Ça a commencé un soir d’été, dans la chaleur étouffante du quartier. La cité vibrait encore du vacarme de la journée : scooters qui craquent, basses qui cognent depuis les apparts, gamins qui hurlent sous les fenêtres.
J’étais là, en bas des tours, assis sur un muret, une clope au bec. Je l’ai vu arriver de loin. Slimane. Tout le monde l’appelait Slim, le genre de gars qui fait tourner les têtes — jean serré, Nike blanches bien propres, regard noir perçant et barbe bien taillée. Il avait ce truc. Un mélange de tension, de défi, et d’assurance.
Il m’a regardé en coin, sans sourire, puis a craché par terre.
— T’as une clope ?
— T’en fumes pas d’habitude.
Il a haussé les épaules.
— Et alors ?
Je lui tends la clope, nos doigts se frôlent. C’est pas grand-chose, mais j’le sens, y’a une vibe. Un truc pas dit, mais lourd. Un silence épais. Il s’allume, tire une latte, me fixe.
— T’as un plan ce soir ?
— Non.
— Viens, on monte chez moi.
Aucune hésitation dans sa voix. J’le suis.
L’ascenseur est en panne, bien sûr. On grimpe les étages, quatre à quatre. J’le mate du coin de l’œil. Ses cuisses sous le jean, son dos large, sa nuque rasée. Il sent la sueur et le déo bon marché, un mélange qui me fait tourner la tête.
Arrivés chez lui, il ferme la porte à clé. Se retourne vers moi. Le silence pèse.
— Ça fait longtemps que je t’vois me mater.
Je dis rien. Il s’approche.
— Tu crois que j’ai pas capté ? Hein ?
Il est à quelques centimètres. J’peux sentir son souffle chaud.
— Tu veux goûter à l’haram, c’est ça ?
Il me plaque contre le mur, sa main calle ma gorge sans serrer trop fort — juste assez pour me faire sentir qu’il prend le contrôle.
— T’as envie depuis combien de temps, dis-moi ?
Il parle tout bas, grave, avec ce ton qui te fout les frissons.
Je souffle, incapable de répondre. Il le sait. Il me jauge, puis ses doigts descendent, défaisent ma ceinture d’un geste sec.
— Bouge pas.
Je reste là, les mains contre le mur, le cœur qui cogne dans ma poitrine. Il baisse mon jean, brutal, me laisse à moitié à poil. Son regard glisse, lourd, possessif.
— T’as pas idée à quel point j’me suis retenu.
Il se baisse, tire sur mon boxer, et sans prévenir, sa bouche se pose contre moi. Chaude. Féroce. Pas de tendresse, juste de la faim. Il me pompe comme un mec affamé, regard planté dans le mien pendant qu’il descend de plus en plus profond. Ça claque, ça suce, ça bave. Rien de clean. Rien de doux. C’est cru, c’est sale, c’est réel.
Je gémis, mords ma lèvre, agrippe ses cheveux.
— T’aimes ça hein ?
Il se redresse, essuie sa bouche du revers de la main.
— Mets-toi à genoux.
J’obéis. Là, au milieu du salon, sur le carrelage tiède. Je le vois sortir sa queue. Grosse, lourde, veineuse. Il la branle doucement, la pointe brillante. Il me la met sous le nez.
— Ouvre.
Je le prends en bouche, doucement au début, puis il me chope la tête et commence à me pilonner la gorge.
— Allez, fais pas ta chochotte… T’aimes ça, hein ? T’aimes sucer un rebeu de cité comme un petit chien.
Je suffoque, les yeux qui pleurent, mais je reste là, à genoux, docile. C’est sale. C’est dur. Et putain, c’est bon. Il va jusqu’au fond, me tient la tête comme s’il baisait une gorge au lieu d’un trou.
Il grogne, la sueur perle sur son front.
— Tourne-toi. J’vais te démonter.
Je me retourne, le souffle court, les jambes tremblantes. J’suis à quatre pattes sur son tapis élimé, le jean autour des chevilles, le t-shirt remonté jusqu’au dos. Exposé. Offert. Mon cœur bat à cent à l’heure, mais j’ai jamais été aussi dur de ma vie.
J’entends Slim cracher dans sa main.
— T’inquiète, j’vais te faire ça comme il faut.
Il écarte mes fesses avec ses mains calleuses, ses doigts rugueux qui glissent le long de ma raie. Il crache à nouveau, cette fois direct sur mon trou. C’est chaud, gluant, ça coule lentement pendant qu’il étale ça du bout du doigt.
— Putain, t’es tendu. Ça va pas durer.
Et sans prévenir, il y va. D’un coup. Sec. Brut. Sa queue me déchire l’entrée, je crie, mais il me maintient fermement les hanches.
— Ferme-la. Tu voulais du vrai, hein ? Ben t’y es.
Il commence à me pilonner comme un chien en rut. Les claques de ses cuisses contre mes fesses résonnent dans la pièce. Son souffle est rauque, ses doigts s’enfoncent dans ma chair. Il me tire les cheveux en arrière.
— Regarde-toi, à gémir comme une petite salope. Tu crois que ça se voit pas, que t’es qu’un soumis qui kiffe ça ? Hein ? Parle !
— Oui… j’aime ça…
— Quoi ?
— J’aime quand tu me baises…
— C’est ça, ouais… regarde comment tu bandes en plus, sale chien.
Il me claque violemment les fesses, ça brûle, mais ça me fait vibrer de l’intérieur. Puis il se penche, me mord l’épaule en grognant, sans jamais ralentir. Il me démonte, me ravage, jusqu’à ce que je sente sa queue gonfler encore plus.
— J’vais jouir là, tu veux que je gicle où ?
— Dedans… j’veux sentir ton foutre couler…
Il pousse un râle animal et se lâche en moi, profond. Des coups de reins puissants pendant qu’il balance tout, jusqu’à la dernière goutte.
Il reste là, quelques secondes, planté jusqu’à la garde, haletant contre mon dos. Puis il se retire lentement. Un filet de foutre chaud s’écoule le long de mes cuisses.
— Va te nettoyer. T’as une gueule à en redemander…
Je reste là un instant, le souffle coupé, les jambes flageolantes. Son foutre coule encore de moi, chaud, épais, mais je bouge pas. Pas un geste vers la salle de bain. Au lieu de ça, je me redresse doucement, lentement, comme un prédateur qui se relève.
Slim se rhabille à moitié, essuie sa queue avec son t-shirt, l’air satisfait, un sourire narquois aux lèvres.
— Alors, c’était comment, hein ? T’en redemandes, je parie...
Il tourne à peine la tête que je l’attrape violemment par le bras, le plaque contre le mur avec toute ma rage contenue. Il a même pas le temps de réagir que je lui fais une clé de bras sèche et le retourne d’un coup. Son torse s’écrase contre le béton. Je le tiens en place avec l’avant-bras, le souffle court, l’œil noir.
— C’est toi qui va en redemander maintenant.
Il tente de bouger, surpris, mais je serre un peu plus. Il grogne.
— Hé… t’es sérieux là ?
— Tu crois que t’étais le seul à avoir faim ?
Et là, sans attendre, je baisse à moitié son jogging, dévoilant son cul ferme, musclé, bien dessiné sous son boxer. Il reste figé, entre l’envie de résister et la curiosité brûlante.
— T’as jamais goûté à ça, hein ? Le plaisir de te faire baiser à ton tour.
Il tourne un peu la tête, souffle plus fort. Pas un mot. Juste un gémissement grave, sourd, presque un défi. Je prends ça pour un "vas-y".
Je lui arrache presque son boxer, expose sa peau mate, tendue. Il bande encore, le mec. Son foutre dégouline toujours entre mes cuisses, mais ça m’excite encore plus. J’le tiens par les hanches, colle mon bassin contre son cul.
— Tu vas comprendre ce que c’est, se faire dominer.
Je crache dans ma main, étale bien, lui crache aussi direct entre les fesses. Il se cambre un peu, son corps tendu, prêt. Son cul bouge sous mes mains comme s’il le réclamait. Je frotte ma queue contre son entrée, glisse lentement, juste pour le chauffer.
— Respire… j’vais y aller doucement. Au début.
Et je commence à le prendre. D’abord lentement, juste la tête, pour qu’il sente. Il grogne, mord son bras pour pas gémir trop fort. Puis je l’enfonce plus. Il se crispe, mais il dit rien. Il encaisse. Il kiffe.
Je le tiens fermement, le pilonne peu à peu, chaque coup plus profond, plus brutal.
— Alors ? Hein ? Tu pensais pas aimer ça, hein ?
Il grogne, pousse son cul en arrière.
— Ferme-la et baise-moi.
Je le tiens fermement, mes reins cognant contre ses fesses. Ses gémissements deviennent rauques, plus profonds. Et c’est là que je le vois.
Un filet blanc qui coule lentement de son trou, visqueux, frais. Pas moi. C’est pas mon foutre. Je me fige, les doigts plantés dans ses hanches.
— C’est quoi ça, Slim ?
Il reste silencieux, la tête baissée, haletant. Je me penche, attrape ses cheveux, le tire légèrement en arrière.
— Réponds-moi. C’est qui qui t’a rempli comme ça avant que je monte ?
Il sourit, ce bâtard. Un rictus sur son visage en sueur.
— Qu’est-ce que t’en as à foutre ? T’étais pas censé poser de questions.
Je le plaque plus fort contre le mur, ma queue toujours en lui, plus dur que jamais.
— Putain… t’es qu’un chien en chaleur… t’es descendu m’allumer alors que t’étais déjà plein ? C’est pour ça que t’étais si chaud, hein ?
Il gémit, presque fier.
— J’te l’ai dit… j’me suis retenu longtemps. Mais j’étais pas le seul à m’en occuper.
Je le claque violemment, le foutre de l’autre mec éclabousse mes cuisses.
— T’as besoin de plusieurs queues pour calmer ta soif, c’est ça ? Petit rebeu salope...
Il gémit plus fort.
— Continue… défonce-moi... J’m’en fous d’où ça vient, j’veux que ça dégouline encore...
Et là, j’me transforme. Plus de pitié. Je le prends comme jamais, mon bassin tape, le bruit de nos corps qui s’éclatent résonne dans l’appart. Le foutre dégouline de partout, ça coule le long de ses cuisses, le mélange glisse sur mes couilles à chaque coup de reins.
Je le soulève presque, le baisant à pleine force.
— Tu vas goûter à un vrai dominant, pas à tes plans minables d’avant. Je vais t’étirer jusqu’à ce que tu puisses plus t’asseoir.
Il crie, la voix cassée, le souffle coupé. Son cul tremble, prêt à éclater. Et moi, je sens que j’vais venir.
— Tu veux que je te remplisse par-dessus, hein ? Tu veux que mon foutre se mélange à celui de ton autre mec ?
— Oui... fais-le… j’veux que ça déborde de moi...
Et j’explose en lui, en rugissant, le tenant fort, profond. Mon foutre se mélange à l’autre, ça déborde, ça coule le long de ses jambes, jusqu’à tremper le sol.
Je reste là, collé contre lui, haletant, toujours dur, encore prêt à remettre ça.
Il est là, effondré contre le mur, le cul encore ouvert, dégoulinant de foutre. Il respire fort, les jambes tremblantes, la tête posée contre son bras. J’l’ai retourné, vidé, marqué. Mais c’est pas fini.
Je sors mon tel.
— Bouge pas.
Il lève les yeux, encore à moitié dans le brouillard du plaisir, puis il entend le clic de l’appareil photo. Une fois. Deux fois. Flash. Gros plan sur son cul dégoulinant. Sur sa queue encore dure. Sur son regard soumis.
— Hé… tu fais quoi là ?
Je souris, glacial.
— Souvenir. Dossier. Archive perso.
Il tente de se redresser, un peu affolé.
— T’es pas sérieux…
Je le repousse d’une main, le force à se remettre à genoux.
— Regarde-moi bien. À partir de maintenant, t’es à moi. Ma chose. Mon jouet. T’as voulu jouer au mec chaud, au dominant de quartier ? Bah maintenant t’es dans mon répertoire avec tous les autres chiens en rut que j’ai brisés.
Il secoue la tête, panique qui monte.
— Non… efface ça…
Je m’approche, lui murmure à l’oreille :
— Si tu refuses de m’obéir… si tu me fais chier… j’les balance. À tes potes, à ton frère, à la cité entière. Tu crois qu’ils réagiront comment en te voyant sucer, te faire ouvrir, plein de foutre ? Hein ?
Il reste figé, la gorge nouée. Je vois la peur dans ses yeux, mêlée à autre chose. Une honte sale… et un frisson d’excitation.
— Alors maintenant, tu vas faire exactement ce que je dis. Quand je dis. Comme je veux. Et bientôt, je vais commencer à te faire tourner. J’ai des mecs chauds qui attendent qu’un petit rebeu comme toi leur serve de vide-couilles. Et crois-moi… tu vas adorer.
Il reste silencieux. Puis, lentement, il baisse les yeux… et hoche la tête.
Soumis.
Cassé.
À moi.
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Maxou
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