dressées :
-on est vraiment les plus beaux dit Victor posant sa tête sur l'épaule d'Aladin. Tout en se regardant dans la glace, Aladin prend Victor dans ses bras et frotte leurs corps, faisant rouler les queues dures.
Ses lèvres viennent chercher celles de Victor et lui fait de petits bisous comme les ailes d'un papillon. Victor ferme les yeux et se laisse butiner.
Les corps s'enflamment déjà, les mains du rebeu deviennent de plus en plus fouineuses, Victor offre sa langue et Aladin la suce lentement avalant toute la salive qu'elle veut bien fournir.
Et Victor fait reculer le rebeu sous la douche, prend les robinets qu'ils ouvrent et un jet froid tombe sur eux, en pluie, les faisant crier, rire en se serrant encore plus.
La chaleur arrive doucement et Victor entreprend de laver le rebeu avec le gel.
Tout sourire Aladin se laisse faire.
Les mains douces et chaudes de Victor passent sur son torse, les aisselles, les bras. Les mains le retournent, le dos est frotté, les fesses, les doigts passent dans la raie, Aladin offre son cul en écartant les jambes, mais les doigts restent sages.
Victor s'agenouille dans la douche et frotte les jambes, les cuisses, les mollets, fait retourner le rebeu, frotte l'avant des cuisses, des jambes et s'amuse à passer ses doigts entre les orteils de chaque pied.
Quand il regarde Aladin, c'est pour voir que la queue, les couilles sont intactes. Le zob est toujours aussi merveilleux, bien raide, bien droit, le méat grand ouvert.
Ils se regardent et Victor dépose ses lèvres sur le gland du rebeu, le faisant sourire. Il dépose un baiser et ses mains entrent en action, caressant les bourses, la queue, l'entrejambe, les doigts revenant dans la raie, il frotte la toison pubienne. Le zob palpite devant lui et l'envie de l'avaler est là.
Mais le rebeu le relève pour le coller à lui, poser ses mains sur ses fesses et sa langue envahit sa bouche.
Un long baiser avec gémissements se fait entendre. Le rebeu caresse le corps de Victor, le serre à l'étouffer.
-à moi de mettre le savon le céfran, car je te vois venir tu veux me faire juter pour pas que je te nique!
Le rebeu s'agenouille et commence par le bas. Victor est heureux de sentir les mains chaudes le caresser, le frotter sans ménagement, ses fesses sont traitées assez durement, les doigts s'enfoncent en lui, il tend son cul et le rebeu ne se prive pas de le doigter assez férocement.
Il se relève et, face à face frotte le torse, l'enduisant de mousse, puis le fait retourner et c'est le dos, les fesses, décidément elles lui plaisent ! pense Victor.
Les bras du rebeu l'entourent et le colle dos à son torse. Il sent le gros zob se coincer dans sa raie.
La main du rebeu écarte les cheveux longs mouillés et vient lui mordre la nuque, se rapproche de son oreille :
-j'ai envie de te niquer sous la douche le céfran, tu veux bien ? avec le savon ça va glisser tout seul!
Victor rigole et bouge ses fesses sur le zob.
-mais le céfran fait sa salope, il le veut le zob du rebeu! Ecarte tes fesses le céfran.
Victor sourit et obéit.
Le torse se détache de son dos, il sent le gland passer dans sa raie, trouver son petit trou, alors il se penche en ouvrant bien ses fesses et déjà le gland cherche à entrer.
Il est impatient le rebeu, ses mains l'ont pris aux hanches et il force!
Le sphincter s'ouvre lentement et avec le savon le gland entre rapidement faisant crier Victor. Il sent le gros zob l'envahir, glisser dans son conduit comme s'il était déjà venu et les mains du rebeu remontent sur son corps, venant lui pincer les tétons assez fortement.
Un dernier coup de reins et le zob s'installe dans son petit cul. Les doigts pincent ses tétons et les dents mordent son cou.
-mon zob dit qu'il est vachement bien le céfran et que maintenant il veut visiter et s'il est content te donner sa récompense.
Victor rigole et serre le zob entre ses fesses.
-c'est ça ma petite salope, excite le encore plus mon zob, tu vas voir ce que tu vas prendre dit Aladin en riant.
-qu'est ce que ça peut causer un rebeu! dit Victor.
Il sent le zob bouger en lui, reculer lentement, presqu'à le libérer pour revenir d'une seule traite et le faire gueuler faisant rire Aladin.
La machine est lancée et les coups de reins ne sont pas feints.
Victor écarte bien ses jambes et se cale pour recevoir les assauts du rebeu. Faut bien qu'il se venge après avoir pris son petit cul!
Il râlait le rebeu, couinait en le niquant lorsqu'il donnait des coups de reins secs comme s'il allait juter, mais il devait se retenir et a fait durer leurs plaisirs.
Victor a senti son intérieur se réchauffer lors de la première giclée, en même temps que le rebeu gueulait : quel cul! putain quel cul.
Les giclées n'arrêtaient pas et en fait c'étaient ses mains qui faisaient le plus mal à Victor, tellement il serrait ses hanches.
En bon niqueur il est sorti lentement du cul de Victor, laissant le petit trou se refermer, avant de s'agenouiller derrière lui, ouvrir ses fesses et lécher les traces suspectes qui faisaient gémir Victor.
Il avait aussi une bonne langue le rebeu.
Quand il s'est relevé, Victor a refait couler l'eau et ils se sont caresser encore en s'embrassant.
-merci beau céfran! c'est vraiment un plaisir de t'avoir au bout du zob!
-oh le rebeu fait sa midinette, dit Victor en l'embrassant rapidement.
-pfft, accepte mon compliment c'est pas souvent que j'en fais! dit Aladin.
Ils s'essuient mutuellement et Aladin s'amuse avec les cheveux longs de Victor qui tombent autour de sa tête.
Victor sort un séchoir, le branche et le tend à Aladin.
-fais le coiffeur le rebeu.
Tout sourire, le rebeu a fait regonfler la coiffure de Victor, pour enfin pouvoir passer ses doigts dedans.
Ils bandaient encore.
Victor a fait à manger et ils l'ont avalé rapidement, nus tous les deux, face à face dans la cuisine. Ils n'ont pas parlé beaucoup, les sourires, les regards se faisaient de plus en plus coquins, si bien que la dernière bouchée avalée ils se retrouvaient allongés au lit.
Sans un mot, que des regards, des caresses, de petits bisous, les corps restaient soudés, les souffles se mélangeaient, les soupirs se faisaient entendre.
Quand Victor s'est mis à caresser la joue du rebeu, lui faisait un bisou sur le nez, il le fixe, sourit :
-t'es beau mon rebeu, j'ai jamais eu un rebeu si beau dans mon lit!
-rho tu veux me faire rougir le céfran, qu'est ce que je devrais dire de toi?
Il fait mine de réfléchir, sa main passe dans les cheveux :
-toi aussi t'es beau mon céfran et faut que tu me plaises pour m'avoir fait tout ce que tu m'as fait. Je peux te dire que cela ne m'est jamais arrivé de rester au pieu avec un céfran que j'ai niqué, en général je me casse après, mais toi, toi le céfran blond (il caresse sa joue et son pouce passe sur ses lèvres) tu es exceptionnel et j'ai envie de te demander quelque chose Victor.
Son visage était redevenu grave en disant les dernières paroles.
-quoi donc mon beau rebeu ?
-est ce qu'on recommencera tous les deux ?
Le silence se fait, ils s'observent et Aladin voit les yeux rieurs du céfran.
-mon rebeu veut dire qu'il veut recommencer à se faire niquer, il a pris goût à la queue du céfran ?
Aladin est obligé de rire et l'embrasse tendrement.
-oui mon rebeu moi aussi j'ai envie de te revoir, mais là t'es pas partie encore, alors si on se refaisait une tournée pour voir si vraiment on aime ça!
Le reste de la nuit fut très chaud. Ils se sont baisés jusqu'à épuisement et se sont endormis dans les bras l'un de l'autre pour se réveiller dans la même position et sentir qu'ils bandaient encore.
Ils ont quand même été obligé de se séparer le matin, boulot oblige, mais le soir en rentrant Victor a trouvé Aladin qui l'attendait assis sur le palier.
Ils se sont souris sans rien dire, mais dès la porte franchit les vêtements ont volé pour constater qu'ils bandaient toujours.
Ce deuxième soir ils n'ont même pas dîné, ils n'ont fait que baiser, et rire.
Aladin venait pratiquement tous les soirs jusqu'au moment où c'est lui qui a demandé s'il pouvait rester avec son céfran.
Victor était le plus heureux des garçons et Aladin a emménagé chez son céfran.
Ce n'est qu'à ce moment là qu'il a su que son rebeu se nommait Hamid en fait, mais il a continué de l'appeler Aladin car il avait bien un zob magique, mais c'est Aladin qui a dévoilé ses sentiments en premier.
Il était tout timide le soir au lit quand il a serré Victor dans ses bras, nus tous les deux, les sexes encore bandés, Victor a vu qu'il avait les yeux embués pour lui :
-je crois qu'il m'arrive un truc que je n'aurais jamais pensé Victor, tu me rends fou et quand je ne te vois pas, je pense tout le temps à toi et je bande !
Victor a souri en lui faisant un bisou.
-je te l'avais bien dit que t'étais une midinette mon rebeu ! Mais si ça peut te rassurer moi c'est pareil, quand t'es pas avec moi tu me manques et je pense tout le temps à toi.
Il avait l'air inquiet quand il a demandé :
-tu crois que c'est ça être amoureux de quelqu'un ?
-je crois oui et j'aime bien de la manière que tu le dis, car moi aussi je t'apprécie énormément Aladin, tu seras toujours Aladin pour moi, mon rebeu magique qui est venu me draguer un soir dans un parc et qui ne m'a plus quitté! Moi aussi je t'aime Aladin!
Qu'est qu'il était content le rebeu d'entendre ça.
Ils ont refait l'amour pour fêter ça.
Maintenant la queue du céfran glissait parfaitement dans l'antre du rebeu qui appréciait se faire niquer par son céfran.
Maintenant une nouvelle vie pouvait commencer.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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