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Servir la science

From: Olivier.xxxxxx@xxxxx.fr
To: yann.xxxxx@xxxx.com
Object:

Salut Yann,
Tu va jamais croire ce sur quoi je viens de tomber en faisant une manip de maintenance à distance sur le PC d'un stagiaire au boulot.
Pour que tu comprenne bien, faut que tu saches que Julien est bien stagiaire chez nous depuis à peu près 6 mois.
Bonne gueule, gentil, du genre pas causant, mais agréable. Il est assez grand et sportif, ce qui fait qu'il a des jambes et des fesses plus hot
que celles de toutes les putes du labo ^^.

Du coup quand je suis tombé sur ça, je t'avoues que ça m'a donné quelques idées, que ce qu'il a écrit soit vrai ou non.
A+

**Pièce(s) jointe: Servir_la_science.txt***************************************************************************************************************************************************

>>

Je m'appelle Julien et j'ai 21 ans. Je termine mes études d'informatique en réalisant mon stage de fin d'année au sein d'un laboratoire d'informatique réputé.
J'ai eu énormément de chance d'y trouver un stage et j'espère pouvoir y trouver un emploi en tant que ingénieur, au service d'une équipe de recherche.

Ce jour la avait eu lieu mon évaluation de mi-parcours. Les responsables d'équipe sont satisfait de mon travail, je suis perçu comme quelqu'un de discipliné
et ne se ménageant pas à la tâche. Cependant mon coté timide et un peu dans ma bulle ont mit un bémol à mon évaluation, ces traits de mon caractère étant susceptible
de m'empêcher de m'intégrer pleinement à une équipe de recherche.

Tels sont les pensées qui traversent mon esprit alors que je parcours le chemin menant à mon bureau. Je quitte habituellement le travail à 17 heures le vendredi,
je suis donc en week end depuis bientôt trois quart d'heures. Je rentre dans mon bureau pour prendre mon sac et quitter le laboratoire, mais lorsque mes yeux se posent
sur la plante grasse de mon bureau, je me ravise et prenant ma bouteille vide, je décide d'aller chercher de l'eau aux toilette.

En arrivant dans les toilettes, je commence par passer mes mains sous l'eau dans l'espoir de me rafraîchir, puis ajuste le goulot de ma bouteille sur
la sortie du robinet. La chasse d'eau retentit soudain dans la cabine voisine, rapidement suivi par le claquement sec d'un loquet puis du grincement pressé d'une porte
ouverte rapidement. Quelqu'un jaillit dans la petite pièce ou se trouve le lavabo, et tout en finissant de rincer ma tasse, je le regarde entrer avec un sourire un peu gêné.
Je ne l'avais encore jamais vu au laboratoire. Il n'est pas très grand et est un peu enveloppé dans son costume sobre. La petite cinquantaine,
il a les cheveux clair et fin, ses lunettes accentuent le regard sévère que me lancent ses yeux vifs lorsqu'il s'immobilise pour me scruter.
Il semble contrit et étonné de me trouver ici. Je parviens a bafouiller un:
"-Pardon je me dépêche.".
L'expression de son visage ne change pas, et cela me mets mal à l'aise. Peut être me trouve il suspect car nous ne nous sommes pas encore rencontrés ?
"-Je.. Je suis Julien Maroni, je suis stagiaire dans l'équi..".
"-Avez-vous terminé ?"
Rapidement, je fermais le robinet et revissa le bouchon de ma bouteille.
"-Oui monsieur, bonne soirée".
Dis je alors que j'allais me retourner pour sortir.
"Professeur."
Rectifiât il en me regardant par dessus le verre de ses lunettes, figeant instantanément mon sourire et ma sortie.
"Professeur Nanrot."
A l'énoncé de son nom, mes entrailles s'étaient figées.

Le professeur Nanrot est une sommité du laboratoire, un chercheur à la carrière exceptionnelle, révéré par ses pairs et dont le nom était sur toutes
les lèvres au laboratoire. J'étais moi même un peu fasciné par cet homme qui semblait faire l'unanimité parmi tout les courants scientifique du laboratoire.
Tout mes projets avaient un rapport avec ses travaux et ceux de son équipe.
"-Veuillez m'excuser. Professeur Nanrot, je suis très honoré de travailler dans votre équipe..."
Il arrache une feuille d'essuie-main du distributeur, détache un stylo de sa veste et me tend le tout.
"-Drôle d'endroit pour venir me faire vos honneurs jeune homme, mais puisque vous semblez vouloir vous présenter ici, donnez moi votre prénom,
nom et votre adresse mail, je vous donnerais un rendez-vous."
Je n'aurais pas pu faire pire gaffe que de ne pas reconnaître le professeur. Je n'avais pas d'autre choix que de lui donner mes
coordonnées. Je posais cette carte de visite ridicule sur le distributeur de papier.
"-Voilà. Professeur." Il m'avait déjà tourné le dos et se lavait les mains.
"-Je devrais pouvoir trouver un moment, disons dans une heure ou deux. Je vous confirmerait par mail."
Son ton était sans appel, et l'idée de le contredire en lui parlant de mon week-end ne m'a même pas pas traversé l'esprit.

Sortit des toilettes je pris la direction de mon bureau. Je décidais de me plonger dans mon travail, autant pour patienter
que pour oublier cet épisode un peu embarrassant. Il était environ 18 heure 30 lorsque mon logiciel de messagerie tinta. Le message était
envoyé par le gestionnaire d'agenda du professeur :
"- Confirmation de rendez-vous - Lieu: même lieu - Date: immédiatement -".
J'eus un moment de confusion en lisant le message, mais il ne faisait pas de doute que le professeur me donnait
rendez-vous dans les toilettes du laboratoire. Je rougit en réalisant que le professeur se moquait un peu de moi en me donnant ce rendez vous,
mais j'imagine que je l'avais mérité. Je sortais donc du bureau et parcourais avec un peu d'appréhension le chemin me menant aux toilettes.
J'entrais dans les cabinets comme avec respect, osant à peine inspecter les portes des deux cabines, qui se révélèrent être vide. Alors que je
cherchais en vain une posture d'attente convenable, la porte s'ouvrit et laissa apparaître le professeur.
"-Oui merci !" Dit il en réponse à une personne que je ne pouvais pas voir, et qui lui rétorqua quelque chose que je ne compris pas.
"-A bientôt !" Lançât il encore en direction du couloir, alors que son visage souriant se posait sur moi, et qu'il entrait en avançant dans ma direction.

Son sourire se dissipa peu à peu, tandis que sont front se contractait légèrement.
Pr:"-Allons."
Me dit il désignant une cabine et en continuant d'avancer vers moi, l'air sérieux.
Je le précédais à l'intérieur de la cabine comme si il s'était s'agit de son bureau dans lequel il m'invitait a entrer.
Pr:"-Assis. "
Je m'exécutais, en attente des explications qui allaient suivre.
Pr:"-Bien. Sait tu qui je suis à présent ?"
J:"-Vous êtes le Professeur Nanrot.."
Il sembla s'immobiliser, le regard fixé sur moi
J:"-..Professeur"
Il posa une main sur ma tête comme pour me féliciter de ma bonne réponse. Il continuait de se moquer de moi pour ne pas l'avoir reconnu
et m'être présenté à lui aux toilettes.
Pr:"-Quand à toi tu es ce nouvel ingénieur dont j'ai entendu parlé. Tu te dévoues au travail parait il...
Tu as choisis un métier ou tu sers les chercheurs, c'est ce que tu aimes faire ?"
J:"-Oui.."
Pr:"-Il parait que tu es un bon outil, je vais peut être essayé de me servir de toi."
J:"-Vraiment ?" Si je pouvais prouver mon utilité au Professeur, j'avais de grandes chances de trouver un emploi dès la sortie de mon stage.
Pr:"-Oui, enfin, je vais essayer de te rendre utile."
Sa main qui n'avait pas quitté le haut de ma tête se referma sur la masse de mes cheveux bruns bouclés.
Pr:"-Pour ça, il faut que tu acceptes d'être la uniquement pour me servir. Que tu comprennes bien que nous ne sommes
pas égaux toi et moi et que tu accepte de faire ce que je dis."
J:"-..Je comprends, Professeur."
Pr:"-Non, tu ne comprends rien, sinon tu ne m'aurais pas interrompu." Il secoua légèrement le poing qui enfermait mes cheveux en réprimande, secouant mon crane par la même occasion.
Je fronçais un peu le visage mais n'osais pas dire un mot.
Pr:"-C'est vrai que tu semble docile et obéissant, mais je dois m'assurer que tu es un bon outil. Et pour cela, je dois t'essayer. Ouvre mon pantalon."

Mes yeux s'arrondir mais je devinais ici un test, il souhaitait de moi une coopération total et voulait voir de quoi j'étais capable. Je décidais donc
de lui prouver ma motivation, et d'agir selon mon discours. Me hâtant, j'écartais les pans de sa veste pour ouvrir le bouton du haut de son pantalon. Tandis que j'ouvrais
la fermeture éclair, je sentit une traction lente mais ferme exercée sur mes cheveux. En bon outil je décidais de ne pas bouger et de suivre les mouvements de mon manipulateur.
"-Tu commences à comprendre."
Constatât il tendit que mon visage s'enfouissait dans les pans de sa chemise et s'écrasait doucement sur les formes en coton blanc de son sous-vêtement. La pression sur ma tête ne diminua pas,
mais s'anima lentement de mouvements circulaires. Il frotta mon visage contre son entrejambe pendant quelque dizaine de secondes, son membre enflant doucement.
"-Tu as l'air d'accepter facilement de devenir mon objet, ça ne m'étonne pas trop à vrai dire."
Dit il en tirant mes cheveux en arrière et en m'inspectant d'un regard froid, le bras tendu.
Son gland à demi décalotté effleura mon visage lorsqu'il libéra son sous-vêtement de l'érection qui menaçait de le rompre.
Son sexe n'était pas tout à fait rigide et il continua d'osciller doucement en se rapprochant de mon visage.
Puis, alors qu'il plaquait sa main libre sur mon menton pour m'ouvrir la bouche, il enfonça mes lèvres avec son gland et y logea la partie supérieur
de son sexe. Le contact était très doux et chaud dans ma bouche, beaucoup moins désagréable que ce que j'aurais pu imaginé.
"-Mais il ne suffit pas que l'outil soit utilisable et soumis comme tu l'es."
La moitié de son sexe entrait dans ma bouche maintenant, il était a présent très dur et écrasait ma langue avec un goût amer qui coulait vers ma gorge.
"-Le bon outil doit répondre aux attentes de celui qui l'utilise."
D'un coup de rein sec, il fourra son membre jusqu'au fond de ma gorge, tout en affermissant sa prise sur mes cheveux. Il m'immobilisa ainsi, emplissant toute ma bouche et ma gorge,
étirant mes lèvres autour de la base de son pénis.
Je sentit alors qu'il lâchait mes cheveux et mon menton. Je parvins à réprimer juste à temps mon besoin de me dégager, en réalisant qu'il s'agissait d'un nouveau test.
Je contractais mes abdominaux et les muscles de mon coup pour rester tel qu'il m'avait placé.
"-Il faut que tu sois bien convaincu que tu es faite pour assouvir mes envies. Que c'est ta seule utilité. Mais ça semble inné chez toi,
tu sais reconnaître ton supérieur, et tu sais quel comportement il convient d'adopter envers lui."

Il se retira de ma bouche d'un seul mouvement et reposa son sexe chaud et humide sur mon visage tandis qu'il saisissait mon poignet.
La torsion sur mon poignet m'obligea à me lever, à me retourner et à appuyer ma main libre sur le mur pour ne pas m'affaler sur les toilettes.
Encore haletant, les lèvres en feu et dégoûtantes d'une salive épaisse, je sentit la main du professeur manipuler l'ouverture de ma ceinture. Une fois
desserrée, il baissa d'un geste brusque mon pantalon jusqu'aux genoux et la resserra fermement, collant mes cuisses l'une contre l'autre et
m'obligeant à garder les jambes tendues.
Après avoir levé la lunette des WC, sa main se plaqua à l'arrière de mon crane et poussa doucement ma tête jusqu'à ce qu'elle entre dans le cuvette et se cale sur l'émail froid.
L'odeur mêlée de détergents et d'urines assaillit mes narines et me mets au bord de la nausée, mais je me reprend, appuie ma mais libre sur le bord de la cuvette, et reprends mon souffle par
petites bouffées.
En me poussant ainsi à me pencher les jambes tendues, mon dos est cambré et mes fesses sont venus épouser le bas-ventre du professeur, son sexe s'est glissé entre mes
cuisses.
Il lâcha mon poignet. Mon bras libéré était un peu endolori, mais je parvins à l'agripper a l'autre rebord de la cuvette.
Il libéra son sexe d'entre mes cuisses en le faisant remonter dans le sillon de mes fesses, glissant sur le tissu tendu de mon boxer.
Il caressa ensuite mes longues cuisses, mes fesses rondes et fermes, testa leur fermeté, les soupesa. La claquement qui retentit me fit sursauter et je me cognais la tête, je ressentit la brûlure de la gifle sur ma fesse droite immédiatement après.
"-Ah, tu es un bel outil Julien. . Espérons que le test sera concluant."
Il baissa mon boxer d'un geste brusque et posa son gland contre mon anus. Le contact était doux et chaud et décontracta tout mon corps un instant, ce qui sembla
donner le signal au professeur, qui agrippant mes hanches à deux mains, mis tout son poids dans un coup de rein qui enfonçât entièrement son membre en moi.
Mon anus est brûlant de douleur suite au frottement violent qu'il vient de subir et complètement distendu par le diamètre de la base de sa verge. Mon dos et me tête supporte une grosse partie du poids du Professeur qui continu de s'appuyer sur moi.
Pourtant je ne sens que son énorme sexe dur et bouillant au fond de moi. Il irradie la chaleur dans tout mon ventre, et tout le reste m'est égal. Je ne m'étais jamais senti aussi comblé, comme
si j'avais vécu pour ce moment depuis toujours, je venais de comprendre mon rôle sur cette terre.
Quand je pensais enfin à respirer de nouveau, ce fut malgré moi des gémissement de plaisir qui sortaient de ma bouche.
"-Et bien, voila qui est charmant, Julie".
Dit il en souriant, alors qu'il se reposait sur ses pieds. Ces légers mouvements firent tressauter son membre en moi, et fit de nouveaux exploser mon ventre de chaleur, m'arrachant de nouveaux gémissements. Je pris conscience
qu'il avait féminisé mon prénom, mais ce
"-Oui, je pense pouvoir te trouver une utilité de temps en temps".
Dit il tout en caressant mes cotes en flattant mes flancs, comme il l'aurait fait avec un animal.
Je me sentait tellement bien à ce moment la, le professeur m'avait accepté, et je lui étais utile.
Ses mains agrippèrent de nouveaux mes hanches, et mon corps fut soudain saturé de plaisir alors qu'il reculait doucement son sexe, je sentais son gland palpitant se déplacer et se rapprocher de mon anus.
Puis un nouveau coup de rein brutal m'écrasa de nouveau contre l'émail, et remis le Professeur tout au fond de moi. Il recommença, et ses coups de boutoir devenant réguliers m'arrachaient d'incontrôlables gémissements de plaisir,
tout en m'ôtant le peu de volonté qu'il me restait.
Alors que j'essayais d'empêcher mes jambes de trembler sous l'action combinée de la fatigue et du plaisir, ses gestes s'accélèrèrent et gagnèrent soudain en vigueur. Mes pieds quittaient le sol au rythme des coups de son sexe,
et me tête semblait rebondir sur le rebord de la cuvette. Les mouvements déchirants mon ventre déclenchaient de violentes éruptions de plaisir qui semblaient irradier dans tout mon corps. Le professeur finir par se maintenir à une cadence tel
que je ne pouvais n'empêcher de gémir en continu, la voix modulé par les secousses qui agitaient mon corps.
Je sentit soudain sa main se refermer sur les cheveux de ma nuque, et les tirer sèchement en arrière, m'obligeant à me redresser, encore et encore, puis à tourner le visage. Il n'avait pas arrêté de fouiller mes fesses pendant tout ce temps,
et je ne pouvais empêcher mon visage de frémir de plaisir tout en poussant de petits gémissements. Il me regardait comme pour vérifier quelque chose, et j'aperçus son sourire se dessiner lorsque, affirmant sa prise sur mes cheveux et les tirant au point de
me cambrer complètement sur son sexe, il commença à jouir au fond de moi. Il me regardait prendre sa semence et semblait content de moi. J'étais heureux. Il secoua son sexe encore profondément introduit en moi, puis se retira d'un coup sec, ce
qui m'arracha un hoquet de surprise, et me fit instantanément ressentir un vide, alors que je luttait pour reprendre mon équilibre. Sa main n'avait pas lâché mes cheveux, et il attira ma tête sans ménagement vers son bas-ventre, où son sexe encore dur
était luisant de son liquide séminal et de mes fluides internes.
"-Nettoie moi avec ta bouche Julie."
Sans même réfléchir j'ouvrais la bouche et me mis à lécher et à sucer toute trace suspecte sur le sexe du professeur, insérant méticuleusement ma langue dans tout les plis de sa verge.
"-C'est bien."
Dit il en essuyant son sexe humide de ma salive sur mon visage, avant de lâcher ses cheveux pour se rhabiller.
Il sortit, se lava les mains, et partit sans un mot. Me laissant seul et a moitié nu sur le carrelage des toilettes, le visage humide, le ventre plein et la bouche salée, regrettant déjà de ne plus être utile...

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