Un portugais, Ça joue au foot et ca encule !
Manu et moi avons décidé de faire un footing une fois par semaine et après de dîner ensemble, en général le jeudi car sa femme a théâtre et que ses enfants sont suffisamment grands pour se garder tout seuls à 17 et 19 ans.
Manu, brun, yeux marron très expressifs, a 49 ans et est portugais. Il fait 1m83 pour 95 kg de muscles datant de son passé sportif mais aussi de quelques couches de confort que l'on prend avec l'âge. Mais c'est un bomec au sourire rayonnant et avec une voix super douce.
Ce jeudi, après notre footing d'une bonne heure nous rentrons chez moi. Il fait une chaleur à crever et ajoutée à la transpiration de la course, une douche est incontournable.
Manu part se doucher pendant que je prépare le repas : salade composée, fruits, bref de quoi se rafraîchir autour de la piscine.
Manu revient en maillot de bain et pose ses baskets, ses chaussettes de sport, son short et son t-shirt trempés par la transpiration sur une chaise sur la terrasse.
Je pars à la douche et lui dit de servir l'apéro quand il aura fini de se masser les pieds à l'huile d'amande douce. Il fait ça à chaque footing car il transpire énormément des pieds en courant, ce qui le brûle.
A mon retour, en maillot de bain, deux Ricard sont posés sur la table. Ils ont l'air bien jaune.
Moi : Dis-donc, tu l'as bien dosé le Ricard
Nous buvons ce méga-Ricard , puis un autre, puis encore un autre...
Notre conversation s'anime sur la coupe du monde 98 de football, je suis en désaccord avec Manu sur l'auteur d'un but.
Manu : Je t'assure que c'est ZIDANE
Moi : Non, c'est pas lui
Manu : Parie ! Tu vas perdre
Moi : Tout ce que tu veux !
Manu : 50€
Moi : Non ! Pas d'argent entre nous.
Manu : Ok alors, un truc qui te fasse chier la honte !
Moi : N'importe quoi !
Manu : 5 coups de pied au cul.
Moi : Tu déconnes !
Manu : 10 si tu veux !
Moi : Arrêtes, c'est nul ; je vais vérifier c'est tout.
Manu : C'est mieux sinon tu aurais eu mal au cul !
Échauffé par ces Ricard, je lui réponds : " ok tu veux parier, on parie ! D'accord pour 10 coups de pied au cul, mais je te préviens si tu insistes je vais te les mettre vraiment, avec mes pompes de boxe, et je viserai le trou cul ! "
Manu : Tu vas perdre, mais tu me prêteras tes pompes de boxe et c'est toi qui va gueuler car moi aussi je viserai ton trou du cul !
J'allume mon ordi, et 3 clics plus loin : Manu avait raison, c'était bien ZIDANE l'auteur du but.
Manu : vas chercher tes pompes de boxe ! En attendant, je te sers un autre Ricard, ça va t'aider !
Je vais chercher mes pompes tout en me disant que c'est trop con de m'être trompé, d'autant que j'ai l'impression que Manu est sérieux et qu'un pari est un pari.
Je risque fort de me prendre 10 fois un 44 dans le cul, qui plus est dans le trou du cul !
A cette pensée, je regarde la pointe des pompes de boxe que j'ai à la main et mate les jambes super-musclées de Manu : je vais dérouiller sec !
Manu : pose-les là ! En attendant, à la tienne !
Moi : En fait, j'ai confondu avec le match précédent.
Manu : tu rigoles, lors du match précédent ZIDANE ne jouait pas !
Hyper convaincu que Manu cette fois-ci avait tort, et pensant annuler la perspective de ce bottage qui promettait d'être mémorable, je lui réponds : " quitte ou double ! "
Manu : Double, mais je te préviens je te les mets tous avant le repas, ça fera 20 et après tu pourras manger debout tellement t'auras mal au trou du cul!
Et Manu attrape les pompes de boxe et commence à les mettre. Manu, avec ses 1m83, son maillot de bain et ses belles jambes hyper musclées en pompes de boxe est top impressionnant.
Je vérifie sur Google et je m'aperçois que Manu a encore raison. Manu voit ma mine angoissée.
Manu : Un conseil, ne parie jamais avec un Portugais quand il s'agit de foot !
Je ne sais pas quoi faire mais je vois que Manu a passé et lacé les deux chaussures et qu'il a l'air bien décidé à me botter le cul.
Manu : Allez, baisse-toi en avant. Tu as parié, tu as perdu ! C'est une question de principe : 20 coups de pied dans le trou du cul comme on a dit.
Moi : Tu plaisantes ?
Manu : Non, ce qui est dit est dit. La prochaine fois tu feras attention ! Sauf, que moi je ne parierai jamais plus des coups de pied au cul !
Devant son insistance et par devoir, " dette de jeu dette d'honneur ", je me place debout, le buste en avant, devant lui.
Manu : Non, ça va pas. Là, quand je vais taper, je vais te faire tomber et ton cul est trop haut. Mets-toi à quatre pattes !
Moi : Manu, non ! Tu exagères !
Mais croisant son regard, je me rends compte qu'il est sérieux et je me retrouve à quatre pattes devant un mec qui chausse du 44 et qui va m'allumer le trou du cul à coups de pompes de boxe.
J'ai des pompes de boxe Adidas typhoon 1, leur bout est très fin, sans semelle et très arrondi.
Je sais que Manu va me défoncer le trou du cul avec ce style de pompe car elles sont vraiment faites pour ça.
Manu positionne son pied en haut de la raie du cul et descend doucement. Au moment où il passe sur mon anus j'ai un mouvement.
Manu : Ok, j'ai repéré.
Le premier coup arrive pile dans mon trou. Un coup sec qui m'arrache un cri de surprise mais pas de douleur. En fait, ce n'est pas douloureux. Étrange mais pas douloureux.
Le deuxième coup est plus fort, le troisième encore plus, et les suivants croissent en force jusqu'à ce que Manu annonce à haute-voix " 10 ! Et pause ! "
En fait, Manu m'a explosé le trou du cul. C'est allé très vite mais lors des derniers coups, j'avais l'impression de sentir le nubuck des pompes de boxe à travers le maillot de bain.
Manu : Ca va ?
Moi : J'ai l'impression que tu m'as enculé !
Manu : Je t'assure que si je t'avais enculé, tu aurais eu beaucoup plus mal et tu ne pourrais plus parler, crois-moi. La pause est finie ! Prépare-toi, il en reste 10 !
J'avais à peine récupéré mes esprits, qu'un 44 essaye de me pénétrer en force le fion. Les 9 coups suivants sont frappés avec la volonté de m'enculer à coups de pompe. La cadence de tir est telle que ce bottage dure à peine une minute.
Lorsque les coups s'arrêtent, je suis un peu ko.
Je me relève à genoux et trouve Manu face à moi à 30 centimètres de mon visage, rigolard mais très en forme au vu de son maillot de bain.
Moi : Dis-donc, me botter le trou du cul te met en forme !
Manu ne comprend pas mais suivant mon regard, le sien tombe sur sa bite gonflée à bloc dans son maillot de bain. Une bosse énorme part de ses couilles et remonte jusqu'à sa hanche.
Manu : Apparemment, toi aussi t'a pris ton pied en prenant le mien.
Je m'aperçois que j'ai aussi une trique d'enfer mais proportionnelle à la taille de mon engin qui n'a rien à voir avec le zob monstrueux qui se laisse deviner sur mon botteur.
Nos regards se croisent. En un instant j'ai mes mains sur la bite de Manu que je caresse à travers le maillot de bain.
D'une main j'empoigne ses couilles, que je caresse en faisant glisser la paume de ma main vers son entrejambes. Je varie la pression sur ses couilles à chaque mouvement de va et vient sur son maillot de bain.
L'autre main saisit sa tige et la masse lentement, partant du bout de sa bite puis descendant jusqu'à ce qu'elle rencontre mon autre main sur les couilles de Manu.
Manu respire fort. D'un coup, ses mains descendent, écartent les miennes et font tomber le maillot de bain.
Mon visage est face à une bite de 22 cm, super large avec un gland énorme gonflé à bloc. Je comprends, je suis excité, j'ai envie de cette magnifique bite et j'approche ma bouche.
Ma langue rencontre le méat de la bite de Manu et le titille avec délicatesse. Je passe et repasse ma langue sur cette zone qui habituellement crache pisse ou sperme. Manu mouille et je lèche avec délectation et sensualité ces prémices de semence.
Puis ma langue descend lentement le long de sa bite suivant une veine bleue gonflée à bloc.
Je remonte d'un coup au méat sans rompre le contact entre ma langue et sa bite qui tressaille au contact enveloppant de ma langue. Je redescends et m'attarde en coups de langue sur la couille gauche.
A chaque coup de langue sur son testicule, la bite de Manu se cabre. Je gobe alors son testicule et place mes deux mains l'une au-dessus de l'autre pour empoigner toute sa grosse bite que je presse et relâche, presse et relâche, presse et relâche...
Manu : Putain, tu vas me faire jouir !
Effectivement, je sens que la bite de Manu est sur le point d'exploser. J'arrête la pression mais maintient mes 2 mains caressantes en douceur sur sa bite, tandis que je gobe et lèche chaque testicule à tour de rôle.
Quand je sens que Manu va cracher, mes mains s'ouvrent et se ferment avec force et de manière saccadée sur sa bite, tandis que je place deux doigts sur son méat que je soumets au même traitement.
Manu va jouir, sa bite est énorme. Ma langue quitte ses couilles et va se poser sur son méat bien à plat comme une compresse humide et chaude. Ma langue lui frotte doucement le méat
Manu éjacule avec une violence inouïe, une giclée, deux, trois puis une quatrième moins forte.
Pendant qu'il crache ma langue accélère ses va et vient sur sa bite au point de sortie de sa semence pendant que je gobe son sperme.
Après la dernière giclée, j'enfourne goulument sa bite dans ma bouche et agite ma langue dans tous les sens de manière effrénée pour nettoyer cette bite.
Manu est tout rouge et s'appuie sur moi avant de s'assoir puis de s'allonger sur le sol, la bite à l'air, le maillot de bain sur les genoux, mes Adidas de boxe aux pieds. Il est comme une poupée de chiffons mais tellement sexy !
Moi je suis excité, très excité, ma bite raide à casser du bois, mais je n'ai pas envie de me branler et de jouir tout seul en ayant Manu les yeux fermés à côté de moi. Je m'allonge aussi, baisse mon maillot de bain et me branle doucement pour entretenir la flamme.
Manu : C'est la meilleure pipe que j'ai jamais eue. Je crois même que je n'ai jamais joui aussi fort de ma vie.
Moi : En tout cas tu as une bite énorme.
Manu : C'est un atout mais aussi un problème car ma femme trouve que je lui fais mal car elle n'est pas assez large.
Moi : Tu devrais l'enculer !
Manu : Ce serait peut-être bon pour moi, par contre pour elle, je t'explique pas la douleur ! Mais pourquoi pas ? Après tout je viens bien d'avoir une méga jouissance en me faisant tailler une pipe par un mec. Et toi, tu n'as pas joui ?
En fait, j'espère que Manu va me rendre la pareille et me sucer.
Manu : Éric, je suis vraiment désolé mais je ne pourrai pas te sucer. Je n'y arriverai pas.
Comme si elle avait des oreilles et qu'elle avait entendu Manu, ma bite commença à fléchir.
Manu : Mais je sais comment je vais te faire jouir. Quitte ton maillot et mets-toi à 4 pattes. Fais-moi confiance.
J'enlève mon maillot de bain et me positionne à 4 pattes. Je sens le contact du nubuck des Adidas sur ma rondelle. Un contact doux, caressant et sensuel.
Manu a pris appui sur la chaise à côté et avec son 44 en pompes de boxe me titille l'anus.
Il monte et descend très délicatement le long de ma raie de manière surprenante vu son gabarit. Quand il passe devant mon trou il positionne sa pointe de pompe, l'appuie tout en la remuant.
Que du bonheur ! Je me dis que je suis devenu PD.
Manu : Comme tu as bandé tout à l'heure quand je t'ai botté le trou du cul, j'ai pensé que tu étais sensible à cet endroit. Je ne me suis pas trompé...
Manu alterne entre caresses avec la pointe de sa pompe et coups de pied secs pile dans ma rondelle.
Je bande à mort mais je ne me branle pas. Je veux profiter de ce massage le plus longtemps possible.
Parfois, lors de phases de caresses, Manu pose le dessus de la chaussure sur ma raie et la couvre complètement, puis descend en frottant ma raie et le bord de mes fesses jusqu'à ce que la pointe de sa sket de boxe touche mes couilles et les caresse. Le plaisir est inouï.
Manu me donne tantôt des coups de pied avec la pointe pile dans le trou du cul, tantôt avec le dessus de la chaussure qui me claque ainsi la raie du cul.
Ce massage n'en finit plus, je suis aux anges.
Puis Manu passe à une phase de bottage plus hard. Je sens monter son excitation. Les coups sont violents et m'explosent la rondelle.
Manu : Putain, plus je tape fort plus ton cul ressemble à une chatte ! C'est du délire !
Les coups de Manu redoublent dans leur rythme et leur brutalité sans perdre en précision. La sket de Manu devient une sorte de gode qui tente d'entrer dans mon intimité et qui faute d'y arriver se fait plus hard pour passer en force.
Manu : Tu as mal ?
Moi : Oui, mais j'adore.
Manu : Tu aimes vraiment avoir mal ! T'es vraiment salope du cul pour supporter mon 44 comme ça !
Moi : Vas-y. Continue, c'est trop bon !
Manu : Attends une seconde. Branle-toi un peu !
Surpris, je pose une main sur ma bite et l'astique en douceur.
Soudain, je sens un doigt de manu sur ma rondelle puis dans ma rondelle, puis un deuxième essaie de passer dans mon cul.
Les doigts sont manifestement gras mais ils ont du mal à entrer. Manu bouge celui qui est en place et provoque en moi des frissons terribles.
Manu : Putain, les coups de skets te font un trou comme une chatte mais il reste bien fermé !
Sentant le bienfait du premier doigt et voulant goûter au plaisir d'un second, j'ouvre au maximum de mon cul vierge mais ça ne suffit pas et Manu retire son doigt.
Manu : Tu vas avoir mal, mais j'ai trop envie. Te botter le trou du cul m'a refait bander à mort.
De manière imprévue, Manu se colle d'un seul coup derrière moi et me place une main ferme sur la bouche.
Manu : J'ai mis de l'huile d'amande sur ma bite mais je sais que je vais te faire très mal. Pardonne-moi-même si tu aimes souffrir mais j'ai vraiment trop envie. En plus je serai le premier !
Je sens alors une pression de quelque chose de gros sur mon trou. Quelque chose de gros, de dur mais chaud et doux.
Je comprends : Manu va m'enfoncer sa bite dans le cul, Manu va m'enculer avec ce membre de cheval.
Je repense alors au gros chibre que j'ai sucé, à ce gland énorme et à ces 22 cm qui vont me dépuceler le cul avec la volonté de me faire mal... puisque j'ai dit que j'aime ça !
J'ai peur et mon cul d'instinct se referme et ma bite ramollit.
Manu : Ouvre-toi sinon tu vas avoir encore plus mal.
Après cette tension accumulée depuis le début de nos ébats, je sais que je n'ai pas la force, ni même la volonté, de résister à un Manu de 95 kilos, excité comme une bête, qui veut enfoncer ses 22 cm dans le cul d'un puceau.
Mon corps se relâche. Manu en profite et d'un coup de rein m'enfonce son gland.
Je crie mais sa main coupe la portée de ce cri de douleur foudroyante.
Manu se retire, je suis soulagé et me détend, mais son gland force à nouveau le passage sans prévenir et me fait pousser un deuxième cri de douleur.
En fait malgré l'huile d'amandes, c'est un déflorage quasiment à sec par un gros double-décimètre.
Manu : Je fais comme ça avec ma femme pour lui préparer la chatte.
Pendant 5 minutes Manu enfonce son gland, l'arrête, le laisse en place le temps que mon trou se remette de la pénétration, et le retire.
Ca fait mal, mais en fait je m'habitue et même je commence à apprécier.
Pour compliquer la vie à Manu et souffrir un peu plus pour plus de jouissance, je referme au maximum mon cul lorsque Manu essaie de me pénétrer, mais sa pression est trop forte, mon cul à force d'être travaillé est moins ferme.
A chaque résistance, je me prends plus brutalement son gland si dur et si triomphant de mon opposition de salope.
Manu : Salope tu aimes ça ! Super, je vais te donner le maximum ! Et en disant ça il enlève sa main de ma bouche.
Je la retiens et attrape deux doigts que je porte à ma bouche. Je les suce en cadence avec ses coups de bite.
Manu commence à enfoncer un plus que son gland et à chaque coup progresse davantage avant de rester immobile en moi.
Chaque fois que sa bite gagne du terrain, je ressens son impact sur mes organes internes me faisant goûter à une douleur jouissive inconnue.
Quand il reste immobile dans mon cul, je pratique plusieurs respirations profondes qui successivement relâchent mon cul et le referme au maximum de mes capacités de contraction lui écrasant la bite avec tout le conduit de mon cul.
Manu : Tu me masses la bite avec ton cul ! Continue à faire ça pendant que je te lime, c'est trop bon.
Manu enfonce désormais ses 22cm dans mon cul et chaque qu'il me touche le fond du cul je manque de m'évanouir de douleur et de plaisir mêlés.
Manu : Cambre-toi, oui comme ça ! Putain que c'est bon !
Ses va et vient se font plus rapides et plus hard. Manu enlève ses doigts de ma bouche et je perds ma sucette. Mais je ne regrette pas car Manu utilise ses deux mains pour me maintenir et améliorer le choc de sa bite.
Manu : Branle toi, fais toi jouir. Moi, je ne cracherai pas. J'en ai plus après tout à l'heure.
Je me branle à fond pendant que les 22cm de Manu me ravagent le cul.
Sentant que je vais jouir, Manu colle sa bite au fond de moi limitant l'ampleur des va et vient mais augmentant leur force.
Il place une main de fer derrière mon cou pour me tenir et de l'autre me claque violemment les fesses avec ses grandes mains en me traitant de salope, de pute...
Je sens son gland au fond de mon trou, il est dur et énorme. Il exerce une pression douloureuse à chaque coup de boutoir qui avec les 95 kilos de poussée me soulèvent quasiment.
J'ai super mal sous les coups de bite et la fessée mais j'ai un tel plaisir !
Ce sont des coups de bélier qui veulent défoncer une porte qui résiste.
Je jouis... le bélier passe la porte et me donne un plaisir encore plus fort. La bite de Manu au moment de mon éjaculation m'a pénétré au maximum, je sens ses couilles collées à l'entrée de mon trou.
Manu a conscience qu'il est vraiment au fond et ne se retire pas, il continue d'appuyer au maximum sa bite au fond pendant quelques instants après ma jouissance. C'est à tomber dans les pommes !
Je profite de ce moment d'intimité où sa bite est au plus profond de moi. Je me sens comme une femelle comblée et en même temps je ressens la tendresse de Manu qui me caresse le dos et mes fesses endolories.
Manu : Je crois que j'ai encore du jus !
Manu reprend son limage. D'abord doucement, puis plus rapide et plus sec.
Il finit par des va et vient au cours desquels il sort complètement sa bite de mon cul et me l'enfonce d'un coup à fond tellement je suis ouvert.
J'ai joui, mon excitation est en train de redescendre.
J'ai la rondelle explosée par le martèlement du 44 qui l'a frappée plusieurs centaines de fois et le travail hard du gland de Manu.
J'ai l'intérieur du cul en feu après ce ramonage de dingue.
Et la méga-fessée de manu m'a mis le postérieur en compote.
Les coups de bite de Manu deviennent un vrai supplice qui heureusement s'arrête bientôt quand je sens dans mon cul une inondation de chaleur.
Manu a craché son sperme au plus profond de moi.
Manu : Allonge-toi en gardant ma bite en toi !
Je passe de la position à 4 pattes à la position allongé sur le ventre, avec précaution pour ne pas perdre la bite de Manu, sentant son membre encore très raide dans mon cul.
Manu s'allonge sur moi et me couvre de tout son poids.
J'étouffe un peu mais j'apprécie ce moment de quiétude après ces coups de pied et de bite, d'autant que Manu continue de très doux mouvements de bite en moi jusqu'à ce que sa bite se détende complètement.
En même temps, il me caresse les cheveux et me fais des petits bisous dans le cou.
Épuisé, je m'assoupis.
A mon réveil, plus de Manu.
Juste un mot sur la table.
" Pour une première fois, ce fut un feu d'artifice.
Je ne sais pas si ce sera aussi bien la prochaine fois...
Je sais que tu as eu mal ... mais tu as aimé ça !
Et moi j'ai aimé te faire mal.
On se voit jeudi prochain ? "
Bisous
PS : ne mets plus tes pompes de boxe, elles me sont réservées !
Avec Manu, nous finissons souvent nos mails par bisous.
Mais maintenant, je sais que ces bisous auront un sens différent et que chaque fois que mes pompes de boxe sortiront...
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