Été chaud à Paris: Noctilien - Partie 1
Depuis plusieurs mois je suis un fidèle visiteur de ce site. Je viens particulièrement pour les histoires et je préfère de loin celles qui sont vécues réellement. C'est pourquoi j'ai décidé de vous raconter les miennes.
Je vous le dis tout de suite, c'est en plusieurs parties car j'en ai pas notamment celle de cet été.
Pour commencer, je vous fais une petite description de ma personne. Je suis un jeune étudiant d'une vingtaine d'années et je vis dans le sud de Paris. Je suis black, j'ai 1, 75 pour 60 Kg. Je ne suis pas particulièrement efféminé même si j'ai un coté précieux que j'entretiens parfois car cela facilite les contacts et permets de draguer facilement dans certaines situations - et vous aller comprendre pourquoi.
Mon histoire commence un soir d'été de cette année. En manque de sexe depuis plusieurs semaines déjà, je n'en pouvais plus. J'étais donc en quête de sexe et j'étais très chaud. Un soir de juin, en rentrant de soirée, je décide de prendre le Noctilien. Cela me permet de rencontrer du monde et peut-être de rencontrer des gens sympas... même si ça parfois, il y a des gens lourds. Arrivé à Gare de Lyon, j'attends mon prochain bus qui vient dans plus d'une demi-heure. Il fait chaud, il fait bon et c'est le ballet de toutes les lignes de bus qui vient déverser de nombreux passagers qui regagnent soit le sud et l'est parisien soit ces banlieue proches. C'est une population jeunes, un peu éméchée et très chaude.
En attendant donc mon bus, je matte des beaux mecs, profils lascar mais pas tous et je commence mon repérage. C'est ainsi que je remarque un mec d'origine rebeu qui passe arrive vers moi et que je fixe dans les yeux. Il devait faire 1,75 comme moi et un peu moins de 70kg, short, sandale et tee-shirt. Bref, très sympa et plutôt beau gosse. IL passe devant moi et j'insiste assez lourdement sur son short à la hauteur de son paquet et je remonte pour le fixer dans les yeux. Nos regards se croisent et il découvre mon manège. Il me dépasse, j'insiste à nouveau et il continue sa route. Pour être sûr qu'il a compris, je me demande s'il va se retourner...
Bingo, le mec se retourne, me regarde aussi mais il continue sa route. Il se retourne de plusieurs fois et je me demande ce que je fais. Est-il chaud ? Dois-je le suivre et prétexter quelque chose comme une demande de feu ? Es-t-il intéressé etc. ?
Finalement, je constate qu'il continue son chemin et ne cesse de me regarder. Je me décide alors de le suivre au loin et je sors une cigarette pour me préparer à demander le feu si j'arrive à sa hauteur. Je vois le mec traverser et regagner un immeuble haussmannien pas très loin de la gare de Lyon. Il fait mine de chercher ses clés car il me voit arriver derrière lui. Je me retrouve à sa hauteur et je lui demande un briquet, il me sourit et il me demande ce que je veux tout en mettant la main sur son paquet. Un peu gêné et inquiet de sa réaction, je lui dis que je veux bien discuter avec lui car j'attends mon bus. Il me fais un grand sourire et me dis de rentrer, il habite là.
Je suis soulagé et je rentre dans l'immeuble. C'est alors qu'il me dit qu'il ne peut pas me faire monter mais que y a un petit endroit sous la cage d'escalier ou on se sera à l'aise. Il s'appelle Medhi, 22 ans et est rebeu. On fume alors une cigarette, il est 3h30 du matin et l'immeuble est très calme. Nous sommes au calme. Il commence sérieusement à se toucher le paquet. Moi je n'en rate pas une miette de ce spectacle et je le matte. L'excitation est à son comble quand je pense que quelqu'un peut rentrer d'une minute à l'autre... Mais je me dis que nous sommes à l'abri.
Je lui dit : " ça l'air bien rempli ton short et il est super sexy "
Medhi : " Ouais c'est sur et si tu veux, tu peux tester "
Je ne me le fais pas répéter deux fois que ma main caresse son short et je me sens tout exciter car il a l'air d'avoir une bonne grosse bite. Je passe ma main sur son short, je tiens sa bite qui ne cesse de gonfler. A l'étroit dans son short, il me tiens la tête pour me demander de me mettre a genou et là, il descend son short pour laisser apparaître une belle longue queue de 19-20cm je dirai. Je la prends en bouche, la lèche et commence une bonne pipe comme si j'étais affamé. Il faut dire que cela faisait plusieurs mois que je n'en avais pas eu. Je lèche ses couilles, remonte avec ma langue vers son gland et il était circoncis... normal comme la majorité de rebeu.
Medhi : " La vache, comme tu suces bien, tu as l'air d'avoir faim "
Moi : " Oui elle est super bonne et j'ai trop envie "
Il me tiens fermement la tête et me baise la bouche avec une virilité qui me fais mouiller davantage. J'ouvre alors mon jean pour me branler en même temps et c'est alors qu'il me demande ce que je fais.
Je lui dit que je me branle en même temps et là il me dit : " Pas question, wesh, tu fais quoi là ". Pensant avoir fais une grosse erreur, il me relève un peu brutalement et me dit que comme c'est ça, il va me la mettre.
Il retourne et penche contre le mur pour avoir accès à mon petit cul bien ferme.
Medhi : " As tu des capotes sur toi "
Moi : Euh... oui dans mon sac "
Medhi " Vas-y sors là "
Heureusement j'en ai toujours sur moi et en plus j'ai aussi du gel. Ça tombe bien car, sans visite depuis un moment, j'aurais eu peur de me la prendre à sec.
Je déroule alors une capote sur sa longue bite et je me rends bien compte qu'elle va avoir du mal à passer facilement. Je me graisse la chatte et là, je me tiens contre le mur et Medhi s'apprête à me fourrer sa bite de rebeu. Effectivement, le manque d'exercice rend la pénétration un peu difficile mais il prend son temps pour bien rentrer. Un moment, il me tiens bien par les hanches car son gland était déjà bien à l 'intérieur et il commence à me défoncer en me tenant les hanches, les cheveux et me traitant de salope.
Medhi " T'aimes ça hein... tu m'as matte, tu crois que je t'ai pas vu "
Et là je me fais bien déchirer, défoncer, cela faisait très longtemps. Je passe mes mains sur ses fesses pour lui demander de bien donner plus de temps et d'aller bien au fond. Je voulais sentir ses couilles frapper contre mes fesses. Et continuait à me défoncer comme une chienne. J'ai rajouté du gel car cela commençait à me faire un peu mal et il me plaqua bien contre le mur pour bien me dominer et me déchirer la chatte.
Il me donna encore plus de coup de bite et sans me toucher j'ai éjaculé avant lui sans me toucher tellement j'étais excité et il me baisait comme un étalon. Il a fini par se retirer, je l'ai sucé pour le finir et il a éjaculé sur ma face. Il a apporté du local d'entretien une bouteille d'eau pour me nettoyer.
Medhi : " C'était cool, merci ", je lui dit que j'ai bien aimé et que s'il voulait, il pouvait me recontacter. Sachant que c'est un ''hétéro'', il a décliné mon offre et il m'a dit qu'il aimait les femmes (sic) c'est avec un sourire que lui ai souhaité une bonne soirée et je suis ressorti de cet immeuble, plus léger, le cul bien ouvert et heureux d'avoir enfin repris les activités. Je me suis dis " Mais t'es fou, tu n'es fais baiser dans un immeuble sous les escaliers comme une sale pute " et après je me suis dis " Après tout, j'en suis peut-être une et pour une fois que je me lâche... mais ce ne sera certainement pas la dernière fois "
Il y a eu après cette soirée plusieurs autres moment hot grâce aux Noctiliens. Si vous le voulez je vais vous le faire partager.
Robbie
robbie2005@hotmail.de