Sous le vieux porche
Ceci est une histoire réelle que j'ai subit
Je me promenais dans la rue d'un vieux quartier d'Avignon , quand soudain j'arrive près d'un impasse avec une envie de pisser . J'avance vers cet endroit qui se termine par un porche sombre et allure abandonné ; pas vraiment , pas les habitants du coin .
Dans la pénombre je n'avais pas vu le manège qui se passé , je dégrafe mon fut et sort ma bite pour me soulager ; c'est au moment de ranger mon matériel que j'ai sentis une présence derrière moi dont je ne voyais pas car c'étais assez sombre .
Je ne suis pas trop rassuré et commence à regagner le jour , c'est juste à ce moment là que je me sent bloqué et compris que je n'avais pas eu des impressions et qu'il y avais réellement quelqu'un , dans la lueur d'un filet de lumière j'ai pus apercevoir une paire de mecs qui ; attendais je me dis : des proies de mecs pour les violer .
Ce qui me déplaisez pas non plus , car ceci faisant partie de mes rêves et fantasmes , mais j'étais pas trop tranquille car je préfère voir les gueules des gars en questions . Celui qui apparemment m'avais bloqué me dis : si tu crie pas et que tu nous suit cela se passeras bien sinon tu vas dérouiller , je ne suis pas PD exprès pour qu'il me relâchent ; ferme là et tu n'est pas venu ici par hasard et tu à intérêt d'obéir salope .
J'ai beau eu essayé de lui dire que je suis venu pour me soulager la vessie et que j'ignorais l'endroit et que suis passé par pur hasard , il me répondis : on vas te soulager autre chose et malgré mes contestations et en me débattant pour m'arracher des mains du mec qui me traînais vers un escalier de cave complètement sombre , dont il me faisait descendre les marches en me poussant vers l'avant .
Arrivé au bas de l'escalier , il me fit rentrer dans une pièce peu éclairée dont je distingué trois visages de garçons d'une trentaine années tous torses nus , qui apparemment attendais la visite d'un mec ou plusieurs que le rabatteur leur amené , ils étaient assis sur une malle .
Au fond de la pièce , avec la lueur de la lampe j'eus aperçu des objets bizzares cela m'as fais redoubler de peur au sort qui allé m'arriver , un mec assis se lève et me fais avancer vers le fond de la pièce que je redoutais , arrivé au fond il commence par me prendre un bras et l'attacher à un pied du cheval d'arçon puis viens le tour de l'autre bras dont je me débattais , ayant profiter le temps qu'il m'attache le bras , sur le fait de ma contestation il appelas du renfort pour finir de m'attacher.
Maintenant étant attacher mains et pieds sur le cheval d'arçon , retournant vers la malle où ils étaient assis , ils l'ouvrirent et j'entendis un dire : Sultan prépare nous le travail , sous mes contestations de dire NON je ne veux pas je préfère que vous faisiez le travail je veux pas de chien , c'est ta punition ; tout à l'heure sous le porche tu aurais tu être docile , et là si tu crie tu auras une autre punition pour te faire comprendre qui sont les maîtres ici
Faisant arriver le clébard qui me présente en me disant que c'étais un bourrin et de nature endurant et très bien monté , c'est un grand Dalmatien plus haut que ma table de torture ,
là le mec le lâche et lui dis : au travail Sultan ; pas plutôt dis que je sentis l'animal à me fouiller le cul avec sa bite qui étais énorme .
Après quelques minutes de coups de queue hésitantes à forcer mon trou qui été écarté au maximum viens à faire d'un coup rapide et répété mon labourage de mon fion dont il à fini par me renter la totalité de sa bite énorme puis accélérant les coups réussi à me rentre ses grosses paires de boules pour ne plus bouger tout en continuant de faire des balancements comme si il voulais aller encore plus loin , bien que tout son appareil génital couilles et bite étais en moi , la taille de sa bite devais faire au moins 7.5 de diamètre et 25 de long.
Cela à duré au moins un quart d'heure , avant qu'il essaye de se retirer , mais comme il n'avais pas encore débander et que ces boules bloqués la sortie il me fis hurler de douleur , car le passage avais été horrible et n'étant mordu les lèvres pour ne pas crier ; cette fois je ne peut m'empêcher de crier et pleurer tellement qu'il essayé de sortir malgré la résistance qu'opposais ses boules bloquant la sortie , n'ayant pas encore débandé , au bout de plusieurs fois et me faisant gueuler de douleurs il arrive à sortir en force me faisant parcourir une douleur dans l'anus dont je n'avais jamais eu avant même avec des grosses queues , j'ai vite compris qu'il m'avait déchiré le cul en voulant s'enlever .
Le même mec qui n'avais conduit en bas me dis je t'avais prévenu , puisque tu à gueuler et tu m'as pas obéis je suis obliger de te donner une autre punition comme je te l'ai promis , protestant de ses paroles lui disant que je ne le referais plus il me dis il fallait y réfléchir avant , continuant comme si il m'avais pas entendu dis à un mec vas la brancher la machine , et comme tout cela se passé derrière moi je ne savais de quelle machine c'étais , il me dis le chien ce n'été que de la nioniote , je leur dis ne me faite pas ça je ne veux pas je veux pas crever , il me réponds t'en fais pas tu vas pas souffrir ton trou est déjà très ouvert pas Sultan et il vas rentrer sans problème.
J'entends un moteur ronronner qui s'approche de moi et il la fais positionner vers mon trou puis je sens un énorme gode plus gros que le cleps peut être 8.5 de diamètre et plus par 30 de long qui vas et viens assez lentement pour que je m'habitus à cette chose ; car il me dis si tu recries je vais devoir accélérer , je n'en pouvais plus car je me trémoussé de douleur et je ne voulais pas crier à nouveau puisqu'il aurais accéléré la machine ; n'en pouvant plus et étant au bord du malaise je lui dis d'arrêter car j'allais tourner de l'oeil , ne pouvant plus me retenir je finis pas gueuler tout ce que je pouvais mais personne , je me doute pouvais m'entendre , ce qui arriva arriva , il accélère la machine qui vas un peu plus vite et me fais tu cries une seule fois je la pousse à fond tu pige veille tantouze de salope de pédé , tu vas t'en souvenir de venir nous narguer en faisant semblant de pisser avec ton air d'hétéro refoulé .
N'en pouvant vraiment plus et au bord du malaise je me suis évanoui laissant faire la machine le travail de finir de me déchirer les chairs de ma rondelle , quand j'ai pu entendre
dire il ne faudrait pas que l'on est flamber et puis le trou noir .
LA SUITE PROCHAINEMENT
annonyme 12
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