Fausse exhibition et cassage de fion
Romain, 32 ans, est un de mes amis. Et plus si affinité. Actif infatigable à la grosse queue d'acier et au corps, franchement, de rêve, il est aussi un entreprenant dynamique qui a une boutique de vêtements dans une rue très commerçante d'une grande ville Française.
L'une des particularité de la boutique? Ses miroirs extérieure qui, de l'intérieur, sont des vitres.
Vous voyez tout, personnes ne voit.
Passif soumis accroc à la baise charnelle et dominatrice, j'ai une énorme affinité pour les lieux publics. Ce que mon bel étalon sait très bien.
C'est ainsi qu'un dimanche après-midi, le cul en chaleur, parlant à Romain, celui-ci me proposa de me démonter au magasin, vide sous ce qui ressemble à "tous les regards des passants".
En furie, j'acceptais.
Très vite je me retrouvais devant la boutique, la queue presque raide, e trou à moitié dilaté d'excitation.
"Entre" reçu-je par texto.
Ah oui! Il me voyait, lui, de l'intérieur.
Sans me faire prier, j'ouvris la porte et entrais. Sans les lumières, même les énormes baies vitrée/miroir rendaient le lieux sombre. Frissons d'excitation.
J'avançais quand j'entendis la clé tournée dans la serrure. En me retournant je vis Romain, nu comme un vers, son chibre bander comme un taureau en train de fermer. Sans un regard il passa devant moi et alla s'allonger devant la vitrine.
Impressionnant!!! Imaginez regarder un étalon qui trique allonger devant une vitre derrière laquelle des dizaines de personnes passent, s'arrêtant régulièrement devant ce qui leur semble être un miroir pour fixer, se recoiffer.
Ma bite fit un bon!
Romain posa sa main sur sa queue et commença une lente branle, plantant son regard de mâle dur dans le miens.
Aussitôt j'avançais et, près de lui, me jetais au sol pour lui dévorer la queue.
Huuuumm!!! Quel gout de rêve! Une queue raide, bander à bloque, propre et lisse, sur laquelle je pouvais baver.
Je sentais à son souffle que bientôt mes va et viens de chiennasse affamée ne suffirait plus.
Alors il se redressa et se mit debout, sa queue sur mon nez. La saisissant d'une poigne virile il se mit à me claquer son gros calibre sur la gueule. Il me cracha dessus et étala sa bave sur mon visage à l'aide de son arme triquée.
Je me sentais tellement chienne et c'était tellement bon!
Alors il me renversa un peu la tête et, sans crier gare, se mit à me baiser la bouche. Je n'étais qu'un vulgaire pédé baveux à qui il pétait la glotte. J'aimais tellement!
Je salivais de plus en plus en sentant ce gros gland bine chaud se caller au fond de ma gorge.
Cela dura une bonne dizaine de minute, jusqu'à mon essoufflement, puis, après de bonnes biffles pour me rappeler ma place de soumise, il se recula et m'ordonna de me mettre à poil, face aux passants.
Je les avaient oublié ceux là!
Il y en avait tellement et j'avais tellement la sensation qu'ils me regardait! La gêne faisait rosir mes joues alors que l'éxcitation m'ouvrait le fion, bandait ma queue.
Ni une, ni deux, je me mis à poil total.
"A 4 pattes salope!!!"
Bim, j'exécutais.
"Fixe les, regarde les te matter, pauvre chienne que tu es" Sa voix était roque et tellement bandante! Un pur mâle!
Du bruit. Il fouillait dans un sac.
Puis je sentis le liquide froid dégouliner sur mon cul. Du lubrifiant! Putain j'allais prendre cher! SUPER!!!
VLAN! Un gros coup de queue sur mon trou! Il s'écarta directement! Vlan! Coup de gland sur l'anus! Bim, claque sur le cul assenée en même temps qu'une insulte. J'étais aux anges je gémissait et tortillait mon cul, offrant ma rondelle à son gros dard tendu.
Il comprit très vite. Me choppant la nuque il m'enfonça sa queue considérable au tréfond du cul. Hurlement de douleur et de joie. Il attendit que mon garage à queue s'adapte à son chibre puis entama un bon va et vient.
Le summum du plaisir; je sentais ses grosses couilles bien lourdes claquer mon cul de chienne.
Je me faisais troncher comme une trainée, en pleine rue, sous le regard aveugle de centaines de passant!!!
Après m'avoir bien casser l'entrée il se releva et, comme une vulgaire poupée, me traina par le bras et me mis face à la rue. Ma queue était écrasée contre la vitre, comme offerte à la rue.
Il cracha sur ladite vitre et me plaque la gueule dessus, m'ordonnant de lécher sa bave.
"Voilààààààà, c'est bien, bonne chienne! ... Tuveux ma queue? Huh? Tu la veux, salope?"
Son gland se posa au bout de mon trou béant d'excitation.
"Huuum oui tu la veux ma grosse queue ma salope!!! Alors PRENDS!!!!"
BIM!!! Un gros coup sec et il se retrouva les couilles contre mon cul. J'étais rempli de sa queue et de bonheur!
Des gens semblaient me fixer.
J'étais là, debout contre la vitre-miroir, en train de me faire enculer comme une chienne. Mon trou agrandi par la queue de poney de ce mec n'opposait plus aucune résistance. Béant et avide de coups de rein, il s'ouvrait toujours plus. Le plaisir était au maximum.
Soudain Romain m'attrapa les cheveux et m'écrasa la gueule contre sa vitre, accompagné d'un énorme coup de bite au fond du cul.
"Salope!"
Le gémissement de passive en chaleur qui vint en même temps que l'insulte le rendit dingue.
I se mit à me démonter le cul comme un fou furieux. La vitre, tremblante attirait le regard de tout les passant, et mon Dieu qu'il y en avait!
Cette sensation est folle. Il est impossible de comprendre que eux, ne voient rien d'autre que leurs reflets transformés par le tremblement provoquer par mon démonteur de boule. Certains, sans le savoir, me regardaient dans les yeux.
J'avais vraiment la sensation de me faire loper en pleine rue.
Je me pris même une grosse claque.
Enfin, le cul écartelé, la queue douleureuse d'écrasement, il me libéra en se retirant mais, sans que j'eu le temps de réagir, il me mit à genoux et m'appuya la tête contre la vitre, de profil. Une de mes joues s'offrait, écrasée, au passant quand l'autre s'apprêtait à se faire repeindre de foutre chaud et coulant.
Il se branlais à fond en me frappant le visage de son monstre puis la jus sortit! Des belles coulées blanche s'écrasèrent sur ma joue, puis des jet sur la vitre, mon nez.
Il gueulait comme un âne, libérant sa jute sur ma gueule de pute.
Enfin, me tirant la tête en arrière, il étala bien toute sa semence et me fit rebouffer son chibre chaud.
Sa queue mi-molle, très grosse au goût de sperme frais me fit éjaculer en quelque coup de poignet.
C'est ainsi qu'après m'avoir fait nettoyer la vitre pleine de jusà la langue, Romain me promis que la prochaine fois, l'exhib serait plus dangereuse!
Envoyez moi vos avis SVP, vos photos de queue, de jus, votre désir de me blindé en public.
JobFucker