Le chantage qui m’a révélé

Chapitre-1

Je vais vous révéler les événements qui m’ont amené à découvrir une partie de moi dont je n’avais jamais imaginé l’existence.
Lorsque j’avais 19 ans, je venais d’obtenir mon permis de conduire, et étant un grand amateur des voitures puissantes j’ai fait un crédit bancaire au prix fort. Rien n’aurait pu m’empêcher d’acheter la voiture de mes rêves. Le problème est qu’à cette époque je venais d’obtenir mon bac et je n’avais pas de travail. J’ai donc dû me bouger pour accéder à un emploi rémunéré pour payer mes dettes. Malheureusement, sans vrai diplôme ni expérience, aucune entreprise n’a voulu de moi. Jusqu’au jour où j’ai tenté ma chance auprès d’une entreprise de btp. Je reçois un appel du patron qui me propose un rendez vous dans les locaux. Je m’y rends rempli de détermination. C’est ma chance me disais-je.
Arrivé sur place, je suis reçu par le patron. Un homme peu aimable qui m’invite à le suivre dans son bureau. Après un échange classique d’un entretien d’embauche, il me déclare que mon profil sans aucune expérience n’est pas très intéressant pour sa société. Sentant un nouveau refus se profiler je commence à m’effondrer et lui explique que je dois absolument accéder à un emploi et que je suis très motivé et prêt à tout. Sur ces mots, il me regarde avec attention et un sourire se dessine sur ses lèvres. Puis il intervient :
-Je comprends que tu sois en difficulté mais j’ai une entreprise à faire tourner. Ton profil n’est pas le plus intéressant et il me faudrait d’autres garanties pour te donner ta chance, que tu me donnes un peu plus.
-vous pensez à quoi?
-je pense à des extras que tu pourrais faire.
-pas de problème pour des extras, je veux vous montrer que je suis ultra motivé
-très bien mais ce ne sont pas des extra classiques. Je parle de faveurs de nature sexuelle.
Sur ces mots, mon visage devient immédiatement blême, ne croyant pas ce que j’avais entendu.
-de nature sexuelle? Vous pensez à quoi?
-quelle est ton orientation sexuelle?
-heu je suis hétérosexuel et j’ai une copine
-d’accord, tu n’as jamais rien fait avec un homme?
-heu non… rien
-même pas une branlette avec tes cousins?
-en fait peut être une fois avec un camarade de classe. On s’est branlé ensemble et il m’a demandé s’il pouvait me branler. J’ai pas eu le temps de répondre et il m’a masturbé.
-et toi tu l’as branle aussi?
Je n’en revenais pas de me retrouver à parler de choses aussi intimes dans un cadre professionnel.
-oui monsieur
-d’accord, très bien ça. Ce que je te propose c’est d’explorer de manière beaucoup plus approfondie le sexe entre hommes. Qu’en penses-tu?
-mais je ne suis pas gay monsieur, je n’ai pas envie de sexe avec un homme
-tout n’est pas question d’envie tu sais. Tu peux le faire comme un travail. Je crois que tes options sont limitées n’n’est-ce pas?
-oui il faut que j’ai un salaire…
-voila la proposition : je vais te tester dès aujourd’hui pour voir ce que tu vaux et une fois terminé, si c’est concluant, je te ferai signer un contrat. Qu’en dis-tu?
-vous voulez me tester sur un chantier où vous voulez qu’on fasse l’amour?
-ahaha qu’on fasse l’amour… tout de suite les grands mots, non on ne va pas faire l’amour, tu vas me sucer, je vais te baiser et tu vas me vider les couilles. Y’a pas d’amour là-dedans, tu me prends pour un pd ou quoi? Je vais te demander de te mettre à poil pour commencer et pour confirmer que tu es d’accord avec ce programme.
J’étais totalement abasourdie. Il me propose de le laisser me baiser alors que je suis hétérosexuel et tout ça pour peut-être me faire signer un contrat de travail!
Ça fuse dans ma tête et j’oscille entre colère et dégoût. Je tente de me calmer et de reprendre mon calme. Ce salop l’a bien compris, je n’ai pas vraiment le choix, je dois absolument ramener de l’argent et c’est la seule proposition que j’ai. Si j’accepte je pense qu’il ne me baisera qu’une seule fois. Et puis ça restera entre nous donc j’effacerai ce souvenir de ma mémoire.
-alors?!! Tu te fous a poil ou tu te casses?
Je décide d’abdiquer et me relève de ma chaise et commence à me déshabiller.
-en voilà une bonne décision. Tu m’as l’air intelligent.
Me voilà en boxer, ma queue est toute flétrie et sans vie. Je me retrouve en pleine hésitation. Il me regarde avec un sourire lubrique qui me dégoûte au plus au point.
-aller vire-moi ton boxer et montre-moi que tu es prêt à faire ton taf.
Faire mon taf?!! Je suis devenu sa pute, quelle horreur mais je n’ai pas le choix. Je mets mon cerveau en mode off et j’accède à sa demande et je retire mon boxer. Je me retrouve nu devant un homme qui me scrute avec attention et que je vais devoir satisfaire.
-hum c’est joli ce que je vois, retourne-toi et montre-moi ton cul.
Je m’exécute.
-quel joli cul. Je vais bien m’amuser avec toi.
Il se lève de sa chaise et s’approche de moi. Il pose sa main sur mes fesses et les caresses. J’ai un mouvement de recul mais il m’ordonne de me laisser faire.
-écarte tes fesses je veux voir ta petite rondelle, penche-toi en avant et écarte bien
Je m’exécute et entend les compliments lubriques du patron.
-bon on va commencer, tu vas te mettre à mes genoux et commencer le travail.
Me voilà à genou devant lui tête baissée et il commence à se déshabiller. Il retire son pantalon laissant apparaître des jambes poilues et un slip bien rempli.
-prêt à rencontrer ma queue?
En l’absence de réponse de ma part, il me reprend.
-alors? Je t’ai posé une question! Pour t’excuser de ce manque de respect tu vas t’excuser auprès de ma queue et tu vas l’embrasser, c’est compris?
-oui monsieur
Impressionné par sa fermeté je décide de m’exécuter immédiatement et m’approche de son slip. Je me retrouve presque collé à son slip et j’y approche mes lèvres et pose un baiser timide. Je remarque immédiatement l’odeur qui émane de sa queue. Ça sent l’homme, et je n’ai pas l’habitude de ce type d’odeur forte et musquée. Je remarque qu’il ne bande pas même si je sens un début de rigidité .
Il profite de cette proximité pour baisser son slip et me retrouve avec sa queue fouettant mon nez. J’ai un mouvement de recul et observe la taille impressionnante de sa queue au repos.
-voilà je te présente ta nouvelle meilleure copine. Tu la trouves comment? Elle est à ton goût?
-elle est grosse
-Ahaha oui elle va te donner beaucoup de plaisir! Allez met la dans ta bouche.
J’étais vraiment impressionné par cette queue et me surpris à la trouver jolie. Mais de là à avoir envie de la prendre en bouche, j’en étais très loin.
-dépêche-toi j’ai plein d’autres choses à faire. Gobe vite ma queue!
Face à son ton autoritaire, je ne me suis pas posé de question et j’ai obéis. J’ai timidement léché le prépuce légèrement humide. Un goût âcre m’envahît la bouche. J’ai continué en rentrant petit à petit ce sexe pas encore en érection dans ma bouche. Puis j’y ai exercé instinctivement un mouvement de va-et-vient qui eu un effet immédiat. Je sentais sa queue durcir de plus en plus et gagner en taille également.
-tu te débrouilles très bien dis donc! J’étais sûr que tu serais une bonne bouche à bite.
Mon éducation très polie m’a incité par réflexe à répondre un humiliant merci à son compliment. Je viens de dire merci à un mec qui me complimente sur ma façon de lui sucer la bite et qui me traite de pute. Je préfère ne pas approfondir cette humiliante pensée et poursuit mon travail sur cette queue.
Je m’applique du mieux que je peux pour le satisfaire au maximum et qu’il jouisse vite. Il semble content en poussant des gémissements.
-tu te débrouilles très bien dis donc. Tu es sur de n’avoir jamais sucé de bite avant? Je parie qu’avec ton pote tu n’as pas fait qu’une branlette mutuelle et que tu as fait ta pute avec lui n’est-ce pas?
Surpris par sa question dont la réponse est négative, me prend l’idée d’entrer dans son jeu pour l’exciter au maximum et le faire jouir.
-oui c’est vrai je l’ai sucé
-j’en étais sûr! Et il t’a baisé aussi?
-oui il m’a baisé a fond.
-sans capote?
-oui
-il t’a engrossé?
-oui
-hummm tu es une belle salope dis donc.
Il poussait de plus en plus de gémissement et je sentais de petits spasmes dans son corps. L’impression d’une éjaculation imminente me rassurait et me confortait dans l’idée de rentrer dans son jeu en répondant ce qu’il voulait entendre.
Mais ma stratégie s’est retournée contre moi à mon plus grand désarroi.
-puisque tu t’es déjà fait baiser et sans capote en plus, je n’ai plus de scrupule à te le faire aujourd’hui. Aller retourne-toi que je vérifie ton trou.
Me voilà pris à mon propre jeu. Je lui ai donné carte blanche pour m’enculer. Ce n’est pas possible! Je ne suis pas gay. Je n’ai pas envie de me soumettre à un homme en lui offrant mon cul. Mais est-ce que j’ai le choix…
Me voilà à 4 pattes le cul relevé avec cet homme qui s’approche de moi. Il pose une main sur une fesse et se rapproche de ma fente. Il y passe un doigt qui effleure ma rondelle. Je sens des frissons me parcourir.
Il glisse son doigt dans sa bouche pour l’humidifier et vient le poser sur mon trou. Il débute une intrusion lente et délicate.
-c’est bien serré mon beau, tu vas sentir à fond ma grosse queue.
Cette intrusion non désirée n’était pas des plus agréables. Je sentais la progression se faire dans mes entrailles et je ne réagissais pas. La sensation n’était pas douloureuse mais particulièrement intrusive. Une fois son doigt rentré intégralement il s’y figea puis ausculta l’intérieur de mon rectum. Il imprima un mouvement de va-et-vient puis rajouta un second doigt qui fut cette fois plus douloureux.
Il continua à me pénétrer avec ses deux doigts. La douleur a commencé à se réduire et je fus soudainement surpris par une étrange sensation. Une impression douloureuse qui laissait la place à un désagrément puis à ce qui ressemblait à un début de plaisir. J’ai constaté que mon sexe commençait à se rigidifier. Le patron le remarqua lui aussi et a tenu des propos dégradants.
-et ben, mais tu bandes ma petite cochonne. Tu aimes te faire fourrer! Tu vas voir avec ma queue tu vas couiner tout ton plaisir de pd qui raffole de grosses bites. On va passer à l’étape suivante, je vais te faire un bébé.
-non s’il vous plaît!
-comment ça non?!!
-pas sans capote s’il vous plaît!
-je crois que tu n’es pas en position d’avoir des exigences. Alors je veux que tu me dises que tu veux que je t’encule et que je me vide dans ton cul. Allez dépêche-toi de le dire!
-je veux que vous m’enculiez et que vous vous vidiez dans mon cul.
-voilà! Donc puisque tu insistes je veux bien te baiser et t’engrosser petite pute
Il retira ses doigts de mon cul et saisit sa queue. Il ajouta de la salive et la colla à mon trou.
-ça y est ma petite pute, tu vas sentir ma queue, toujours d’accord?
Je répondis par un timide oui.
Il commença à s’insérer en délicatesse mais cela m’arracha un cri de douleur. J’avais l’impression que mes entrailles se déchiraient au rythme de sa progression qui m’est apparu interminable. Une fois arrivé à son terme il s’adressa à moi.
-ça y est, tu l’as gobé en totalité. Te voilà à nouveau un enculé. Au fait j’ai une petite surprise pour toi. Il faut que tu saches que mon bureau est équipé en caméra et que tes exploits sont enregistrés.
-mais pourquoi?!!
-c’est une précaution. J’imagine que tu ne voudrais pas que ta copine ou tes parents voient tes exploits du jour? Comme ça je m’assure que tu me sois fidèle et obéissant.
Et d’un coup il se retira presque en totalité et débuta un mouvement de va-et-vient.
La douleur était atroce mais comme avec ses doigts un peu plus tôt la douleur s’estompa au fur et à mesure. Et cette étrange sensation de douleur mêlée à du plaisir pris place et l’effet fut immédiat sur ma queue qui fut en totale érection très rapidement.
Pendant qu’il me labourait, il tenait des propos humiliants.
Il me força à lui dire que j’aimais sa queue et qu’il me faisait jouir. Ce dernier élément n’était pas si loin de la vérité. L’étrange sensation se transformait de plus en plus en un plaisir qui augmentait à chaque mouvement et, plus surprenant, à chaque insulte ou propos humiliant. Ma queue était en érection comme jamais et du liquide séminal en sortait en quantité. Que se passe-t-il? Je suis proche de jouir alors que je ne touche pas mon sexe et qu’une énorme queue me pilonne le cul.
Suis réellement hétérosexuel? Suis gay? Je n’ai pas eu le temps d’approfondir ma réflexion que ma queue lâcha une quantité de sperme qui aspergea le sol. Mon bourreau en profita pour me traiter de tous les noms et pour se glorifier.
-c’est bien, tu es vraiment une bonne femelle. Incapable de résister quand tu te fais prendre. Tu prends ton pied hein ma salope?. Maintenant met toi sur le dos, je veux te regarder dans les yeux quand je te baise. Je veux que tu regardes l’homme qui te montre ta place de vide couille.
Alors que du sperme s’écoulait encore de ma queue, je me suis positionné sur le dos et ai levé mes jambes au-dessus de ses épaules.
-regarde-moi dans les yeux salope !
Il réintroduisit sa queue avec brutalité et repris son rythme de pilonnage intense.
Je ne quittais pas son regard d’une seconde et me mis à retrouver le plaisir du coït. Ma queue en fut le témoin et j’éjaculais une seconde fois sur mon torse.
Il accéléra la cadence et son rythme cardiaque s’accélérait. Il gémissait de plus en plus jusqu’à ce qu’il se fige en moi et poussa un râle très bestial.
-prends toi ça sale pute!
Il était en train de se vider en moi. Je sentais les puissants jets me tapisser les parois.
Il resta en moi en attendant que tout son jus s’évacue dans mes entrailles.
-ça y est, tu vas me faire un beau bébé avec tout ce que je viens de cracher dans ton cul. Maintenant je vais sortir ma queue et tu vas serrer ton trou. Je veux que tu gardes mon jus en toi. Et puis tu vas me nettoyer les dernières gouttes sur mon gland avec ta langue.
Il a fait ce qu’il venait de dire et me présenta sa queue à l’entrée de la bouche avec un filet de sperme dégoulinant de son gland.
Malgré le dégoût, je me suis exécuté. Je découvris le goût âcre de son sperme et nettoya sa queue avec application.
-comme ça tous tes trous ont été souillés par mon sperme. Quand tu vas retrouver ta meuf, tu auras mon jus dans ton cul et une haleine de foutre.
Il me jeta mes vêtements au visage pour me rhabiller.
-alors tu as aimé faire la pute?
A mon grand étonnement, je me rends compte que malgré tout, j’ai l’impression d’une forme de révélation. Je n’aurais jamais imaginé être capable de bander, de jouir avec un mec et surtout d’aimer me faire enculer.
-je crois que mes éjaculations le confirme…
-très bien. Moi aussi j’ai bien aimé que tu me vides les couilles. Ce premier essai est concluant donc comme je suis un homme de parole, nous allons remplir ton contrat.
Le patron rhabillé s’installe derrière son bureau et tapote sur son ordinateur pendant que j’enfile mon boxeur. Ma rondelle est boursouflée et toute humide. Pas le choix je vais devoir souiller mon boxer pour éponger son jus. Une fois rhabillé je reprends ma place sur la chaise. Une fois assis je ressens que mon anus est douloureux et j’ai l’impression de m’asseoir sur une flaque d’eau ce qui me tire une grimace que le patron remarque.
-ta petite chatte te fait mal?
-oui un peu et mon boxer est mouillé.
-ahaha sache que tu risques d’avoir envie d’expulser tout le gaz que je t’ai fait rentrer dans le bide et si tu pousses tu auras une inondation de mon jus dans ton slip!
C’est vrai que je ressens cette pression sur ma rondelle pour évacuer tout ce gaz, mais je tente de contenir tout à l’intérieur.
-donc je vais te faire signer une période d’essai pour renforcer mes équipes sur les chantiers. Bien évidemment les extras ne seront pas mentionnés. Mais si tu veux que la période d’essai ne prenne pas fin, tu devras faire ce que je te demande, sans exception. Tu as compris?
-je n’ai pas vraiment le choix…
Il me présente le contrat évoqué et m’invite à le signer. Je prends le temps de le lire pour éviter de me faire piéger plus que je ne le suis.
Pendant ce temps, le patron s’affaire sur son ordinateur et émet quelques gémissements.
Une fois signé, je lui remets le contrat.
Il m’adresse un sourire pervers et m’annonce que je suis très photogénique.
Ne comprenant pas sa remarque, il retourne son écran pour me montrer ce qui est affiché. Ce que j’y vois me sidère. Il a pris des captures d’écran des caméras de la pièce ou l’on me voit en fâcheuse posture. Sur l’une on me voit en gros plan en train de lui sucer la queue. Sur une autre je suis à quatre pattes avec sa queue en moi et sur la dernière on me voit lécher le sperme sur son gland.
-tu te trouves belle ma petite salope?
-mais… vous allez en faire quoi de ces photos?!!
-je vais les mettre en ligne sur un site internet qui propose tes services contre de l’argent. Peut-être que personne ne voudra te baiser ou peut-être que tu auras un succès fou.
-mais ça va pas?!! Je ne suis pas une pute!
-et tu pensais que les extras ça allait être quoi?
-je pensais que vous alliez me demander une fellation de temps en temps mais pas avec quelqu’un d’autre.
-si tu refuses de faire ce que je te dis, ta période d’essai prendra fin immédiatement. Alors? Tu feras ce que je te dis?
-oui monsieur.
-très bien alors je t’attends demain matin à 7h ici. Tu peux t’en aller.
Sur ces mots je me dirige vers la sortie et quitte les locaux de l’entreprise. Sur le chemin du retour je repense à ce qu’il vient de passer.
Je suis venu pour un entretien d’embauche et je ressors totalement humilié, je me suis fait enculer sans capote, et avec le risque de devoir satisfaire d’autres hommes et le tout sans m’y être vraiment opposé. J’ai mal au cul et je suis plein de sperme qui ne demande qu’à ressortir. J’ai encore le goût de son jus dans ma bouche. Le pire c’est que malgré la totale humiliation de l’hétérosexuel que je suis, j’ai aimé cela. Le film de cet entretien repasse dans ma tête et je me remets à bander.
Une fois arrive chez moi, je me dirige directement dans la salle de bain pour évacuer mes entrailles.
Je commence à me déshabiller et une fois mon boxer baissé je revois le sperme du patron qui me procure une érection immédiate. Je décide de toucher mon anus pour constater son état. l’envie me prend d’y insérer un doigt. Le contact avec cette chair boursouflée et humide m’excite intensément. Une grande quantité d’air s’échappe et je tente de maintenir le jus en moi. L’idée de me séparer de ce jus de mâle de mon orifice me déçoit. Je veux garder en moi tant que je peux ce liquide qui m’a souillé et qui m’a rabaissé. Avec mon autre main je saisis ma queue et y pratique une masturbation frénétique. Je décidais de porter le doigt qui fourrait mes entrailles à ma bouche. Le jus de mon patron fit son retour dans ma salive et augmenta mon excitation.
L’éjaculation arriva extrêmement vite et s’écrasa sur le carrelage.
Je décidais de prendre une douche mais avec l’idée de conserver le jus en moi.
Je passe le reste de la journée déboussolé, à ne plus me reconnaître. Le film de mon humiliation repasse dans ma tête en permanence et me procure systématiquement des érections.
Je décide de décliner par sms la proposition de ma copine de se retrouver pour la soirée. Je reste chez moi à réfléchir et à m’exciter.
Un peu avant de me coucher je reçois un sms d’un numéro inconnu.
-alors ma petite salope, j’espère que tu t’es remis de la visite de ma grosse bite dans ton cul. Je voulais te dire que suite à la mise en ligne de ta vidéo et tes services, je suis harcelé de messages de mec qui veulent te baiser et me propose des fortunes pour t’utiliser. Même mon chef de chantier que tu vas suivre demain m’a dit que tu étais une excellente recrue! Je t’en dirais plus demain. Bonne nuit et à demain petite pute.
Je n’en reviens pas! Il a diffusé ma déchéance sur internet! Et l’idée que d’autres hommes veulent me baiser me laisse un sentiment mitigé. Du dégoût et de la fierté.
Mais ce qui me marque le plus c’est qu’il a montré ma vidéo à son chef de chantier. Quand je vais le voir demain il saura que je me suis fait baiser par le patron. Et je serai avec lui toute la journée.
Je décidais de me coucher avec l’esprit dans tous les sens.