la première queue dans mon cul
Je vais parler de la première queue dans mon cul serré. Cette aventure a eu lieu en 2005 dans une chambre d'hôtel. J'avais 26 ans.
Je suis de Taroudant, une ville au sud du Maroc. J'étais en déplacement à Rabat, la capitale du royaume, pour passer un concours au siège du ministère des Finances. Le soir du même jour, je me dirigeai vers un hôtel populaire. Là je louai une chambre dont la porte et la fenêtre donnaient sur le passage public. Il faisait chaud (le mois d'oût, s'il vous plaît). C'est pour cette raison que je laissai la porte à moitié ouverte, tout en m'allongeant à plat ventre sur mon lit et me mis à remplir une grille des mots fléchés. Mon unique vêtement était un short.
Un homme dans les quarantaines passa dans les toilettes, et le voilà de retour après un court instant. En moins de cinq minutes, il refit le même jeste. En levant la tête, je decouvris que l'inconnu se prêta pour me dire quelque chose. En effet, sans trop tarder, il me demanda d'une voix basse si j'avais un briquet. Je lui répodit par la négative. Et, dans un sourire curieux, il contempla le journal à ma disposition avant d'ajouter:
- Tu es un fan des mots-fléchés, paraît-il!
- Oui, répondis-je.
- Moi, aussi. Je peux consulter cette grille?
- Bien sûr, dis-je, en lui tendant le journal.
Mon homme jeta un coup d'oeil sur l'exercice et me proposa de l'accompagner dans sa chambre qui, à sa description, était plus aérée et tranquille. J'acceptai son ordre sans hésitation (car, au fond, moi aussi, je soufrais de la solitude et je voulais me délivrer de la pression des exercices de statistiques d'il y avait quelques heures).
En accédant à la pièce de mon "hôte", je fus étonné par l'ambiance du lieu: c'était très spacieux et lumineux; en plus, la fenêtre donnait sur la rue. Un espace tranquille comme disait l'autre.
On remplissait notre grille petit à petit. Mais, à un moment, je vis que l'inconnu s'approcha petit à petit de moi: le pied d'abord, le coude ensuite, puis sa main qui prit place sur mon dos, et enfin ses lèvres près des miennes. Je fus piqué. J'assayai de m'éloigner un peu de lui, mais à chaque tentative, il me rassura par un sourire timide tout de même. Nous étions ainsi pendant prêt de dix minutes et mon homme de me chuchoter:
- Tu aimes qu'on se touche?
- Mais comment? On est hommes quand-même, dis-je.
- Oui, oui, mais ça n'empêche. Tu n'as jamais fait?
- Non.
- On essaie?
Mon silence fut interprété comme un signe d'approbation. Ainsi, sans préliminaires, il infiltra sa main entre mes cuisses en me touchant doucement les couilles. A vrai dire, je n'étais pas tout à fait d'accord, mais je cédai à mon plaisir en le laissant faire. Il me conduisit même jusqu'à l'éjaculation. Après cette opération, il se concentra sur mes fesses en répétant que j'avais un cul bien formé. Quant-à moi, je ne répondis pas à ses "compliments".
Il enfonça doucement un doigt dans mon cul, je le laissai faire; il introduisit un deuxième après l'avoir enduit avec un produit qu'il versa d'un flacon; un troisième me fit sauter de ma place, mais voilà que le quadragénaire réussit à entrer ses trois doigts dans mon trou sans complication. C'était un artiste. Le sourire ne se sépara guère des lèvres de cet homme qui, d'une habilité remarquable, me tourna sur le ventre tandis que je me contentai de subir comme un "passif".
Il enfila une capote et me demanda de me relaxer autant que possible et de le laisser faire en me promettant de me prendre le plus tendrement du monde. Je ne sais pas comment je ne l'avais pas empêché de faire alors que je n'avais jamais essayé une chose pareille!!!!
Mais en réalité, je dois le dire, mon homme tenait à sa promesse. Il me pénétra très très très calmement en me laissant apprécier à chaque légère poussée. Au départ, c'était dur. Je sentis comme un bâton dans mon trou. Mais, avec son savoir-faire inimitable, je finis par m'habituer et admirer cette pénétration durant laquelle je sentis un plaisir luxueux.
Mon homme finit comme il avait commencé en beauté. Lorsqu'il retira sa queue, mon cul palpita quelques minutes et j'avoue que c'était ma-gni-fique!!!!
brun beuret
brun-beuret@hotmail.com