Frank, copain de fac et maintenant prof, avait décidé de faire construire sa maison avec sa meuf Manu. On partait régulièrement en vacances ensemble avec une bande de potes et de copines. Son frangin, Stéphane, se joignait souvent à nous. Au programme vélo, pêche et randonnée sur les sentiers côtiers. J'adorais suivre Frank lorsqu'il pédalais histoire de mater ses superbes cuisses musclées et puissantes. Yeux bleus, blond, grand et superbement bien bâti, look viril, un vrai régal pour les yeux. Et une bosse prometteuse là où il faut. Bref, pour l'heure nous avions la dalle de sa maison à faire sans toupie: moi et le frangin de Franck à la bétonneuse, deux potes aux brouettes, Franck et un maçon embauché pour la circonstance pour la confection de la dalle. Dure journée en perspective...mais régal des yeux avec Stéphane aussi beau que Franck avec un petit cul d'enfer, une gueule d'ange et un sourire ravageur. Ces deux là, déclarés hétéros, ont souvent fait partie de mes rêves et sans le savoir m'ont souvent vidé les couilles. Nous avons bossé deux bonnes heures quant soudain Stéphane plante sa pelle dans le sol et en s'appuyant sur le manche, me regarde et me dit "Salope !". Surpris, je lui réponds:
- T'aimes les mecs toi maintenant ?
-Non, j'aime les salopes.
-Et qui te dis que je suis une salope ?
- T'arrêtes pas de nous mater Franck et moi; ça fait longtemps qu'on a repéré ton manège et ton cul nous plait.
J'ai bien noté le "nous" et une bouffée de chaleur me traverse. Stéphane s'est rapproché pour me murmurer quelque chose à l'oreille:
- Une salope, c'est fait pour se faire casser le cul et tu vas devenir notre pute de chantier.
-ça, çà m'étonnerait, c'est vos jolis petits cul que je mate: je suis actif... alors...
Le visage de Stéphane se durcit instantanément et là je commence à avoir les boules: ils sont cinq et tous bien barraqués...
- tu vas nous donner ce que l'on veut: ta bouche puis ton cul de lope.
Je me dis que pour sauver mon cul, il est urgent que je me casse. Je ne dis rien, je tourne les talons et me dirige d'un pas décidé vers ma caisse. Stéphane ne bouge pas et a un sourire en coin: il se fout de ma gueule ce con ! Je monte dans ma bagnole et là mauvaise surprise: plus de clefs. Je retourne vers Stéphane qui avec un large sourire me montre les clefs qu'il tient du bout des doigts en les agitant.
- Tu ne partiras pas sans nous avoir fait plaisir... et je suis impatient: regardes là où tu me mates d'habitude.
Encore ce "nous"... Je jette un oeil furtif à son entrejambe et sous sa combi de travail je distingue nettement une barre qui a l'air impressionnante: il bande ce con ! et moi ça commence à me chauffer sec tout ça.
- Suis moi, tu vas me sucer.
- je t'ai dis non: je suis actif, bordel de merde, je me suis jamais fait démonter la tronche ou le cul
- Il y a un commencement à tout et pour toi c'est maintenant
Stéphane m'attrape par le bras très fermement et m'entraine vers l'intérieur de la maison en marmonant :
- Tu choisis: tu nous laisse te casser la bouche et le cul ou c'est ta tronche qui va morfler
Encore un "nous" et autoritaire avec ça... et terriblement mâle: je commence vraiment à kiffer: je résiste un peu pour la forme mais je suis le mouvement. On rentre dans la maison et on monte au premier étage: les autres mecs ont arrêté de bosser et discutent avec une bière à la main: ils nous regardent passer en se marrant. Franck fait un clin d'oeil à son frangin. Eh merde ! ils sont tous de mèche pour me sauter... Arrivé là haut dans l'une des pièces, Stéphane me jette sur un matelas. Il s'approche, me prends par les cheveux et me colle le visage contre la combi à hauteur de sa tige qui semble déjà hyper raide.
-Vas y salope, lèche ma teub à travers ma combi. Tu vas bientôt la gouter. Je vais bien te ramoner en profondeur...
Ä ma grande surprise me faire dominer par ce beau mâle me fait kiffer d'enfer: je bande comme un cerf et Stéphane le voit:
-On dirait que t'apprécie petite pute ! Tu kiffes hein ?
Je n'ai pas le temps de répondre, il fait glisser la fermeture éclair de sa combi et sa queue jailit. Petit pervers...il n'avait donc rien sous sa combi histoire de mieux faire voir sa grosse tige moulée par le tissu. Magnifique bite: droite, dure longue et grosse au dessus d'une superbe paire de couilles. je craque.... et je me jette dessus: je lui lèche le gland plein de mouille avant d'essayer de l'enfourner mais elle est trop grosse: je n'en avale qu'un tiers et j'ai l'impression d'avoir la bouche écartelée.
-Il va falloir t'appliquer et faire mieux que çà
Sur ce il me passe une main derrière la nuque et d'un coup de rein me glisse sa queue au fond de la gorge: son gland force le passage et j'ai un haut le coeur. Je manque de m'étouffer; il se retire et recommence. Il me lime la bouche et j'adore voir son chibre entrer et sortir. Ses couilles s'écrasent sur mon visage. De temps en temps, pour ne pas jouir il fait une pause et me fouette le visage avec sa tige: un régal, j'adore. Il va de plus en plus vite et ses coups de reins sont puissants. Il me démonte la tronche. Il me maintient la tête avec ses mains et se sert de ma bouche comme d'un fleshjack en poussant des gémissements rauques de mâle.
-Je vais bien te spermer la tronche salope
Il sort sa queue de ma bouche juste à temps et il explose: je reçois son sperme en plein visage en longs jets puissants. Il m'attrape par les cheveux et m'étale son foutre avec sa bite.
- Ne bouge pas: tu es notre vide couilles maintenant: je vais chercher Franck: c'est ton cul qui va prendre cher et il est encore mieux monté que moi: tu vas kiffer grave.
- Et au lieu de me tirer avant que mon cul ne prenne "cher", je reste à attendre l'assaut du mâle suivant... sans me branler, la bite raide...
J'entends Stéphane et Franck en bas de l'escalier:
- Tu va voir, elle est bonne. Bien dressée, elle va nous donner beaucoup de plaisir.
- Je vais lui ouvrir le cul pour les autres.
Charmante conversation... Si je comprends bien, ils ont vraiment l'intention de me transformer en pute. Il faut que je me casse même si je kiffe grave sur les deux frangins: les autres ne me plaisent pas du tout. Je me lève, remonte mon fut que j'avais baissé histoire de me mettre à l'aise et me dirige vers l'escalier. je sais que je vais croiser Franck et Stéphane qui étaient en train de discuter (de moi) mais je vais leur montrer que je peut être très bourrin: il va falloir qu'ils se poussent. Je descends l'escalier quatre à quatre, bouscule les deux frangins en passant entre eux deux. Stéphane, le plus léger, tombe. Ils hurlent en direction des trois autres qui sirotent toujours leur bière.
- Rattrapez le
A suivre... merci pour vos messages et vos suggestions.
Stephtitof
stephtitof@gmail.com
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