Prologue : Un Bout de Mes Plans de Lope Encagée
Je m’appelle Néron, 40 balais, cadre dans un bureau d’études où je bosse sur des projets, checke des plans, et charme les clients. Au taf, je suis le mec cool : jeans slim, chemise bien coupée, baskets, sourire de tombeur qui fait mouiller les collègues. Les nanas me matent, je plais, mais je reste solo par choix. Sous mes fringues, je porte une cage de chasteté, bien verrouillée, depuis un an. C’est ma façon de kiffer ma soumission : je suis une lope encagée, et je ne jouis que par le cul, ma cage m’empêche de bander ou de me branler.
Pas de Maître pour me tenir en laisse. Mes plans, je les chope sur Grindr, Recon, ou des forums BDSM planqués, mais aussi dans des coins chauds – parkings, chiottes publiques, forêts, saunas – où tout peut partir en vrille. Parfois c’est carré, parfois c’est du hasard, mais c’est toujours bien crade, plein de foutre, avec de l’humiliation ou du dogtraining quand je veux me lâcher à fond. Cette année, j’ai vécu des trucs de ouf, et ce récit, c’est juste un extrait, les moments les plus hardcore de mes aventures. Entre le taf, mes sessions de course en forêt, muscu, natation, et ces plans trash, j’ai kiffé à fond. Voilà mon histoire, bien longue et ultra crue, d’une lope encagée qui vit à 200 %.
Chapitre 1 : Janvier – Plan Cul en Forêt
Janvier, c’est la galère au taf. Nouveaux contrats, deadlines serrées, réunions qui n’en finissent pas. Après une journée à checker des plans, je suis à bout. Pour me vider la tête, je vais courir dans une forêt à 30 bornes de chez moi, un coin paumé où les chemins deviennent des spots de drague la nuit. Un vendredi soir, vers 19h, je quitte le bureau en jeans slim noirs, chemise bleu clair, baskets blanches, passe chez moi, enfile un short de running noir qui moule mes cuisses, un débardeur noir qui montre mes pecs, et mes baskets de trail. Je me fous un plug large dans le cul, sa pression me chauffe direct, chaque pas me fait bander dans ma cage.
Vers 22h, je traîne dans une clairière où les plans se font. Il fait un froid de canard, mon souffle fait des nuages. Un mec me capte : la trentaine, baraqué, en survêt gris, capuche relevée, l’air d’un mec qui va pas rigoler. « T’es là pour quoi, salope ? » il grogne. Je baisse mon short pour montrer ma cage, un sourire de défi. « Putain, t’es une vraie lope », il lâche, déjà excité.
Il me chope par l’épaule et me fout à genoux dans l’herbe trempée. La boue glace mes genoux, salit mon short. Sa bite est raide, grosse, pue la sueur. Je la gobe, ma langue glisse sur sa peau, je la prends à fond, ses mains dans mes cheveux blonds me forcent à y aller fort. Le goût salé me remplit la bouche, je gémis, ma cage me serre. Deux autres mecs rappliquent, attirés par le bruit. Un chauve balèze, la quarantaine, en blouson de cuir, style biker. L’autre, plus jeune, maigre, tatoué, avec des piercings. « Une lope en cage, putain », rigole le chauve.
Ils sortent leurs bites, je passe de l’un à l’autre, ma bouche glissant sur leurs queues raides, mes mains sur leurs cuisses pour tenir. Le baraqué me tient la tête, m’enfonce sa bite jusqu’à la gorge, pendant que le chauve me claque la joue, mort de rire : « T’es qu’un vide-couilles, hein ? » Le maigre tire sur ma cage, se fout de moi : « Ce clébard peut même pas bander. » L’humiliation me fait kiffer, mon cul palpite autour du plug.
Le baraqué me relève, arrache mon short, vire le plug d’un coup. Il me plaque contre un arbre, l’écorce me râpe les pecs, et me défonce direct, sa grosse bite me déchire. La douleur devient du plaisir, mon cul s’ouvre à fond. Je gémis, mes mains griffent l’arbre, ma cage cogne contre mon short baissé. Le chauve prend le relais, sa bite encore plus large, me fait gueuler à chaque coup, pendant que le maigre me force à le pomper, sa queue fine tapant ma gorge. Pendant une heure et demie, ils me baisent à tour de rôle, leurs corps lourds contre moi, leurs insultes – « salope », « lope », « trou à foutre » – claquent dans la nuit.
Ils me foutent à quatre pattes dans la boue, l’herbe colle à mes mains. Le chauve me démonte, ses mains sur mes hanches, pendant que le baraqué me fait pomper, sa bite pleine de bave. Le maigre me crache dessus, se moque : « T’es qu’une chienne. » Ils alternent, chacun me bourre le cul ou la bouche, leurs grognements et le bruit de leurs bites remplissent l’air. L’humiliation me fait kiffer, mon cul vibre.
À la fin, ils me remettent à genoux dans la boue. Le baraqué jouit dans ma bouche, son foutre épais gicle, coule sur mon menton, je galère à avaler. Le chauve lâche sur mon torse, son jus chaud trempe mon débardeur, l’odeur me monte au nez. Le maigre vise ma gueule, son foutre dégouline sur mes joues, mes cheveux blonds, collant partout. « Bonne lope », lâche le chauve, avant qu’ils se barrent dans le noir.
Je suis seul, crevé, couvert de foutre et de boue, l’odeur de sperme et de sueur collée à moi. Je remonte mon short, la boue sur mes cuisses, et cours jusqu’à ma caisse, mon cul en feu. À la maison, je me douche longtemps, mais l’odeur du foutre reste. Lundi, je suis au taf, jeans noirs, chemise blanche, baskets, je souris à une collègue qui me trouve « en forme ». Personne sait rien, et ça me va.
Chapitre 2 : Mars – Orgie au Sauna
Mars, c’est l’enfer au taf. Un gros projet à boucler, des clients chiants, des réunions non-stop. Mes sessions de natation me gardent à flot, mais j’ai besoin d’un truc bien hard pour lâcher la pression. Un samedi soir, après une journée à taper des rapports sous la pluie, je file dans un sauna gay en ville, un spot connu pour ses nuits déglinguées. Je me change chez moi, enfile un jockstrap noir qui laisse mon cul à l’air, ma cage bien en place, et je prends une serviette. Mes pecs et abdos, encore luisants de ma muscu du matin, attirent direct les regards.
J’arrive vers 20h30. Le sauna est blindé, l’air lourd de chaleur, de sueur et de sexe. Les couloirs sombres résonnent de gémissements, les néons bleus éclairent des corps à poil. Je traîne, ma serviette à peine nouée, laissant voir mon jockstrap. Dans la cabine à vapeur, il fait une chaleur à crever, la buée colle à ma peau. Un mec, la cinquantaine, trapu, torse velu, me mate. « Montre ta cage, lope », il grogne. Je lâche ma serviette, ma cage brille sous la lumière. « Putain, t’es une vraie salope », il dit, avant de me foutre à genoux sur le carrelage glissant, l’eau chaude coulant autour.
Sa bite est grosse, raide, pue la sueur et le savon. Je la gobe, ma langue glisse dessus, je la prends à fond, ses mains dans mes cheveux me forcent à y aller fort. Le goût salé me remplit la bouche, je gémis, ma cage me serre. Deux mecs rappliquent, attirés par la scène. Un jeune musclé, la trentaine, tatouages sur les bras, bite déjà dure. L’autre, plus vieux, chauve, barbe grise, rigole en me voyant. « Une lope en cage, sérieux ? » lâche le jeune, moqueur.
Ils sortent leurs bites, je passe de l’un à l’autre, ma bouche glissant sur leurs queues, mes mains sur leurs cuisses pour tenir. Le trapu me tient la tête, m’enfonce sa bite jusqu’à la gorge, pendant que le jeune me crache à la gueule, mort de rire : « T’es qu’un trou encagé ! » Le chauve tire sur ma cage, se fout de moi : « Ce clébard peut même pas bander. » L’humiliation me chauffe, mon cul a envie.
Ils me chopent et m’emmènent dans une backroom, une pièce sombre, murs noirs, matelas au sol, un sling au milieu. Ça pue le sexe et le lubrifiant. La foule grossit : cinq, puis huit mecs, à poil ou en jockstrap, tous chauds. Je suis à quatre pattes sur un matelas, ma cage à l’air, ma serviette paumée. Le trapu me démonte en premier, sa grosse bite s’enfonce à fond, ses mains sur mes hanches. Je gueule, mon cul s’ouvre, la douleur devient du plaisir. Le jeune tatoué me bourre la bouche, sa bite longue tape ma gorge, je tousse mais je tiens.
La backroom devient un bordel de corps et de grognements. Pendant quatre heures, de 21h à 1h, ils me baisent non-stop. Les mecs se relaient, leurs bites changent de taille, de goût. Un black balèze, la peau luisante, me défonce si fort que je sens mon cul craquer, mais ça me fait kiffer, je gueule, la bouche pleine d’une autre bite. Un maigre avec des lunettes me fait pomper pendant qu’un blond baraqué me bourre, alternant des coups lents et profonds. Certains tirent sur ma cage, rigolent de ma frustration, d’autres me crachent dessus : « T’es qu’une chienne à foutre. »
Le foutre devient le truc principal. Le trapu jouit dans ma bouche, son jus épais m’étouffe, coule sur mon menton, je galère à avaler. Le jeune tatoué lâche sur ma gueule, son foutre chaud dégouline sur mes joues, mes yeux. Le chauve vise mes pecs, son jus colle à ma peau, ça pue. Trois autres, des mecs que je vois à peine, jouissent sur mon dos, mon cul, leurs jets se mélangent, glissent sur moi. Un brun barbu me force à avaler son foutre, amer, pendant qu’un autre lâche sur ma cage, le jus brille sur le métal.
Entre chaque tour, je reprends mon souffle, trempé de sueur et de foutre, mais ils me laissent pas pioncer. Un mec me fout un plug vibrant, je gueule, pendant qu’un autre me défonce. À un moment, trois mecs jouissent en même temps : un dans ma bouche, m’étouffant ; un sur mes pecs, le jus coule jusqu’à mon ventre ; un sur ma gueule, ça colle à mes cheveux. Je suis une lope noyée dans leur foutre, ma cage me rappelle que je peux pas kiffer autrement, mon cul vibre à fond.
Vers minuit, crevé, je m’écroule sur le matelas, couvert de foutre, ma cage pendante, mon cul en feu. Un dernier mec, un brun tatoué, me fout un gode vibrant énorme, et je jouis, mon seul kiff : une explosion dans le cul qui me fait trembler, mes gueulements font rire les autres. Ils me laissent là, à bout, l’odeur de foutre partout. Je me traîne aux douches, l’eau chaude rince le bordel, mais l’odeur reste. Je remets mes jeans, t-shirt, baskets, et je me casse. Lundi, je suis au taf, jeans noirs, chemise grise, baskets, je souris à une collègue qui me trouve « détendu ». Mon secret reste planqué.
Chapitre 3 : Mai – Baise Trash au Parking
Mai, le taf ralentit, les projets sont calmes, j’ai du temps pour mes envies. Après une session muscu qui me fait des pecs et des bras bien gonflés, j’ai envie d’un truc bien crade, sans chichi. Un soir, vers 20h, je quitte le bureau en jeans slim gris, t-shirt noir moulant, baskets noires, et je file sur un parking d’autoroute à 20 bornes, un spot de drague connu. Pas de plug, juste ma cage, mais l’idée d’un plan à l’arrache me fait kiffer. Je gare ma caisse près des camions, sous les lampadaires blafards, et je traîne, les mains dans les poches, l’air relax mais le cœur à fond.
Au bout de dix minutes, je croise un mec, la quarantaine, veste en cuir, appuyé contre une camionnette, clope au bec. Il me mate, me fait signe, un sourire de prédateur. « T’es une lope, non ? » il grogne. Je baisse mon jeans pour montrer ma cage, un sourire provoc. « Pathétique », il rigole, écrase sa clope et m’entraîne dans un bosquet, l’herbe haute planque nos silhouettes. Deux routiers, des balèzes qui traînaient près des camions, nous suivent. Un gros barbu, casquette de baseball ; l’autre, maigre, barbe mal taillée, tatouages sur les bras. « Une lope en cage, sérieux ? » rigole le barbu.
Il me fout à quatre pattes dans l’herbe humide, l’odeur de terre et de gasoil me prend le nez. Le mec en cuir baisse son jeans, sa bite raide, grosse, luisante. Je la gobe, ma langue glisse sur sa peau salée, ses mains dans mes cheveux me forcent à fond. Les routiers sortent leurs bites, je passe de l’un à l’autre, leurs queues puent la sueur et le tabac. Le barbu me claque la joue, rigole : « T’es qu’un vide-couilles ! » Le maigre tire sur ma cage, se fout de moi : « Ce clébard sert à que dalle. »
Le mec en cuir baisse mon jeans, m’enfonce sa bite contre un arbre, l’écorce me râpe le torse. Sa grosse queue me déchire, je gueule, mais ça devient du kiff, mon cul s’ouvre. Mes mains griffent l’arbre, ma cage cogne contre mon jeans baissé. Le barbu prend la suite, sa bite large me fait hurler, chaque coup tape fort. Le maigre me force à le pomper, sa queue fine tape ma gorge, je tousse. Pendant deux heures, ils me baisent à tour de rôle, leurs corps lourds contre moi, leurs insultes – « salope », « lope », « trou à foutre » – claquent dans le noir.
Ils me foutent à quatre pattes dans l’herbe, la boue colle à mes mains. Le barbu me démonte, ses mains sur mes hanches, pendant que le mec en cuir me fait pomper, sa bite pleine de bave. Le maigre me crache à la gueule, se moque : « T’es qu’une chienne. » Le barbu me force à lécher ses bottes pleines de boue, l’odeur de cuir et de terre me remplit la bouche, pendant que le maigre me bourre, rigolant. Le mec en cuir tire sur ma cage : « T’es qu’un trou à foutre. »
À la fin, ils me remettent à genoux dans l’herbe. Le mec en cuir jouit dans ma bouche, son foutre épais gicle, coule sur mon menton, je galère à avaler. Le barbu lâche sur mon torse, son jus trempe mon t-shirt, ça pue. Le maigre vise ma gueule, son foutre dégouline sur mes joues, mes cheveux, collant partout. « Bonne chienne », lâche le barbu, avant qu’ils se barrent vers les camions.
Je suis seul, crevé, couvert de foutre et de boue, l’odeur collée à moi. Je remonte mon jeans, la boue sur mes cuisses, et retourne à ma caisse, mon cul en feu. À la maison, je me douche longtemps, mais l’odeur du foutre reste. Lundi, je suis au taf, jeans bleus, chemise à carreaux, baskets, je souris à une collègue qui me trouve « rayonnant ». Mon secret reste planqué.
Chapitre 4 : Juillet – Orgie au Donjon
Juillet, le taf ralentit, l’été calme tout. Les clients sont en vacances, j’ai du temps pour mes envies hardcore. Après une session natation qui laisse mes muscles bien dessinés, je chope une annonce sur Recon pour une soirée BDSM dans un donjon privé, un appart transformé en banlieue. Je checke avec l’organisateur, ça semble clean, et je suis invité. Un samedi soir, je me prépare, je me fous un plug vibrant dans le cul, ses vibrations me chauffent direct. Je mets un jeans slim noir, une chemise blanche, baskets noires, mon style habituel, cool mais classe.
J’arrive vers 21h dans un immeuble discret. Je toque, et une dominatrice, une meuf d’une trentaine d’années, grande, en corset de cuir noir et talons, m’ouvre. Ses cheveux noirs sont tirés, ses yeux me scannent direct. « Entre, lope », elle dit, la voix grave. L’appart est un donjon : murs noirs, chaînes au plafond, une croix de Saint-André au centre, un sling dans un coin, néons rouges qui donnent une vibe hardcore. Ça pue le cuir, la sueur, la cire. Deux autres soumis, des mecs plus jeunes – un brun maigre, un blond musclé – sont à genoux, à poil, colliers au cou. Une quinzaine de participants, mecs et meufs, tous masqués, sont là, en cuir, lingerie, ou tenues fetish. L’ambiance est tendue, chaude.
La dominatrice me dit de me foutre à poil. Je vire mes fringues, plie mon jeans, chemise, baskets dans un coin, jusqu’à être nu, ma cage qui brille sous les néons. Les regards se posent sur moi, certains murmurent, d’autres rigolent. « À la croix », elle ordonne. Deux mecs baraqués en harnais de cuir m’attachent à la croix de Saint-André, mes poignets et chevilles bloqués par des menottes, mon corps musclé offert, un peu cambré. La dominatrice s’approche, un martinet en main, et commence à me fouetter, chaque coup claque sur mon cul, mes cuisses, ça brûle mais ça chauffe. « Dis-le, lope », elle grogne. « Je suis une lope encagée, je sers à obéir », je lâche, la voix tremblante, l’humiliation et la douleur me font kiffer. Les autres murmurent, certains se touchent, d’autres rigolent de ma cage.
Après dix coups, elle me détache, me fout à quatre pattes, et m’attache un collier de chien, avec une laisse. « T’es un clébard, Néron », elle dit, tirant pour me faire ramper sur le sol froid, mes genoux râpent le béton. Les participants me matent, certains crachent des insultes : « Sale chien », « Lope minable. » Elle me fait lécher ses bottes vernies, l’odeur de cuir me prend le nez, la texture lisse sous ma langue me fait plonger dans la soumission. A dogtraining element kicks in as a tall, tattooed guy orders: « Aboie, clébard. » J’aboie, mes « wouf » résonnent, c’est ridicule mais ça m’excite, les rires des autres me chauffent. The blond sub crawls beside me, barking too, our eyes meeting briefly, sharing the humiliation.
Elle m’emmène dans un sling, m’attache, jambes écartées, ma cage et mon cul à l’air. Pendant cinq heures, de 21h30 à 2h30, ça part en orgie, avec du sexe gay et hétéro, bien hardcore. Les deux soumis me préparent, leurs langues dans mon cul, leurs doigts enfoncent un plug plus gros, je gueule, les vibrations du plug me rendent dingue. Les participants se lâchent. Un mec tatoué, la quarantaine, baraqué, me défonce en premier, sa grosse bite glisse lentement, ses mains pincent mes tétons, je grimace. Une meuf, la quarantaine, blonde, en cuir, me force à bouffer sa chatte, son goût musqué me remplit la bouche, pendant qu’un brun maigre me bourre à fond. Un couple hétéro, un mec et une meuf dans la trentaine, me baisent : le mec me démonte, sa bite large me remplit, la meuf me fout un gode-ceinture dans la bouche, ses mains dans mes cheveux.
L’humiliation monte avec le dogtraining. Un mec maigre, masqué, me crache à la gueule, se fout de ma cage : « T’es qu’un clébard à foutre, pas un mec. » La dominatrice me sort du sling, me fait ramper, un plug en forme de queue de chien dans le cul, ça me fait gueuler à chaque pas. Elle me force à aboyer, rouler par terre, lécher les pieds d’une meuf, l’odeur de sueur et de cuir me prend le nez. Les autres rigolent, me donnent des ordres : « Remue ta queue, clébard ! » Je remue le plug, mon cul vibre, l’humiliation me fait kiffer.
Le sexe repart, encore plus hard. Un colosse en cuir me défonce si fort que le sling grince, ses grognements remplissent la pièce, pendant qu’une meuf me force à sucer ses seins, ses mains sur ma nuque. Un blond avec des piercings me bourre la bouche, sa bite tape ma gorge, pendant qu’un chauve baraqué m’enfonce un gode vibrant en plus de sa bite, la double pénétration me fait hurler. Les meufs s’y mettent : une me fouette le cul pendant qu’un mec me baise ; une autre me force à bouffer son cul, son odeur musquée me prend, pendant qu’un mec me démonte.
Le foutre est partout. Trois mecs jouissent dans ma bouche, leurs jus épais m’étouffent, coulent sur mon menton, je galère à avaler. Deux meufs, excitées par leurs mecs, giclent sur mes pecs, leurs jus se mélangent au foutre, ça colle à ma peau. Quatre mecs lâchent sur ma gueule, leur foutre dégouline sur mes joues, mes cheveux, mes yeux. Un autre vise ma cage, son jus brille sur le métal, il rigole. Un mec et une meuf jouissent ensemble sur moi, leurs jus se mélangent sur mes pecs, l’odeur me monte au nez.
Entre chaque tour, la dominatrice me file de l’eau, mais me garde attaché ou à quatre pattes, je reste un clébard. Vers 2h, elle m’enfonce un vibro énorme dans le cul, et je jouis, mon seul kiff : une explosion dans le cul qui me fait trembler, mes gueulements font marrer les autres. À 2h30, je suis crevé, couvert de foutre, mon cul en feu, ma cage luisante, mon corps marqué par les cordes. Je me traîne à la douche, l’eau rince le bordel, mais l’odeur de foutre reste. Je remets mes jeans, chemise, baskets, et je me casse. Lundi, je suis au taf, jeans noirs, chemise grise, baskets, je souris à une collègue qui me trouve « reposé ». Mon secret reste planqué.
Chapitre 5 : Septembre – Plan Crade dans les Chiotttes
Septembre, après un trail en forêt qui me vide la tête, j’ai envie d’un truc bien trash, bien crade. Près de la gare, y a des chiottes publiques connues pour le cruising, un spot dégueu mais chaud. Un soir, après le taf, vers 19h, j’y vais direct en jeans slim noirs, t-shirt noir moulant, baskets noires. Ma cage est là, l’idée d’un plan à l’arrache me fait kiffer. Je pousse la porte des chiottes, ça pue l’urine, la javel, la sueur. Les murs sont tagués de trucs dégueu, le sol colle sous mes baskets, les néons crachent une lumière glauque.
Je me pose près des urinoirs, fais genre je checke mon phone, quand un mec en hoodie gris, la trentaine, me capte. Grand, mince, barbe de trois jours, yeux qui percent. « T’es une lope ? » il murmure, la voix ferme. Je hoche la tête, un sourire en coin, et il me fait signe de le suivre dans une cabine, la porte grince. Le sol est dégueu, ça pue l’urine, mais ça m’excite.
À genoux sur le carrelage crade, je baisse son hoodie, son jeans, sa bite est dure, grosse, pue la sueur. Je la gobe, ma langue glisse dessus, je la prends à fond, ses mains dans mes cheveux me forcent fort. Le goût salé me remplit la bouche, je gémis, ma cage me serre. Deux mecs rappliquent, bloquent la porte. Un maigre, lunettes, tatouages sur les bras ; l’autre, balèze, barbu, chemise à carreaux ouverte sur un torse velu. « Une lope en cage, sérieux ? » rigole le maigre.
Ils sortent leurs bites, je passe de l’un à l’autre, ma bouche glissant sur leurs queues, mes mains sur leurs cuisses pour tenir. Le mec en hoodie me tient la tête, m’enfonce sa bite jusqu’à la gorge, pendant que le balèze me crache à la gueule, mort de rire : « T’es qu’un trou à foutre ! » Le maigre tire sur ma cage, se fout de moi : « Ce clébard sert à rien. » L’humiliation me chauffe, mon cul a envie.
Le maigre me relève, baisse mon jeans, m’enfonce sa bite contre le mur tagué, sa queue fine mais longue glisse facile, je gueule. Le balèze prend la suite, sa bite large me déchire, chaque coup me fait hurler. Le mec en hoodie me force à le pomper, sa bite tape ma gorge, je tousse. Pendant une heure et demie, ils me baisent à tour de rôle, leurs corps lourds contre moi, leurs insultes claquent : « Salope », « Lope », « Trou à foutre. »
Ils me foutent à quatre pattes sur le sol dégueu, l’odeur d’urine me prend le nez. Le balèze me démonte, ses mains sur mes hanches, pendant que le mec en hoodie me fait pomper, sa bite pleine de bave. Le maigre me crache à la gueule, se moque : « T’es qu’une chienne. » Le balèze me force à lécher le bord de la cuvette, l’odeur dégueu et le goût métallique me font grimacer, mais je kiffe, mon cul vibre sous les coups du maigre. Le mec en hoodie tire sur ma cage : « T’es qu’un trou à foutre. »
À la fin, ils me remettent à genoux sur le carrelage. Le mec en hoodie jouit dans ma bouche, son foutre épais gicle, coule sur mon menton, je galère à avaler. Le balèze lâche sur mon torse, son jus trempe mon t-shirt, ça pue. Le maigre vise ma gueule, son foutre dégouline sur mes joues, mes cheveux, collant partout. « Bonne chienne », lâche le balèze, avant qu’ils se barrent.
Je suis seul, crevé, couvert de foutre, l’odeur d’urine et de sperme collée à moi. Je nettoie avec du papier, remonte mon jeans, et retourne à ma caisse, mon cul en feu. À la maison, je me douche longtemps, mais l’odeur du foutre reste. Lundi, je suis au taf, jeans bleus, chemise noire, baskets, je souris à une collègue qui me trouve « en forme ». Mon secret reste planqué.
Chapitre 6 : Octobre – Gang Bang en Forêt
Octobre, après une session muscu qui me fait des pecs et des bras bien gonflés, j’ai envie d’un plan bien hard, organisé, où je peux me lâcher à fond. Sur Grindr, je chope un groupe qui organise un gang bang dans la forêt où je cours, un coin paumé à 30 bornes. Je checke par message, ça semble carré, et je décide d’y aller. Un samedi soir, vers 20h, je me prépare, je me fous un plug large dans le cul, sa pression me chauffe direct. Je mets un short de running noir, un débardeur gris, baskets de trail, mon style pour courir, mais ce soir, c’est pour baiser.
J’arrive vers 21h dans une clairière isolée, loin des chemins, plongée dans le noir, juste éclairée par la lune. Sept mecs m’attendent, des balèzes de 30 à 50 ans, en jeans, blousons, survêt, leurs silhouettes baraquées forment un cercle. Un brun barbu, la quarantaine, en blouson de cuir, a l’air de mener la danse. « T’es la lope encagée ? » il grogne, en me matant. Je hoche la tête, baisse mon short pour montrer ma cage, il rigole : « Putain, t’es sérieux. À genoux, clébard. »
Je tombe à genoux dans la boue, l’herbe humide colle à mes jambes. L’odeur de terre et de sueur me prend le nez. Le brun barbu baisse son jeans, sa bite épaisse, dure, pue le musc. Je la gobe, ma langue glisse dessus, je la prends à fond, ses mains dans mes cheveux me forcent fort. Les autres se rapprochent, leurs bites sorties, raides, prêtes. Un colosse tatoué, la cinquantaine, barbe grise, me claque la joue : « T’es qu’un vide-couilles ! » Un blond maigre, piercings, tire sur ma cage, se fout de moi : « Ce clébard peut rien faire. »
Pendant quatre heures, de 21h à 1h, ils me baisent non-stop, la clairière devient un bordel. Je passe de bite en bite, ma bouche glissant sur leurs queues, mes mains sur leurs cuisses pour tenir. Le brun barbu me force à fond, sa bite tape ma gorge, je tousse mais je tiens. Un chauve en survêt me bourre la bouche, sa bite large pleine de bave, pendant qu’un roux baraqué vire mon plug et m’enfonce sa bite contre un arbre, l’écorce râpe mon torse. Sa queue énorme me déchire, je gueule, mais ça devient du kiff, mon cul s’ouvre.
Ils me foutent à quatre pattes dans la boue, l’herbe colle à mes mains. Le colosse tatoué me démonte, ses mains sur mes hanches, pendant que le blond maigre me fait pomper, sa bite tape ma gorge. Un mec maigre, tatouages sur le torse, me crache à la gueule, se moque : « T’es qu’une lope à foutre. » L’humiliation me chauffe, mon cul vibre. Ils alternent, chacun me bourre le cul ou la bouche, leurs grognements et le bruit de leurs bites remplissent l’air. À un moment, deux mecs me baisent ensemble : le roux dans mon cul, un autre dans ma bouche, ça me rend dingue.
Le foutre devient le truc principal. Trois mecs jouissent dans ma bouche, leurs jus épais m’étouffent, coulent sur mon menton, je galère à avaler. Le brun barbu lâche en premier, son foutre salé gicle, suivi par le chauve et le maigre, leurs jus se mélangent. Deux autres, le colosse tatoué et le roux, lâchent sur mon torse, leur foutre trempe mon débardeur, coule sur mes pecs. Le blond maigre vise ma gueule, son foutre dégouline sur mes joues, mes cheveux, collant partout. Le dernier, un mec en blouson, jouit sur ma cage, son jus brille, il rigole.
Ils me forcent à ramper dans la boue, ma cage frotte le sol, l’humiliation me fait kiffer. Le brun barbu me fait lécher ses bottes, l’odeur de cuir et de terre me remplit la bouche, pendant qu’un autre me bourre, rigolant. Vers 1h, crevé, je m’écroule dans l’herbe, couvert de foutre, ma cage pendante, mon cul en feu. Le colosse tatoué me fout un gode vibrant énorme, et je jouis, mon seul kiff : une explosion dans le cul qui me fait trembler, mes gueulements font marrer les autres.
Ils me laissent là, à bout, l’odeur de foutre partout. Je me traîne à ma caisse, la boue et le foutre collés à moi, mon cul en feu. À la maison, je me douche longtemps, mais l’odeur reste. Lundi, je suis au taf, jeans noirs, chemise grise, baskets, je souris à une collègue qui me demande si j’ai « couru ». Mon secret reste planqué.
Chapitre 7 : Novembre – Sex-Club à Dispo
Novembre, le taf repart à fond, mais j’ai une envie de malade de me lâcher dans un plan hard, où je suis juste un jouet. Sur Recon, je chope une annonce pour une soirée « libre-service » dans un sex-club en banlieue, un spot connu pour ses nuits hardcore. Je checke par message, ça semble clean, et je décide d’y aller. Un vendredi soir, après une session muscu qui me fait des pecs et des bras bien gonflés, je me prépare. Je mets un jeans slim noir, t-shirt gris moulant, baskets noires, ma cage en place, pas de plug, je veux arriver prêt à tout.
J’arrive vers 20h30 dans un vieux bâtiment, une usine reconvertie en club. Un videur, un colosse en cuir, me laisse entrer après avoir checké mon invit’. L’intérieur est sombre, néons rouges, murs noirs avec des chaînes, ça pue la sueur, le lubrifiant, le sexe. La techno cogne fort, les gémissements des autres mecs résonnent. Le videur m’emmène dans une pièce sombre, un sling au centre, les chaînes qui cliquettent. Les murs sont pleins de miroirs, les néons bleus reflètent tout. Une pancarte près du sling : « Lope encagée – À dispo. »
Un mec baraqué en harnais de cuir me dit de me foutre à poil. Je vire mes fringues, plie mon jeans, t-shirt, baskets dans un coin, jusqu’à être nu, ma cage qui brille sous les néons. Il m’attache au sling, mes poignets et chevilles bloqués par des menottes, jambes écartées, mon cul et ma cage à l’air. Il me fout un bandeau noir sur les yeux, je vois que dalle, j’entends tout, je sens tout. « T’es à nous, lope », il murmure, avant de se casser. Je suis suspendu, à poil, vulnérable, le cœur qui tape, excité mais un peu flippé.
Pendant cinq heures, de 21h à 2h, la pièce se remplit de mecs, des ombres sous mon bandeau, leurs voix étouffées par la techno. Le premier, un mec à la voix grave, me défonce direct, sa grosse bite s’enfonce à sec, ses mains sur mes hanches. Je gueule, mon cul s’ouvre, la douleur devient du kiff. Un autre me bourre la bouche, sa bite large tape ma gorge, je tousse mais je tiens. Les mecs se relaient, leurs bites changent de taille, de goût. Un balèze, qui pue le musc, me démonte si fort que le sling grince, ses grognements remplissent la pièce, pendant qu’un maigre me force à le pomper, sa bite fine glisse facile.
L’humiliation arrive par vagues. Un mec, voix rauque, tire sur ma cage, se fout de moi : « T’es qu’un jouet cassé, pas un mec. » Un autre me crache à la gueule, son jet chaud coule sur mes joues, il rigole : « T’es une lope à foutre. » Un groupe de quatre mecs me baisent à la chaîne, leurs bites alternent dans mon cul, pendant qu’un cinquième me fait pomper, sa bite pleine de bave. Un mec me fout un plug énorme, je gueule, pendant qu’un autre me défonce, la double sensation me rend dingue. Un autre me force à bouffer ses aisselles, l’odeur dégueu me prend le nez, pendant qu’un troisième me bourre, rigolant.
Le foutre est partout. Plusieurs mecs jouissent dans ma bouche, leurs jus épais m’étouffent, coulent sur mon menton, je galère à avaler. Un mec, bite large, lâche un foutre salé qui gicle, suivi d’un maigre, son jus amer me fait grimacer. D’autres lâchent sur mes pecs, leur foutre coule sur mes abdos, colle à ma peau. Trois mecs jouissent sur ma gueule, leurs foutres se mélangent, collent à mes cheveux, mes joues, mes lèvres. Un mec vise ma cage, son jus brille, il rigole. Deux mecs lâchent ensemble, un dans ma bouche, un sur mes pecs, leurs jus puent, me prennent le nez.
Entre chaque tour, je reprends mon souffle, trempé de sueur et de foutre, mais le sling me garde offert. Certains me filent de l’eau, leurs doigts glissent sur mes lèvres, mais je reste attaché, une lope à dispo. À un moment, un mec me fout un gode vibrant, je gueule, pendant qu’un autre me défonce. Vers 1h30, un mec, voix grave, m’enfonce un vibro énorme dans le cul, et je jouis, mon seul kiff : une explosion dans le cul qui me fait gueuler, mes spasmes font grincer le sling, les autres rigolent.
À 2h, le videur me détache, vire le bandeau. Mes yeux s’habituent, je vois la pièce pleine de capotes usées, de flaques de lubrifiant, de sueur. Je suis crevé, couvert de foutre, ma cage luisante, mon cul en feu, mon corps marqué par les menottes. Je me traîne aux douches, l’eau rince le bordel, mais l’odeur de foutre reste. Je remets mes jeans, t-shirt, baskets, et je me casse. Lundi, je suis au taf, jeans bleus, chemise blanche, baskets, je souris à une collègue qui me trouve « détendu ». Mon secret reste planqué.
Chapitre 8 : Décembre – À la Botte de Louna et sa Copine
Décembre, le taf est chargé, mais j’ai envie d’un plan qui sort de l’ordinaire. Sur Grindr, je matche avec Louna, une trans de 35 ans, brune, grande, un corps de malade, seins refaits, et une bite qu’elle montre fièrement sur ses photos. Elle kiffe dominer les mecs soumis, surtout ceux en cage, et elle me propose un plan hardcore chez elle avec sa copine, une meuf cis, Sara, qui adore humilier. Louna me dit que je serai leur larbin toute la soirée, à leur service, dominé et rabaissé. Je bloque un samedi soir, me prépare, me fous un plug moyen dans le cul pour être prêt, et enfile un jeans slim noir, t-shirt blanc, baskets blanches.
J’arrive vers 20h dans le loft de Louna, en ville, lumière tamisée, odeur d’encens et de cuir. Louna m’ouvre, en lingerie noire, talons hauts, ses cheveux bruns tombent sur ses épaules, ses seins pointent sous la dentelle, sa bite visible sous sa culotte. Sara est là, une blonde de 30 ans, en robe moulante rouge, talons, un sourire de sadique. « Salut, lope », dit Louna, son ton direct. « À poil, tout de suite », ajoute Sara, en me matant comme un bout de viande. Je vire mes fringues, plie mon jeans, t-shirt, baskets dans un coin, jusqu’à être nu, ma cage qui brille sous les néons. Elles rigolent, Louna touche ma cage : « Putain, t’es vraiment un clébard encagé. »
Elles me foutent à genoux sur le parquet, m’ordonnent de servir. Pendant cinq heures, de 20h à 1h, je suis leur jouet, humilié et dominé non-stop. Louna me fait ramper pour apporter des verres de vin, Sara me claque le cul si je traîne : « Bouge, salope, t’es là pour obéir. » Je sers des amuse-gueules, à quatre pattes, pendant qu’elles se marrent sur le canapé, me traitant de « larbin pathétique ». Sara me crache à la gueule, son jet coule sur mes joues : « T’es même pas un mec, juste un trou. » Louna tire sur ma cage, rigole : « Regarde ce clébard, il sert à rien d’autre. » L’humiliation me chauffe, mon cul palpite autour du plug.
Louna me fait lécher ses talons, l’odeur de cuir me prend le nez, pendant que Sara me fouette le cul avec une cravache, chaque coup me fait gueuler. « T’es notre pute, Néron », dit Louna, en me forçant à bouffer sa bite, raide, longue, musquée. Je la gobe, ma langue glisse dessus, ses mains dans mes cheveux me forcent à fond, le goût salé me remplit la bouche. Sara, à côté, me force à lécher sa chatte à travers sa culotte, son goût musqué me prend, pendant qu’elle me traite de « lope minable ». Je passe de l’une à l’autre, à genoux, leur servant de vide-couilles et de jouet.
Elles me foutent sur une table basse, à quatre pattes, et virent mon plug, me faisant grimacer. Louna me défonce direct, sa bite longue s’enfonce à fond, bien lubrifiée, ses coups profonds me font gueuler. Sara me fout un gode-ceinture dans la bouche, ses mains dans mes cheveux, elle rigole : « Suce, salope, t’es faite pour ça. » Pendant deux heures, elles me baisent à tour de rôle, alternant cul et bouche. Louna me démonte, ses seins frôlent mon dos, pendant que Sara me force à bouffer son cul, son odeur me prend. Elles me crachent dessus, me claquent, m’insultent : « T’es qu’une pute encagée », « Un trou à foutre », « Une lope à nous. »
À un moment, elles m’attachent les poignets avec des cordes, me foutent sur le canapé, jambes écartées. Louna me baise, sa bite tape juste où il faut, pendant que Sara me pince les tétons, me faisant hurler. Elles me forcent à les servir encore, à quatre pattes, en leur apportant des jouets – plugs, godes, fouets. Sara m’enfonce un plug large, je gueule, pendant que Louna me bourre la bouche, sa bite pleine de lubrifiant. Elles rigolent de ma cage, Sara la tapote : « T’es fini, Néron, juste un jouet cassé. »
Le foutre arrive vers la fin. Louna jouit dans ma bouche, son jus épais m’étouffe, coule sur mon menton, je galère à avaler. Elle lâche une deuxième fois sur mes pecs, son foutre chaud coule sur mes abdos, colle à ma peau, ça pue. Sara, excitée, gicle sur ma gueule, son jus dégouline sur mes joues, mes cheveux, collant partout. Elles me forcent à lécher leur foutre sur le sol, l’odeur salée me prend le nez. Vers 1h, Louna m’enfonce un vibro énorme dans le cul, et je jouis, mon seul kiff : une explosion dans le cul qui me fait trembler, mes gueulements les font marrer : « Bonne lope, Néron. »
Je suis crevé, couvert de foutre, mon cul en feu, ma cage luisante, mon corps marqué par les cordes et les coups. Elles me laissent me doucher, l’eau rince le bordel, mais l’odeur de foutre reste. Je remets mes jeans, t-shirt, baskets, et je me casse, leur rire encore dans les oreilles. Lundi, je suis au taf, jeans noirs, chemise blanche, baskets, je souris à une collègue qui me trouve « en forme ». Mon secret reste planqué.
Chapitre 9 : Décembre – Week-end Dogtraining
Pour finir l’année, j’ai envie de me faire défoncer l’esprit, de plonger à fond dans ma condition de lope. Sur Recon, je chope une annonce pour un week-end de dogtraining chez un Master et sa lope, dans une baraque paumée à une heure de la ville. Je checke par message, ça semble carré, je pose un vendredi. Je me prépare, je me fous un plug large dans le cul, sa pression me chauffe direct, et je mets un jeans slim noir, chemise grise, baskets noires.
Vendredi soir : Le dressage commence
J’arrive vers 18h30 dans une maison en pierre, entourée de bois, bien isolée. Le Master, un mec de 45 ans, baraqué, cheveux courts, en harnais de cuir et pantalon moulant, m’ouvre, son regard me met direct à poil. Sa lope, un mec de 30 ans, maigre, imberbe, avec un collier de chien et un plug à queue de chiot, rampe à ses pieds. « Bienvenue, clébard », dit le Master, la voix grave. Il me fait entrer dans une pièce BDSM : murs gris, chaînes au plafond, un chenil en métal, une table pleine de jouets – plugs, godes, fouets, cordes. Ça pue le cuir, la sueur.
Il me dit de me foutre à poil. Je vire mes fringues, plie mon jeans, chemise, baskets, jusqu’à être nu, ma cage qui brille. Le Master me mate, la lope aboie doucement. « À quatre pattes, clébard », il grogne. Je tombe à quatre pattes, le sol froid râpe mes genoux. Il m’attache un collier de chien, avec une laisse rouge. La lope remue son plug, mate le Master. « T’es notre nouveau chien, Néron. T’obéis, point barre », il dit, tirant la laisse pour me faire ramper. L’humiliation me chauffe, mon cul palpite, ma cage me serre.
Pendant trois heures, de 19h à 22h, il me dresse, bien méthodique. Il me fait ramper en cercle, tire la laisse si je traîne. « Tête baissée, clébard ! » il grogne, me claquant le cul, ça pique. La lope rampe à côté, plus douée, elle glisse comme une pro. Il me fait aboyer, mes « wouf » résonnent, c’est con mais ça m’excite. La lope aboie aussi, plus aigu, le Master rigole : « Néron, t’es nul à côté de mon chiot. » L’humiliation me fait kiffer, mon cul vibre.
Il m’emmène devant un miroir, je me vois : à quatre pattes, collier, cage pendante, un clébard minable. « T’es quoi, Néron ? » il demande. « Un clébard, Maître », je réponds, la voix tremblante. Il me fait lécher ses bottes, l’odeur de cuir et de cirage me prend le nez, la texture râpe ma langue. La lope lèche l’autre botte, nos langues se frôlent, c’est humiliant mais chaud. Il nous fait nous « saluer » comme des chiens, je renifle le cul de la lope, son odeur musquée me prend, pendant qu’il renifle le mien.
Vers 21h, il nous fout dans le chenil, une cage en métal minuscule. « Dedans, clébards », il ordonne. Je rampe dedans, la lope me suit, nos corps musclés serrés. Il ferme, le verrou claque. « Vous êtes mes chiens, vous partagez tout », il dit, posant une gamelle d’eau. On lape, nos langues se touchent, l’eau goutte sur nos mentons. L’humiliation est totale, mon cul palpite. La lope gémit, excité.
Vers 22h, il nous sort. Il vire mon plug, me fait gueuler, et me défonce sur un matelas, sa grosse bite s’enfonce à fond, ses mains sur mes hanches. Je gueule, mon cul s’ouvre, ça kiffe. La lope suce ma cage, sa bouche chaude sur le métal, c’est frustrant mais chaud. Le Master alterne, lent puis rapide, ses grognements remplissent la pièce. La lope gémit, se branle, son plug remue. Le Master jouit dans mon cul, son foutre chaud me remplit, je kiffe. La lope jouit par terre, son foutre fait une flaque, le Master me force à lécher, l’odeur salée me prend le nez. « Bonne nuit, clébards », il dit, nous enfermant dans le chenil, nos corps collés, l’odeur de foutre et de sueur partout.
Samedi : Dressage hardcore
Samedi, 7h, le Master ouvre la cage. « Debout, clébards ! » il grogne, un fouet en main. On rampe dehors, crevés, nos corps marqués par la cage. Il nous emmène dans la cuisine, deux gamelles avec une bouillie dégueu – « bouffe pour chiens », il dit. « Mangez », il ordonne, nous matant, fouet sur la table. À quatre pattes, sans mains, je plonge ma gueule dans la gamelle, la bouillie fade colle à mon menton. La lope lape à fond, ses yeux brillent. Le Master me fouette le cul, ça pique : « Plus vite, Néron, t’es nul ! » Je m’exécute, l’humiliation me chauffe.
Après, il nous emmène dans le jardin, terrain clôturé, herbe humide, air froid. Il nous fout des plugs à queue de chien, le mien plus gros, je gueule en le prenant. La lope remue sa queue, le Master rigole : « Bon chiot. » Pendant trois heures, de 8h à 11h, il nous dresse. On rampe en cercle, on aboie, on roule dans l’herbe. Si je foire, il tire la laisse ou me claque le cul, ça brûle. La lope aboie comme une pro, remue sa queue, le Master kiffe. « Néron, t’es un clébard minable », il dit, me forçant à lécher les pieds de la lope, l’odeur de sueur et de terre me prend.
Vers 11h, il nous fout dans une « aire de jeu » : pneus, cordes, planches. « Passez, clébards ! » il ordonne, cravache en main. Je rampe dans un pneu, saute une planche, la queue du plug remue, ça tape dans mon cul. La lope est plus rapide, le Master me charrie : « T’es trop gros, Néron, t’es nul. » L’humiliation me fait kiffer, ma cage me fait mal. À la fin, on boit dans une gamelle, nos langues se mélangent, l’odeur de sueur partout.
L’après-midi, de 14h à 17h, ça devient sexuel. Dans la pièce BDSM, il nous attache à quatre pattes, cordes aux poignets et chevilles. « Vous êtes mes chiens en chaleur », il dit. Il vire nos plugs, me fait gueuler, et nous baise à tour de rôle, sa grosse bite glisse entre nous. Quand il me défonce, la lope lèche mes couilles, sa langue sur ma cage me rend dingue. Quand il baise la lope, je bouffe son cul, son odeur musquée me prend. Pendant trois heures, il alterne, nous insulte : « Sales clébards, vous êtes bons qu’à ça. »
Il nous force à « s’accoupler » : la lope me grimpe, frotte sa bite contre mon cul, on mime sous ses ordres, il rigole : « Néron, t’es même pas un mâle. » L’humiliation me fait trembler. Il jouit deux fois, une dans mon cul, une dans celui de la lope, son foutre chaud nous remplit. La lope jouit par terre, je lèche son foutre, l’odeur salée me prend. Le Master me crache à la gueule : « T’es qu’un clébard à foutre. »
Le soir, vers 20h, il nous enferme dans le chenil, nus, serrés. « Dormez, clébards, demain faut être parfaits », il dit. Dans le noir, la lope murmure : « T’es un bon chien, Néron. » Je souris, crevé, mon cul en feu, l’odeur de foutre collée.
Dimanche : Soumission totale
Dimanche, 6h, le Master nous sort, fouet en main. « Dernier jour, clébards, soyez bons. » Dans la pièce BDSM, il nous fait ramper, aboyer, lécher ses bottes, mais il est ultra chiant, chaque erreur prend une punition. « Néron, t’es trop lent », il grogne, me fouettant le cul, ça brûle. La lope aboie parfaitement, remue sa queue, le Master la caresse : « Bon chiot. » L’humiliation me chauffe.
Il nous attache sur une table, à quatre pattes, cordes aux poignets et chevilles, culs à l’air. Il nous dresse à obéir direct : on suce ses doigts, on lèche ses aisselles, l’odeur dégueu me prend. Il nous baise, sa grosse bite alterne, ses coups me font gueuler. Quand il baise la lope, je bouffe son cul ; quand il me baise, la lope lèche mes couilles. Il insulte : « Sales clébards, c’est votre place. »
Vers 10h, il pousse l’humiliation. On doit « s’exposer » : j’écarte mon cul, la lope aussi, nos trous offerts. Il crache sur ma gueule, se moque : « T’es pathétique, Néron. » La lope, chaude, gémit, le Master lui dit de se branler sur ma gueule. Son foutre gicle sur mes joues, coule, je lèche ce qui tombe, l’odeur salée me prend.
L’après-midi, de 14h à 16h, il nous emmène dans le jardin pour une « chasse ». Il planque des jouets – plugs, balles, os en caoutchouc – dans l’herbe, on doit ramper, aboyer, les ramener. Je chope un plug, le rapporte dans ma bouche, le goût de silicone colle. Le Master me charrie : « T’es nul, mais t’essaies. » La lope chope trois jouets, le Master la caresse, me force à mater, ma cage me tue.
Vers 16h, il nous baise une dernière fois, attachés sur la table. Sa bite alterne, ses grognements remplissent la pièce. Il jouit dans ma bouche, son foutre épais m’étouffe, coule sur mon menton. La lope jouit sur mes pecs, son jus colle, je lèche sur ordre, l’odeur salée me prend. Il me fout un vibro énorme dans le cul, je jouis, une explosion qui me fait gueuler, mon corps tremble, la table vibre. « Pas mal, clébard », il dit, détachant nos colliers.
Je suis crevé, couvert de foutre, mon cul en feu, ma cage luisante. Je me douche, l’eau rince le bordel, mais l’odeur de foutre reste. Je remets mes jeans, chemise, baskets, et je me casse. Lundi, je suis au taf, jeans noirs, chemise blanche, baskets, je souris à une collègue qui me demande si j’ai « bien profité ». Mon secret reste planqué.
Épilogue : Ma Double Vie, Mon Kiff
Cette année, j’ai plongé tête la première dans le sexe hardcore, le foutre, l’humiliation, le dogtraining, et j’en redemande. Le jour, je suis Néron, le cadre cool, jeans slim, sourire de tombeur, celui qui fait craquer les nanas au taf. La nuit, je suis une lope encagée, un clébard qui kiffe se faire défoncer le cul, noyé dans le foutre, rabaissé jusqu’à en trembler. Ma cage, c’est ma liberté, mon secret, mon moteur. Entre mes sessions de course, muscu, natation, et mes plans trash dans des chiottes, forêts, saunas, ou chez des dominants, je vis à fond. Personne au bureau ne capte, et putain, c’est ça qui me fait kiffer. 2025, je remets ça, encore plus crade, encore plus loin. À suivre, les gars !
Neron_23
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