Ephèbe indien
Mon histoire se déroule en juillet 2010. J'étais en congrès scientifique pour 17 jours à Bruxelles. Les représentants européens étaient là comme d'habitude, mais, cette année une délégation d'étudiants informaticiens indiens était invitée. Chaque membre de la délégation française se voyait attribuer un étudiant indien afin d'être son référent pendant la durée du congrès.
Le lundi matin, une réception était organisée entre notre délégation et les 10 étudiants indiens.
Ils étaient tous habillés de la même façon, sarouel noir (pantalon large) un genre de tee shirt blanc épais moulant et un gilet gris sans manche boutonné. Tous, étaient, à ma surprise relativement grands entre 1m70 et 1m90, longilignes, cheveux noirs, imberbes, certains a la peau cuivrée d'autre presque noirs.
Avec mes collègues nous étions impressionnés par la beauté de nos invités et l'image de jeunesse.
Mon président me présenta le jeune Arka, que je devais parrainer pendant la durée du congrès.
C'était un éphèbe superbe, de 24 ans,1m80 environ, peau cuivrée, yeux noir profond, cheveux corbeau, sourire éclatant sur des dents blanches à faire pâlir plus d'une femme de chez nous. Il avait un nez aquilin et deux petites fossette autour d'une bouche aux lèvres fines et claires et un sourire permanent presque espiègle..
En comparant mon petit Arka à ses collègues, je pensais avoir le plus beau du groupe ;
Rapidement nous quittions tout les deux la réception pour installer nos affaires de travail dans un bureau mis à notre disposition. Une petite pièce de 12 m2 avec une table de travail en bois clair, deux chaises en cuir noir, une table basse, une bibliothèque, un frigo et un petit meuble de rangement. Arka pris possession des étagères pour poser de nombreuses revues et livres qu'il avait déjà récupéré à l'accueil. Comme il parlait un anglais parfait nous pouvions discuter sans aucun problème. Après avoir été prendre le repas, nous nous sommes attaqué dans notre bureau, à l'étude de la thèse qu'il avait écrit sur un projet informatique. Si je comprenais bien la logique de formation le diplôme qu'il préparait correspondait à un doctorat chez nous. J'étais assis à coté de lui et humais son parfum musqué avec délectation. Souvent mon bras touchait le sien et sa peau fine et lisse me donnait la chaire de poule, à cause des chaises étroites, nos jambes étaient collées l'une contre l'autre et ce n'était naturellement pas pour me déplaire. D'autant que la minceur du tissus de son sarouel donnait l'impression qu'il n'existait pas. Je sentais chaque mouvement de sa cuisse à travers.
Je ne me lassais pas d'admirer mon bel étudiant lorsqu'il m'exposait ses théories pas toujours adaptées à notre logique cartésienne française. Nous avions semble t il un excellent feeling et souvent pour appuyer son discourt, il posait sa main sur mon avant bras, ce me faisait frémir. Que je lui aurait bien mis la main ailleurs ! Le soleil inondait la pièce et malheureusement ni volet ni rideau. Comme la chaleur devenait importante, Arka me demanda s'il pouvait ôter son tee shirt épais pour ne prendre que son gilet boutonné. Je lui proposais même de ne pas reprendre son gilet ce qu'il accepta et me permis de faire sauter ma chemise blanche qui commençait aussi à me coller à la peau par la transpiration. Torse nu lui et moi poursuivions notre travail . Je sentais sa peau douce le long de mon épaule ; Je pouvais détailler son corps mince et légèrement musclé dessous des bras rasés, corps imberbe, avec deux tout petits tétons à la pointe très noir. Vers 17 h nous convenons d'arrêter de travailler pour discuter. Il m'appris qu'il vivait depuis trois ans en chambre universitaire qu'il partageait avec deux autres de ses amis, qu'il n'était pas marié et n'avait pas de petite amie attitrée .En discutant des conditions d'accueil pendant le congrès, je découvrais que leur délégation était hébergée dans un seul dortoir implantée dans un centre d'accueil à l'extérieure de la ville. Il me dit être déçu de la mauvaise qualité du lieu . Comme j'étais dans un grand hôtel en plein centre avec deux couchages. Je lui proposais de contacter le responsable de sa délégation et lui faire offre de partager ma suite avec Arka. Deux heures après l'affaire était réglé à la plus grande joie de mon bel étudiant. Je sais qu'il faut toujours saisir les opportunité lorsqu'elle se présente mais la j'étais plutôt vernis. Ma chambre était vraiment très grande. Deux lits en 90 un bureau et chaise, télévision, chaîne stéréo, une table basse et deux fauteuils profonds, bar intérieur. La suite possédait surtout une immense salle de bain avec baignoire et une douche séparée de la pièce principale par un double vitrage dans lequel coulissait une persienne réglable. De ce fait si les lames étaient fermées elles occultaient la douche depuis la chambre, si les lames étaient ouvertes la lumière du jour entrait dans la salle de bain mais depuis la chambre nous pouvions voir qui était dans la douche. Cet aménagement existe dans bon nombre d'hôtel de luxe...en dehors de la lumière peut être est il prévu pour le mec et sa maîtresse...ou l'inverse même avec les cougard... ...pour ma part j'imaginais bien pouvoir profiter de cette situation si Arka se douchait..
Le soir venu, nous nous installons dans la chambre. Arka était émerveillé par la qualité de cet hôtel , un vrai gosse qui faisait plaisir à voir. Bien que je sois seul dans ma chambre depuis 3 jours j'avais fait toucher les lits l'un contre l'autre pour pouvoir étaler mes documents lorsque je travaillais dans mon lit. Je n'avais pas prêté attention à ça, mais maintenant j'avais la forte intention de ne pas modifier l'aménagement sauf si Arka me le demandait. Mais ce ne fut pas le cas et même il ne sembla pas porter attention à cela. Après avoir disposé ses affaires dans les placards, il s'installa devant la télé pour visionner la banque de vidéo à disposition. Il était émerveillé. Je m'éclipsa pour prendre ma douche et du fauteuil ou Arka était installé il avait une vue panoramique sur mon anatomie, dont il faut le dire je suis assez fier un beau 19 x6 rasé. Du coin de l'oeil je surveillais mon bel étudiant, il me semblait regarder alternativement la télé et ma douche...tiens...aurais je une chance ?
Je sortais de la salle de bain torse nu et en shorty moulant. Arka ne tarda pas a faire la remarque " Calvin Klein joli !! " Je n'étais pas mécontent de mon effet et ma bitte demi molle gonflait doucement . Pourvu qu'Arka ne se rende compte de rien. Mais comment savoir ce qu'il pensait alors qu'un perpétuel sourire irradiait son beau visage.
Ce fut son tour à se rendre à la douche sans aucune appréhension, il se mit nu et offrait sans complexe son corps à ma vue. Comme je connaissais déjà son torse, je découvrais ses longues jambes finement musclées sans beaucoup de poil et comme je l'espérais, une petite queue 15/16 non circoncise entourée d'une couronne de poils noirs visiblement taillée .
J'étais assis dans un fauteuil à feuilleter une revue et mon éphèbe vint s'installer dans le fauteuil en face. Il portait simplement un caleçon blanc et large qui ressemblait plus à un short de sport qu'a un sous vêtement. Son corps longiligne flottait dans ce tissu de coton pour entamer la conversation, en lui montrant son caleçon blanc je lui dis " wahou !! is not Calvin Klein ! " et nous partîmes d'un grand fou rire.
Nous poursuivions notre conversation assis dans nos fauteuil. Mais grâce à l'ampleur de son sous vêtement, je voyais de temps en temps furtivement la petite queue d'Arka Je me surpris même à m'attarder sur le détail de son entrejambe offert à ma vue. Etais ce un fantasme ou non j'avais l'impression que sa bitte gonflait. Alors que tout en discutant j'avais toujours le regard planté sur sa bitte, Arka me fixa dans les yeux avec un sourire malicieux passa sa main dans son caleçon pour remettre sa queue en place, c'est sur il bandait. Et me dis " Go yannick in the bed " Aussi tôt dit aussitôt fait, nous nous étendons sur nos lits respectif cote à cote. Comme la pénombre emplissait la pièce je profitais pour ôter mon sous vêtement et me retrouver nu sur mon lit. Sans rien dire, nous étions couché cote à cote sur le dos les bras le long du corps. J'étais à poil sur mon lit et Arka avait juste tirer son draps jusqu'à la taille, le torse a la fraîcheur de la clim.
Moins d'une 1/2 heure après en ma main entrait en contact avec la sienne. Je sentais sa peau douce sur le dessus de ma main, je ne bougeais plus savourant ce moment. Imperceptiblement, la main d'Arka pivotait jusqu'à ce que je sente ses doigts bouger légèrement sur ma main. Bientôt aucun doute n'était possible nous nous sommes tenu la main, puis le bras, sa peau était incroyablement douce. Je pris l'initiative de poser ma main sur son torse, ses tétons, ses abdos...le plaisir était intense. Arka offrait son corps à mes caresses. Puis, il repoussait son draps a ses pieds et dans la 1/2 obscurité je pouvais distinguer sa bitte droite qui regardait le plafond.
Naturellement, je soupesais les petites couilles soyeuses, la tête de la bitte qui commençait à mouiller, je jouais avec le prépuce ..quel pied ! je tentais même un passage entre les cuisses pour me diriger vers sa raie.
Soudain, Arka se dressa de son lit et vint poser ses lèvres sur les miennes. Tout en fraîcheur, nous échangions un baisé qui ne se terminait pas. Arka ensuite commença à me déposer des baisers dans le coup, me lécher les tétons, le nombril et doucement je sentis sa joue contre ma bitte tendue. Rapidement, ses petits coup de langue pour sucer ma mouille me remplissaient de plaisir. Bientôt sa bouche douce et chaude enveloppait ma queue et une longue fellation se poursuivit Chaque fois que je tentais de placer un doigt sur sa rondelle il me retenait la main. N'arriverais je donc pas à mes fins ? mais non je me trompais. Sentant ma jouissance arriver, il arrêta de me pomper le dard. Et doucement, il vint se placer à califourchon sur mon ventre pour doucement frotter sa raie contre ma queue. Putain, je vivais et le plaisir et l'enfer. Cette lenteur d'approche me rendait fou. Doucement, Arka pris ma bitte de sa main droite et la dirigeait vers son petit cul ; Je sentais le contact avec sa rondelle imberbe. Pourvu que je tienne et ne lâche pas la purée trop tôt ! Avec ce cirque, quel attente !!. Bientôt je sentais son cul s'ouvrir sur la poussée de ma bitte . Le petit salaud, sans que je me rende compte il s'était lubrifié le cul. Ma queue rentrait doucement, centimètre par centimètre. Arka se dandinait lascivement jusqu'à ce que mes 19 cm gonflés à bloc soit entièrement introduit. Mes couilles pleines frappaient son cul. Plusieurs minutes de vrai plaisir . Et soudain Arka se mit à souffler, il jouissait. Un grand jet de foutre vint me frapper au visage, puis trois autre m'inonder le torse et enfin deux autres me couler sur le bras. Quel quantité ! Il n'avait pas du jouir depuis trois mois !! Arka repris l'initiative d'étaler sa semence sur mon corps, ses mains douce luisait de son foutre. Je n'en pouvais plus. Alors que ma bitte était toujours en lui je lui indiquais que j'allais jouir. Il décula rapidement, pris ma queue dans la bouche pour que je lui remplisse la glotte. Après mon dernier soubresaut de jouissance, Arka s'approchait de moi et me roula un énorme gamelle pour que je partage mon sperme avec lui. Je sentais sa langue tourner dans ma bouche, mon jus parfois s'échapper le long de mes lèvres. Arka immédiatement récupérait la semence perdue.
Epuisés nous nous sommes endormies dans les bras l'un de l'autre, le sperme séchant lentement à l'air. Je ne veux pas en rajouter mais les deux autres semaines nous n'avions qu'un objectif, dés que le congrès nous dégageait, nous montions dans la chambre et innovions à chaque fois de nouvelles positions, avec ou sans matériel...ce mec était peut être un génie de l'informatique mais à coup sur un " docteur ès cul " !! comme quoi la valeur n'attends pas le nombre des années. Un soir nous avons même été dans une boite gay et il a tenue à que je l'accompagne dans ses ébats pour vérifier si les mecs qui le baisait avait bien une capote...je me suis transformé en garde de cul d'un soir ! une première , mais quel spectacle, d'autant que je profitais aussi du cul de certain de ses amants Même si sept mecs et pour certain bien montés on honorés mon petit Arka, le matin, en rentrant il m'offrit encore son fourreau pour que je glisse ma queue dedans jusqu'à ce que je débande complètement.
yannick