Premier épisode
Chapitre-2
La seule pensée qui traverse l'esprit d'Aladin en voyant Victor embrasser ses orteils, c'est "heureusement que j'ai pris une douche". Jamais un rebeu ou un céfran ne lui a fait ça aux orteils.
De voir les belles lèvres du céfran passer sur ses orteils, les cheveux tombant également dessus, il bande Aladin et sent sa queue tressauter toute seule sur son ventre.
Le céfran enlève l'autre chaussette, joint les deux pieds, les observe et se met à passer les lèvres dessus, il sent le souffle chaud quand son gros orteil s'enfonce dans sa bouche, la langue de ce maudit céfran s'enroule autour et il tète son gros orteil. Il n'en revient pas Aladin du plaisir que cela procure.
Le céfran passe sa langue sur tous les orteils, la faufilant entre, le chatouillant en fait. Il pose ses pieds sur sa poitrine et se caresse avec, les faisant descendre sur sa queue bien raide, le gland bien sorti, méat ouvert et la mouille coule déjà en un long filet.
Il fait entourer ses pieds autour de sa queue et fait comme s'il se branlait entre. Aladin n'en revient pas de la chaleur procurée par cette belle et grosse queue du céfran.
Le céfran se penche sur ses jambes, venant passer ses lèvres sur ses cuisses velues, les lécher, se rapprochant de son sgeg et des couilles.
Ce sont les cheveux qu'Aladin sent lui caresser le zob avant que le nez ne se colle à ses couilles et qu'il entende le céfran le respirer à pleins poumons avant de sentir sa langue les lécher et Aladin commence à gémir.
La langue remonte vers son zob, appuie sur la base et remonte le long pour arriver à la circoncision. Aladin a relevé la tête pour voir le céfran à l'œuvre.
Sa main soulève son gros zob qui laisse couler la mouille, la pointe de la langue se pose dessus et tartine le gland avec pour s'enrouler autour sans que les lèvres le touchent. Juste la pointe de la langue, chaude, humide, dure qui se faufile autour de son gland, le léchant rapidement, essayant d'entrer dans le méat, Aladin sent la mouille couler de plus en plus et ses fesses commencent à se soulever toute seule pour essayer de faire entrer son sgeg dans la bouche sûrement chaude de ce céfran.
Mais il recule au fur et à mesure que le zob monte, sa langue seule reste en contact, les fesses montent, la tête recule. Aladin est presque en arc et la langue ne le touche que de la pointe, il n'a pas senti les lèvres. Il gémit, grogne et quand il aperçoit, à travers les cheveux blonds le regard du céfran, c'est pour sentir en même temps les lèvres douces et chaudes envelopper son gland. La langue s'écrase sur son gland, les lèvres le serrent fortement et descendent pour l'envelopper entièrement.
Son gémissement devient plainte de tant de plaisir qu'il sent arriver.
La langue s'agite autour de son gland et d'un seul coup il sent son gland se faire serrer comme si Victor voulait l'aspirer complètement, une main serre ses couilles, ses fesses cherchent à aller plus haut et il crie car il sent son jus arriver, comme s'il venait parce que le céfran l'aspire!
Et les giclées sont là, une giclée, un long gémissement, il n'a jamais tant joui dans la bouche d'un mec et l'aspiration ne cesse pas, comme s'il voulait le vider complètement.
Quand l'aspiration s'arrête, c'est comme s'il se dégonflait, ses fesses retombent sur le lit, ses bras en croix, il souffle comme s'il venait de courir un marathon... vidé le rebeu.
Pourtant son zob est encore vaillant et Victor le lèche comme s'il le remerciait .
Sa queue est lâchée et le corps du céfran vient sur le sien, machinalement Aladin ouvre les jambes et l'entoure sur les fesses.
Le céfran l'embrasse tendrement, jouant encore avec sa langue et la sienne.
Les deux queues sont raides et sont serrées l'une contre l'autre. C'est le céfran qui bouge un peu.
-t'es beau le rebeu et ton zob est magique! dit Victor tout sourire.
-on m'avait jamais sucé comme ça! t'es vraiment doué tu sais.
-merci dit Victor, et toi tu sais faire quoi à part niquer ?
-le céfran me met au défi ?
-oui mais avant j'aimerais savoir quelque chose dit Victor en souriant.
-quoi ?
-je veux constater par moi même, alors tu vas me montrer ton petit cul le rebeu, tu vas te mettre à quatre pattes pour une auscultation!
-rho tu veux déjà me niquer!
-non pas encore.
Mais le rebeu le serre avec ses jambes ce qui le fait rire.
-si tu me gardes comme ça, j'ordonne à ma queue de trouver ton petit trou et de rentrer de suite!.
Il rigole le rebeu, lâche Victor et vient prendre docilement la position demandée.
Victor observe cette belle paire de fesses rebeu offertes. Il les caresse amoureusement, il sait qu'il va baiser le rebeu, il écarte les fesses et la belle raie un peu poilue est là, l'anus bien au centre, bien rond, plus marron foncé, plissé. Il écarte bien les fesses, se penche et avec la pointe touche l'anus qui bouge immédiatement, se relâchant en même temps que le rebeu gémit en tendant son cul!
Plus il dépose de la salive, plus le petit trou s'ouvre, il lèche, inonde, et fore de la pointe pour toucher l'entrée, la paroi chaude qui fait crier Aladin.
C'est bien ce qu'il pensait, le rebeu se gode pour le moins et c'est sûrement vrai quand il dit qu'il ne s'est jamais fait niquer.
Il coince son gland dans les couilles et s'allonge sur le rebeu, le forçant à s'allonger, l'écrasant de son poids et sa bouche vient se coller à son oreille.
-le rebeu est un grand cachotier, tu te godes hein mon coquin ?
Aladin sourit mais ne répond pas.
-je suis sûr qu'il aime ça le rebeu se goder et qu'il rêve qu'un beau céfran blond vienne le niquer bien à fond, un céfran avec une grosse queue en plus, car le rebeu est gourmand vu comme son petit cul s'ouvre!
-comment tu peux savoir ça ? demande Aladin.
-c'est ton cul qui l'a dit à ma langue le rebeu!
Aladin rigole.
-eh bien nique moi alors puisque t'en as tellement envie!
-tu vas y avoir droit le rebeu, mais je veux que ça soit toi qui me le demande quand tu auras goûté à ma queue que tu ne connais pas!
Victor glisse à côté du rebeu, se met sur le dos et attend.
Aladin le regarde en souriant, ses yeux suivent son corps, sa queue et reviennent à sa tête :
-t'es vachement beau le céfran dit il les yeux émerveillés.
Sa main le caresse, passe sur le torse, les tétons qui gratouille d'un ongle, mais sa main descend vers la toison et il regarde ses doigts passer dans les poils blonds.
Il fait des bisous sur le torse, descend rapidement pour venir, lui aussi respirer le blond, la toison et la queue qui coule encore.
Il en a envie de cette belle queue, il a envie de faire plaisir au céfran.
Bien sûr qu'il va aimer se faire niquer par le céfran, il en a toujours rêvé qu'un blond le nique et son gode ben, il est aussi gros que la queue du céfran!
Mais il veut d'abord goûter cette belle queue de blond, jouer avec le prépuce, voir la mouille couler, oser la lécher, l'avaler et trouver qu'elle a un autre goût que la sienne.
Et finir par avaler la grosse queue, la sentir lui remplir la bouche, glisser sur sa langue, toucher le fond de sa gorge, tousser, cracher dessus, la lécher encore et encore pour la sentir se raidir encore plus, durcir de plus en plus et ce maudit céfran se tendre d'un seul coup en gueulant qu'il va juter au même moment où la première giclée brûlante l'envahit et qu'il avale rapidement car les autres arrivent.
Il se surprend le rebeu à aimer ça, avaler le jus céfran!
C'est un rebeu les yeux brillants, les lèvres portant encore des traces de sperme qui revient dans les bras de Victor.
Ils se toisent, se sourient, les nez ses touchent. Victor lui lèche les lèvres pour enlever les traces. Le corps du rebeu vient se coller au sien, les queues sont encore raides de chez raide!
Les lèvres se soudent et les langues jouent ensemble, en poussant de petits gémissements les yeux fermés.
C'est le rebeu qui se blottit le plus dans les bras du céfran comme s'il se sentait en sécurité.
-nique moi maintenant le céfran, j'en ai envie, soit le premier! dit Aladin tout bas.
-t'es vraiment sûr Aladin ?
-oui car je sais que t'es un bon mec le céfran et j'adore tes coups de langue.
Victor le fait rouler sur le lit pour se retrouver sur lui.
-en face à face comme ça ? demande Victor.
-oui je veux te voir dit Aladin.
-alors écarte les cuisses le rebeu et remonte tes jambes que j'aille m'occuper de ce petit cul qui n'a jamais vu de queues!
Il rigole Aladin et obéit.
Il n'a pas longtemps à attendre pour sentir la langue du céfran s'accaparer de son petit trou, le lécher, l'inonder, et surtout sentir la langue entrer en lui, toucher la muqueuse, ce qui le fait gueuler déjà.
Quand le céfran a mis son doigt le plus long Aladin a encore gueulé. Cela n'avait rien à voir avec son gode, vraiment pas les mêmes sensations.
Victor a pris son temps, un doigt, deux doigts, la langue, la salive, les caresses, les encouragements et le petit trou reste ouvert, prêt à l'emploi.
Quand Aladin a vu la tête du céfran réapparaître, s'approcher de lui, sentir le gland venir se poser sur son entrée, il a vu dans les yeux de Victor que c'était le moment fatidique..
Il a serré des mâchoires le rebeu quand le gland a commencé de forcer l'entrée, sentir son anus s'ouvrir délicatement, les chaleurs se mélanger, la douleur arriver, d'abord dans l'anus et quand le gland force encore, cette douleur commence à lui envahir le corps. Le gland avance, glisse et passe le sphincter sous un hurlement du rebeu, la douleur se transmet partout en lui, les larmes lui sortent des yeux.
Victor le regarde tendrement, ne bouge plus, la douleur s'atténue, mais putain c'est vraiment gros ce qu'il a dans le cul!
Il sait bien le rebeu que ce n'est que le début!
Sans le quitter des yeux, Victor s'appuie sur ses cuisses, se redressant un peu et continue de s'enfoncer en lui.
Quand il fait entrer son gode, il aime cette sensation d'être envahi, comblé, mais là il l'est c'est sûr mais en plus il y a cette chaleur que la grosse queue libère, en même temps qu'il sent bien qu'elle est dure, il la trouve tendre et il la sent bien glisser en lui. Pourtant il continue de gueuler Aladin mais le regard de Victor, le réconforte.
Dernier coup de reins sec pour bien lui faire sentir que tout est bien arrivé à bon port!
Pendant un petit moment, Victor n'a plus bougé. Aladin sentait la queue vivre en lui et cela lui plaisait, car avec son gode il n'avait pas ça!
Mais les gueulantes, les cris, les larmes sont vite revenus quand les va-et-vient se sont accélérer. Il savait niquer le rebeu mais c'était toujours son zob qui coulissait dans un cul.
La douleur revenait surtout quand le céfran rentrait sa queue, mais cette douleur s'est estompée et les cris se sont mués en gémissements. Il voyait le céfran transpirer, les gouttes de sueur tombaient de son front.
L'accélération s'est fait sentir, les coups secs également et quand il s'est bloqué bien enfoui dans le petit cul rebeu accueillant, le rebeu a écarquillé les yeux quand il a senti la première giclée toujours aussi brûlante se répandre en lui, là il a poussé un long gémissement de plaisir, sentant son zob durcir, se redresser et cracher également son venin entre leurs corps.
A chaque giclée que lui offrait le céfran, le rebeu offrait sa tournée.
Il a refermé ses jambes sur le céfran, l'attirant de ses bras pour l'embrasser longuement en se caressant.
Les queues étaient toujours aussi raides.
Victor est sorti délicatement de ce bon cul, s'allonge à côté du rebeu. Ils ont tous les deux le cœur battant, autant essoufflé l'un que l'autre.
C'est le rebeu qui revient se coller à lui, une jambe entre les siennes.
Il lui fait un bisou sur la joue, ils se sourient, se bécotent, se serrent l'un contre l'autre.
-mon beau rebeu va bien ? désolé de t'avoir fait mal!
-t'en fais pas le céfran, ça va bientôt être ton tour! dit Aladin en riant, mais tu m'as vidé et rempli en même temps.
-c'est chaud un rebeu, tu comprends pourquoi je vous adore ?
-ah ah bien sûr t'es un gourmand le céfran, mais je dois dire un beau gourmand compétent et je suis heureux que tu sois le premier à me faire ce que tu m'as fait!
-tu sais quand on réclame dit Victor en rigolant.
C'est Aladin qui l'embrasse tendrement, se frottant encore et encore en le caressant longuement.
-on va prendre une douche, je te fais à manger et après comme on aura repris des forces on revient au lit, ça te va comme programme ?
-rho mais tu veux me séquestrer le céfran ?
-tu es attendu ?
-non dit le rebeu.
-eh bien tu peux rester dans mon lit jusqu'à demain alors ?
-ben je croyais que tu voulais prendre une douche ?
Victor rigole, se lève et prend la main du rebeu.
-viens Aladin c'est moi qui vais te laver!
Il avait les yeux gourmands en disant cela.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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