histoire sans paroles
Comme dit la chanson: "je m' baladais sur l'avenue, le coeur ouvert à l'inconnu.....",flanant dans les rues de cette capitale normande quand j'aperçu dans une petite ruelle adjacente le néon d'un sex-shop.
Curieux de nature, je m' aventurai lentement vers cette enseigne, découvrant à la porte un très beau jeune homme qui fumait tranquillement.Le temps que je m'approche pour le voir de plus près, le voilà qui jette son mégot et tourne les talons pour rentrer à l'intérieur.
N'ayant pas eu le temps de voir son visage, je rentrai à mon tour dans ce lieu sombre.
La pièce était minuscule en fait, disposée de telle façon que deux rayons seulement occupaient l'espace: l'un dédié aux hétéros, et l'autre aux gays.
L'endroit me semblait désert mais en avançant un peu je pus voir une petite "cabine-caisse" derrière laquelle était assis mon illustre inconnu.Il me fit un signe de bienvenu avant de se replonger dans sa lecture, en bon commerçant discret .
Je fis alors le tour de la boutique, remarquant au passage un petit couloir sur le coté qui donnait accés aux cabines vidéos.
Comme je flanai et m'attardai dans le rayon gay, j'aperçus bientot mon vendeur se lever et venir dans les rayons pour remettre en place quelques DVD.Je constatai alors la beauté de son visage et devinai la ligne superbe de son corps.
Tout en m'interessant aux divers jouets exposés, je guettai du coin de l'oeil les allers et venues du jeune homme qui passait et repassait maintenant autour de mon étal.
Je sentais une certaine tension s'installer dans la boutique et voyais que cet individu s'interessait bel et bien à moi.
Je finis par me tourner vers lui, pret à lui poser une question banale afin d'engager la conversation,quand je vis qu'il se posait ostensiblement la main sur le paquet en le malaxant, tout en me fixant.Mon sang ne fit qu'un tour et je passai ma langue sur mes lèvres, tel une invitation,avant de me retourner pour déposer le cockring enveloppé que je tenais dans les mains.
En un rien de temps, il vint alors se plaquer contre mes fesses pour me faire sentir comme il bandait déjà ferme.Je me cambrai pour l'exciter davantage et lui montrer que j'étais open avant de me retourner vers lui pour lui caresser de mes deux mains sa bosse proéminente.
En un signe de tete, et de la main, il me fit comprendre autoritairement de me diriger dans le couloir, à l'abri des "éventuels" regards des "éventuels" clients .J'obéis sans protester et le temps qu'il tire légerement un discret rideau, j'otai mon tee-shirt , ouvris mon jean, et me postai à genou face à lui.
Il sortit alors sans préambule sa queue de son fut et me la proposa directement en bouche.Comme je m'appliquai à lui sucer lentement le gland pour commencer, il s'impatienta et me la coulissa directement au plus profond qu'il le pouvait,tout en jetant des regards inquiets par le rideau entrouvert.
Par chance, ou malheureusement, c'est selon, personne ne rentra durant les quelques 15 minutes de mon passage.
Tout en me caressant le paquet et me branlant à travers le boxer, je fut littéralement baisé de la bouche par cette grosse queue épaisse et si appétissant, me remplissant le gosier sans ménagements.
J'avais maintenant sortit ma queue et la branlait au rythme de ses secousses, tout en lui caressant les fesses ou les couilles, de mon autre main.
Enfin, je le sentis se crisper et il se retira d'un coup pour finir de se branler au dessus de mon visage.Il se libéra alors en de longs jets de sperme chauds qui attérirent sur ma face et mon torse offert.
En gémissant de bonheur et au comble de l'excitation, je me positionnai le corps encore plus en arrière ,les fesses posées sur mes talons, et m'astiquai le plus frénétiquement possible afin d'éjaculer à mon tour sur mon ventre, et sous le regard vicieux du maitre des lieux.
Tout en se rajustant,il me fit signe de rentrer dans l'une des cabines où je trouvai du papier pour me nettoyer quelque peu.Mattant au passsage quelques images du film qui passait là, je pris mon temps pour remettre de l'ordre dans ma tenue et retrouver mes esprits.
Lorsque je revins dans la boutique, l'homme avait reprit sa place,caché derrière sa caisse,et retrouver sonattitude de vendeur distant.Il me salua juste d'un sourire et d'un signe de la tete avant que je ne ressorte dans la rue,sans jamais avoir entendu le son de sa voix...
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florian