À quatre pattes, par un jeune mâle de 20 ans, très bien monté qui était en train de faire de petits mouvements de rotation du bassin histoire de bien m'élargir la rondelle. Je n'en revenais toujours pas. Hétéro, la trentaine, chasseur de nana, très masculin, un petit cul adorable qui plaît énormément, rien ne me prédisposait à me faire tringler par un jeune mec. Léo était puissant : nouveau coup de rein, véritable coup de boutoir. Je sentais ses couilles frapper mon cul. Il grognait et ne boudait pas son plaisir. De temps à autre, il se penchait sur moi et il me murmurait des insultes ou me mordillait l'oreille. Le pire, c'est que cela m'excitait grave. Je bandais comme un cheval. Comme si cela ne suffisait pas, après avoir eu un peu mal chaque coup de boutoir me procurait désormais de plus en plus de plaisir. Jamais je n'aurais pensé qu'un jeune mec puisse être aussi endurant.
À la fois perdu dans mes songes, à la fois soumis, je me comportai comme une vraie femelle. Léo était mon élève à la fac. Il était grand-environ 1m 80-; il avait des épaules larges ; des pectoraux bien dessinés, un fessier et des cuisses puissantes. Son visage très masculin, ses sourcils fournis et ses lèvres charnues complétaient le tableau. Il dégageait une énergie sexuelle très communicative : les nanas étaient littéralement folles de lui. Léo venait de changer de position : il me montait ses jambes de chaque côté de mon cul. Il me pénétrait à fond. " C'est ça que tu voulais salope, une bonne grosse bite dans ton fion ". Jamais on ne m'avait traité comme cela. Jamais je ne m'étais senti un objet sexuel à ce point. D'ordinaire, avec les femmes c'est moi qui commandait. Et pourtant là, à ce moment précis, je prenais plaisir à être dominé. En cours, dès que je le regardais, Léo me souriait. Un sourire ravageur dont il avait le secret et qui manifestement faisait fondre les filles et certainement quelques garçons dont il alimentait les fantasmes. Il me maintenait fermement par les hanches. " Je vais te remplir !
petite chienne ".
Léo restait régulièrement à la fin de chaque cours et me demandait des explications complémentaires. Un jour, il me demanda si j'appréciais son sourire. Je lui ai répondu que c'est surtout les filles qui l' appréciaient et qu'il savait très bien qu'il était beau garçon. Avec beaucoup d'insolence et de provocation il a ajouté ce jour-là " vous verrez, avec moi vous changerez de bord ". Je n'ai pas relevé et nous nous sommes séparés. Les deux semaines suivantes, plus de Léo. Alors que je repensais aux évènements qui m'ont conduit dans son lit la voix grave de Léo me ramena à la réalité : " retournes toi, je vais te casser le cul dans une autre position " Et sur le dos, jambes sur ses épaules, il me tringlait à nouveau sans retenue et avec une puissance inouie . Des ondes de plaisir se propageaient en moi comme autant de bouffées de chaleur. " tu verras, comme les autres, tu ne pourras plus de passer de ma grosse queue, petite salope " Toujours des insultes et toujours autant d'excitation.
C'est son absence de deux semaines qui m'a conduit à m'inquiéter de la situation auprès de ses collègues et amis étudiants. Stéphane, manifestement son meilleur copain, me répondit non sans reproches contenus : " c'est de votre faute ! " " Comment ? " " Vous lui résistez et il n'a pas l'habitude alors il déprime . " " J'ai bien compris ses avances mais je suis hétéro et en plus j'ai dix ans de plus que lui ! " " Il adore se taper des hétéros et il en a plein à son tableau de chasse ; Quant à l' age, pour lui ça ne compte pas puisque vous le faites kiffer " " Il ne faut pas qu'il arrête les cours pour autant " " ça dépend de vous, il m'a dit qu'il ne reviendrait qu'après vous avoir rendu dingue de sa queue... " " et il croit vraiment que je vais céder à ce chantage imbécile ce petit con ? " " c'est ce que je disais moi avant de m'être fais exploser le fion par son énorme queue. Depuis, je suis accro." Cette conversation commençais à me chauffer sérieusement ; " Eh ! on dirait que vous dites non mais que votre queue dit oui ... " " Bon, donnes moi son adresse et casses toi petit PD. Tu lui diras que je passerai ce soir mais qu'il n'est pas question qu'il me touche : je suis son prof, pas sa meuf ! " " ok, à très bientôt... ". Le soir, je me présente à l'appart de Léo. Il m'ouvre, nu, avec une serviette autour de la taille. " Entres, Stéphane m'a prévenu. " " Il a dû aussi te dire pourquoi je souhaitais te voir " " oui, il m'a dit que tu avais envie que je te laboure le fion. " " oh !!! le petit salopard ! je n'ai jamais dis ça, c'est pour que tu reprennes les cours que je suis ici. " " Ok, je reviens en cours si tu te laisses casser le cul "
Il avait une assurance déconcertante pour son age et une voie grave de mâle envoutante. Son tutoiement m'a d'emblée déstabilisé d'autant qu'il en imposait et qu'il jouait le mâle dominant. Je ne sais pas ce qui m'a pris mais toujours est-il que je suis tombé à genoux. Il a sourit , a fait tomber sa serviette et a pointé son énorme gland sur mes lèvres. Je n'avais pas l'habitude d'admirer des bites mais celle-là était impressionnante et beaucoup plus grosse que la mienne sans parler des couilles qui faisaient aussi le double des miennes. Moi qui croyais être bien pourvu, je me sentais comme un petit garçon avant sa puberté...
" Ouvres ta gueule salope ! " Comme un con, j'ai obéis. Sans aucune retenue, il me la fourrée profond en essayant de forcer ma gorge. J'ai failli mourir étouffé et il a fallu que je fasse des efforts surhumains pour ne pas dégueuler. Il était ressorti et me fouettait la tronche avec son énorme manche. " Tu vas voir, je vais bien te dresser et ta gorge me servira de garage à bite ! " " ouvres je t'ai dit ! " Il a été plus doux et puisque la situation m'excitait grave, j'ai mis du coeur à l'ouvrage et j'ai essayé de faire ce que les nanas faisaient avec moi d'habitude : massage des couilles, main qui branle son manche pendant que je lui massais le gland dans ma bouche avec ma langue etc... J'en profitais pour l'admirer : il était vraiment splendide :
des cuisses poilues àsouhait mais surtout très puissantes. Un cul rebondi. Un torse imberbe et lui aussi musclé... Je commençais vraiment à y perdre mon latin : je me mettais à kiffer sur ce jeune mâle, moi l'hétéro- enfin, jusqu'à ce qu'il me baise la gueule. " tu veux que je te dépucelle le cul ? " Je me suis entendu lui dire oui comme dans un songe et je me me suis retrouvé à quatre pattes, Léo en train de m'assouplir la rondelle avec ses doigts enduis de gel. " Tu vas être ma meuf le soir et mon prof en journée " " je vais te sauter toutes les nuits : tu ne pourras plus te passer de mon braquemard sans parler de celui de Stéphane qui meurt d'envie de te démonter avec moi. " J'ai ensuite compris ce que signifiait l'expression " se faire emmancher ".
Léo m'a enfilé jusqu'aux couilles avant de se pencher sur moi en me soufflant à l'oreille " tu vois, ça y est, tu es ma meuf et je vais bien te saillir ". La suite vous la connaissez. Si j'ai eu d'abord un mal de chien qui m'a extirpé des larmes, j'ai ensuite pris un pied d'enfer. Je me suis mis à couiner à chaque coup de rein de Léo. Il a apprécié et s'est bien laché en me démontant le cul à fond. Il a éjaculé sur ma tronche et a étalé son jus avec son énorme manche. " Ma chérie demain soir, tu seras là à huit heures et je t'attendrai avec Stéphane... " Je suis parti tout remué en ayant du mal à marcher avec ce que Léo venait de me mettre mais tellement content. Ensuite c'est une autre histoire...
Stephtitof
stephtitof@gmail.com
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