Premier épisode
Chapitre-2
L'attraction, la confusion et le plaisir laissées par la rencontre avec les gendarmes s'insinuent de manière obsessionnelle dans mes pensées. Au fil des jours, une envie nouvelle et dérangeante commence à prendre racine dans mes fantasmes : l'idée de sodomiser un homme !
Cette pensée, autrefois totalement étrangère à mon univers mental, revient sans cesse, s'imposant avec une force croissante... Inévitablement, le visage qui se superpose à ces fantasmes naissants est celui de Kevin, le jeune gendarme.
Je revois son regard bleu intense, la manière dont il m'avait examiné avec une curiosité perverse. Je me remémore la tension érotique, le pouvoir brut qui émanait de lui dans son uniforme, la fellation magistrale de ma bite tandis que je branlais avec excitation celle du chef...
L'idée de le soumettre, de renverser le rapport de force, germe lentement dans mon esprit. Je fantasme sur sa réaction, sur la manière dont son assurance pourrait se briser, son regard intense se troubler. Je pense qu’il ne serait pas réticent à l’idée de se faire enculer par moi...
Ces pensées me terrifient et m'excitent à la fois. Elles sont un renversement de tout ce que je crois être, de ma vie, de mon mariage, de mon hétérosexualité. Pourtant, elles sont là, tenaces, obsédantes. Je me surprends à imaginer des scénarios, des rencontres fortuites où le rôle s'inverserait, où je prendrais le contrôle du cul de Kevin, comme il avait pris le contrôle de ma queue.
L'idée de le dévêtir, de le réduire à sa vulnérabilité physique, a quelque chose d'étrangement satisfaisant. Je n’oublie pas non plus le chef au cheveux gris, celui qui avait devancé mon désir naissant pour la bite, en posant ma main sur son membre dur et chaud !
Ces pensées perverses sont le fruit d'une expérience interdite qui a déréglé quelque chose en moi...
Et la curiosité, le désir trouble de comprendre cette nouvelle obsession, est une force puissante...
La question n'est plus seulement ce qu'ils m'ont fait, mais ce que cette expérience est en train de faire de moi !
La frappe à la porte est brève. Deux coups secs et autoritaires qui me font sursauter !
Mon cœur, déjà battant la chamade à cause du tumulte intérieur de mes pensées obsédantes, s'emballe davantage.
Je suis assis au bord de mon lit d'hôtel impersonnel, les images de Kevin et du chef gendarme, flottant encore dans mon esprit.
Une anxiété froide me saisit. Qui pourrait frapper à ma porte ? Il est tard, bien après l'heure habituelle des services de l'étage.
La frappe se répète, plus insistante cette fois. Toc toc.
Je me lève lentement et vais vers la porte. J'épie par le judas, le souffle coupé.
Un uniforme bleu. Mon sang se glace. C'est lui. Kevin.
Ses yeux bleus fixent le judas, comme s'il savait que je suis derrière la porte.
Un silence tendu s'installe. Mon esprit hurle des ordres contradictoires : ouvrir ? Ne pas ouvrir ? Faire semblant de ne pas être là ?
La frappe retentit à nouveau, plus forte, presque impatiente. Toc toc !
L'obsession qui me hante depuis des jours prend soudain une réalité terrifiante. Le fantasme se matérialise derrière cette porte.
Je reste immobile, la main crispée sur la poignée, incapable de bouger. Le silence après la dernière frappe est presque assourdissant.
Puis, une voix, douce mais avec une intonation étrangement familière, parvient à travers la porte : « Monsieur...? On sait que vous êtes là. On a juste... une petite question à vous poser. »
Mon souffle se coupe. "On" : le chef est là aussi !
La menace et l'excitation se mélangent en un cocktail déroutant. L'obsession prend chair, se tient derrière cette fine barrière de bois. Que veulent-ils ? Que veulent-ils de moi ? Et surtout... qu'est-ce que je désire secrètement qu'ils veuillent ?
Ma main tremble légèrement en faisant glisser le verrou. Un clic discret résonne dans le silence de ma chambre. J'hésite une fraction de seconde, puis tire doucement la porte vers moi.
Ils sont là, mais l'uniforme bleu de l'autorité a disparu. Kevin porte un simple jean sombre et un t-shirt noir moulant qui souligne la musculature de ses bras. Le chef, lui, est vêtu d'une chemise à carreaux ouverte sur un torse musclé velu, son corps massif semblant moins intimidant sans l'uniforme, mais toujours imposant.
Un silence tendu remplit l'embrasure de la porte. Leurs regards convergent vers moi, une intensité palpable dans leurs yeux.
Kevin est le premier à parler, un léger sourire énigmatique étirant ses lèvres. « Bonsoir, monsieur. J'espère qu'on ne vous dérange pas. » Sa voix, sans l'autorité de l'uniforme, a une tonalité plus douce, presque... séductrice ?
Le chef entre sans y être invité, son regard balayant la pièce d'un air désinvolte. « On passait justement dans le coin. On a vu votre voiture sur le parking et on s'est dit qu'on allait vous faire une petite visite de courtoisie. Histoire de... s'assurer que tout va bien depuis notre dernière rencontre. » Il insiste sur les derniers mots avec un clin d'œil appuyé.
Je me sens pris au dépourvu, un mélange de peur et d'une excitation trouble me paralysant. « Euh... oui... tout va bien... enfin... » balbutié-je, incapable de soutenir leur regard.
Kevin entre à son tour, refermant doucement la porte derrière lui. L'espace de ma chambre d'hôtel, déjà exigu, semble soudainement plus petit, plus oppressant avec leur présence.
« Vraiment ? » demande Kevin, s'approchant de moi d'un pas lent et délibéré. Ses yeux bleus se posent sur moi avec une intensité qui me fait frissonner. « Vous n'avez pas... repensé à notre petite conversation sur l'aire de repos ? »
Le chef s'assoit nonchalamment sur le bord de mon lit, ses yeux fixés sur moi avec une expression que je ne parviens pas à déchiffrer. « On s'est dit que... peut-être... vous aviez une question à nous poser. Ou... une proposition à nous faire. Entre hommes, comme on dit. »
Je me sens pris au piège, le fantasme obsessionnel de ces derniers jours se matérialisant de manière inattendue... L'excitation monte, honteuse et incontrôlable, face à leur présence, à leur attitude... à la possibilité de ce qui pourrait arriver.
« Qu'est-ce que... qu'est-ce que vous voulez ? » ma voix est à peine un murmure.
Kevin s'approche encore, réduisant la distance entre nous. Son regard se pose sur mes lèvres, et une chaleur étrange se répand dans mon corps. « Ce qu'on veut, monsieur...? » Il marque une pause, son souffle chaud effleurant mon oreille. « On pense que vous le savez déjà... »
Le chef, sans quitter mes yeux, fait un signe de tête discret à Kevin. « Kevin, mon ami, montre à monsieur tout ce que tu as à offrir. »
Kevin, avec une lenteur délibérée, retire son t-shirt noir, le jetant nonchalamment sur le dos d'une chaise. Il défait ensuite la ceinture de son jean, le bouton, et le tissu glisse le long de ses hanches, révélant son slip noir moulant, déformé par une érection affirmée.
Il est jeune, frais, la peau lisse et légèrement rosée sous la lumière artificielle de la chambre. Des pectoraux bien dessinés, des abdominaux saillants. Son torse est imberbe, mais une ligne de poils bruns descend sous son nombril pour disparaît sous le slip.
“ Approchez-vous... Passez vos mains sur son corps... Voilà c’est bien !“...
Mes mains parcourent le torse de KEvin. Il ferme les yeux et pousse un soupir. Je déglutis, tandis que mes mains avides frôlent son ventre et s’arrêtent à la lisière du slip.
“Baissez-lui son slip !”.
La demande du chef claque comme un ordre qu’on ne peut refuser. D’ailleurs, j’ai envie de finir de le déshabiller, comme dans mon fantasme...
Mes doigts agrippent l'élastique du slip. Le tissu cède légèrement. La tension monte dans la pièce, palpable comme un courant électrique. Le chef retient son souffle, je le sens. Kevin reste immobile, les yeux fixés sur moi, la bouche entrouverte.
Je fais glisser complètement le slip. Sa bite apparaît. Complètement bandée. Son gland est rouge. Une goutte de mouille perle à son extrémité, brillant sous la lumière crue. Des poils sombres et épais forment un triangle au sommet de son sexe.
“Embrassez-vous !”.
L'ordre du chef de s'embrasser me surprend, déroutant la dynamique de soumission unilatérale que j’avais envisagée. Une pointe d'hésitation me traverse, une timidité inattendue face à cette intimité soudaine. Kevin se rapproche, son regard croisant le mien avec une intensité nouvelle. Il y a une force brute dans ses traits, une masculinité affirmée qui contraste avec la passivité forcée des instants précédents.
Nos corps se rencontrent. L'étreinte est immédiate, puissante. C'est la première fois qu'un homme m'étreint ainsi, avec cette force. Nos bouches se trouvent dans un choc humide et charnel. Une sensation nouvelle m'envahit, un mélange d'appréhension et de curiosité. Les mains de Kevin parcourent mon corps et baissent mon pyjama. Ma queue libérée et bandée vient heurter celle de Kevin. Pris par cette sensation inédite de peau contre peau, de chaleur partagée, je parcours le corps de Kevin de mes mains avides. Je sens l’odeur musquée de ses aisselles, plus intense de près. L’odeur de sa peau de jeune mâle, si différente de celle d'une femme.
Kevin saisit nos queues et les superpose l’une contre l’autre de sa main droite, tandis que sa main gauche se pose sur ma nuque. Son contact est ferme, presque possessif. Nos bouches toujours soudées... Je n'ai jamais embrassé un homme ainsi. C'est à la fois troublant et excitant, une découverte sensorielle inattendue.
« Retourne-toi, Kevin, » ordonne le chef d'une voix rauque.
Le baiser s’interrompt. Frustré, et un peu désorienté par cette première expérience, je reprends mon souffle, mon cœur bat plus vite que tout à l’heure. Je suis rouge, les oreilles chaudes, la queue vibrante... Ce baiser a remué quelque chose en moi.
« Retourne-toi, Kevin, » ordonne le chef d'une voix rauque.
Le baiser s’interrompt. Frustré, je reprends mon souffle, mon cœur bat à cent à l’heure. Je suis rouge, les oreilles chaudes, la queue vibrante...
Kevin obéit sans un mot, se tournant lentement. La vision offerte est saisissante. Ses fesses, galbées et fermes, se contractent légèrement sous mon regard. La ligne de son dos se creuse sensuellement au-dessus.
Le chef se tourne vers moi, un sourire carnassier étirant ses lèvres. « Alors, monsieur ? Qu'est-ce que vous en dites ? Un beau spécimen, n'est-ce pas ? Votre avis nous intéresse... beaucoup. » Son regard insistant oscille entre le corps nu de Kevin et moi, une attente perverse dans ses yeux.
Ma bouche est sèche. Les mots peinent à sortir. « Euh... oui... il est... euh... » Mon regard est aimanté par le cul de Kevin, une excitation trouble et incontrôlable montant en moi. « ...très... beau... »
Le chef ricane légèrement. « Beau ? C'est tout ce que ça vous inspire ? » Il s'approche de Kevin et pose une main lourde sur le bas de son dos, ses doigts s'écartant légèrement sur la peau nue. « Penche-toi, Kevin. Montre à monsieur ce qu'il a envie de voir. »
Kevin, sans un mot, se met à quatre pattes sur le bord du lit. Ses fesses se séparent légèrement, offrant une vue directe sur son orifice sombre et moite. La tension dans la pièce devient presque palpable, chargée d'une promesse excitante.
Le chef suit mon regard involontaire vers ma queue tendue et suintante. Un sourire narquois illumine son visage massif.
« Ah, je crois que Kevin n'est pas le seul à être... intéressé, n'est-ce pas, monsieur ? » Son ton est insinuant, chargé d'une compréhension perverse. « Je crois deviner ce qui vous traverse l'esprit. Une... première expérience, si je ne m'abuse ? » Il insiste sur les derniers mots avec un clin d'œil appuyé.
Il se tourne vers Kevin, un air complice. « Mon jeune ami ici est... comment dire... doué pour les premières fois. N'est-ce pas, Kevin ? » Kevin hoche la tête, un sourire énigmatique étirant ses lèvres.
Le chef se retourne vers moi, son regard insistant. « Alors, monsieur ? Qu'en dites-vous ? On pourrait vous faire vivre ça. Cette... initiation. Un souvenir... inoubliable, je vous l'assure. »
Sans attendre ma réponse, il commence à déboutonner sa chemise à carreaux. Ses gestes sont lents, assurés, dévoilant son torse puissant, ses poils poivre et sel épars. Sa légère bedaine ne diminue en rien l'impression de force brute qu'il dégage. Il baisse son pantalon, puis son boxer. Sa verge, imposante, est bandée comme la dernière fois, telle un gros morceau de bois, parcouru par des veines très marquées !
"A genoux, monsieur ! Et Admirez-moi ça. Vous en avez tellement envie !”
L'ordre du chef résonne, impérieux.
Pour la première fois, mes yeux se posent sans détour sur l'intimité anale d'un autre homme. La peau lisse des fesses de Kevin est légèrement rosée, tendue sur des muscles fermes. La raie sombre au milieu attire inévitablement mon regard, une ligne de démarcation vers un orifice caché.
« Regardez bien » insiste le chef, sa voix douce mais insistante. « C'est une autre forme de beauté, n'est-ce pas ? Ca vous change de votre femme : une intimité de jeune homme virile et offerte. Je vous avoue que j’aime bien moi aussi, ah ah. » Son ton essaie de normaliser l'acte, de le présenter sous un jour nouveau. « N'ayez pas peur d'observer chaque détail. »
Il s'accroupit légèrement à mes côtés. « Maintenant, tendez la main. Touchez. » Sa propre main se pose sur la fesse de Kevin, la pressant légèrement. Je remarque l’alliance à son annulaire. « Sentez la fermeté. La chaleur. C'est vivant. » Il retire sa main, me laissant seul face à cette injonction.
Hésitant, ma main s'approche. Mes doigts effleurent la peau chaude et douce. Une sensation étrange me parcourt, un mélange de gêne et de curiosité. « Écartez, » ordonne le chef, sa voix redevenant directive.
Avec une lenteur contrainte, mes doigts glissent sur les courbes et s'écartent légèrement. La lumière crue révèle l'orifice sombre, humide, presque vibrant. L’anus de Kevin est légèrement rosé. Poilu. Un léger parfum, animal et musqué, monte à mes narines. Le chef se penche, respirant profondément. « C’est magnifique, hein. Et vous sentez ? C'est l'odeur de l'intimité. De la passion, peut-être. »
« Maintenant, léchez. »
Avec une lenteur forcée, je me penche. Mes lèvres tremblent à l'approche de cette intimité virile offerte. Le contact est étrange, humide et chaud à la fois. Une sensation inattendue me parcourt...
« Voilà, c'est bien, » murmure le chef, une satisfaction perverse dans sa voix. « Utilisez Votre langue. Soyez généreux. Regardez comme il aime. » Il se penche plus près, me donnant des instructions à voix basse. « Léchez de haut en bas. N'oubliez pas les bords. Vous pouvez variez la pression. »
Ses paroles crues et directes transforment cet acte en une performance que je dois exécuter avec application. Le silence est brisé uniquement par les bruits de ma bouche et les légers gémissements de Kevin.
« Voilà, c’est bien... Maintenant, préparez-le... Un peu de doigtage, c'est toujours nécessaire, surtout que vous êtes bien membré. » Son sourire a quelque chose de pédagogique, mais la perversité sous-jacente est palpable.
Je recule mon visage à regret... Le chef est debout devant moi. Sa bite frôle le cul de Kevin et y dépose une goutte de mouille.
« Doucement, monsieur, » conseille le chef en se caressant la queue devant mon visage. « Soyez délicat au début. Lubrifiez bien avec vos doigts. C'est important pour que l'expérience soit agréable pour tout le monde... surtout pour lui. » Il rit légèrement, un son rauque et suggestif.
Ma main tremble légèrement alors que je me rapproche de l'intimité offerte. Je pose timidement un doigt sur la peau lisse de ses fesses, puis le fais glisser doucement vers son orifice. Une chaleur humide m'accueille. Kevin laisse échapper un léger gémissement, une réaction involontaire qui me trouble et m'excite à la fois.
« Bien, bien... » commente le chef en se branlant plus ouvertement. « Maintenant, essayez avec deux doigts. Élargissez doucement. Il faut que ça s'habitue. »
J'obéis, insérant un deuxième doigt avec précaution. Kevin serre les poings, ses muscles se contractent légèrement. Son souffle se fait plus rapide.
« Encore un, monsieur, » encourage le chef, sa propre masturbation devenant plus frénétique. « N'ayez pas peur. Plus c'est large, plus le plaisir sera intense... pour vous aussi, croyez-moi. Et branlez-le un peu .»
Trois doigts sont maintenant à l'intérieur de Kevin. La sensation est étrange, humide et serrée. Il gémit plus fort, sa tête basculant légèrement vers l'avant. Ma main gauche tire sa queue vers l’arrière et la branle doucement. LE gland déverse de grosses gouttes de mouille.
Le chef se penche et me murmure à l'oreille : « Pendant que vous vous occupez de lui, laissez-moi vous préparer pour la suite. Il faut que vous ça soit bien lubrifié... ah ah »
Son regard se pose sur mon sexe. Il se penche et prend ma bite dans sa bouche. La sensation est inattendue, choquante et incroyablement excitante. Sa langue agile l'entoure, la suçant avec une expertise déconcertante.
« Vous voyez, monsieur ? » dit-il la bouche pleine, sa voix étouffée. « Il faut que ce soit bien dur et bien humide pour que le plaisir soit optimal... pour votre première fois. Faites confiance à l'expérience. » Il continue de me sucer, sa main libre agrippant ma hanche, me maintenant immobile.
La honte et l'excitation se mélangent violemment en moi, tandis que mes doigts continuent leur besogne dans le trou du cul de Kevin. Curieux, je donne des petits coups de langue sur le frein de Kevin, osant même aller jusqu’à sucer le gland.
“Eh bien, vous gouttez une queue pour la première fois, c’est bien !” s’exclame le chef.
Kevin laisse échapper un gémissement plus profond, sa respiration se faisant haletante. « Oui... je crois que... je suis prêt... » Sa voix est rauque, chargée d'une tension palpable.
Le chef se redresse, me relâchant la bite. Il observe mon érection maintenant bien ferme et abondamment lubrifiée, dégoulinante de salive, le gland mousseux, un sourire satisfait sur son visage. « Parfait, monsieur. »
Il se déplace derrière moi, sa présence imposante se faisant sentir. Je sens son souffle chaud sur ma nuque. « Maintenant, monsieur, le moment tant attendu. Kevin est prêt à vous accueillir. » Ses mains se posent sur mes hanches, me guidant doucement vers l’avant.
Je sens sa verge dure et directe contre mes fesses nues, une pression ferme et insistante. Son contact peau contre peau me fait frissonner, un mélange d'appréhension et d'une excitation trouble parcourant mon corps.
« Présentez-lui votre queue, monsieur, » murmure le chef à mon oreille, sa voix grave et insinuante. « Doucement au début. Laissez les choses se faire naturellement. » Ses mains me maintiennent fermement, m'empêchant de reculer.
Je suis maintenant juste derrière Kevin, son cul offert à ma vue. La proximité est intense, l'odeur de son excitation flottant dans l'air. La sensation de la verge du chef pressée contre mes fesses est étrangement stimulante.
Je dirige mon gland vers l'orifice humide et dilaté de Kevin. La première fois avec un mec... c'est maintenant.
Je pousse doucement le gland contre l'entrée humide de Kevin. Après une très légère résistance, mon gland s'enfonce et disparaît derrière l'anneau serré de son sphincter. La vision de ma propre chair engloutie à l'intérieur de lui provoque un plaisir inattendu, une satisfaction primitive.
Kevin laisse échapper un gémissement rauque, sa tête basculant légèrement vers l'avant. Ses muscles se contractent. Son plaisir est palpable, une vibration tendue qui se transmet à travers nos corps connectés.
Encouragé par sa réaction, je continue la poussée, lentement mais avec détermination. Chaque centimètre gagné est une nouvelle vague de sensations pour moi, une plénitude qui grandit à mesure que je pénètre plus profondément. La chaleur humide qui m'enveloppe est excitante.
Finalement, la base de ma queue atteint la rondelle de Kevin. Un soupir rauque m'échappe, un mélange de soulagement et d'une satisfaction intense. Je suis là, à l'intérieur de lui, une intimité étrangement puissante. J’ai pris possession du cul d’un homme, le cul de KEvin.
« Bien, monsieur, très bien, » commente la voix grave du chef juste derrière moi, sa verge toujours pressée contre mes fesses. « Maintenant, doucement. Laissez-le s'habituer à votre présence. Des mouvements lents au début. Pensez à lui, à son plaisir. C'est important pour que ça reste... agréable. » Sa main se pose sur mon épaule, une pression à la fois directive et étrangement possessive.
D'abord, je suis ses conseils, mes mouvements lents et mesurés, laissant le corps de Kevin s'accoutumer à ma présence. Chaque va-et-vient est une découverte, une sensation nouvelle et troublante. Je sens ses muscles se contracter autour de moi, sa respiration saccadée, et un plaisir étrange, une forme de pouvoir, s'insinue en moi.
« Maintenant, monsieur, » murmure le chef à mon oreille, sa voix rauque et chargée de sous-entendus, « vous pouvez vous laisser aller. Laissez parler vos instincts. » Sa main quitte mon épaule pour se poser sur ma hanche, me donnant une légère impulsion.
Une rage érotique m'envahit soudain. Ce n'est plus seulement la curiosité ou la soumission forcée. C'est un plaisir brut, cérébral et physique, de posséder cet homme, de posséder Kevin. L'idée que son corps m'appartient en cet instant me grise. Mes mouvements deviennent plus rapides, plus profonds, emportés par une vague d'excitation incontrôlable.
Une surprise me saisit alors. Une sensation humide et chaude se pose sur ma rondelle. La bouche du chef. Sa langue explore la peau sensible, un contact inattendu et profondément troublant.
« Hmm... très serré, monsieur, » murmure-t-il contre mes fesses, sa voix rauque. « Un joli cul, bien ferme aussi. J'aimerais bien m’en occuper... » Sa langue caresse l'entrée de mon anus, une pression douce mais insistante. Puis, je sens sa langue percer mon sphincter, une intrusion chaude et humide qui provoque un spasme involontaire dans mon bas-ventre. La possession de Kevin se double d'une soumission inattendue au chef.
Une onde de chaleur inattendue se répand dans mon bas-ventre. La sensation de la langue du chef explorant mon anus est à la fois perverse et étrangement stimulante, une zone de mon corps jusqu'alors inexplorée qui s'éveille sous son assaut humide. Une découverte troublante...
La jouissance monte, une vague de chaleur qui se propage dans tout mon corps. Mes mouvements dans le cul de Kevin deviennent plus hachés, plus sauvages, emportés par cette excitation nouvelle et confuse. Je le possède, il m'appartient dans cet instant transgressif.
Soudain, une nouvelle intrusion. Un doigt se glisse dans mon propre anus, rejoignant la langue vorace du chef. La sensation est étrange, puis une pression intense se concentre à un endroit précis. Ma prostate. Un spasme incontrôlable me secoue, et un cri rauque de pur plaisir s'échappe de ma gorge. L'intensité est inédite, une jouissance animale, violente, mêlée à ce sentiment de possession trouble. Je déverse mon foutre dans le cul de Kevin en poussant des cris rauques...
Dans le même temps, je sens Kevin se contracter violemment sous moi, en poussant des cris étouffés. Ses spasmes sont synchronisés avec les miens : quel plaisir ! Des jets épais et chauds de foutre sur la moquette.
Le chef se relève, sa verge dure et luisante de sa propre excitation. Il la frotte sans gêne contre mon cul ruisselant de sueur et jute lentement dans ma raie en grognant, une souillure à la fois répugnante et excitante.
Il se penche à mon oreille, sa voix rauque et chargée de désir : « Bienvenue au club, mon ami. Vous voyez... parfois, les rencontres inattendues... peuvent ouvrir de nouvelles perspectives... n'est-ce pas ? »
L'atmosphère de la chambre d'hôtel est lourde, saturée d'une odeur âcre et animale. Le foutre tiède et collant macule la moquette, se mêlant à la sueur qui perle sur nos corps rougis. L'air vibre d'un mélange excitant : la transpiration âcre de l'effort, l'odeur musquée du sexe, l'effluve de nos raies culières.
Le chef est le premier à se rhabiller, ses mouvements sont lents et satisfaits. Il ajuste sa chemise à carreaux avec une nonchalance déconcertante, comme si rien d'extraordinaire ne venait de se produire. Kevin le suit, s'habille en me jetant des regards appuyés.
Le chef s'approche de la porte, un sourire narquois étirant ses lèvres. « Alors, monsieur, » dit-il, sa voix étonnamment normale, « j'espère que cette... expérience vous aura laissé une impression durable. N'hésitez pas à repenser à nous lors de vos prochains déplacements. J'aimerais beaucoup vous revoir pour achever votre formation... ». Il jette un regard insistant vers mon cul rebondi, chargé d'une promesse perverse.
Kevin ajoute : « J’ai bien envie de vous revoir aussi, monsieur.” Il lorgne ma queue, congestionnée, humide de sperme...
Le chef pose sa main sur l'épaule de Kevin. « Allez, mon jeune ami. On a d'autres... visites à effectuer. » Il me lance un dernier clin d'œil obscène avant de sortir, Kevin le suivant docilement.
La porte claque derrière eux, me laissant seul dans le silence lourd et odorant de la chambre, le corps fatigué et souillé. La transgression flotte toujours dans l'air, un rappel tangible de ce qui vient de se passer, et de ce que cela a révélé en moi.
Je glisse ma main sur mon trou... le sperme du chef y a coulé. Je porte les doigts à mon nez et ferme les yeux pour apprécier le mélange de l’odeur de sa semence avec celle de la transpiration de mon cul...
La dernière phrase du chef me laisse rêveur et un poil excité :
“J'aimerais beaucoup vous revoir pour achever votre formation... ».
Jerem384
frenchbi69@laposte.net
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