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HISTOIRE

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Le cuir et le silence

C’est une histoire vraie. Bonne lecture à vous tous.

Chapitre-1

Je suis inscrit sur un site de rencontres S.M. connu mais pas le meilleur non plus.
Je parcours les pages, les unes après les autres et c’est toujours pareil, pas le bon profil, ou des mythos en puissance.
Mes attentes, vous allez me dire ??? Elles sont simples. Je cherche un mec qui veut se prendre une bonne correction, sans chialer, sans broncher, sans se plaindre, obéissant, un mec qui aime les coups et pas n’importe lesquels…. Les coups de ceinturon !!
J’ai 32 ans, et je suis un fétichiste de la ceinture en cuir. J’adore les ceintures en cuir, cette matière, l’odeur qu’elles dégagent. Je préfère les ceintures larges aux petites avec une belle et grosse boucle. Je kiff les ceintures, je les collectionne, c’est comme ça, chacun son « délire ».
Bref, j’étais sur le point de quitter ce fameux site de rencontres, quand je tombe sur une annonce intéressante :
« Je suis un jeune soumis, fétichiste de la ceinture. Le cuir, le poids de la boucle, le claquement sec sur la peau…c’est plus qu’un plaisir, c’est un besoin. Être corrigé, marqué, dominé par cet objet brutal et symbolique me fait sentir à ma place. Une ceinture est une promesse : de douleur, de contrôle, de jouissance. Je me donne à celui qui sait manier la sangle avec autorité et respect. Montre-moi ta ceinture, je te montrerai jusqu’où je peux obéir »
Je lis une fois, deux fois l’annonce… Mytho ou pas, ce profil m’intéresse, je décide de répondre. Je suis direct. Reste à savoir si, lui il va me répondre.
Au bout d’une semaine, je reçois une notification sur mon téléphone, une réponse à mon message. Je m’empresse de le lire :
« Bonjour maître, merci pour votre réponse. Votre profil correspond à mes attentes, est-ce que l’on peut discuter en vue d’une rencontre. PS : je suis très sérieux !! »
Je ne m’emballe pas, je réponds à ces messages. Un bon échange se crée entre nous. Cette fois j’y crois, je le tiens peut-être mon soumis. Enfin !!!!
Suite à nos messages, puis des appels téléphoniques, on décide et fixe une date pour un plan chez moi.
J’ai la chance d’habiter une maison spacieuse et j’ai pu aménager une pièce spéciale pour mes plans soft à hard. Le jour J comme pour me rassurer, je fais le tour vite fait, tout est en place, il ne manque rien, tout est prêt.
Le carillon retenti. Je le reçois et l’invite à se diriger vers le salon. On prend le temps de se détendre autour d’un verre et j’en profite pour lui rappeler les règles fixées et acceptées par les deux parties.
Tout est ok, c’est parti, direction la pièce de torture.
Dés qu’on franchi la porte capitonnée, l’atmosphère change. L’air est plus dense, chargé d’odeurs de cuir, de cire et de peur contenue. Les murs sont capitonnés eux aussi et habillés de cuir noir mat, absorbants la lumière rouge tamisée qui descend du plafond comme une menace.
Au centre, un banc de bondage fixé au sol, patiné par l’usage. Au mur à gauche, un panneau d’exposition : la rangée du haut, une vingtaine de ceintures y sont suspendues, soigneusement rangées. Grandes, larges, en cuir tanné, en cuir clouté, certaines avec des boucles lourdes en métal, d’autres renforcées à la base pour frapper plus fort.
La rangée du bas, les ceinturons plus ou moins larges, au cuir épais, boucles métalliques brillantes. Il y a aussi des sangles en cuir et des cordes.
A côté du panneau, deux étagères. Sur la première en haut, des ceintures enroulées ; ce sont mes trophées. Je garde les ceintures (les plus belles) des soumis après leur passage chez moi. J’en ai une quinzaine ; bientôt un seizième qui sait.
Sur la deuxième étagère, on peut trouver des baillons, colliers, pinces, plugs, godes et des accessoires de contentions. Tout est à portée de main. A droite en entrant, dans un coin, une table médicale modifiée, avec un repose-jambes et sangles multiples. A côté, une étagère dédiée aux soins post-session : des baumes cicatrisants, linges chauds, gants, eau, et un fauteuil en cuir pour le dominateur, placé comme un trône, pour observer mon soumis. Le sol est recouvert d’un tapis noir, tâché de marques et pour finir, un petit meuble bas ouvert. On peut y apercevoir des récipients en inox de type écuelle pour chien, des verres de tailles différentes et des bâches pvc noires. C’est le nécessaire pour mes jeux humides, mon deuxième kiff !!!
Mon soumis se tient dans l’encadrement de la porte et balaye la pièce de droite à gauche, les yeux pétillants comme un gamin dans un rayon de jouets au supermarché. Il est émerveillé par ce qu’il voit.
Tu vois Archibald (c’est le prénom de mon soumis), la ceinture ici n’est pas un accessoire de mode, c’est un instrument de vérité.
Il reste immobile, les mains derrière le dos. Il sait ce qui va venir, ce qui l’attend, ce qu’il veut, ce qu’il cherche, ce qu’il réclame.
Archibald a 27 ans. Il est plutôt beau gosse, corpulence normale, musclé sans excès. Il est tailleur de pierre. A ma demande explicite, il est vêtu d’un jeans, ceinture et d’un tee-shirt.
Je lui demande direct de retirer sa ceinture et de me la donner. Elle ira rejoindre les trophées car elle est belle, brillante et dégage une odeur agréable. Elle sent le cuir mélangé à l’odeur de mâle. J’adore. Il se déshabille rapidement et pose ses affaires sur une chaise à côté de lui.
- Tu sais pourquoi tu es là, Archibald ?
- Oui maître.
- Dis-le.
- J’ai besoin qu’on me remette à ma place, d’être dressé, corrigé, puni sévèrement, violement et sans pitié.
J’adore cette soumission dans sa voix, cette lucidité dans l’abandon.
- Mets-toi en position !! en lui indiquant le banc au centre de la pièce.
Archibald obéit aussitôt, et s’installe à plat ventre, les bras étendus, les jambes écartées. Je fixe ses quatre membres avec des sangles en cuir (des ceintures recyclées achetées sur un site de seconde main) Sa tête vient se caler dans un coussin creusé exprès pour éviter les faux mouvements et les blessures inutiles.
Sa ceinture noire est enroulée autour de ma main droite. D’un mouvement maîtrisé, elle claque doucement la paume de ma main gauche. J’aime ce contrôle absolu, du silence pesant qui précède la première frappe.
Il frissonne à la première caresse du cuir sur ses fesses tendues, sur son dos légèrement poilu, sur ses hanches, sa nuque. Le premier coup tombe, sec, précis.
Archibald gémit, mais ne bouge pas. Le second fut plus fort. Puis un autre. Et un autre.
Je lui demande de compter les coups comme une litanie. A chaque impact, le rouge monte, la douleur s’installe, brûlante, mais désirée. Chaque frappe est une preuve, une marque, un rappel de l’ordre entre eux. Après la trentième frappe, je m’arrête. Sa ceinture tombe sur ses jambes. Je caresse avec ma main doucement les fesses rougies, me rapproche de sa tête et me penche pour lui souffler dans le creux de son oreille :
- Tu es à moi
Archibald répond d’une voix cassée, tremblante mais sereine.
- Oui, maître.
Le jeu se fait plus dur, mais toujours dans les limites de notre contrat implicite. Le silence est revenu lourd, chargé de tensions. Archibald halète, le front appuyé contre le coussin de la planche centrale du banc, les muscles tremblants. Mais, il ne dit rien. Il ne me supplie pas… pas encore pour le moment.
Je dégrafe ma ceinture à mon tour et la retire lentement. La boucle métallique glisse entre mes doigts. Elle tinte doucement, un son froid, mécanique, bien plus menaçant que le cuir seul.
- Tu crois que c’est fini ?
Archibald se crispe. Il reconnait ce ton. Ce n’est plus la simple punition. C’est l’épreuve…l’intensité monte.
Je m’approche, me penche, murmure contre sa nuque moite :
-Tu veux aller plus loin ?
Un silence. Puis une réponse basse, brûlante.
- Oui, maître. Je veux que vous me brisiez.
Dans nos échanges avant notre rencontre, Archibald m’a dit que son métier le mettait à rude épreuve. La douleur, il avait appris à la maîtriser au fil du temps. J’allais vite m’en rendre compte.
Redressé et positionné près de mon soumis, je lève mon bras et la ceinture, mais cette fois avec la boucle orientée vers le bas. Le métal siffle dans l’air avant de claquer contre la chair tendue de ses fesses. Archibald crie, un son brut, sincère. Pas un mot. Pas d’arrêt. Juste la morsure intense, profonde de la boucle qui laisse une trace immédiate, fine et violente.
Un, deux, trois, vingt coups. J’alterne les zones, les rythmes. Je sais doser, jouer avec la douleur comme un musicien avec sa partition. Le rouge vif vire au carmin, la peau de ses fesses est marquée, nerveuse, vivante.
Archibald suffoque, les larmes coulant sans bruit. Mais il ne dit toujours pas stop. Il veut être emporté, consumé et je le guide à travers cette tempête de feu et de fer.
Aux vingt cinquièmes frappes, je me suis arrêté. Une fois ma ceinture déposée sur son dos, ma main vient caresser les marques.
- Tu es magnifique ainsi, brisé sous mes coups. Un bon soumis.
- Merci maître. Je suis à vous entièrement.
Archibald sanglota doucement soulager, vidé, apaisé dans sa douleur. Il avait cru avoir atteint ses limites. Son corps brûle, chaque nerf vibrant sous les marques laissées par la boucle. Pourtant, quand je ramasse ma ceinture, ses yeux s’ouvrent humides, rougis, mais pleins d’un besoin sauvage. Je le regarde longuement. Je lis dans ses yeux l’abandon total. Pas de peur, pas de doute. Juste cette supplique silencieuse :
- Allez-y encore maître.
Alors, c’est ce que j’ai fait. Ma ceinture de nouveau dans mes mains, la boucle solidement tenue, je lève bien plus haut mon bras. Le claquement fut brutal, un son sec, tranchant suivi d’un gémissement étranglé. Archibald grimace, mais ne crie pas, pas un mot. Il veut le choc, le vrai. La morsure du métal, l’épreuve. Les coups s’enchaînent. Vingt trente, quarante. Chacun plus fort que le précédent. La boucle fouette les chairs, traçant des lignes rouges, des zébrures fines et profondes. Certains coups tombent sur les hanches, d’autres sur le haut des cuisses ou le haut de son dos. Je maîtrise parfaitement ma force. Je ne le blesse pas, je le marque juste, je possède.
A la soixantième frappe, Archibald hurle. Un cri déchirant, mais pas de refus. C’est un cri d’extase, de douleur transcendée pour se donner à son maître.
Puis d’une voix grave, presque rauque, j’annonce à Archibald que la partie soft du plan est terminée et que l’on va passer aux choses sérieuses. Ma ceinture va rejoindre la sienne sur ses jambes.
Archibald murmure ces quelques mots :
- J’ai mal, vraiment mal, maître. Mais j’en veux encore et plus fort, s’il vous plaît.
Je me dirige à gauche de la pièce vers le panneau et les étagères. Je prends un collier avec des anneaux, des sangles en cuir et une bougie entamée. Je suis devant ma rangée de ceinturons et j’hésite. Lequel choisir pour mon soumis. Mon choix se porte sur deux modèles un pas trop large et lisse et un autre plus large et clouté. Les deux sont bien épais et avec une grosse boucle chacun, plus lourd donc plus cruel pour mon plus grand plaisir avant tout.
Archibald le sait, ce n’est plus un jeu. C’est le rite de passage obligatoire, un moment rare, réservé aux initiés, aux vrais.
Je le détache de ses liens pour lui demander de se positionner sur le dos et il est de nouveau attaché au banc. Je lui rajoute des sangles, deux sur la partie haute de son corps et deux sur la partie basse. Je passe également le collier autour de son coup et passe une sangle dans chaque anneau pour maintenir sa tête sur le banc. La bougie est allumée et la cire noire commence à couler, lentement sur sa peau. Ses membres tremblent. Pas de peur, seulement du désir…l’acceptation est totale.
- A cet instant Archibald, tu es offert. Pas à moi, mais à ce que tu es réellement, un soumis dans sa forme la plus pure.
Je saisis le ceinturon pas trop large et pose le plus large sur son corps. La boucle métallique était pleine, carrée agressive, et sur le cuir sont fixées des lettres avec des rivets. Je le fais glisser sur le torse traçant sur la peau des lignes. Et puis, les coups commencent, plus lents, plus lourds aussi. Chaque impact résonne comme un coup de cloche. Je frappe les pectoraux, les flancs, les cuisses. Archibald gémit, secoué, emporté par cette douleur sacrée ; il se consume. Entre deux séries, je fais couler de la cire chaude sur les traces fraîches. Il crie, les nerfs à vifs, mais il ne se débat pas.
Au terme du séance de cinquante coups, en alternant les deux ceinturons, je mets un terme au plan au bout de deux heures.
Archibald est en trans sur le dos. Je le libère de ses liens et l’aide à se redresser. Il a été plus loin que mes attentes, c’est un bon soumis. Il me plaît. Je lui accorde un soin bien mérité.

ChoX

leatherbelt@outlook.fr

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