« Salut, il paraît que tu aimes la queue ! » Le message était un peu direct, surtout venant d’un numéro inconnu. Mais ce n’était pas pour me déplaire. Mais que répondre à cela ? Et si c’était une erreur. J’ai donc fini par répondre : « Je ne connais pas ton numéro, est-ce qu’on se connaît ? »
Très rapidement, j’ai reçu en retour. « On ne se connaît pas, mais un de mes potes t’a déjà baisé quelques fois. Il dit que tu accepterais de venir pomper et te faire baiser par un inconnu sans échange de photo avant. Ma meuf m’a plaqué au début du mois, et là ça fait trois semaines que je n’ai pas baisé. Mon pote bi, me dit que tu serais du genre à accepter de me vider les couilles, sans qu’il faille que je m’occupe de toi, ou que je t’embrasse. Je n’ai jamais baisé un mec, mais là j’ai vraiment envie de me les vider. »
Un hétéro macho, à vider c’était trop beau pour être vrai ! J’ai donc enchaîné :
— Donne l’adresse, je me prépare que tu puisses me défoncer direct !
— Tu es direct toi, ça ne te dérangerait pas que je ne te voie pas. J’ai peur que voir un mec ça me fasse débander.
— Euh non, mais tu imagines ça comment ?
— Je t’attends à poil devant un porno hétéro. Toi tu arrives, tu te fous à poil, mais tu te caches sous une couverture. Tu viens jusqu’à moi à quatre pattes sous la couverture et si tout se passe bien, je te demanderai de me tendre ton cul quand tu m’auras bien pompé.
— Le pire c’est que ça m’excite. Je viens volontiers.
Il m’a alors donné son adresse. J’ai filé sous la douche. Je me suis plugué : je l’imaginais mal me proposer des préliminaires, je préférais donc être bien ouvert, prêt à embrocher directement.
Arrivé à l’adresse citée, j’ai trouvé comme prévu une porte d’appartement qui n’était pas verrouillée. Depuis le hall d’entrée, j’entendais le film. Une femme beuglait en se faisant défoncer. Probablement par plusieurs mecs, il me semblait distinguer plusieurs voix masculines différentes.
J’ai retiré le plug, me suis mis à quatre pattes. Comme prévu un grand plaid gris était posé, plié en huit sur le sol. J’ai passé la couverture par-dessus moi et je me suis mis à me déplacer à quatre pattes en essayant de rester bien camouflé sous la couverture. Entre deux plis, je voyais l’appartement plongé dans le noir, avec juste l’écran de TV géant qui faisait de lumière. Une blonde ne portant que ses talons hauts se faisait malaxer les seins par un grand black qui la prenait en levrette, pendant qu’un autre la biflait.
Arrivé devant le canapé, j’ai enfin vu mon hôte. Un mec absolument canon. Jeune métis musclé, il devait avoir dans les 27 ans. Sa queue bandée devait bien dépasser les 20 cm.
Quand il m’a aperçu, il s’est redressé c’est assis et à écarté les jambes. Il s’est penché en arrière en s’appuyant sur ses mains et en poussant son entre-jambes vers l’avant. J’ai pris cela pour une invitation et me suis placé entre ses jambes et j’ai approché mon visage de sa queue circoncise. J’ai léché son gland avant d’engloutir sa queue. Impossible de croiser son regard avec la couverture. J’ai juste attrapé ses cuisses, et j’ai commencé à pomper vigoureusement. J’ai poussé un soupir de satisfaction, mais ma voix trop masculine n’a pas dû lui plaire, il a augmenté le son du porno et j’ai continué ma vigoureuse fellation en restant le plus silencieux possible.
Tout à coup, il m’a ordonné de lui lécher les couilles. « Sinon je vais jouir, et je veux gicler dans ton cul, pas dans ta bouche. » J’ai donc ralenti le rythme et me suis mis à lécher ses boules, le pli entre sa jambe et ses couilles. Il poussait de long soupirs entrecoupés de « ah, oui, c’est bon ».
Tout à coup il s’est relevé. J’ai senti qu’il faisait pression sur ma fesse pour m’indiquer de changer de direction. Je me suis mis face à la TV. La blonde était alors en train de se faire prendre : une bite dans le cul, une autre dans la chatte.
Mon hôte à redressé un bout de couverture. et il a déclaré : « Ah, ça va, tu n’as pas le cul trop poilu. Je l’ai senti écarter mes fesses. Son gland s’est posé sur mon anus, avant de s’y enfoncer d’un coup ! »
J’avais bien fait de m’élargir le trou avant de venir, il n’y est, en effet, allé avec aucune douceur. En à peine quelques secondes, je sentais claquer ses cuisses contre mes fesses au rythme rapide de ses aller-retour.
Puis je l’ai ressenti repousser un peu le plaid, laissant mon cul à l’air libre, sur lequel il a fait claqué sa main quelques fois en hurlant que c’était bon.
Puis il enfonça sa queue en moi dans un dernier râle. Je la sentais tressauter en moi. Sans un mot, il s’est levé, il est sorti de la pièce et j’ai entendu un bruit d’eau dans la pièce d’à côté. Je suis donc retourné dans le hall d’entrée, me suis replugué, me suis rhabillé. J’ai plié le plaid et l’ai déposé sur le sol là où je l’avais pris.
En route, excité comme jamais je me suis arrêté sur un lieu connu pour être un lieu de drague la nuit. C’est là que j’ai vu que j’avais reçu un nouveau message : « Je n’aurais jamais cru que ce soit si simple de se vider les couilles. »
J’ai simplement répondu « J’ai adoré te servir de vide-couilles. N’hésite pas à me convoquer à nouveau ! » À ce jour, ce n’est encore pas arrivé.
Akatpatt
jaimeca78@gmail.com
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